[article] 
inCanadian Journal of Occupational Therapy > 82(3) (Juin 2015) . - p. 181-193

Titre :	Assessment practices of Canadian occupational therapists working with adults with mental disorders
Titre original :	Les pratiques d’évaluation des ergothérapeutes canadiens travaillant auprès d’adultes atteints de troubles mentaux
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Suzanne Rouleau, Auteur ; Karyne Dion, Auteur ; Nicol Korner-Bitensky, Auteur
Année de publication :	2015
Article en page(s) :	p. 181-193
Langues :	Anglais (eng)
Mots-clés :	Schizophrénie  Ergothérapie  Etat dépressif  EvaluationAssessment  Depressive disorder  Mental health  occupational therapy  Schizophrenia
Résumé :	Description. Nous connaissons très peu les pratiques d’évaluation des ergothérapeutes travaillant auprès des adultes atteints de troubles mentaux. But. Cette étude analyse les pratiques d’évaluation de cliniciens travaillant auprès des clients qui éprouvent des symptômes reliés à la schizophrénie ou qui souffrent de troubles dépressifs majeurs. Méthdologie. Nous avons mené une enquête nationale sur les pratiques d’évaluation à l’aide de vignettes illustrant des cas fictifs. Résultats. À partir de 343 vignettes complétées par 286 répondants, 68.4 % d'entre eux se sont servis d'un ou de plusieurs outils de mesures standardisés durant le traitement. Les outils de mesures étaient rarement répétés. Les résultats ont montré que la Mesure canadienne du rendement occupationnel était l'outil le plus fréquemment utilisé, donnant à penser que l'accent portait sur l’évaluation globale du fonctionnement, alors que l’Évaluation des habiletés motrices et opératoires (Assessment of Motor and Process Skills) figurait comme étant l'évaluation à privilégier dans un monde idéal. La mise en place d’évaluations non standardisées était chose courante. Conséquences. En dépit d’une grande diversité de pratiques d’évaluation chez les ergothérapeutes, l'utilisation d’évaluations standardisées prédomine. Le faible taux d'utilisation de mesures répétées (entre 0 % et 25.9 %) semble indiquer le besoin de mieux surveiller les changements et les résultats des traitements.
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[article] Assessment practices of Canadian occupational therapists working with adults with mental disorders = Les pratiques d’évaluation des ergothérapeutes canadiens travaillant auprès d’adultes atteints de troubles mentaux [texte imprimé] / Suzanne Rouleau, Auteur ; Karyne Dion, Auteur ; Nicol Korner-Bitensky, Auteur . - 2015 . - p. 181-193.
Langues : Anglais (eng)
in Canadian Journal of Occupational Therapy > 82(3) (Juin 2015) . - p. 181-193

Mots-clés :	Schizophrénie  Ergothérapie  Etat dépressif  EvaluationAssessment  Depressive disorder  Mental health  occupational therapy  Schizophrenia
Résumé :	Description. Nous connaissons très peu les pratiques d’évaluation des ergothérapeutes travaillant auprès des adultes atteints de troubles mentaux. But. Cette étude analyse les pratiques d’évaluation de cliniciens travaillant auprès des clients qui éprouvent des symptômes reliés à la schizophrénie ou qui souffrent de troubles dépressifs majeurs. Méthdologie. Nous avons mené une enquête nationale sur les pratiques d’évaluation à l’aide de vignettes illustrant des cas fictifs. Résultats. À partir de 343 vignettes complétées par 286 répondants, 68.4 % d'entre eux se sont servis d'un ou de plusieurs outils de mesures standardisés durant le traitement. Les outils de mesures étaient rarement répétés. Les résultats ont montré que la Mesure canadienne du rendement occupationnel était l'outil le plus fréquemment utilisé, donnant à penser que l'accent portait sur l’évaluation globale du fonctionnement, alors que l’Évaluation des habiletés motrices et opératoires (Assessment of Motor and Process Skills) figurait comme étant l'évaluation à privilégier dans un monde idéal. La mise en place d’évaluations non standardisées était chose courante. Conséquences. En dépit d’une grande diversité de pratiques d’évaluation chez les ergothérapeutes, l'utilisation d’évaluations standardisées prédomine. Le faible taux d'utilisation de mesures répétées (entre 0 % et 25.9 %) semble indiquer le besoin de mieux surveiller les changements et les résultats des traitements.
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