Dépouillements

Aide à la compréhension de l’anglais / TRUDELLE Pierre in Kinésithérapie, la revue, 91 (juillet 2009)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 91 (juillet 2009) Titre : Aide à la compréhension de l’anglais : exemple d’un éditorial sur les ligaments Type de document : texte imprimé Auteurs : TRUDELLE Pierre, Traducteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : Langue étrangère Résumé : Depuis 2006, tous les mois de juillet, nous avons sélectionné une partie d’un texte écrit en anglais d’une revue de kinésithérapie. Notre objectif est de vous familiariser avec le vocabulaire de la profession et d’essayer de vous aider à le développer. Vous trouverez en encadré la traduction de certains mots pour vous aider à comprendre le sens du texte. N’oubliez pas que comprendre un texte dans une autre langue s’effectue de manière globale et non mot à mot. Bonne lecture ! Le texte sélectionné est un éditorial intitulé : Ligaments and positional release techniques ? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15009 [article] Aide à la compréhension de l’anglais : exemple d’un éditorial sur les ligaments [texte imprimé] / TRUDELLE Pierre, Traducteur . - 2009. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 91 (juillet 2009) Mots-clés : Langue étrangère Résumé : Depuis 2006, tous les mois de juillet, nous avons sélectionné une partie d’un texte écrit en anglais d’une revue de kinésithérapie. Notre objectif est de vous familiariser avec le vocabulaire de la profession et d’essayer de vous aider à le développer. Vous trouverez en encadré la traduction de certains mots pour vous aider à comprendre le sens du texte. N’oubliez pas que comprendre un texte dans une autre langue s’effectue de manière globale et non mot à mot. Bonne lecture ! Le texte sélectionné est un éditorial intitulé : Ligaments and positional release techniques ? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15009

Exemplaires (1)

Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
Revue	Revue	Centre de Documentation HELHa Campus Montignies	Réserve	Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt

Analyse de la posture cervicale / Patrick Fransoo in Kinésithérapie, la revue, 91 (juillet 2009)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 91 (juillet 2009) . - p. 58-62 Titre : Analyse de la posture cervicale Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Fransoo ; Hélène FOURNIER ; Maxime HENON Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 58-62 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rachis  Rachis cervical  Posture  Evaluation Résumé : Introduction : Nous tentons de répondre à diverses questions ayant trait à la posture cervicale. Y a-t-il une différence de posture de profil chez des sujets sains et cervicalgiques ? Quelle est l’incidence d’un renforcement spécifique sur la posture cervicale ? Quelle est l’influence de la posture cervicale sur l’erreur moyenne de repositionnement ? Une relation existe-t-elle entre une amélioration de la stabilisation lombaire et la posture cervicale ? Matériel : Un total de 117 sujets sains et 55 cervicalgiques ont participé à 3 expérimentations. Résultats : Les sujets sains ont en moyenne un angle cranio- cervical de 47,1°, et les cervicalgiques de 44,1°. Les cervicalgiques voient une augmentation significative de l’angle cranio-cervical de 6° en moyenne (p = 0,0004) en faveur d’un meilleur redressement de tête après renforcement spécifiques des muscles stabilisateurs cervicaux. L’erreur globale moyenne de repositionnement est de 2,5° dans le groupe sain, et de 6,6° dans le groupe cervicalgique. Chez les cervicalgiques, l’erreur moyenne de repositionnement est plus élevée chez les sujets ayant une posture « anormale » pour chacun des mouvements. Si l’on inclut des exercices de stabilisation lombaire, nous observons une amélioration significative de l’angle cranio-cervical de 9,2°. Le coefficient de corrélation (r = 0,37) montre qu’une relation passable existe entre une faible capacité stabilisatrice du muscle transverse (mesuré à l’aide d’un manomètre de pression) et un angle cranio-cervical plus petit. Conclusion : Le calcul de l’angle cranio-cervical mesurant la posture cervicale montre que des cervicalgiques ont un port de tête plus en avant. Cette posture peut être améliorée par des exercices de stabilisation cervicale et lombaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15010 [article] Analyse de la posture cervicale [texte imprimé] / Patrick Fransoo ; Hélène FOURNIER ; Maxime HENON . - 2009 . - p. 58-62. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 91 (juillet 2009) . - p. 58-62 Mots-clés : Rachis  Rachis cervical  Posture  Evaluation Résumé : Introduction : Nous tentons de répondre à diverses questions ayant trait à la posture cervicale. Y a-t-il une différence de posture de profil chez des sujets sains et cervicalgiques ? Quelle est l’incidence d’un renforcement spécifique sur la posture cervicale ? Quelle est l’influence de la posture cervicale sur l’erreur moyenne de repositionnement ? Une relation existe-t-elle entre une amélioration de la stabilisation lombaire et la posture cervicale ? Matériel : Un total de 117 sujets sains et 55 cervicalgiques ont participé à 3 expérimentations. Résultats : Les sujets sains ont en moyenne un angle cranio- cervical de 47,1°, et les cervicalgiques de 44,1°. Les cervicalgiques voient une augmentation significative de l’angle cranio-cervical de 6° en moyenne (p = 0,0004) en faveur d’un meilleur redressement de tête après renforcement spécifiques des muscles stabilisateurs cervicaux. L’erreur globale moyenne de repositionnement est de 2,5° dans le groupe sain, et de 6,6° dans le groupe cervicalgique. Chez les cervicalgiques, l’erreur moyenne de repositionnement est plus élevée chez les sujets ayant une posture « anormale » pour chacun des mouvements. Si l’on inclut des exercices de stabilisation lombaire, nous observons une amélioration significative de l’angle cranio-cervical de 9,2°. Le coefficient de corrélation (r = 0,37) montre qu’une relation passable existe entre une faible capacité stabilisatrice du muscle transverse (mesuré à l’aide d’un manomètre de pression) et un angle cranio-cervical plus petit. Conclusion : Le calcul de l’angle cranio-cervical mesurant la posture cervicale montre que des cervicalgiques ont un port de tête plus en avant. Cette posture peut être améliorée par des exercices de stabilisation cervicale et lombaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15010

