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Auteur Marie-Clémence LEGUY |
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Les cancers thyroïdiens : diagnostic et suivi / Jean Guibourdenche in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 565 (septembre-octobre 2024)
[article]
Titre : Les cancers thyroïdiens : diagnostic et suivi Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Guibourdenche ; Antonin Ginguay ; Marie-Clémence LEGUY ; et al. Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 62-68 Note générale : Issu du dossier "Thyroïde et biologie: Biochimie de la thyroïde"
Doi : 10.1016/S1773-035X(24)00307-1Langues : Français (fre) Mots-clés : calcitonine carcinome médullaire carcinome papillaire échographie thyroglobuline Résumé : Les cancers thyroïdiens sont souvent diagnostiqués lors de l’exploration d’un nodule thyroïdien. Ils se développent aux dépens des cellules folliculaires et sont majoritairement différenciés (papillaire ou vésiculaire) et de bon pronostic, plus rarement peu différenciés et exceptionnellement anaplasiques de pronostic sombre. Les carcinomes médullaires se développent aux dépens des cellules C et s’intègrent dans 25 % des cas à une NEM2 associée à une mutation du proto-oncogène RET. Le bilan thyroïdien est souvent normal. Le diagnostic repose sur l’échographie, qui caractérisera le ou les nodules thyroïdiens à ponctionner ainsi que les adénopathies cervicales. L’examen cyto-histologique établit le diagnostic et la classification de la tumeur déterminant traitement et suivi. On réalisera une thyroïdectomie totale ou partielle, associée ou non à un curage ganglionnaire. L’hypothyroïdie est quasi constante en post-opératoire et justifie une supplémentation à vie par L-thyroxine. Pour les cancers différenciés, une posologie freinatrice associée à un traitement adjuvant par irathérapie (131I) est indiquée dans les formes à haut risque de récidive. La surveillance biologique repose sur la thyroglobuline sérique, indétectable en l’absence de récidive. Pour les carcinomes médullaires, le suivi biologique repose sur la calcitonine, indétectable en l’absence de persistance ou de récidive, et sur l’antigène carcino-embryonaire (ACE) sériques. La recherche d’une mutation du gène RET doit être systématique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=119996
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 565 (septembre-octobre 2024) . - p. 62-68[article] Les cancers thyroïdiens : diagnostic et suivi [texte imprimé] / Jean Guibourdenche ; Antonin Ginguay ; Marie-Clémence LEGUY ; et al. . - 2024 . - p. 62-68.
Issu du dossier "Thyroïde et biologie: Biochimie de la thyroïde"
Doi : 10.1016/S1773-035X(24)00307-1
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 565 (septembre-octobre 2024) . - p. 62-68
Mots-clés : calcitonine carcinome médullaire carcinome papillaire échographie thyroglobuline Résumé : Les cancers thyroïdiens sont souvent diagnostiqués lors de l’exploration d’un nodule thyroïdien. Ils se développent aux dépens des cellules folliculaires et sont majoritairement différenciés (papillaire ou vésiculaire) et de bon pronostic, plus rarement peu différenciés et exceptionnellement anaplasiques de pronostic sombre. Les carcinomes médullaires se développent aux dépens des cellules C et s’intègrent dans 25 % des cas à une NEM2 associée à une mutation du proto-oncogène RET. Le bilan thyroïdien est souvent normal. Le diagnostic repose sur l’échographie, qui caractérisera le ou les nodules thyroïdiens à ponctionner ainsi que les adénopathies cervicales. L’examen cyto-histologique établit le diagnostic et la classification de la tumeur déterminant traitement et suivi. On réalisera une thyroïdectomie totale ou partielle, associée ou non à un curage ganglionnaire. L’hypothyroïdie est quasi constante en post-opératoire et justifie une supplémentation à vie par L-thyroxine. Pour les cancers différenciés, une posologie freinatrice associée à un traitement adjuvant par irathérapie (131I) est indiquée dans les formes à haut risque de récidive. La surveillance biologique repose sur la thyroglobuline sérique, indétectable en l’absence de récidive. Pour les carcinomes médullaires, le suivi biologique repose sur la calcitonine, indétectable en l’absence de persistance ou de récidive, et sur l’antigène carcino-embryonaire (ACE) sériques. La recherche d’une mutation du gène RET doit être systématique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=119996 Réservation
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DisponibleDosage de l'AFP dans le liquide amniotique : comparaison de trois techniques / Marie-Clémence LEGUY in Annales de Biologie Clinique, ABC 69 / 4 ([01/07/2011])
[article]
Titre : Dosage de l'AFP dans le liquide amniotique : comparaison de trois techniques Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Clémence LEGUY, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 441 - 446 Langues : Français (fre) Mots-clés : GROSSESSE , AFP , ALPHA-FOETO-PROTEINE , DOSAGE , LIQUIDE AMNIOTIQUE , IMMUNOANALYSE , VALEURS USUELLES Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=73111
in Annales de Biologie Clinique > ABC 69 / 4 [01/07/2011] . - 441 - 446[article] Dosage de l'AFP dans le liquide amniotique : comparaison de trois techniques [texte imprimé] / Marie-Clémence LEGUY, Auteur . - 2011 . - 441 - 446.
