Les accidents de la randonnée pédestre : étude épidémiologique rétrospective portant sur 122 blessés / Dominique Saragaglia in Journal de traumatologie du sport, vol. 12/1 (1995)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 12/1 (1995) . - p. 39 - 43 Titre : Les accidents de la randonnée pédestre : étude épidémiologique rétrospective portant sur 122 blessés Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Saragaglia ; LEROY J.-M. ; CITRO A. Année de publication : 1995 Article en page(s) : p. 39 - 43 Résumé : La randonnée pédestre n'est pas une activité sportive anodine et sans danger, puisque nous avons colligé entre janvier 1991 et octobre 1992, 122 accidents. Les lésions les plus fréquentes siègent au niveau des membres inférieurs (93 sur 122) et tout particulièrement au niveau du cou-de-pied (60 sur 93) puisqu'elles représentent 50% de l'ensemble des traumatismes. L'entorse externe de la cheville est de loin la plus fréquente et la plus bénigne des lésions (28 cas soit 23%), mais il faut signaler malgré tout 17 fractures bi- et tri-malléolaires. Il s'agit dans la majorité des cas d'une traumatologie bénigne puisque 62,3% de nos blessés ont été traités en soins externes et que seulement 37,7% ont été hospitalisés. En ce qui concerne la prévention de ces accidents, il ne se dégage pas de cette étude des mesures préventives particulières hormis un chaussage adapté à la montagne et, l'autodiscipline du randonneur Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14520 [article] Les accidents de la randonnée pédestre : étude épidémiologique rétrospective portant sur 122 blessés [texte imprimé] / Dominique Saragaglia ; LEROY J.-M. ; CITRO A. . - 1995 . - p. 39 - 43. in Journal de traumatologie du sport > vol. 12/1 (1995) . - p. 39 - 43 Résumé : La randonnée pédestre n'est pas une activité sportive anodine et sans danger, puisque nous avons colligé entre janvier 1991 et octobre 1992, 122 accidents. Les lésions les plus fréquentes siègent au niveau des membres inférieurs (93 sur 122) et tout particulièrement au niveau du cou-de-pied (60 sur 93) puisqu'elles représentent 50% de l'ensemble des traumatismes. L'entorse externe de la cheville est de loin la plus fréquente et la plus bénigne des lésions (28 cas soit 23%), mais il faut signaler malgré tout 17 fractures bi- et tri-malléolaires. Il s'agit dans la majorité des cas d'une traumatologie bénigne puisque 62,3% de nos blessés ont été traités en soins externes et que seulement 37,7% ont été hospitalisés. En ce qui concerne la prévention de ces accidents, il ne se dégage pas de cette étude des mesures préventives particulières hormis un chaussage adapté à la montagne et, l'autodiscipline du randonneur Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14520

