[article]
Titre : |
Place des techniques de « strain-counterstrain » dans l'arsenal du thérapeute manuel en pratique quotidienne |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Gilles Barette ; Xavier Dufour ; Arnaud Cerioli |
Année de publication : |
2012 |
Article en page(s) : |
26-065-A-10 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Strain-counterstrain Raccourcissement musculaire Contracture Position de confort Tender point Technique fonctionnelle |
Résumé : |
Le masseur-kinésithérapeute est souvent amené à traiter des patients présentant un excès de tension de corps charnus musculaires (contractures) dans sa pratique quotidienne. Il utilise désormais couramment les techniques d'étirement postisométrique type « contracté-relâché ». Or, cette approche a ses limites, notamment en phase aiguë (postopératoire, rachialgies, etc.). Pourtant, il existe une autre manière, peu connue en France, de traiter ces dysfonctions : c'est le strain-counterstrain (littéralement « tension contre tension ») qui consiste à trouver une position de confort, le plus souvent en raccourcissement de la structure, permettant le relâchement de points précis indurés et douloureux appelés tender points. L'article expose l'historique de cette approche datant des années 1980 ainsi que les conceptions des différents auteurs qui s'y sont intéressés. La place de cette technique de libération tissulaire, aux bases physiologiques diverses et parfois contestées, se situe en amont du renforcement musculaire dans l'arsenal thérapeutique. La clef du succès réside dans la qualité du positionnement passif du patient et du maintien dans cette position par le praticien en fonction des zones à traiter. Il s'agit d'une technique fonctionnelle douce, atraumatique présentant peu de contre-indications. Les différentes positions de traitement sont codifiées par les auteurs (avec quelques variations), ce qui permet de définir de grands principes de prise en charge et de séquences de traitement. Des exemples de traitement permettent au lecteur de mieux appréhender cette approche qui manque encore, à ce jour, de validité scientifique indiscutable. |
Note de contenu : |
Introduction
Historique de la technique
Élaboration et développement d'une technique à part entière
Autres auteurs
Place du « strain-counterstrain » dans l'approche thérapeutique du patient
Technique ou méthode ?
Bases physiologiques du « strain-counterstrain »
Technique aujourd'hui
Physiopathologie
En quoi le « strain-counterstrain » permet de régler ce problème
Études
Indications
Contre-indications
Contre-indications absolues
Contre-indications relatives
Thérapeutique
Objectivation d'un « tender point »
Traitement d'un « tender point »
Séquence de traitement
Approche régionale
Rachis
Membre inférieur
Membre supérieur
Cas cliniques
Conclusion |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=43539 |
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Mai 2012) . - 26-065-A-10
[article] Place des techniques de « strain-counterstrain » dans l'arsenal du thérapeute manuel en pratique quotidienne [texte imprimé] / Gilles Barette ; Xavier Dufour ; Arnaud Cerioli . - 2012 . - 26-065-A-10. Langues : Français ( fre) in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Mai 2012) . - 26-065-A-10
Mots-clés : |
Strain-counterstrain Raccourcissement musculaire Contracture Position de confort Tender point Technique fonctionnelle |
Résumé : |
Le masseur-kinésithérapeute est souvent amené à traiter des patients présentant un excès de tension de corps charnus musculaires (contractures) dans sa pratique quotidienne. Il utilise désormais couramment les techniques d'étirement postisométrique type « contracté-relâché ». Or, cette approche a ses limites, notamment en phase aiguë (postopératoire, rachialgies, etc.). Pourtant, il existe une autre manière, peu connue en France, de traiter ces dysfonctions : c'est le strain-counterstrain (littéralement « tension contre tension ») qui consiste à trouver une position de confort, le plus souvent en raccourcissement de la structure, permettant le relâchement de points précis indurés et douloureux appelés tender points. L'article expose l'historique de cette approche datant des années 1980 ainsi que les conceptions des différents auteurs qui s'y sont intéressés. La place de cette technique de libération tissulaire, aux bases physiologiques diverses et parfois contestées, se situe en amont du renforcement musculaire dans l'arsenal thérapeutique. La clef du succès réside dans la qualité du positionnement passif du patient et du maintien dans cette position par le praticien en fonction des zones à traiter. Il s'agit d'une technique fonctionnelle douce, atraumatique présentant peu de contre-indications. Les différentes positions de traitement sont codifiées par les auteurs (avec quelques variations), ce qui permet de définir de grands principes de prise en charge et de séquences de traitement. Des exemples de traitement permettent au lecteur de mieux appréhender cette approche qui manque encore, à ce jour, de validité scientifique indiscutable. |
Note de contenu : |
Introduction
Historique de la technique
Élaboration et développement d'une technique à part entière
Autres auteurs
Place du « strain-counterstrain » dans l'approche thérapeutique du patient
Technique ou méthode ?
Bases physiologiques du « strain-counterstrain »
Technique aujourd'hui
Physiopathologie
En quoi le « strain-counterstrain » permet de régler ce problème
Études
Indications
Contre-indications
Contre-indications absolues
Contre-indications relatives
Thérapeutique
Objectivation d'un « tender point »
Traitement d'un « tender point »
Séquence de traitement
Approche régionale
Rachis
Membre inférieur
Membre supérieur
Cas cliniques
Conclusion |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=43539 |
|  |