Exemplaires (1)

Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
Revue	Revue	Centre de Documentation HELHa Campus Montignies	Réserve	Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt

La pratique fondée sur les résultats probants en physiothérapie / Patricia ANTHAMATTEN BUCHARD in Kinésithérapie, la revue, 91 (juillet 2009)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 91 (juillet 2009) . - p. 50-57 Titre : La pratique fondée sur les résultats probants en physiothérapie : Position des physiothérapeutes valaisans francophones Type de document : texte imprimé Auteurs : Patricia ANTHAMATTEN BUCHARD Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 50-57 Langues : Français (fre) Mots-clés : Médecine fondée sur les preuves Résumé : Introduction : Afin de justifier la profession et d’optimaliser nos interventions, les physiothérapeutes ont le devoir et la responsabilité d’utiliser des techniques et technologies qui ont montré des résultats probants. L’objectif de cette recherche est de décrire les attitudes et les capacités des physiothérapeutes valaisans francophones a adopter la démarche de pratique fondée sur les résultats probants (Evidence-based practice ou EBP). Méthode : Étude descriptive. 92 physiothérapeutes valaisans francophones indépendants ou salariés ont répondu à un questionnaire postal anonyme. Résultats : 70 % des physiothérapeutes sont intéressés à apprendre ou à améliorer leurs compétences dans la démarche EBP. Celle-ci est estimée comme raisonnable (57,1 %), nécessaire (80 %) et utile pour leur pratique quotidienne (81,4 %). Ils sont prêts à appliquer la démarche plus souvent (60 %). 93,8 % des participants estiment que le temps est l’obstacle majeur à l’utilisation de la démarche EBP. Conclusion : Les physiothérapeutes valaisans francophones montrent une attitude positive face à la pratique fondée sur les résultats probants, toutefois des déficits ressortent clairement dans l’utilisation des bases de données pour la recherche de littérature et dans les compétences de recherche en général. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15112 [article] La pratique fondée sur les résultats probants en physiothérapie : Position des physiothérapeutes valaisans francophones [texte imprimé] / Patricia ANTHAMATTEN BUCHARD . - 2009 . - p. 50-57. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 91 (juillet 2009) . - p. 50-57 Mots-clés : Médecine fondée sur les preuves Résumé : Introduction : Afin de justifier la profession et d’optimaliser nos interventions, les physiothérapeutes ont le devoir et la responsabilité d’utiliser des techniques et technologies qui ont montré des résultats probants. L’objectif de cette recherche est de décrire les attitudes et les capacités des physiothérapeutes valaisans francophones a adopter la démarche de pratique fondée sur les résultats probants (Evidence-based practice ou EBP). Méthode : Étude descriptive. 92 physiothérapeutes valaisans francophones indépendants ou salariés ont répondu à un questionnaire postal anonyme. Résultats : 70 % des physiothérapeutes sont intéressés à apprendre ou à améliorer leurs compétences dans la démarche EBP. Celle-ci est estimée comme raisonnable (57,1 %), nécessaire (80 %) et utile pour leur pratique quotidienne (81,4 %). Ils sont prêts à appliquer la démarche plus souvent (60 %). 93,8 % des participants estiment que le temps est l’obstacle majeur à l’utilisation de la démarche EBP. Conclusion : Les physiothérapeutes valaisans francophones montrent une attitude positive face à la pratique fondée sur les résultats probants, toutefois des déficits ressortent clairement dans l’utilisation des bases de données pour la recherche de littérature et dans les compétences de recherche en général. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15112

