Étude cystomanométrique de 153 vessies neurologiques hyperactives avant et après test au bromure de prifinium / G. AMARENCO in Annales de réadaptation et de médecine physique, vol. 41/7 (novembre 1998)

Public ISBD [article]  inAnnales de réadaptation et de médecine physique > vol. 41/7 (novembre 1998) . - p.417 - 420 Titre : Étude cystomanométrique de 153 vessies neurologiques hyperactives avant et après test au bromure de prifinium Type de document : texte imprimé Auteurs : G. AMARENCO ; BOSC S. ; Mathilde Chevignard ; LAGAUCHE D. ; LE COCQUEN A. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p.417 - 420 Résumé : Cent cinquante-trois cystomanométries avant et après injection d'anticholinergique intraveineux (bromure de prifinium) ont été réalisées au cours de vessies hyperactives neurologiques. Le test était positif (capacité vésicale de 400 mL sans contraction désinhibée) dans 75 cas. Aucune corrélation n'est mise en évidence entre cette positivité et le sexe, l'âge, l'efficacité per os des anticholinergiques, l'existence de complications uronéphrologiques. Ce type de test pharmacologique ne semble donc pas présenter, avec ce type d'évaluation cystomanométrique, d'intérêt diagnostique, pronostique et ou thérapeutique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53044 [article] Étude cystomanométrique de 153 vessies neurologiques hyperactives avant et après test au bromure de prifinium [texte imprimé] / G. AMARENCO ; BOSC S. ; Mathilde Chevignard ; LAGAUCHE D. ; LE COCQUEN A. . - 1998 . - p.417 - 420. in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 41/7 (novembre 1998) . - p.417 - 420 Résumé : Cent cinquante-trois cystomanométries avant et après injection d'anticholinergique intraveineux (bromure de prifinium) ont été réalisées au cours de vessies hyperactives neurologiques. Le test était positif (capacité vésicale de 400 mL sans contraction désinhibée) dans 75 cas. Aucune corrélation n'est mise en évidence entre cette positivité et le sexe, l'âge, l'efficacité per os des anticholinergiques, l'existence de complications uronéphrologiques. Ce type de test pharmacologique ne semble donc pas présenter, avec ce type d'évaluation cystomanométrique, d'intérêt diagnostique, pronostique et ou thérapeutique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53044

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ETUDE DE L'EFFICACITE DES TRAITEMENTS DES TROUBLES VESICOSPHINCERIENS DE LA SCLEROSE EN PLAQUES. A PROPOS DE 150 CAS / G. AMARENCO in Annales de réadaptation et de médecine physique, vol. 39/3 (1996)

