Dépouillements

Intérêt du shiatsu chez des patients cancéreux traités par chimiothérapie / Dominique CHEVALIER in Kinésithérapie, la revue, 62 (février 2007)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 62 (février 2007) . - 27-31 p. Titre : Intérêt du shiatsu chez des patients cancéreux traités par chimiothérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique CHEVALIER, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 27-31 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Massage  Relaxation  Cancer  Chimiothérapie Résumé : Le shiatsu, véritable médecine au Japon, est considéré comme une technique de « bien-être » en Occident. Il consiste en des pressions, étirements et mobilisations des différentes parties du corps, afin d’équilibrer tout le système énergétique. Outre un effet très positif sur la détente générale, il peut avoir une action plus thérapeutique. C’est à ce titre que cette technique manuelle est présentée dans cet article. L’étude précitée révèle une diminution significative des effets secondaires, chez un groupe de patients atteints de cancer et traités par une chimiothérapie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15081 [article] Intérêt du shiatsu chez des patients cancéreux traités par chimiothérapie [texte imprimé] / Dominique CHEVALIER, Auteur . - 2007 . - 27-31 p. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 62 (février 2007) . - 27-31 p. Mots-clés : Massage  Relaxation  Cancer  Chimiothérapie Résumé : Le shiatsu, véritable médecine au Japon, est considéré comme une technique de « bien-être » en Occident. Il consiste en des pressions, étirements et mobilisations des différentes parties du corps, afin d’équilibrer tout le système énergétique. Outre un effet très positif sur la détente générale, il peut avoir une action plus thérapeutique. C’est à ce titre que cette technique manuelle est présentée dans cet article. L’étude précitée révèle une diminution significative des effets secondaires, chez un groupe de patients atteints de cancer et traités par une chimiothérapie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15081

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Lymphœdème du membre supérieur après cancer du sein – Une pyramide kinésithérapique / Jean-Claude Ferrandez in Kinésithérapie, la revue, 62 (février 2007)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 62 (février 2007) . - 32-42 p. Titre : Lymphœdème du membre supérieur après cancer du sein – Une pyramide kinésithérapique : Serge Theys[1],, Daniel Duez[3], Cécile Richaud[4], Jean-Yves Richaud[5 Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Ferrandez, Auteur ; Serge Theys, Auteur ; Cécile Richaud ; DUEZ Daniel, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 32-42 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Oedème  Kinésithérapie  Drainage  Sein  Cancer  Lymphoedème Résumé : Le traitement du cancer du sein est rarement sans suites sur le drainage lymphatique du membre supérieur homolatéral. Il résulte encore trop souvent du développement d’un œdème chronique. Dans beaucoup de cas, la kinésithérapie de proximité doit pouvoir suffire. Elle cherche à récupérer un volume le plus proche de l’initial. Divers protocoles peuvent être présentés mais tous associent différentes techniques. Le choix doit répondre à deux impératifs : rester indolore, ne pas majorer le déficit lymphatique (hyperémie réactionnelle, garrots, détérioration du potentiel lymphatique restant). Une révision du protocole doit être régulièrement effectuée en fonction de l’évolution. Si la décongestion se maintient, un auto-drainage (manuel et/ou pneumatique) est poursuivi régulièrement et les séances de kinésithérapie sont espacées. Une révision du protocole est à assurer si l’effet reste insuffisant ; un transfert est réalisé vers un centre si l’œdème est résistant au traitement de base et qu’aucune amélioration n’est obtenue. En cas d’épisode de lymphangite ou d’érysipèle, la kinésithérapie est suspendue. Enfin, si l’œdème est d’apparition brutale, s’il est accompagné de signes particuliers, s’il amplifie la situation antérieure ou s’il récidive sans explication, une consultation médicale s’impose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15142 [article] Lymphœdème du membre supérieur après cancer du sein – Une pyramide kinésithérapique : Serge Theys[1],, Daniel Duez[3], Cécile Richaud[4], Jean-Yves Richaud[5 [texte imprimé] / Jean-Claude Ferrandez, Auteur ; Serge Theys, Auteur ; Cécile Richaud ; DUEZ Daniel, Auteur . - 2007 . - 32-42 p. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 62 (février 2007) . - 32-42 p. Mots-clés : Oedème  Kinésithérapie  Drainage  Sein  Cancer  Lymphoedème Résumé : Le traitement du cancer du sein est rarement sans suites sur le drainage lymphatique du membre supérieur homolatéral. Il résulte encore trop souvent du développement d’un œdème chronique. Dans beaucoup de cas, la kinésithérapie de proximité doit pouvoir suffire. Elle cherche à récupérer un volume le plus proche de l’initial. Divers protocoles peuvent être présentés mais tous associent différentes techniques. Le choix doit répondre à deux impératifs : rester indolore, ne pas majorer le déficit lymphatique (hyperémie réactionnelle, garrots, détérioration du potentiel lymphatique restant). Une révision du protocole doit être régulièrement effectuée en fonction de l’évolution. Si la décongestion se maintient, un auto-drainage (manuel et/ou pneumatique) est poursuivi régulièrement et les séances de kinésithérapie sont espacées. Une révision du protocole est à assurer si l’effet reste insuffisant ; un transfert est réalisé vers un centre si l’œdème est résistant au traitement de base et qu’aucune amélioration n’est obtenue. En cas d’épisode de lymphangite ou d’érysipèle, la kinésithérapie est suspendue. Enfin, si l’œdème est d’apparition brutale, s’il est accompagné de signes particuliers, s’il amplifie la situation antérieure ou s’il récidive sans explication, une consultation médicale s’impose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15142

