Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur VIGNAUX Laurence |
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Faut-il avoir recours à la ventilation non invasive dans la mucoviscidose ? / VIGNAUX Laurence in Kinéréa, N°37 (juillet 2003)
[article]
Titre : Faut-il avoir recours à la ventilation non invasive dans la mucoviscidose ? Type de document : texte imprimé Auteurs : VIGNAUX Laurence Année de publication : 2003 Article en page(s) : p.83 - 89 Mots-clés : Respiration Kinésithérapie Mucoviscidose Greffe Rééducation respiratoire Résumé : La ventilation non invasive délivre une ventilation mécanique sans utiliser de dispositif intra trachéal. Elle a fait la preuve de son efficacité dans la BPCO, en phase aÏgüe et en phase chronique. Il existe moins de travaux sur la place de la VNI dans la mucoviscidose. Cependant au vu de ces études il apparaît que la VNI a potentiellement une place spécifique dans le traitement de la décompensation respiratoire aÏgüe de ces malades. En phase chronique, elle permet d'améliorer leur vie quotidienne et d'attendre une transplantation pulmonaire. ou de les accompagner en fin de vie dans de meilleures conditions. Elle présente également un intérêt en post opératoire d'une transplantation pulmonaire. Enfin, elle améliore la tolérance à l'effort, et elle constitue un outil intéressant pour le kinésithérapeute. Des travaux supplémentaires sont souhaitables afin de mieux définir ses indications. Un malade coopérant et une équipe entraînée sont indispensables.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54102
in Kinéréa > N°37 (juillet 2003) . - p.83 - 89[article] Faut-il avoir recours à la ventilation non invasive dans la mucoviscidose ? [texte imprimé] / VIGNAUX Laurence . - 2003 . - p.83 - 89.
in Kinéréa > N°37 (juillet 2003) . - p.83 - 89
Mots-clés : Respiration Kinésithérapie Mucoviscidose Greffe Rééducation respiratoire Résumé : La ventilation non invasive délivre une ventilation mécanique sans utiliser de dispositif intra trachéal. Elle a fait la preuve de son efficacité dans la BPCO, en phase aÏgüe et en phase chronique. Il existe moins de travaux sur la place de la VNI dans la mucoviscidose. Cependant au vu de ces études il apparaît que la VNI a potentiellement une place spécifique dans le traitement de la décompensation respiratoire aÏgüe de ces malades. En phase chronique, elle permet d'améliorer leur vie quotidienne et d'attendre une transplantation pulmonaire. ou de les accompagner en fin de vie dans de meilleures conditions. Elle présente également un intérêt en post opératoire d'une transplantation pulmonaire. Enfin, elle améliore la tolérance à l'effort, et elle constitue un outil intéressant pour le kinésithérapeute. Des travaux supplémentaires sont souhaitables afin de mieux définir ses indications. Un malade coopérant et une équipe entraînée sont indispensables.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54102 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtFaut-il un kinésithérapeute en réanimation ? / VIGNAUX Laurence in Kinéréa, N°39 (février 2004)
[article]
Titre : Faut-il un kinésithérapeute en réanimation ? Type de document : texte imprimé Auteurs : VIGNAUX Laurence Année de publication : 2004 Article en page(s) : p.3 - 9 Mots-clés : Réanimation Masseur kinésithérapeute Métier Résumé : L'article 0712-110 du 5 Avril 2002 stipule que : «l'établissement de santé doit être en mesure de faire intervenir en permanence un kinésithérapeute justifiant d'une expérience attestée en réanimation». Cette revue de la littérature se propose de faire le point sur le rôle du kinésithérapeute en réanimation, les techniques qu'il utilise, sa formation et les effectifs rencontrés. Malgré quelques différences entre les pays, les pathologies sont similaires: des patients en défaillance multiviscérale nécessitant une suppléance des fonctions vitales, notamment respiratoire. Les kinésithérapeutes ont des rôles similaires, même si les techniques utilisées varient un peu. Ce rôle leur est spécifique et ne peut être tenu par aucun autre membre de la réanimation. Il prend le malade en charge de façon globale. Il ressort de tous les éléments de la littérature que - sur le plan respiratoire, il améliore le sevrage et permet de réduire la durée de ventilation mécanique, il permet une meilleure prise en charge du patient en ventilation mécanique dont il est souvent le «référent technique», il permet le désencombrement du malade ventilé ou non, il améliore la ventilation (recrutement) et traite avec efficacité les atélectasies. -sur un plan fonctionnel, il gère les articulations lésées et prévient les limitations articulaires, permet un diagnostic et une rééducation précoce des paralysies, limite les séquelles fonctionnelles liées à la réanimation et permet une autonomie plus précoce. Pour ce faire, il doit être formé spécifiquement. Les soins ne pouvant être programmés, il doit être capable d'intervenir à tout moment, mais ceci implique des moyens conséquents en terme de postes pour arriver aux recommandations de l'ESICM: 1 kinésithérapeute pour 12 lits (7 jours sur 7, 365 jours par an).