Public ISBD [article]  inAnnales de réadaptation et de médecine physique > vol. 39/3 (1996) . - p.179 - 182 Titre : ETUDE DE L'EFFICACITE DES TRAITEMENTS DES TROUBLES VESICOSPHINCERIENS DE LA SCLEROSE EN PLAQUES. A PROPOS DE 150 CAS Type de document : texte imprimé Auteurs : G. AMARENCO ; BOITEAU F. ; BOSC S. ; PERRIGOT M. Année de publication : 1996 Article en page(s) : p.179 - 182 Résumé : Cent cinquante scléroses en plaques (93 femmes, 57 hommes) d'âge moyen 47 ans, sont étudiées rétrospectivement sur les plans cliniques, urodynamique et électrophysiologique afin de déterminer l'efficacité des traitements médicaux des troubles vésicosphinctériens. L'incontinence urinaire par l'impériosité était le symptôme principal (66 %) suivi de la dysurie (10 %), de la rétention chronique (9 %) et de la pollakiurie (15 %). L'exploration urodynamique a mis en évidence une hyperactivité vésicale dans 70 % des cas et une hypoactivité dans 7 %. La synergie vésicosphinctérienne était altérée dans 86 % des cas. Les anticholinergiques (119 fois) étaient totalement efficaces dans 53 %, partiellement 41 % et non efficaces dans 6 %. Un échappement était noté dans 48 % des cas. Les alphabloquants (totalement efficaces dans 28 %, partiellement 34 % et non efficaces dans 38 % des cas) ont un taux d'échappement de 61 % nécessitant la réalisation d'autosondages ou d'hétérosondages intermittents. Les anticholinergiques sont ainsi régulièrement très efficaces (94 %) dans le traitement des mictions impérieuses avec ou sans fuites observées au cours des scléroses en plaques. La résistance progressive non négligeable (26 %) à ce type de traitement représente une indication chirurgicale potentielle mais rarement réalisée en raison de l'état général des patients. Si les alphabloquants améliorent moins souvent les troubles (62 %) et sont rapidement inefficaces (52 %), ils sont plus facilement suppléés par la réalisation d'auto ou d'hétérosondages. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53147 [article] ETUDE DE L'EFFICACITE DES TRAITEMENTS DES TROUBLES VESICOSPHINCERIENS DE LA SCLEROSE EN PLAQUES. A PROPOS DE 150 CAS [texte imprimé] / G. AMARENCO ; BOITEAU F. ; BOSC S. ; PERRIGOT M. . - 1996 . - p.179 - 182. in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 39/3 (1996) . - p.179 - 182 Résumé : Cent cinquante scléroses en plaques (93 femmes, 57 hommes) d'âge moyen 47 ans, sont étudiées rétrospectivement sur les plans cliniques, urodynamique et électrophysiologique afin de déterminer l'efficacité des traitements médicaux des troubles vésicosphinctériens. L'incontinence urinaire par l'impériosité était le symptôme principal (66 %) suivi de la dysurie (10 %), de la rétention chronique (9 %) et de la pollakiurie (15 %). L'exploration urodynamique a mis en évidence une hyperactivité vésicale dans 70 % des cas et une hypoactivité dans 7 %. La synergie vésicosphinctérienne était altérée dans 86 % des cas. Les anticholinergiques (119 fois) étaient totalement efficaces dans 53 %, partiellement 41 % et non efficaces dans 6 %. Un échappement était noté dans 48 % des cas. Les alphabloquants (totalement efficaces dans 28 %, partiellement 34 % et non efficaces dans 38 % des cas) ont un taux d'échappement de 61 % nécessitant la réalisation d'autosondages ou d'hétérosondages intermittents. Les anticholinergiques sont ainsi régulièrement très efficaces (94 %) dans le traitement des mictions impérieuses avec ou sans fuites observées au cours des scléroses en plaques. La résistance progressive non négligeable (26 %) à ce type de traitement représente une indication chirurgicale potentielle mais rarement réalisée en raison de l'état général des patients. Si les alphabloquants améliorent moins souvent les troubles (62 %) et sont rapidement inefficaces (52 %), ils sont plus facilement suppléés par la réalisation d'auto ou d'hétérosondages. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53147

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EVOLUTION CLINIQUE ET URODYNAMIQUE DES TROUBLES VESICOSPHINCTERIENS DES SYNDROMES DE LA QUEUE DE CHEVAL / G. AMARENCO in Annales de réadaptation et de médecine physique, vol. 39/5 (1996)

