[article] 
inLa revue de gériatrie > Tome 41 - N°5 (Mai 2016) . - p. 277-282

Titre :	À quelle heure chute-t-on en institution ?
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Xavier Pons ; Yves Rolland ; Pierre Carette
Année de publication :	2016
Article en page(s) :	p. 277-282
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Chutes accidentelles  Sujet âgé  Résidences pour personnes âgées
Résumé :	Contexte : Les chutes sont un enjeu majeur de santé publique spécialement en institution. Objectif : L?objectif de notre étude est de rapporter la répartition des horaires des chutes en unité de soin de longues durées. Méthodes : Cette étude rapporte 4 ans d?observation des chutes en Unité de long séjour (USLD) au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Toulouse. Résultats : Au total sur les 973 chutes recueillies, 87,6 % sont diurnes avec 2 pics de fréquence autour du déjeuner : entre 11 h et midi (19 %) puis entre 14 et 15 h (20,7 %). Les chutes de nuit sont plus rares mais entraînent plus de complications somatiques (45 %). Les hommes chutent plus la nuit que les femmes. Discussion : Les horaires des pics de fréquence correspondent à des temps combinant une activité motrice importante des résidents à une moindre disponibilité des soignants. Conclusion : Les horaires préférentiels des chutes devraient être intégrés à la stratégie de prévention des chutes des résidents
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=44975

[article] À quelle heure chute-t-on en institution ? [texte imprimé] / Xavier Pons ; Yves Rolland ; Pierre Carette . - 2016 . - p. 277-282.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 41 - N°5 (Mai 2016) . - p. 277-282

Mots-clés :	Chutes accidentelles  Sujet âgé  Résidences pour personnes âgées
Résumé :	Contexte : Les chutes sont un enjeu majeur de santé publique spécialement en institution. Objectif : L?objectif de notre étude est de rapporter la répartition des horaires des chutes en unité de soin de longues durées. Méthodes : Cette étude rapporte 4 ans d?observation des chutes en Unité de long séjour (USLD) au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Toulouse. Résultats : Au total sur les 973 chutes recueillies, 87,6 % sont diurnes avec 2 pics de fréquence autour du déjeuner : entre 11 h et midi (19 %) puis entre 14 et 15 h (20,7 %). Les chutes de nuit sont plus rares mais entraînent plus de complications somatiques (45 %). Les hommes chutent plus la nuit que les femmes. Discussion : Les horaires des pics de fréquence correspondent à des temps combinant une activité motrice importante des résidents à une moindre disponibilité des soignants. Conclusion : Les horaires préférentiels des chutes devraient être intégrés à la stratégie de prévention des chutes des résidents
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