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > ABC 69 / 4 [01/07/2011] . - 441 - 446
Mots-clés : GROSSESSE , AFP , ALPHA-FOETO-PROTEINE , DOSAGE , LIQUIDE AMNIOTIQUE , IMMUNOANALYSE , VALEURS USUELLES Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=73111 Réservation
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DisponibleHyperthyroïdie : diagnostic et suivi / Jean Guibourdenche in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 565 (septembre-octobre 2024)
[article]
Titre : Hyperthyroïdie : diagnostic et suivi Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Guibourdenche ; Marie-Clémence LEGUY ; Christelle Laguillier-Morizot ; et al. Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 51-56 Note générale : Issu du dossier "Thyroïde et biologie: Biochimie de la thyroïde"
Doi : 10.1016/S1773-035X(24)00305-8Langues : Français (fre) Mots-clés : anticorps anti-récepteur de la TSH nodule thyroïdien scintigraphie thyréostimuline thyroxine libre Résumé : L’hyperthyroïdie se caractérise par une hyperproduction d’hormones thyroïdiennes menant à un tableau clinique de thyréotoxicose. Elle résulte principalement d’un hyperfonctionnement primaire de la thyroïde consécutif à une hyperstimulation du parenchyme thyroïdien par des anticorps anti-récepteurs de la TSH (TRAK) dans la maladie de Basedow, ou à l’autonomie d’une ou plusieurs régions hyperfonctionnelles du parenchyme dans la pathologie nodulaire. Le diagnostic biologique commence par le dosage de la TSH sérique. Une TSH comprise entre 0,1 et 0,4 mUI/L doit être vérifiée à six semaines. Pour toute TSH inférieure à 0,1 mUI/L ou toute TSH confirmée entre 0,1 et 0,4 mUI/L, un dosage en cascade de la T4L permet de distinguer une hyperthyroïdie avérée (T4L augmentée), d’une hyperthyroïdie subclinique (T4L normale), situation dans laquelle le dosage de T3L peut être utile pour établir une hyperthyroïdie à T3L. Le diagnostic étiologique repose essentiellement sur le dosage des TRAK dont la positivité établit le diagnostic de maladie de Basedow, la palpation et la scintigraphie thyroïdienne. L’hyperthyroïdie peut être traitée médicalement en commençant par des antithyroïdiens de synthèse (ATS), puis par irathérapie ou chirurgicalement, selon l’étiologie. L’efficacité des ATS sera évaluée biologiquement en surveillant la T4L tous les mois, puis la TSH tous les trimestres. Le traitement par ATS nécessite un suivi biologique (hCG, NFS, ASAT, ALAT) pour détecter une éventuelle complication. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=119993
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 565 (septembre-octobre 2024) . - p. 51-56[article] Hyperthyroïdie : diagnostic et suivi [texte imprimé] / Jean Guibourdenche ; Marie-Clémence LEGUY ; Christelle Laguillier-Morizot ; et al. . - 2024 . - p. 51-56.
Issu du dossier "Thyroïde et biologie: Biochimie de la thyroïde"
Doi : 10.1016/S1773-035X(24)00305-8
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 565 (septembre-octobre 2024) . - p. 51-56
Mots-clés : anticorps anti-récepteur de la TSH nodule thyroïdien scintigraphie thyréostimuline thyroxine libre Résumé : L’hyperthyroïdie se caractérise par une hyperproduction d’hormones thyroïdiennes menant à un tableau clinique de thyréotoxicose. Elle résulte principalement d’un hyperfonctionnement primaire de la thyroïde consécutif à une hyperstimulation du parenchyme thyroïdien par des anticorps anti-récepteurs de la TSH (TRAK) dans la maladie de Basedow, ou à l’autonomie d’une ou plusieurs régions hyperfonctionnelles du parenchyme dans la pathologie nodulaire. Le diagnostic biologique commence par le dosage de la TSH sérique. Une TSH comprise entre 0,1 et 0,4 mUI/L doit être vérifiée à six semaines. Pour toute TSH inférieure à 0,1 mUI/L ou toute TSH confirmée entre 0,1 et 0,4 mUI/L, un dosage en cascade de la T4L permet de distinguer une hyperthyroïdie avérée (T4L augmentée), d’une hyperthyroïdie subclinique (T4L normale), situation dans laquelle le dosage de T3L peut être utile pour établir une hyperthyroïdie à T3L. Le diagnostic étiologique repose essentiellement sur le dosage des TRAK dont la positivité établit le diagnostic de maladie de Basedow, la palpation et la scintigraphie thyroïdienne. L’hyperthyroïdie peut être traitée médicalement en commençant par des antithyroïdiens de synthèse (ATS), puis par irathérapie ou chirurgicalement, selon l’étiologie. L’efficacité des ATS sera évaluée biologiquement en surveillant la T4L tous les mois, puis la TSH tous les trimestres. Le traitement par ATS nécessite un suivi biologique (hCG, NFS, ASAT, ALAT) pour détecter une éventuelle complication. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=119993 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleHypothyroïdie : diagnostic et suivi chez l’adulte / Jean Guibourdenche in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 565 (septembre-octobre 2024)