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54103
in Kinéréa > N°39 (février 2004) . - p.3 - 9[article] Faut-il un kinésithérapeute en réanimation ? [texte imprimé] / VIGNAUX Laurence . - 2004 . - p.3 - 9.
in Kinéréa > N°39 (février 2004) . - p.3 - 9
Mots-clés : Réanimation Masseur kinésithérapeute Métier Résumé : L'article 0712-110 du 5 Avril 2002 stipule que : «l'établissement de santé doit être en mesure de faire intervenir en permanence un kinésithérapeute justifiant d'une expérience attestée en réanimation». Cette revue de la littérature se propose de faire le point sur le rôle du kinésithérapeute en réanimation, les techniques qu'il utilise, sa formation et les effectifs rencontrés. Malgré quelques différences entre les pays, les pathologies sont similaires: des patients en défaillance multiviscérale nécessitant une suppléance des fonctions vitales, notamment respiratoire. Les kinésithérapeutes ont des rôles similaires, même si les techniques utilisées varient un peu. Ce rôle leur est spécifique et ne peut être tenu par aucun autre membre de la réanimation. Il prend le malade en charge de façon globale. Il ressort de tous les éléments de la littérature que - sur le plan respiratoire, il améliore le sevrage et permet de réduire la durée de ventilation mécanique, il permet une meilleure prise en charge du patient en ventilation mécanique dont il est souvent le «référent technique», il permet le désencombrement du malade ventilé ou non, il améliore la ventilation (recrutement) et traite avec efficacité les atélectasies. -sur un plan fonctionnel, il gère les articulations lésées et prévient les limitations articulaires, permet un diagnostic et une rééducation précoce des paralysies, limite les séquelles fonctionnelles liées à la réanimation et permet une autonomie plus précoce. Pour ce faire, il doit être formé spécifiquement. Les soins ne pouvant être programmés, il doit être capable d'intervenir à tout moment, mais ceci implique des moyens conséquents en terme de postes pour arriver aux recommandations de l'ESICM: 1 kinésithérapeute pour 12 lits (7 jours sur 7, 365 jours par an).