Public ISBD [article]  inAnnales de réadaptation et de médecine physique > vol. 39/5 (1996) . - p.291 - 295 Titre : EVOLUTION CLINIQUE ET URODYNAMIQUE DES TROUBLES VESICOSPHINCTERIENS DES SYNDROMES DE LA QUEUE DE CHEVAL Type de document : texte imprimé Auteurs : G. AMARENCO ; BOSC S. ; VUALA C. Année de publication : 1996 Article en page(s) : p.291 - 295 Résumé : L'évolution clinique, urodynamique et neurophysiologique des troubles vésicosphinctériens de 26 syndromes de la queue de cheval (13 par hernie discale, 13 par fracture L1) est présentée. Le tableau initial est caractérisé par une dysurie (6) ou une rétention urinaire (20) secondaire à une hypoactivité vésicale (24 26), associée à un trouble de la compliance dans quatre cas. Les explorations électrophysiologiques périnéales confirment dans tous les cas l'atteinte à l'étage sacré avec dénervation à l'examen de détection, augmentation de la latence sacrée (24 26) et des potentiels évoqués cérébraux (10 16). L'évolution clinique est marquée par la persistance des troubles dans dix cas et la disparition de la rétention dans 16 cas. Parallèlement et en 18 mois en moyenne, l'activité du détrusor se normalise dans un cas, reste identique dans 18 cas (deux normales, 16 hypoactives), alors que sept fois apparaît une hyperactivité vésicale. Au-delà de 2 ans, l'apparition d'une hyperactivité ne constitue pas un mode de récupération de la fonction vésicale, mais traduit une complication urologique associée (obstruction sous cervicale). Dans trois cas, la survenue tardive (21, 26 et 38 mois) d'un défaut de compliance, facteur péjoratif quant à l'avenir uronéphrologique, suggère l'intérêt d'explorations urodynamiques de contrôle répétées tout au long de l'évolution des syndromes de la queue de cheval. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53162 [article] EVOLUTION CLINIQUE ET URODYNAMIQUE DES TROUBLES VESICOSPHINCTERIENS DES SYNDROMES DE LA QUEUE DE CHEVAL [texte imprimé] / G. AMARENCO ; BOSC S. ; VUALA C. . - 1996 . - p.291 - 295. in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 39/5 (1996) . - p.291 - 295 Résumé : L'évolution clinique, urodynamique et neurophysiologique des troubles vésicosphinctériens de 26 syndromes de la queue de cheval (13 par hernie discale, 13 par fracture L1) est présentée. Le tableau initial est caractérisé par une dysurie (6) ou une rétention urinaire (20) secondaire à une hypoactivité vésicale (24 26), associée à un trouble de la compliance dans quatre cas. Les explorations électrophysiologiques périnéales confirment dans tous les cas l'atteinte à l'étage sacré avec dénervation à l'examen de détection, augmentation de la latence sacrée (24 26) et des potentiels évoqués cérébraux (10 16). L'évolution clinique est marquée par la persistance des troubles dans dix cas et la disparition de la rétention dans 16 cas. Parallèlement et en 18 mois en moyenne, l'activité du détrusor se normalise dans un cas, reste identique dans 18 cas (deux normales, 16 hypoactives), alors que sept fois apparaît une hyperactivité vésicale. Au-delà de 2 ans, l'apparition d'une hyperactivité ne constitue pas un mode de récupération de la fonction vésicale, mais traduit une complication urologique associée (obstruction sous cervicale). Dans trois cas, la survenue tardive (21, 26 et 38 mois) d'un défaut de compliance, facteur péjoratif quant à l'avenir uronéphrologique, suggère l'intérêt d'explorations urodynamiques de contrôle répétées tout au long de l'évolution des syndromes de la queue de cheval. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53162

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La neuropathie pénienne. Etude de 186 cas / G. AMARENCO in Annales de réadaptation et de médecine physique, vol. 42/1 (janvier 1999)

Public ISBD [article]  inAnnales de réadaptation et de médecine physique > vol. 42/1 (janvier 1999) . - p.29 - 32 Titre : La neuropathie pénienne. Etude de 186 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : G. AMARENCO ; BOSC S. ; LE COCQUEN A. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p.29 - 32 Résumé : Définition: La neuropathie pénienne est définie par l'atteinte du nerf dorsal de la verge, branche sensitive du nerf pudendal. Sa symptomatologie est caractérisée par une dysérection et ou une hypoesthésie ou des paresthésies péniennes. Diagnostic: Son diagnostic repose sur les tests électrophysiologiques avec altération de la vitesse de conduction sensitive du nerf dorsal de la verge ou abolition du potentiel sensitif. Étiologies: Elles sont multiples, dominées par le diabète. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53067 [article] La neuropathie pénienne. Etude de 186 cas [texte imprimé] / G. AMARENCO ; BOSC S. ; LE COCQUEN A. . - 1999 . - p.29 - 32. in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 42/1 (janvier 1999) . - p.29 - 32 Résumé : Définition: La neuropathie pénienne est définie par l'atteinte du nerf dorsal de la verge, branche sensitive du nerf pudendal. Sa symptomatologie est caractérisée par une dysérection et ou une hypoesthésie ou des paresthésies péniennes. Diagnostic: Son diagnostic repose sur les tests électrophysiologiques avec altération de la vitesse de conduction sensitive du nerf dorsal de la verge ou abolition du potentiel sensitif. Étiologies: Elles sont multiples, dominées par le diabète. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53067