[article]
Titre : Hypothyroïdie : diagnostic et suivi chez l’adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Guibourdenche ; Marie-Clémence LEGUY ; Fidéline Bonnet-Serrano Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 45-50 Note générale : Issu du dossier "Thyroïde et biologie: Biochimie de la thyroïde"
Doi : 10.1016/S1773-035X(24)00304-6Langues : Français (fre) Mots-clés : anticorps anti-thyroperoxydase goitre thyréostimuline thyroïdites thyroxine libre Résumé : L’hypothyroïdie résulte d’une carence en hormones thyroïdiennes de manifestations cliniques variables, avec parfois un goitre pouvant nécessiter une échographie. Il s’agit le plus souvent d’un hypofonctionnement primaire de la thyroïde consécutif à une thyroïdite auto-immune ou médicamenteuse, voire à une carence en iode. Plus rarement, l’hypothyroïdie peut être centrale dans le cadre d’une insuffisance hypophysaire. Le diagnostic biologique de l’hypothyroïdie périphérique repose sur une TSH sérique élevée (normes : 0,4-4 mUI/L hors grossesse et personnes âgées). Une TSH comprise entre 4 et 10 mUI/L sera contrôlée à six semaines. À toute TSH d’emblée supérieure à 10 mUI/L ou toute TSH confirmée entre 4-10 mUI/L, on ajoutera un dosage en cascade de T4L pour établir le caractère avéré (T4L diminuée) ou fruste (T4L normale) de l’hypothyroïdie. Le diagnostic étiologique commence par le dosage des anticorps anti-thyroperoxydase (ATPO) complété du dosage des anticorps anti-thyroglobuline (ATG) si les ATPO sont négatifs, voire de la iodurie des 24 heures. Le traitement par L-thyroxine est systématique seulement en cas d’hypothyroïdie avérée, et évalué en suivant la TSH sérique à six semaines, puis en espaçant le suivi dès que la TSH sera normalisée de façon stable. Dans les autres situations, un simple suivi de la TSH est recommandé à un an. On associera un dosage de T4L en cas de TSH instable. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=119992
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 565 (septembre-octobre 2024) . - p. 45-50[article] Hypothyroïdie : diagnostic et suivi chez l’adulte [texte imprimé] / Jean Guibourdenche ; Marie-Clémence LEGUY ; Fidéline Bonnet-Serrano . - 2024 . - p. 45-50.
Issu du dossier "Thyroïde et biologie: Biochimie de la thyroïde"
Doi : 10.1016/S1773-035X(24)00304-6
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 565 (septembre-octobre 2024) . - p. 45-50
Mots-clés : anticorps anti-thyroperoxydase goitre thyréostimuline thyroïdites thyroxine libre Résumé : L’hypothyroïdie résulte d’une carence en hormones thyroïdiennes de manifestations cliniques variables, avec parfois un goitre pouvant nécessiter une échographie. Il s’agit le plus souvent d’un hypofonctionnement primaire de la thyroïde consécutif à une thyroïdite auto-immune ou médicamenteuse, voire à une carence en iode. Plus rarement, l’hypothyroïdie peut être centrale dans le cadre d’une insuffisance hypophysaire. Le diagnostic biologique de l’hypothyroïdie périphérique repose sur une TSH sérique élevée (normes : 0,4-4 mUI/L hors grossesse et personnes âgées). Une TSH comprise entre 4 et 10 mUI/L sera contrôlée à six semaines. À toute TSH d’emblée supérieure à 10 mUI/L ou toute TSH confirmée entre 4-10 mUI/L, on ajoutera un dosage en cascade de T4L pour établir le caractère avéré (T4L diminuée) ou fruste (T4L normale) de l’hypothyroïdie. Le diagnostic étiologique commence par le dosage des anticorps anti-thyroperoxydase (ATPO) complété du dosage des anticorps anti-thyroglobuline (ATG) si les ATPO sont négatifs, voire de la iodurie des 24 heures. Le traitement par L-thyroxine est systématique seulement en cas d’hypothyroïdie avérée, et évalué en suivant la TSH sérique à six semaines, puis en espaçant le suivi dès que la TSH sera normalisée de façon stable. Dans les autres situations, un simple suivi de la TSH est recommandé à un an. On associera un dosage de T4L en cas de TSH instable. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=119992 Réservation
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