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Les accidents de ski et de glisse sur neige. Etude épidémiologique rétrospective à propos de 4 647 accidents (1990-1997) / Dominique Saragaglia in Journal de traumatologie du sport, Vol. 16/3 (octobre 1999)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 155 - 170 Titre : Les accidents de ski et de glisse sur neige. Etude épidémiologique rétrospective à propos de 4 647 accidents (1990-1997) Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Saragaglia ; HUBOUD-PERON A. ; KIRCHMEIER M. ; THENAULT M.-H. ; VOUAILLAT H. ; DIEMER C. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 155 - 170 Résumé : L'objectif de ce travail était de recenser les accidents de ski et des sports de glisse admis à l'Hôpital-Sud de Grenoble, entre octobre 1990 et avril 1997, soit en 7 saisons de sports d'hiver. Nous avons colligé 4 920 lésions pour 4 647 accidents (ski de piste - 3 570 -, surf des neiges - 535 -, ski de fond -322 -, ski de randonnée - 110 -, ski artistique - 86 -monoski - 19 -, télémark - 3 -, skwal - 1 -, bigfoot -1 -) chez 4 647 patients : 2 586 hommes et 2 061 femmes âgés de 3 à 81 ans (âge moyen de 29 ans). La grande majorité était des sportifs de loisir (4 608) et nous n'avions que 39 sportifs de compétition. Le mécanisme causal était la plupart du temps indirect (82,3 %) et il s'agissait dans 810 cas (17,7 %) d'une collision. 241 avaient une lésion associée, 29 avaient deux lésions associées, et 3, trois lésions associées. En ce qui concerne le bilan des lésions, nous avons colligé 1 707 lésions des membres supérieurs (34.7 %), 2 866 lésions des membres inférieurs (58,3 %) et 347 lésions autres (7 % ). Parmi les lésions dues au ski alpin, il faut remarquer plusieurs chiffres qui soulignent l'évolution de cette traumatologie au cours des dix dernières années : 31 % de lésions du membre supérieur dont 37,5 % de lésions de l'épaule et de la ceinture scapulaire, et 19,4 % d'entorses de la métacarpophalangienne du pouce, 5 % de fractures du fémur, 37 % de lésions du genou dont 91,5 % d'entorses, et 11,5 % de fractures de jambe. À signaler également 7 % de traumatismes de la tête et du tronc. En ce qui concerne le surf des neiges, on constate une augmentation constante de la traumatologie avec des traumatismes beaucoup moins graves qu'en ski alpin: 51.2 % de lésions du membre supérieur dont 19 % de traumatismes de l'épaule et de la ceinture scapulaire et 60 % de traumatismes de l'avant-bras et du poignet, 16 % de lésions du genou dont 80 % d'entorses du ligament collatéral médial et 9,6 % de ruptures du ligament croisé antérieur, 5,8 % de fractures de jambe et 12,6 % de lésions du cou-de-pied. Au total, il ressort de cette étude que la lésion spécifique du ski de piste et de randonnée est l'entorse du genou (32,5 % pour le premier. 42,4% pour le deuxième). En ce qui concerne le surf des neiges, ce sont les traumatismes du poignet (99) et de l'avant-bras (75) qui arrivent à la première place avec 174 lésions (soit 31 % ). Pour ce qui est du ski de fond, il ne se dégage pas de lésion spécifique, les articulations de l'épaule (53), du genou (67) et du cou-de-pied (57) représentent 53 % des traumatismes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14523 [article] Les accidents de ski et de glisse sur neige. Etude épidémiologique rétrospective à propos de 4 647 accidents (1990-1997) [texte imprimé] / Dominique Saragaglia ; HUBOUD-PERON A. ; KIRCHMEIER M. ; THENAULT M.-H. ; VOUAILLAT H. ; DIEMER C. . - 1999 . - p. 155 - 170. in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 155 - 170 Résumé : L'objectif de ce travail était de recenser les accidents de ski et des sports de glisse admis à l'Hôpital-Sud de Grenoble, entre octobre 1990 et avril 1997, soit en 7 saisons de sports d'hiver. Nous avons colligé 4 920 lésions pour 4 647 accidents (ski de piste - 3 570 -, surf des neiges - 535 -, ski de fond -322 -, ski de randonnée - 110 -, ski artistique - 86 -monoski - 19 -, télémark - 3 -, skwal - 1 -, bigfoot -1 -) chez 4 647 patients : 2 586 hommes et 2 061 femmes âgés de 3 à 81 ans (âge moyen de 29 ans). La grande majorité était des sportifs de loisir (4 608) et nous n'avions que 39 sportifs de compétition. Le mécanisme causal était la plupart du temps indirect (82,3 %) et il s'agissait dans 810 cas (17,7 %) d'une collision. 241 avaient une lésion associée, 29 avaient deux lésions associées, et 3, trois lésions associées. En ce qui concerne le bilan des lésions, nous avons colligé 1 707 lésions des membres supérieurs (34.7 %), 2 866 lésions des membres inférieurs (58,3 %) et 347 lésions autres (7 % ). Parmi les lésions dues au ski alpin, il faut remarquer plusieurs chiffres qui soulignent l'évolution de cette traumatologie au cours des dix dernières années : 31 % de lésions du membre supérieur dont 37,5 % de lésions de l'épaule et de la ceinture scapulaire, et 19,4 % d'entorses de la métacarpophalangienne du pouce, 5 % de fractures du fémur, 37 % de lésions du genou dont 91,5 % d'entorses, et 11,5 % de fractures de jambe. À signaler également 7 % de traumatismes de la tête et du tronc. En ce qui concerne le surf des neiges, on constate une augmentation constante de la traumatologie avec des traumatismes beaucoup moins graves qu'en ski alpin: 51.2 % de lésions du membre supérieur dont 19 % de traumatismes de l'épaule et de la ceinture scapulaire et 60 % de traumatismes de l'avant-bras et du poignet, 16 % de lésions du genou dont 80 % d'entorses du ligament collatéral médial et 9,6 % de ruptures du ligament croisé antérieur, 5,8 % de fractures de jambe et 12,6 % de lésions du cou-de-pied. Au total, il ressort de cette étude que la lésion spécifique du ski de piste et de randonnée est l'entorse du genou (32,5 % pour le premier. 42,4% pour le deuxième). En ce qui concerne le surf des neiges, ce sont les traumatismes du poignet (99) et de l'avant-bras (75) qui arrivent à la première place avec 174 lésions (soit 31 % ). Pour ce qui est du ski de fond, il ne se dégage pas de lésion spécifique, les articulations de l'épaule (53), du genou (67) et du cou-de-pied (57) représentent 53 % des traumatismes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14523