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Traitement des névralgies périnéales par atteinte du nerf pudendal (syndrome du canal d'Alcock). A propos de 94 cas / G. AMARENCO in Annales de réadaptation et de médecine physique, vol. 42/8 (novembre 1999)

Public ISBD [article]  inAnnales de réadaptation et de médecine physique > vol. 42/8 (novembre 1999) . - p.510 - 514 Titre : Traitement des névralgies périnéales par atteinte du nerf pudendal (syndrome du canal d'Alcock). A propos de 94 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : G. AMARENCO ; BOSC S. ; LE COCQUEN A. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p.510 - 514 Résumé : Introduction : La compression chronique du nerf pudendal dans la fossette ischiorectale (syndrome du canal d'Alcock) est responsable d'une névralgie périnéale. Matériel et méthode: Nous présentons les résultats des différents traitements effectués sur 94 patients (69 femmes et 25 hommes d'âge moyen 60,9 ans) et suivis avec un recul d'au moins un an. Résultats: Les infiltrations scanoguidées de corticoïdes dans la fossette ischiorectale ne sont efficaces que dans un tiers des cas avec une récidive dans 88 %. Les infiltrations sous repérage radioscopique du nerf à l'épine ischiatique sont plus efficaces d'emblée (70 % de bons résultats) mais ne le restent à un an que dans 17 %. La neurolyse chirurgicale proposée 18 fois supprime totalement les douleurs cinq fois et toutes techniques confondues (infiltrations, neurostimulation, médicaments analgésiques, chirurgie), les patients sont améliorés dans 65 % des cas, 17 % totalement, 48 % partiellement. Discussion et conclusion: Ces résultats justifient un diagnostic précoce aidé par les explorations électrophysiologiques périnéales et une prise en charge pluridisciplinaire, médicochirurgicale, des névralgies périnéales. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53115 [article] Traitement des névralgies périnéales par atteinte du nerf pudendal (syndrome du canal d'Alcock). A propos de 94 cas [texte imprimé] / G. AMARENCO ; BOSC S. ; LE COCQUEN A. . - 1999 . - p.510 - 514. in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 42/8 (novembre 1999) . - p.510 - 514 Résumé : Introduction : La compression chronique du nerf pudendal dans la fossette ischiorectale (syndrome du canal d'Alcock) est responsable d'une névralgie périnéale. Matériel et méthode: Nous présentons les résultats des différents traitements effectués sur 94 patients (69 femmes et 25 hommes d'âge moyen 60,9 ans) et suivis avec un recul d'au moins un an. Résultats: Les infiltrations scanoguidées de corticoïdes dans la fossette ischiorectale ne sont efficaces que dans un tiers des cas avec une récidive dans 88 %. Les infiltrations sous repérage radioscopique du nerf à l'épine ischiatique sont plus efficaces d'emblée (70 % de bons résultats) mais ne le restent à un an que dans 17 %. La neurolyse chirurgicale proposée 18 fois supprime totalement les douleurs cinq fois et toutes techniques confondues (infiltrations, neurostimulation, médicaments analgésiques, chirurgie), les patients sont améliorés dans 65 % des cas, 17 % totalement, 48 % partiellement. Discussion et conclusion: Ces résultats justifient un diagnostic précoce aidé par les explorations électrophysiologiques périnéales et une prise en charge pluridisciplinaire, médicochirurgicale, des névralgies périnéales. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=53115

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