Exemplaires (1)

Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
Revue	Revue	Centre de Documentation HELHa Campus Montignies	Réserve	Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt

L’exode vers l’exercice libéral est-il inexorable ? / Martial CAZENAVE in Kinésithérapie, la revue, 91 (juillet 2009)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 91 (juillet 2009) . - p. 23-28 Titre : L’exode vers l’exercice libéral est-il inexorable ? : Questionnement autour de la future orientation professionnelle des étudiants kinésithérapeutes Type de document : texte imprimé Auteurs : Martial CAZENAVE Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 23-28 Langues : Français (fre) Mots-clés : Masseur kinésithérapeute Résumé : Il nous est apparu important de nous questionner sur les freins et les contraintes supposés ou réels d’une structure hospitalière et de connaître le fondement des représentations des étudiants kinésithérapeutes pour pouvoir expliquer leurs ressorts. A travers une pré-enquête auprès d’une promotion de 47 étudiants de 3e année, puis 8 entretiens avec des étudiants de cette promotion, nous avons pu faire émerger trois éléments centraux de leur représentation de la fonction du kinésithérapeute : le salaire, l’autonomie dans sa pratique, l’indépendance professionnelle. De leurs expériences d’étudiant, ils tirent comme conclusion que l’hôpital est le milieu professionnel qui est le plus en contradiction avec ces trois éléments centraux. Dans ce contexte de pénurie, le cadre de rééducation ne doit pas justifier son impuissance au recrutement par la seule question de la rémunération. Il doit au contraire être le ciment de l’équipe et la fédérer. Instaurer un climat propice à l’épanouissement du masseur-kinésithérapeute, définir des postes de rééducation attrayants, différents, favoriser la communication entre les acteurs à travers un fonctionnement « d’autonomie cadrée » sont des pré-requis incontournables. Réfléchir à la place du tutorat dans l’équipe, donner une lisibilité de l’identité professionnelle du kinésithérapeute pour éviter tout conflit de rôle, favoriser son intégration au sein des équipes pluridisciplinaires pour combattre le cloisonnement représentent d’autres objectifs tout aussi fondamentaux pour réussir sa mission. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15145 [article] L’exode vers l’exercice libéral est-il inexorable ? : Questionnement autour de la future orientation professionnelle des étudiants kinésithérapeutes [texte imprimé] / Martial CAZENAVE . - 2009 . - p. 23-28. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 91 (juillet 2009) . - p. 23-28 Mots-clés : Masseur kinésithérapeute Résumé : Il nous est apparu important de nous questionner sur les freins et les contraintes supposés ou réels d’une structure hospitalière et de connaître le fondement des représentations des étudiants kinésithérapeutes pour pouvoir expliquer leurs ressorts. A travers une pré-enquête auprès d’une promotion de 47 étudiants de 3e année, puis 8 entretiens avec des étudiants de cette promotion, nous avons pu faire émerger trois éléments centraux de leur représentation de la fonction du kinésithérapeute : le salaire, l’autonomie dans sa pratique, l’indépendance professionnelle. De leurs expériences d’étudiant, ils tirent comme conclusion que l’hôpital est le milieu professionnel qui est le plus en contradiction avec ces trois éléments centraux. Dans ce contexte de pénurie, le cadre de rééducation ne doit pas justifier son impuissance au recrutement par la seule question de la rémunération. Il doit au contraire être le ciment de l’équipe et la fédérer. Instaurer un climat propice à l’épanouissement du masseur-kinésithérapeute, définir des postes de rééducation attrayants, différents, favoriser la communication entre les acteurs à travers un fonctionnement « d’autonomie cadrée » sont des pré-requis incontournables. Réfléchir à la place du tutorat dans l’équipe, donner une lisibilité de l’identité professionnelle du kinésithérapeute pour éviter tout conflit de rôle, favoriser son intégration au sein des équipes pluridisciplinaires pour combattre le cloisonnement représentent d’autres objectifs tout aussi fondamentaux pour réussir sa mission. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15145

Exemplaires (1)

Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
Revue	Revue	Centre de Documentation HELHa Campus Montignies	Réserve	Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt