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LES ACCIDENTS DE SURF DES NEIGES : ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE RETROSPECTIVE A PROPOS DE 202 BLESSES / Dominique Saragaglia in Journal de traumatologie du sport, vol. 13/1 (avril 1996)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 13/1 (avril 1996) . - p. 13 - 19 Titre : LES ACCIDENTS DE SURF DES NEIGES : ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE RETROSPECTIVE A PROPOS DE 202 BLESSES Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Saragaglia ; HASHEMI A. ; MONTBARBON E. ; PICARD F. ; TOURNE Y. ; CHARBEL A. Année de publication : 1996 Article en page(s) : p. 13 - 19 Résumé : Ce travail est basé sur une étude épidémiologique rétrospective de 202 accidents de surf des neiges (214 lésions), recensés dans le service d'orthopédie et de traumatologie du sport du CHU de Grenoble (Hôpital Sud) entre janvier 1991 et septembre 1994 ; 86 % étaient de sexe masculin et l'âge moyen était de 22 ans (11 à 51). Plus de la moitié avait un âge compris entre 15 et 25 ans. En ce qui concerne le bilan lésionnel, nous avons retrouvé 96 % de lésions des membres, avec autant de lésions au niveau du membre supérieur que du membre inférieur. Au niveau du membre supérieur : 104 lésions, soit 48 % de l'ensemble des lésions. Le poignet était de loin le plus touché avec 52 lésions, soit 50 % des lésions du membre supérieur, et 24,3 % de l'ensemble des lésions. Au niveau du membre inférieur : 101 lésions, soit 47 % de l'ensemble des lésions. Le genou était le plus touché (44 lésions, soit 20,5 %), avec entre autres 38 entorses du genou pour la plupart bénignes. Les lésions de la cheville étaient également fréquentes (33, soit 15,4 %), avec une prédominance des entorses de la cheville (21, soit 9,8 %). Les fractures de la jambe et les fractures malléolaires représentaient respectivement 6 et 5,1 % des lésions. L'étude épidémiologique a porté également sur la cause des accidents et les facteurs de risque. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14525 [article] LES ACCIDENTS DE SURF DES NEIGES : ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE RETROSPECTIVE A PROPOS DE 202 BLESSES [texte imprimé] / Dominique Saragaglia ; HASHEMI A. ; MONTBARBON E. ; PICARD F. ; TOURNE Y. ; CHARBEL A. . - 1996 . - p. 13 - 19. in Journal de traumatologie du sport > vol. 13/1 (avril 1996) . - p. 13 - 19 Résumé : Ce travail est basé sur une étude épidémiologique rétrospective de 202 accidents de surf des neiges (214 lésions), recensés dans le service d'orthopédie et de traumatologie du sport du CHU de Grenoble (Hôpital Sud) entre janvier 1991 et septembre 1994 ; 86 % étaient de sexe masculin et l'âge moyen était de 22 ans (11 à 51). Plus de la moitié avait un âge compris entre 15 et 25 ans. En ce qui concerne le bilan lésionnel, nous avons retrouvé 96 % de lésions des membres, avec autant de lésions au niveau du membre supérieur que du membre inférieur. Au niveau du membre supérieur : 104 lésions, soit 48 % de l'ensemble des lésions. Le poignet était de loin le plus touché avec 52 lésions, soit 50 % des lésions du membre supérieur, et 24,3 % de l'ensemble des lésions. Au niveau du membre inférieur : 101 lésions, soit 47 % de l'ensemble des lésions. Le genou était le plus touché (44 lésions, soit 20,5 %), avec entre autres 38 entorses du genou pour la plupart bénignes. Les lésions de la cheville étaient également fréquentes (33, soit 15,4 %), avec une prédominance des entorses de la cheville (21, soit 9,8 %). Les fractures de la jambe et les fractures malléolaires représentaient respectivement 6 et 5,1 % des lésions. L'étude épidémiologique a porté également sur la cause des accidents et les facteurs de risque. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14525

