Centre de Documentation Campus Montignies
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[article]
Titre : |
Kyste osseux anévrismal |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Pierre-Louis Docquier, Auteur ; C. Glorion, Auteur ; Christian Delloye, Auteur |
Année de publication : |
2010 |
Article en page(s) : |
14-771 [Tome 6] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Kyste osseux anévrismal Lésion primaire et lésion secondaire Tumeur bénigne Traitement mini-invasif |
Résumé : |
Le kyste osseux anévrismal est une lésion bénigne qui naît souvent en position excentrée de la métaphyse des os longs et qui en grandissant, peut souffler l'os. Cette pseudotumeur peut également concerner le bassin et la colonne vertébrale. La lésion peut occasionner des douleurs d'intensité variable et provoquer une tuméfaction qui devient apparente si la tumeur est soufflante. Aux os longs, la fracture pathologique est rare sauf pour les kystes de localisation centrale, mais au niveau vertébral les tassements ne sont pas rares. Bien que la radiographie standard puisse parfois suffire à porter le diagnostic, l'imagerie par résonance magnétique (IRM) est plus performante pour le diagnostic différentiel. Une biopsie s'impose car le kyste anévrismal est parfois secondaire à une lésion maligne telle que l'ostéosarcome télangiectasique. La théorie étiopathogénique la plus répandue est celle d'un processus réactionnel à une malformation veineuse mais la théorie néoplasique est actuellement évoquée depuis la découverte de la translocation t(16;17)(q22;p13) qui est récurrente dans les kystes anévrismaux primaires. Des cas de guérison spontanée ou de guérison après biopsie ont été rapportés mais sont rares. Le plus souvent, un traitement est nécessaire. Étant donné que le kyste anévrismal est une tumeur bénigne, le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. De nombreuses techniques mini-invasives sont maintenant disponibles et ont montré leur efficacité. |
Note de contenu : |
Introduction
Définition
Épidémiologie
Localisation
Os longs
Colonne vertébrale
Pelvis
Sacrum
Étiopathogénie
Clinique
Examens complémentaires
Radiographie standard
Angiographie
Tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Scintigraphie osseuse au technétium
Diagnostic différentiel
Kyste osseux simple
Granulome éosinophile
Fibrome non ossifiant
Dysplasie fibreuse
Fibrome chondromyxoïde
Tumeur à cellules géantes
Ostéosarcome télangiectasique
Anatomie pathologique
Aspects macroscopiques
Aspects microscopiques
Immunomarquage
Histoire naturelle
Guérison spontanée
Risque fracturaire
Transformation maligne
Trouble de croissance
Traitement
Radiothérapie
Embolisation sélective
Injection d'Ethibloc
Cryothérapie
Curetage chirurgical
Injections percutanées
Facteurs de récidive après traitement
Conclusion |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=44053 |
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-771 [Tome 6]
[article] Kyste osseux anévrismal [texte imprimé] / Pierre-Louis Docquier, Auteur ; C. Glorion, Auteur ; Christian Delloye, Auteur . - 2010 . - 14-771 [Tome 6]. Langues : Français ( fre) in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-771 [Tome 6]
Mots-clés : |
Kyste osseux anévrismal Lésion primaire et lésion secondaire Tumeur bénigne Traitement mini-invasif |
Résumé : |
Le kyste osseux anévrismal est une lésion bénigne qui naît souvent en position excentrée de la métaphyse des os longs et qui en grandissant, peut souffler l'os. Cette pseudotumeur peut également concerner le bassin et la colonne vertébrale. La lésion peut occasionner des douleurs d'intensité variable et provoquer une tuméfaction qui devient apparente si la tumeur est soufflante. Aux os longs, la fracture pathologique est rare sauf pour les kystes de localisation centrale, mais au niveau vertébral les tassements ne sont pas rares. Bien que la radiographie standard puisse parfois suffire à porter le diagnostic, l'imagerie par résonance magnétique (IRM) est plus performante pour le diagnostic différentiel. Une biopsie s'impose car le kyste anévrismal est parfois secondaire à une lésion maligne telle que l'ostéosarcome télangiectasique. La théorie étiopathogénique la plus répandue est celle d'un processus réactionnel à une malformation veineuse mais la théorie néoplasique est actuellement évoquée depuis la découverte de la translocation t(16;17)(q22;p13) qui est récurrente dans les kystes anévrismaux primaires. Des cas de guérison spontanée ou de guérison après biopsie ont été rapportés mais sont rares. Le plus souvent, un traitement est nécessaire. Étant donné que le kyste anévrismal est une tumeur bénigne, le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. De nombreuses techniques mini-invasives sont maintenant disponibles et ont montré leur efficacité. |
Note de contenu : |
Introduction
Définition
Épidémiologie
Localisation
Os longs
Colonne vertébrale
Pelvis
Sacrum
Étiopathogénie
Clinique
Examens complémentaires
Radiographie standard
Angiographie
Tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Scintigraphie osseuse au technétium
Diagnostic différentiel
Kyste osseux simple
Granulome éosinophile
Fibrome non ossifiant
Dysplasie fibreuse
Fibrome chondromyxoïde
Tumeur à cellules géantes
Ostéosarcome télangiectasique
Anatomie pathologique
Aspects macroscopiques
Aspects microscopiques
Immunomarquage
Histoire naturelle
Guérison spontanée
Risque fracturaire
Transformation maligne
Trouble de croissance
Traitement
Radiothérapie
Embolisation sélective
Injection d'Ethibloc
Cryothérapie
Curetage chirurgical
Injections percutanées
Facteurs de récidive après traitement
Conclusion |
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