L'hypertonie urétrale, signe des vessies psychogènes ? A propos de huit observations / G. AUDONNET in Annales de réadaptation et de médecine physique, vol. 41/4 (juin 1998)

Public ISBD [article]  inAnnales de réadaptation et de médecine physique > vol. 41/4 (juin 1998) . - p.213 - 215 Titre : L'hypertonie urétrale, signe des vessies psychogènes ? A propos de huit observations Type de document : texte imprimé Auteurs : G. AUDONNET ; ORGET J. ; PICAUD D. ; VIAU F. ; VIGE F. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p.213 - 215 Résumé : Le diagnostic de vessies psychogènes est difficile à poser et implique d'exclure toute pathologie organique et de rattacher les troubles urinaires présentés à des troubles de la personnalité. Dans ce travail, nous présentons huit observations de patientes sans antécédents médicaux, chirurgicaux, médicamenteux, présentant des signes fonctionnels urinaires avec examen urogynécologique normal. Elles avaient toutes une hypertonie urétrale importante lors de la mesure de la pression de clôture urétrale. Elles présentaient un profil anxieux mais ont refusé tout entretien psychologique. Pour expliquer l'hypertonie urétrale, nous nous sommes aidés du modèle mathématique de la miction, et les études sur les neurotransmetteurs semblent intéressantes pour la compréhension de la survenue des troubles urinaires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53060 [article] L'hypertonie urétrale, signe des vessies psychogènes ? A propos de huit observations [texte imprimé] / G. AUDONNET ; ORGET J. ; PICAUD D. ; VIAU F. ; VIGE F. . - 1998 . - p.213 - 215. in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 41/4 (juin 1998) . - p.213 - 215 Résumé : Le diagnostic de vessies psychogènes est difficile à poser et implique d'exclure toute pathologie organique et de rattacher les troubles urinaires présentés à des troubles de la personnalité. Dans ce travail, nous présentons huit observations de patientes sans antécédents médicaux, chirurgicaux, médicamenteux, présentant des signes fonctionnels urinaires avec examen urogynécologique normal. Elles avaient toutes une hypertonie urétrale importante lors de la mesure de la pression de clôture urétrale. Elles présentaient un profil anxieux mais ont refusé tout entretien psychologique. Pour expliquer l'hypertonie urétrale, nous nous sommes aidés du modèle mathématique de la miction, et les études sur les neurotransmetteurs semblent intéressantes pour la compréhension de la survenue des troubles urinaires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53060

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