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Démembrement des instabilités chroniques de la cheville / Dominique Saragaglia in Journal de traumatologie du sport, vol. 21/1 (2004)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 21/1 (2004) . - P. 48-50 Titre : Démembrement des instabilités chroniques de la cheville Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Saragaglia Année de publication : 2004 Article en page(s) : P. 48-50 Résumé : L'instabilité chronique de la cheville est un motif fréquent de consultation. Le premier réflexe est de penser à une probable lésion ligamentaire à l'origine de cette instabilité. Si cette étiologie est relativement fréquente, il n'en reste pas moins que, dans un certain nombre de cas, la laxité tibio-talienne n'est pas facilement objectivable ou n'existe pas. Dans ce cas là, il faut procéder de manière méthodique pour ne pas opérer à tort une laxité qui n'existe pas ou prescrire de multiples examens sophistiqués dont le coût-pertinence reste à démontrer. Un examen clinique bien conduit, étayé par une imagerie radiologique de qualité (clichés standards et clichés en stress) doit permettre dans la grande majorité des cas de faire les diagnostics suivants: instabilité chronique d'origine ligamentaire, instabilité due à un trouble statique de l'avant-pied ou de l'arrière-pied, instabilité mixte combinant trouble statique et instabilité ligamentaire. Dans certains cas, on peut être amené à demander un arthroscanner (lésions capsulo-ligamentaires latérales sans laxité évidente) ou une IRM (lésion du ligament en haie) pour confirmer certains diagnostics finalement assez rares. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14322 [article] Démembrement des instabilités chroniques de la cheville [texte imprimé] / Dominique Saragaglia . - 2004 . - P. 48-50. in Journal de traumatologie du sport > vol. 21/1 (2004) . - P. 48-50 Résumé : L'instabilité chronique de la cheville est un motif fréquent de consultation. Le premier réflexe est de penser à une probable lésion ligamentaire à l'origine de cette instabilité. Si cette étiologie est relativement fréquente, il n'en reste pas moins que, dans un certain nombre de cas, la laxité tibio-talienne n'est pas facilement objectivable ou n'existe pas. Dans ce cas là, il faut procéder de manière méthodique pour ne pas opérer à tort une laxité qui n'existe pas ou prescrire de multiples examens sophistiqués dont le coût-pertinence reste à démontrer. Un examen clinique bien conduit, étayé par une imagerie radiologique de qualité (clichés standards et clichés en stress) doit permettre dans la grande majorité des cas de faire les diagnostics suivants: instabilité chronique d'origine ligamentaire, instabilité due à un trouble statique de l'avant-pied ou de l'arrière-pied, instabilité mixte combinant trouble statique et instabilité ligamentaire. Dans certains cas, on peut être amené à demander un arthroscanner (lésions capsulo-ligamentaires latérales sans laxité évidente) ou une IRM (lésion du ligament en haie) pour confirmer certains diagnostics finalement assez rares. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14322

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Disjonction acromio-claviculaire et fracture de la base du processus coracoïde: à propos de 2 cas / Dominique Saragaglia in Journal de traumatologie du sport, vol. 10/3 (1993)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 10/3 (1993) . - p. 179 - 184 Titre : Disjonction acromio-claviculaire et fracture de la base du processus coracoïde: à propos de 2 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Saragaglia ; J. Tonetti ; TOURNE Y. ; LEROY J.-M. Année de publication : 1993 Article en page(s) : p. 179 - 184 Résumé : Les auteurs rapportent deux cas de disjonction acromio-claviculaire associée à une fracture de la base de coracoïde. Après une revue détaillée de la littérature, ils insistent sur le diagnostic qui doit être suspecté chaque fois que la disjonction acromio-claviculaire ne s'accompagne pas d'une augmentation de l'espace inter-coraco-claviculaire. Par ailleurs, ils pensent que le traitement doit être chirurgical en ne traitant que la disjonction acromio-claviculaire (stabilisation par un hauban appuyé sur une broche) sans toucher à la fracture du processus coracoïde; celle-ci étant auto-stable après réduction de la disjonction Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14330 [article] Disjonction acromio-claviculaire et fracture de la base du processus coracoïde: à propos de 2 cas [texte imprimé] / Dominique Saragaglia ; J. Tonetti ; TOURNE Y. ; LEROY J.-M. . - 1993 . - p. 179 - 184. in Journal de traumatologie du sport > vol. 10/3 (1993) . - p. 179 - 184 Résumé : Les auteurs rapportent deux cas de disjonction acromio-claviculaire associée à une fracture de la base de coracoïde. Après une revue détaillée de la littérature, ils insistent sur le diagnostic qui doit être suspecté chaque fois que la disjonction acromio-claviculaire ne s'accompagne pas d'une augmentation de l'espace inter-coraco-claviculaire. Par ailleurs, ils pensent que le traitement doit être chirurgical en ne traitant que la disjonction acromio-claviculaire (stabilisation par un hauban appuyé sur une broche) sans toucher à la fracture du processus coracoïde; celle-ci étant auto-stable après réduction de la disjonction Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14330

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LES DISJONCTIONS ACROMIO-CLAVICULAIRES / Dominique Saragaglia in Journal de traumatologie du sport, vol. 12/3 (1995)

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Elbow trauma in sportsmen / Dominique Saragaglia in Journal de traumatologie du sport, Vol. 15 supplément 1 (février 1998)

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Épidémiologie des lésions traumatiques aiguës dues à la pratiquedu tennis / FORNASIERI C. in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/3 (novembre 1998)

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Évolution de la traumatologie du ski alpin : comparaison de deux études réalisées à 20 ans d'intervalle à Grenohle (1968-1976 et 1990-1997) / DIEMER C. in Journal de traumatologie du sport, vol. 17/1 (2000)

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Les instabilités antérieures aiguës de l'épaule : résultats à court et moyen termes du traitement orthopédique / Dominique Saragaglia in Journal de traumatologie du sport, vol. 17/1 (2000)

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Intérêt de la masso-kinésithérapie après méniscectomie sous arthroscopie : étude prospective de 28 patients ayant bénéficié d'une meniscectomie sous arthroscopie / PICARD F. in Annales de kinésithérapie, vol. 25/5 (septembre 1998)

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Les lésions du tendon distal du triceps brachial : A propos de 7 observations / Dominique Saragaglia in Journal de traumatologie du sport, Vol. 16/2 (juin 1999)

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La mobilisation immédiate dans le traitement des fractures de l'extrémité supérieure de l'humérus / Dominique Saragaglia in Annales de kinésithérapie, vol. 11/10 (1984)

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Remise en tension capsulo-ligamentaire et plastie au ligament frondiforme dans le traitement des laxités chroniques de la cheville / Dominique Saragaglia in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/1 (avril 1998)

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Le syndrome de Fenton, à propos d'une nouvelle observation : Ostéochondromatose de hanche, à propos d'un cas chez un footballeur de 26 ans / HADDOUN A. R. in Journal de traumatologie du sport, vol. 21/1 (2004)

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