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54103 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtVentilation non invasive avec le casque de ventilation / VIGNAUX Laurence in Kinéréa, N°40 (juin 2004)
[article]
Titre : Ventilation non invasive avec le casque de ventilation Type de document : texte imprimé Auteurs : VIGNAUX Laurence Année de publication : 2004 Article en page(s) : p.62 - 64 Mots-clés : Respiration Résumé : La Ventilation Mécanique invasive permet d'améliorer la survie des patients en détresse respiratoire aiguë. Cependant, elle est responsable d'inconfort, de stress, nécessite une sédation, et peut être responsable de lésions trachéales. Elle représente la principale cause de pneumopathie nosocomiale. Chez les patients conscients et coopérants, la ventilation en pression positive à deux niveaux de pression délivrée au moyen d'une interface (Ventilation Non Invasive ou VNI), est un moyen efficace de traiter les patients en détresse respiratoire aiguë, améliorant les échanges gazeux, réduisant le recours à une ventilation mécanique invasive et diminuant la mortalité. Le confort du patient joue un rôle majeur dans le succès de cette thérapeutique, et il dépend en grande partie du choix de l'interface. Le masque nasal est mieux toléré mais le masque facial semble plus indiqué pour les patients en décompensation respiratoire, leur ventilation étant essentiellemant buccale. Malgré l'évolution des masques, une nécrose cutanée est possible dans 7% des cas. La distension gastrique, les fuites, les irritations occulaires, l'inconfort, la claustrophobie, la perte de la relation sont également des conséquences négatives de l'interface faciale, sources d'échec de la VNI. Dans le but d'améliorer la tolérance de la VNI, Conti et Antonelli ont proposé un casque de ventilation transparent permettant au patient de voir, de lire et de parler durant la VNI. Il est mieux toléré, diminue le risque de lésions cutanées et peut être appliqué quelque soit la morphologie du visage du patient. Dans cet exposé nous verrons comment mettre cette interface en place, quels en sont les avantages et les inconvénients, quelle est la durée de la VNI et quels sont ses critères d'arrêt, et quelles indications en découlent. Cette nouvelle interface est une alternative très intéressante au masque facial. Elle permet une ventilation non invasive en pression positive efficace, améliore le confort du malade et sa capacité de communication, et permet une ventilation continue d'une durée supérieure. Cependant, on doit rester vigilant lors de son utilisation et connaître ses particularités. Son coût et l'impossibilité de connaître le volume réellement délivré nous amène à réserver son utilisation à certaines indications.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54180
in Kinéréa > N°40 (juin 2004) . - p.62 - 64[article] Ventilation non invasive avec le casque de ventilation [texte imprimé] / VIGNAUX Laurence . - 2004 . - p.62 - 64.
in Kinéréa > N°40 (juin 2004) . - p.62 - 64
Mots-clés : Respiration Résumé : La Ventilation Mécanique invasive permet d'améliorer la survie des patients en détresse respiratoire aiguë. Cependant, elle est responsable d'inconfort, de stress, nécessite une sédation, et peut être responsable de lésions trachéales. Elle représente la principale cause de pneumopathie nosocomiale. Chez les patients conscients et coopérants, la ventilation en pression positive à deux niveaux de pression délivrée au moyen d'une interface (Ventilation Non Invasive ou VNI), est un moyen efficace de traiter les patients en détresse respiratoire aiguë, améliorant les échanges gazeux, réduisant le recours à une ventilation mécanique invasive et diminuant la mortalité. Le confort du patient joue un rôle majeur dans le succès de cette thérapeutique, et il dépend en grande partie du choix de l'interface. Le masque nasal est mieux toléré mais le masque facial semble plus indiqué pour les patients en décompensation respiratoire, leur ventilation étant essentiellemant buccale. Malgré l'évolution des masques, une nécrose cutanée est possible dans 7% des cas. La distension gastrique, les fuites, les irritations occulaires, l'inconfort, la claustrophobie, la perte de la relation sont également des conséquences négatives de l'interface faciale, sources d'échec de la VNI. Dans le but d'améliorer la tolérance de la VNI, Conti et Antonelli ont proposé un casque de ventilation transparent permettant au patient de voir, de lire et de parler durant la VNI. Il est mieux toléré, diminue le risque de lésions cutanées et peut être appliqué quelque soit la morphologie du visage du patient. Dans cet exposé nous verrons comment mettre cette interface en place, quels en sont les avantages et les inconvénients, quelle est la durée de la VNI et quels sont ses critères d'arrêt, et quelles indications en découlent. Cette nouvelle interface est une alternative très intéressante au masque facial. Elle permet une ventilation non invasive en pression positive efficace, améliore le confort du malade et sa capacité de communication, et permet une ventilation continue d'une durée supérieure. Cependant, on doit rester vigilant lors de son utilisation et connaître ses particularités. Son coût et l'impossibilité de connaître le volume réellement délivré nous amène à réserver son utilisation à certaines indications.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54180 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt