Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Le Concours Médical . 13Mention de date : 8 septembre 2009 Paru le : 09/09/2009 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierRéduction du risque cardiovasculaire des diabétiques in Le Concours Médical, 13 (8 septembre 2009)
[article]
Titre : Réduction du risque cardiovasculaire des diabétiques : Obligation d'efficience Type de document : texte imprimé Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 484-505 Langues : Français (fre) Mots-clés : DIABETE COMPLICATION MALADIE CARDIOVASCULAIRE Résumé : Malgré les progrès thérapeutiques, l'augmentation de la prévalence du diabète accroît son poids dans la morbidité cardiovasculaire : dans la province de l'Ontario (Canada), entre 1992 et 2000, les diabétiques ont connu une réduction des hospitalisations pour infarctus et AVC égale ou même plus importante que les non-diabétiques ; malgré cela, les évènements cardiovasculaires liés au diabète ont augmenté : infarctus + 45%, AVC + 26%. En France, les registres post-infarctus montrent, entre 1995 et 2005, une amélioration de la survie à six mois des diabétiques similaires à celle des non-diabétiques. Cependant, pendant la même période, le nombre de diabétiques inclus dans ces registres a augmenté de 17 à 24%.
La réduction du risque cardiovasculaire des diabétiques est donc un enjeu majeur de santé publique. La première question que doit se poser tout médecin qui traite un diabétique est : a-t-il un risque cardiovasculaire élevé ? Si la réponse est oui, les deux questions suivantes sont : quelles interventions proposer pour réduire ce risque ? Et avec quelle efficience ?
Ces interventions comprendront à coup sûr la prescription d'une statine quel que soit le taux du LDL-cholestérol, le contrôle struict de la pression artérielle, et la prescription d'aspirine en prévention secondaire. Sans négliger le contrôle de l'hyperglycémie, qui permet une réduction des infarctus non mortels, surtout lorsqu'il est entrepris dès le début du diabète. Et sans oublier l'éducation pour favoriser l'observance et inciter aux changements du mode de vie. Les plans personnalisés de santé élaborés par les réseaux de santé visent à organiser ces différentes interventions.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=16440
in Le Concours Médical > 13 (8 septembre 2009) . - p. 484-505[article] Réduction du risque cardiovasculaire des diabétiques : Obligation d'efficience [texte imprimé] . - 2009 . - p. 484-505.
Langues : Français (fre)
in Le Concours Médical > 13 (8 septembre 2009) . - p. 484-505
Mots-clés : DIABETE COMPLICATION MALADIE CARDIOVASCULAIRE Résumé : Malgré les progrès thérapeutiques, l'augmentation de la prévalence du diabète accroît son poids dans la morbidité cardiovasculaire : dans la province de l'Ontario (Canada), entre 1992 et 2000, les diabétiques ont connu une réduction des hospitalisations pour infarctus et AVC égale ou même plus importante que les non-diabétiques ; malgré cela, les évènements cardiovasculaires liés au diabète ont augmenté : infarctus + 45%, AVC + 26%. En France, les registres post-infarctus montrent, entre 1995 et 2005, une amélioration de la survie à six mois des diabétiques similaires à celle des non-diabétiques. Cependant, pendant la même période, le nombre de diabétiques inclus dans ces registres a augmenté de 17 à 24%.
La réduction du risque cardiovasculaire des diabétiques est donc un enjeu majeur de santé publique. La première question que doit se poser tout médecin qui traite un diabétique est : a-t-il un risque cardiovasculaire élevé ? Si la réponse est oui, les deux questions suivantes sont : quelles interventions proposer pour réduire ce risque ? Et avec quelle efficience ?
Ces interventions comprendront à coup sûr la prescription d'une statine quel que soit le taux du LDL-cholestérol, le contrôle struict de la pression artérielle, et la prescription d'aspirine en prévention secondaire. Sans négliger le contrôle de l'hyperglycémie, qui permet une réduction des infarctus non mortels, surtout lorsqu'il est entrepris dès le début du diabète. Et sans oublier l'éducation pour favoriser l'observance et inciter aux changements du mode de vie. Les plans personnalisés de santé élaborés par les réseaux de santé visent à organiser ces différentes interventions.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=16440 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt