Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Détail de l'auteur
Auteur Magalie Kabale |
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[article]
Titre : Congo : cinquante ans après Type de document : texte imprimé Auteurs : Benoît Van der Meerschen, Auteur ; Magalie Kabale, Auteur ; Anny Ilunga Mujinga, Auteur ; Nunu Salufa, Auteur ; Cyprien Lusenge, Auteur ; Yves Polepole, Auteur ; Elisabeth Burdot, Auteur ; Edith Van Hove, Auteur ; Mamadou Bineta, Auteur ; Emmanuel Nashi, Personne interviewée ; Cecilia Diaz Weippert, Personne interviewée ; Pie Tshibanda, Personne interviewée ; Wamu Oyantambwe, Personne interviewée ; Mamita Banda, Personne interviewée ; Murhabazi Namegabe, Personne interviewée ; Antonio de la Fuente, Intervieweur ; Violaine Jadoul, Intervieweur Année de publication : 2010 Article en page(s) : p.3-35 Note générale : Dossier Langues : Français (fre) Mots-clés : Congo Guerre Lutte Maltraitance Résumé : "Floribert Chebeya, militant des droits humains depuis belle lurette au Congo , de passage à Bruxelles, me confiait récemment au sujet du cinquantenaire de l’indépendance du Congo, tellement omniprésent dans les médias : « La population congolaise s’en moque éperdument, elle pense d’abord à sa survie et n’a guère envie de fêter quoi que ce soit… ».
Le présent numéro d’Antipodes, qui laisse largement la parole aux Congolais eux-mêmes, en témoigne à suffisance : la situation aujourd’hui du Congo est … apocalyptique.
Survie, genre, santé, droits de l’enfant… La liste est malheureusement longue de ces atteintes aux droits fondamentaux des Congolais qui n’en finissent pas depuis bien plus longtemps que cinquante ans.
En effet, quitte à s’abreuver de retours en arrière, il n’y a aucune raison de s’arrêter arbitrairement à ce fameux 30 juin. Aux trente ans de dictature, aux années d’une guerre qui n’en finit pas dans bien des endroits du territoire congolais, dans la chaîne des responsabilités, on peut franchement ajouter les décennies de domination coloniale. Que ce soit la cruauté sans nom des premiers colons belges ou encore l’insupportable régime d’apartheid que constituait le Congo avant le 30 juin 1960.
Depuis sa découverte jusqu’à aujourd’hui, le Congo est pillé et laissé ouvert à tous les appétits de ceux qui, sans vergogne, veulent se repaître de ses richesses. C’était même une des conditions pour que les grandes puissances, à Berlin en 1885, laisse Léopold II rafler la mise. Le Congo en paie toujours le prix aujourd’hui."Note de contenu : Cinquante ans après, la population congolaise n'a guère envie de faire la fête (B. Van der Meerschen) / Le pouvoir politique a été octroyé à des concessionnaires locaux (E. Nashi, A. de la Fuente) / On n'est pas orphelin d'avoir perdu son père et sa mère mais d'avoir perdu espoir (P. Tshibanda, A. Fuente) / La priorité de la coopération devrait aller au renforcement de l'État congolais (W. Oyantambwe, A. de la Fuente) / La guerre dans la guerre (A. de la Fuente) / Les sourds au théâtre contre le sida et les violences sexuelles (M. Kabale) / S'il faut filmer au Congo, pourquoi ne pas s'adresser à des cinéastes congolais? (M. Banda, A. de la Fuente) / La longue marche des femmes du Kivu (N. Salufa, A. Ilunga Mujinga, C. Diaz) / Le microscope arrive tous les trois mois (C. Lusenge) / Les femmes se faufilent dans des métiers d'hommes (Y. Polepole) / La lutte contre le recrutement d'enfants soldats dans l'est du Congo (M. Namegabe, V. Jadoul) / Une histoire de sorcellerie (E. Burdot) / Un enfant, ce n'est pas sorcier (E. Van Hove) / Au Lac Edouard, c'est le Cauchemard de Darwin tous les jours (M. Bineta) En ligne : http://www.iteco.be/antipodes/congo-cinquante-ans/ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59915
in Antipodes [périodique électronique] > 188 (Mars 2010) . - p.3-35[article] Congo : cinquante ans après [texte imprimé] / Benoît Van der Meerschen, Auteur ; Magalie Kabale, Auteur ; Anny Ilunga Mujinga, Auteur ; Nunu Salufa, Auteur ; Cyprien Lusenge, Auteur ; Yves Polepole, Auteur ; Elisabeth Burdot, Auteur ; Edith Van Hove, Auteur ; Mamadou Bineta, Auteur ; Emmanuel Nashi, Personne interviewée ; Cecilia Diaz Weippert, Personne interviewée ; Pie Tshibanda, Personne interviewée ; Wamu Oyantambwe, Personne interviewée ; Mamita Banda, Personne interviewée ; Murhabazi Namegabe, Personne interviewée ; Antonio de la Fuente, Intervieweur ; Violaine Jadoul, Intervieweur . - 2010 . - p.3-35.
