Centre de Documentation Campus Montignies
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[article]
Titre : |
Commotion cérébrale et étranglement dans le judo de haut niveau : 75 judokas |
Titre original : |
Concussion and strangulation in the high-level judo: 75 judokas |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
A. Radafy ; B. Vesselle ; A. Frey |
Année de publication : |
2016 |
Article en page(s) : |
p.4-13 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
commotion cérébrale étranglement judo perte de connaissance |
Résumé : |
Introduction
La commotion cérébrale est une altération transitoire des fonctions neurologiques faisant suite à un traumatisme crânio-cérébral. L’étranglement est une compression autour du cou. Ces phénomènes peuvent entraîner une perte de connaissance. L’objectif de cette étude était de définir la prévalence sur une population de judokas de haut niveau et d’étudier le délai de reprise. Nous voulions également comparer les symptômes post-critiques dans leur type, leur intensité et leur durée.
Méthodes
Un questionnaire portant sur le fait d’avoir été victime ou non de commotion cérébrale et/ou d’étranglement avec perte de connaissance, sur la présence ou non de symptômes post-critiques, leur durée et sur le délai de reprise sportive, était remis aux judokas.
Résultats
Soixante-quinze judokas ont répondu. Au cours de leurs années de pratique, 27 % déclaraient avoir été victimes de commotion cérébrale ; 71 % d’entre eux se souvenaient de symptômes post-commotionnels d’une durée moyenne de 1,9jours, avec un délai moyen de reprise de 5,4jours. Au total, 45 % déclaraient avoir été victimes d’étranglement avec perte de connaissance et une impossibilité de reprise immédiate dans 18 % des cas ; 25 % se souvenaient de symptômes post-étranglement d’une durée de 1 h 41 avec un délai de reprise de 9heures.
Conclusion
La commotion cérébrale a entraîné une incapacité à poursuivre la pratique sportive avec un délai de reprise variable selon le syndrome post-commotionnel. Une prise en charge standardisée puis adaptée dans un second temps présenterait un intérêt. Les conséquences de l’étranglement apparaissaient plus bénignes. Un phénomène vagal expliquait probablement la plupart des cas de perte de connaissance. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=42892 |
in Journal de traumatologie du sport > Volume 33 numéro 1 (Mars 2016) . - p.4-13
[article] Commotion cérébrale et étranglement dans le judo de haut niveau : 75 judokas = Concussion and strangulation in the high-level judo: 75 judokas [texte imprimé] / A. Radafy ; B. Vesselle ; A. Frey . - 2016 . - p.4-13. Langues : Français ( fre) in Journal de traumatologie du sport > Volume 33 numéro 1 (Mars 2016) . - p.4-13
Mots-clés : |
commotion cérébrale étranglement judo perte de connaissance |
Résumé : |
Introduction
La commotion cérébrale est une altération transitoire des fonctions neurologiques faisant suite à un traumatisme crânio-cérébral. L’étranglement est une compression autour du cou. Ces phénomènes peuvent entraîner une perte de connaissance. L’objectif de cette étude était de définir la prévalence sur une population de judokas de haut niveau et d’étudier le délai de reprise. Nous voulions également comparer les symptômes post-critiques dans leur type, leur intensité et leur durée.
Méthodes
Un questionnaire portant sur le fait d’avoir été victime ou non de commotion cérébrale et/ou d’étranglement avec perte de connaissance, sur la présence ou non de symptômes post-critiques, leur durée et sur le délai de reprise sportive, était remis aux judokas.
Résultats
Soixante-quinze judokas ont répondu. Au cours de leurs années de pratique, 27 % déclaraient avoir été victimes de commotion cérébrale ; 71 % d’entre eux se souvenaient de symptômes post-commotionnels d’une durée moyenne de 1,9jours, avec un délai moyen de reprise de 5,4jours. Au total, 45 % déclaraient avoir été victimes d’étranglement avec perte de connaissance et une impossibilité de reprise immédiate dans 18 % des cas ; 25 % se souvenaient de symptômes post-étranglement d’une durée de 1 h 41 avec un délai de reprise de 9heures.
Conclusion
La commotion cérébrale a entraîné une incapacité à poursuivre la pratique sportive avec un délai de reprise variable selon le syndrome post-commotionnel. Une prise en charge standardisée puis adaptée dans un second temps présenterait un intérêt. Les conséquences de l’étranglement apparaissaient plus bénignes. Un phénomène vagal expliquait probablement la plupart des cas de perte de connaissance. |
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./index.php?lvl=notice_display&id=42892 |
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