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Regard critique sur la pratique kinésithérapique / TRUDELLE Pierre in Kinésithérapie, la revue, 62 (février 2007)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 62 (février 2007) . - 13-26 p. Titre : Regard critique sur la pratique kinésithérapique Type de document : texte imprimé Auteurs : TRUDELLE Pierre, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 13-26 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Pratique professionnelle  Evaluation  Rachis  Accident cérébrovasculaire  Rachis cervical Résumé : Voici la seconde partie de notre enquête sur l’évaluation des pratiques professionnelles (EPP). Dans le numéro de novembre 2006 (numéro 59), nous avions présenté les résultats du ressenti des kinésithérapeutes face à l’EPP, ainsi que des propositions pour les kinésithérapeutes. Dans ce numéro, nous allons concrètement montrer quelques exemples de moyens utilisés pour évaluer sa pratique et mettre en place un « plan d’amélioration ». Ces termes « plan d’amélioration » sont utilisés à plusieurs reprises dans la revue ! Ce n’est pas une chasse aux trésors pour chercher à les retrouver, mais une volonté de mettre en avant cette manière de s’organiser pour rendre explicite la manière dont nous nous formons et nous réactualisons nos connaissances, pratiques et théoriques. Nous devons essayer de faire apparaître, de rendre explicite la manière dont nous procédons pour rester « à jour ». Si nous regardons en Grande-Bretagne, l’association britannique des kinésithérapeutes parle de « développement professionnel continue » et propose un « portfolio », une sorte de classeur pour ranger et classer les formations effectuées, les protocoles et méthodes de kinésithérapie utilisées, les articles de références et l’agenda mis en place pour sa formation continue. Ces éléments sont structurés et cohérents pour mettre en avant son « développement personnel et professionnel » (http://www.csp.org.uk/director/careersandlearning/continuingprofessionaldevelopment.cfm). Nous allons probablement tendre vers quelque chose de similaire pour rendre la formation continue plus pertinente et efficace chez nous. L’EPP est donc dans les mains des professionnels formateurs et des praticiens. À nous de savoir ce que nous voulons. Définition de l’évaluation des pratiques professionnelles : L’EPP est « l’analyse de la pratique professionnelle en référence à des recommandations et selon une méthode élaborée ou validée par la HAS, et incluant la mise en œuvre et le suivi d’actions d’amélioration des pratiques » (réf : décret 2005-346 du 14 avril 2005 relatif à l’EPP). Il s’agit donc d’une démarche structurée et explicite associant l’utilisation de références scientifiques validées et une méthode d’amélioration de la qualité des soins. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15200 [article] Regard critique sur la pratique kinésithérapique [texte imprimé] / TRUDELLE Pierre, Auteur . - 2007 . - 13-26 p. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 62 (février 2007) . - 13-26 p. Mots-clés : Pratique professionnelle  Evaluation  Rachis  Accident cérébrovasculaire  Rachis cervical Résumé : Voici la seconde partie de notre enquête sur l’évaluation des pratiques professionnelles (EPP). Dans le numéro de novembre 2006 (numéro 59), nous avions présenté les résultats du ressenti des kinésithérapeutes face à l’EPP, ainsi que des propositions pour les kinésithérapeutes. Dans ce numéro, nous allons concrètement montrer quelques exemples de moyens utilisés pour évaluer sa pratique et mettre en place un « plan d’amélioration ». Ces termes « plan d’amélioration » sont utilisés à plusieurs reprises dans la revue ! Ce n’est pas une chasse aux trésors pour chercher à les retrouver, mais une volonté de mettre en avant cette manière de s’organiser pour rendre explicite la manière dont nous nous formons et nous réactualisons nos connaissances, pratiques et théoriques. Nous devons essayer de faire apparaître, de rendre explicite la manière dont nous procédons pour rester « à jour ». Si nous regardons en Grande-Bretagne, l’association britannique des kinésithérapeutes parle de « développement professionnel continue » et propose un « portfolio », une sorte de classeur pour ranger et classer les formations effectuées, les protocoles et méthodes de kinésithérapie utilisées, les articles de références et l’agenda mis en place pour sa formation continue. Ces éléments sont structurés et cohérents pour mettre en avant son « développement personnel et professionnel » (http://www.csp.org.uk/director/careersandlearning/continuingprofessionaldevelopment.cfm). Nous allons probablement tendre vers quelque chose de similaire pour rendre la formation continue plus pertinente et efficace chez nous. L’EPP est donc dans les mains des professionnels formateurs et des praticiens. À nous de savoir ce que nous voulons. Définition de l’évaluation des pratiques professionnelles : L’EPP est « l’analyse de la pratique professionnelle en référence à des recommandations et selon une méthode élaborée ou validée par la HAS, et incluant la mise en œuvre et le suivi d’actions d’amélioration des pratiques » (réf : décret 2005-346 du 14 avril 2005 relatif à l’EPP). Il s’agit donc d’une démarche structurée et explicite associant l’utilisation de références scientifiques validées et une méthode d’amélioration de la qualité des soins. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15200

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