[article] 
inJournal de traumatologie du sport > Volume 33 numéro 1 (Mars 2016) . - p.48-68

Titre :	Tendinopathies « mal connues » du pied et de la cheville
Titre original :	Unknown tendinopathy of the foot and ankle
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	J.M. Svertzut ; Olivia Silbermann-Hoffman ; D. Ait Ali Yahia
Année de publication :	2016
Article en page(s) :	p.48-68
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	tendinopathie  pied  cheville
Résumé :	Les tendinopathies de la cheville et du pied se chevauchent et font partie d’un même processus évolutif micro- et macroscopique. Leur diagnostic passe par une bonne connaissance de l’anatomie normale ainsi que des différentes modalités d’imagerie. Dans ce domaine, l’examen de première intention est l’échographie. Elle permet de mettre en évidence les tendinoses, les ténosynovites (mécaniques exclusivement), les ruptures tendineuses, les luxations, les ressauts et les conflits ostéo-tendineux. La tomodensitométrie est moins performante que l’IRM dans l’analyse des tendons mais permet, néanmoins, une meilleure exploration des calcifications, des arrachements et des fragments osseux. Cependant, certaines tendinopathies « mal connues », car peu fréquentes, sont de diagnostic difficile d’un point de vue clinique et requièrent un radiologue averti pour les identifier.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=42902

[article] Tendinopathies « mal connues » du pied et de la cheville = Unknown tendinopathy of the foot and ankle [texte imprimé] / J.M. Svertzut ; Olivia Silbermann-Hoffman ; D. Ait Ali Yahia . - 2016 . - p.48-68.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Volume 33 numéro 1 (Mars 2016) . - p.48-68

Mots-clés :	tendinopathie  pied  cheville
Résumé :	Les tendinopathies de la cheville et du pied se chevauchent et font partie d’un même processus évolutif micro- et macroscopique. Leur diagnostic passe par une bonne connaissance de l’anatomie normale ainsi que des différentes modalités d’imagerie. Dans ce domaine, l’examen de première intention est l’échographie. Elle permet de mettre en évidence les tendinoses, les ténosynovites (mécaniques exclusivement), les ruptures tendineuses, les luxations, les ressauts et les conflits ostéo-tendineux. La tomodensitométrie est moins performante que l’IRM dans l’analyse des tendons mais permet, néanmoins, une meilleure exploration des calcifications, des arrachements et des fragments osseux. Cependant, certaines tendinopathies « mal connues », car peu fréquentes, sont de diagnostic difficile d’un point de vue clinique et requièrent un radiologue averti pour les identifier.
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