Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
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Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Exemplaires (1)
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| Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt |
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[article]
| Titre : |
Traitement du pied varus de l’enfant atteint de paralysie cérébrale unilatérale par neurostimulation fibulaire superficielle : étude rétrospective |
| Type de document : |
document graphique à deux dimensions |
| Auteurs : |
P. Garnier ; M. Godde ; J. Meyer-Sauvage ; M. Maréchal |
| Année de publication : |
2024 |
| Article en page(s) : |
p. 50-59 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
Électrothérapie Paralysie cérébrale Paralysie cérébrale, Pied varus, Stimulation électrique transcutanée, Étude rétrospective |
| Résumé : |
Objectif
Évaluer l’efficacité de la neurostimulation fibulaire superficielle pour traiter un varus hypertonique du pied chez l’enfant atteint de paralysie cérébrale unilatérale.
Méthode
Nous avons étudié rétrospectivement un protocole de stimulation électrique transcutanée dans le territoire fibulaire superficiel trois heures par jour pendant trois mois. Les critères de jugement sont la mesure de l’angle de varus maximal en phase oscillante et en phase d’appui, l’angle de supination à l’attaque du pas et à la mi-appui, sur les vidéos de marche avant et après stimulation.
Résultats
Cinq enfants présentant une paralysie cérébrale unilatérale ont été étudiés, âgés en moyenne de huit ans six mois, suivis en moyenne pendant douze mois. Nous avons utilisé sur le plan statistique le test non paramétrique de Wilcoxon pour séries appariées. On observe une diminution significative de l’angle de supination à l’attaque du pas (p=0,042) et de l’angle de varus d’arrière-pied à la mi-appui (p=0,039) un mois après l’arrêt de la stimulation par rapport à avant la stimulation. Les différences sont non significatives pour les angles de supination à la mi-appui et de varus maximal en phase oscillante.
Conclusion
La neurostimulation fibulaire superficielle semble être efficace pour traiter un pied varus chez l’enfant atteint de paralysie cérébrale unilatérale. Cette étude comporte des limites : rétrospective, sur un petit échantillon. Ces résultats encourageants nécessitent d’être confirmés par une étude prospective sur une plus grande population. |
| Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=118356 |
in Motricité cérébrale > Vol.45 N°2 (juin 2024) . - p. 50-59
[article] Traitement du pied varus de l’enfant atteint de paralysie cérébrale unilatérale par neurostimulation fibulaire superficielle : étude rétrospective [document graphique à deux dimensions] / P. Garnier ; M. Godde ; J. Meyer-Sauvage ; M. Maréchal . - 2024 . - p. 50-59. Langues : Français ( fre) in Motricité cérébrale > Vol.45 N°2 (juin 2024) . - p. 50-59
| Mots-clés : |
Électrothérapie Paralysie cérébrale Paralysie cérébrale, Pied varus, Stimulation électrique transcutanée, Étude rétrospective |
| Résumé : |
Objectif
Évaluer l’efficacité de la neurostimulation fibulaire superficielle pour traiter un varus hypertonique du pied chez l’enfant atteint de paralysie cérébrale unilatérale.
Méthode
Nous avons étudié rétrospectivement un protocole de stimulation électrique transcutanée dans le territoire fibulaire superficiel trois heures par jour pendant trois mois. Les critères de jugement sont la mesure de l’angle de varus maximal en phase oscillante et en phase d’appui, l’angle de supination à l’attaque du pas et à la mi-appui, sur les vidéos de marche avant et après stimulation.
Résultats
Cinq enfants présentant une paralysie cérébrale unilatérale ont été étudiés, âgés en moyenne de huit ans six mois, suivis en moyenne pendant douze mois. Nous avons utilisé sur le plan statistique le test non paramétrique de Wilcoxon pour séries appariées. On observe une diminution significative de l’angle de supination à l’attaque du pas (p=0,042) et de l’angle de varus d’arrière-pied à la mi-appui (p=0,039) un mois après l’arrêt de la stimulation par rapport à avant la stimulation. Les différences sont non significatives pour les angles de supination à la mi-appui et de varus maximal en phase oscillante.
Conclusion
La neurostimulation fibulaire superficielle semble être efficace pour traiter un pied varus chez l’enfant atteint de paralysie cérébrale unilatérale. Cette étude comporte des limites : rétrospective, sur un petit échantillon. Ces résultats encourageants nécessitent d’être confirmés par une étude prospective sur une plus grande population. |
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