Dossier
Langues : Français (fre)
in Antipodes [périodique électronique] > 188 (Mars 2010) . - p.3-35
Mots-clés : Congo Guerre Lutte Maltraitance Résumé : "Floribert Chebeya, militant des droits humains depuis belle lurette au Congo , de passage à Bruxelles, me confiait récemment au sujet du cinquantenaire de l’indépendance du Congo, tellement omniprésent dans les médias : « La population congolaise s’en moque éperdument, elle pense d’abord à sa survie et n’a guère envie de fêter quoi que ce soit… ».
Le présent numéro d’Antipodes, qui laisse largement la parole aux Congolais eux-mêmes, en témoigne à suffisance : la situation aujourd’hui du Congo est … apocalyptique.
Survie, genre, santé, droits de l’enfant… La liste est malheureusement longue de ces atteintes aux droits fondamentaux des Congolais qui n’en finissent pas depuis bien plus longtemps que cinquante ans.
En effet, quitte à s’abreuver de retours en arrière, il n’y a aucune raison de s’arrêter arbitrairement à ce fameux 30 juin. Aux trente ans de dictature, aux années d’une guerre qui n’en finit pas dans bien des endroits du territoire congolais, dans la chaîne des responsabilités, on peut franchement ajouter les décennies de domination coloniale. Que ce soit la cruauté sans nom des premiers colons belges ou encore l’insupportable régime d’apartheid que constituait le Congo avant le 30 juin 1960.
Depuis sa découverte jusqu’à aujourd’hui, le Congo est pillé et laissé ouvert à tous les appétits de ceux qui, sans vergogne, veulent se repaître de ses richesses. C’était même une des conditions pour que les grandes puissances, à Berlin en 1885, laisse Léopold II rafler la mise. Le Congo en paie toujours le prix aujourd’hui."Note de contenu : Cinquante ans après, la population congolaise n'a guère envie de faire la fête (B. Van der Meerschen) / Le pouvoir politique a été octroyé à des concessionnaires locaux (E. Nashi, A. de la Fuente) / On n'est pas orphelin d'avoir perdu son père et sa mère mais d'avoir perdu espoir (P. Tshibanda, A. Fuente) / La priorité de la coopération devrait aller au renforcement de l'État congolais (W. Oyantambwe, A. de la Fuente) / La guerre dans la guerre (A. de la Fuente) / Les sourds au théâtre contre le sida et les violences sexuelles (M. Kabale) / S'il faut filmer au Congo, pourquoi ne pas s'adresser à des cinéastes congolais? (M. Banda, A. de la Fuente) / La longue marche des femmes du Kivu (N. Salufa, A. Ilunga Mujinga, C. Diaz) / Le microscope arrive tous les trois mois (C. Lusenge) / Les femmes se faufilent dans des métiers d'hommes (Y. Polepole) / La lutte contre le recrutement d'enfants soldats dans l'est du Congo (M. Namegabe, V. Jadoul) / Une histoire de sorcellerie (E. Burdot) / Un enfant, ce n'est pas sorcier (E. Van Hove) / Au Lac Edouard, c'est le Cauchemard de Darwin tous les jours (M. Bineta) En ligne : http://www.iteco.be/antipodes/congo-cinquante-ans/ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59915 Exemplaires
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