Place de la rééducation motrice dans le traitement de la maladie de Parkinson idiopathique / Leila AHAGOU in Kinésithérapie, la revue, 91 (juillet 2009)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 91 (juillet 2009) . - p. 17-22 Titre : Place de la rééducation motrice dans le traitement de la maladie de Parkinson idiopathique Type de document : texte imprimé Auteurs : Leila AHAGOU Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 17-22 Langues : Français (fre) Mots-clés : Maladie Parkinson  Articulation  Bilan fonctionnel  Gymnastique médicale et rééducative Résumé : La maladie de Parkinson idiopathique, affection dégénérative du système nerveux central, est très handicapante et constitue une grande gêne pour le malade dans sa vie quotidienne. La place de la rééducation en matière de MPI fait l’objet de peu de publications. C’est pour cela que nous avons essayé d’évaluer l’apport de la kinésithérapie à travers l’étude que nous avons mené au service de neurologie. Cette dernière a concerné quatre patients ambulatoires d’une moyenne d’âge de 55 ans, et d’un niveau de handicap modéré. L’étude s’est étalée sur une période de 12 mois à raison de 2 séances de rééducation par semaine. L’évaluation a eu lieu au début et à la fin de l’étude faisant appel au bilan kinésithérapique complet, avec la présence d’une évaluation fonctionnelle intermédiaire après l’écoulement de chaque série de 10 séances, ainsi qu’au score moteur de l’UPDRS et à l’échelle de qualité de vie SF-36. Trois patients sur quatre se sont améliorés sur le plan fonctionnel ce qui démontre le bénéfice de la rééducation motrice et ouvre de larges perspectives pour la réalisation d’études contrôlées dans le futur. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15177 [article] Place de la rééducation motrice dans le traitement de la maladie de Parkinson idiopathique [texte imprimé] / Leila AHAGOU . - 2009 . - p. 17-22. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 91 (juillet 2009) . - p. 17-22 Mots-clés : Maladie Parkinson  Articulation  Bilan fonctionnel  Gymnastique médicale et rééducative Résumé : La maladie de Parkinson idiopathique, affection dégénérative du système nerveux central, est très handicapante et constitue une grande gêne pour le malade dans sa vie quotidienne. La place de la rééducation en matière de MPI fait l’objet de peu de publications. C’est pour cela que nous avons essayé d’évaluer l’apport de la kinésithérapie à travers l’étude que nous avons mené au service de neurologie. Cette dernière a concerné quatre patients ambulatoires d’une moyenne d’âge de 55 ans, et d’un niveau de handicap modéré. L’étude s’est étalée sur une période de 12 mois à raison de 2 séances de rééducation par semaine. L’évaluation a eu lieu au début et à la fin de l’étude faisant appel au bilan kinésithérapique complet, avec la présence d’une évaluation fonctionnelle intermédiaire après l’écoulement de chaque série de 10 séances, ainsi qu’au score moteur de l’UPDRS et à l’échelle de qualité de vie SF-36. Trois patients sur quatre se sont améliorés sur le plan fonctionnel ce qui démontre le bénéfice de la rééducation motrice et ouvre de larges perspectives pour la réalisation d’études contrôlées dans le futur. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15177

Exemplaires (1)

Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
Revue	Revue	Centre de Documentation HELHa Campus Montignies	Réserve	Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt

« Les massages dits réflexes, ces massages dits annexes » / Michel Gedda in Kinésithérapie, la revue, 91 (juillet 2009)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 91 (juillet 2009) . - p. 31-49 Titre : « Les massages dits réflexes, ces massages dits annexes » : dossier Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Gedda, Directeur de publication, rédacteur en chef Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 31-49 Langues : Français (fre) Mots-clés : Médecine manuelle  Appareil cardiovasculaire Résumé : On savait déjà qu’il n’existe pas de massage passif. Que tout massage éveille des sensations et réactions inéluctables, à l’origine d’une interaction unique, opérateur-dépendante et compétente. Car la subjectivité n’exclut pas l’efficacité. Ces manipulations tissulaires déroutent ainsi par le fait qu’elles dépassent la simple technicité pour engager la créativité - l’une des valeurs fondamentales de notre profession. Est-ce si détestable ? Les massages réflexes sont encore plus paradoxaux : on touche ici et ça agit ailleurs ! De façon ciblée et prédictive. Systématisée. Ça surprend toujours, dérange parfois. Pourtant les réflexes existent. Ils sont connus et usités à des fins diagnostiques depuis longue date. Alors pourquoi ne pas solliciter dans un but thérapeutique les physiologies qu’on reconnaît par ailleurs ? Les réflexothérapies le proposent : activer les complexités du système nerveux à partir d’une entrée périphérique, extérieure, pour obtenir une normalisation organique. Par une approche exclusivement clinique et non-invasive. Ajoutant une réponse neuronique contrôlée à l’effet mécanique, le masseur agit donc sur la peau comme sur un clavier à résonnances internes. On le sait : les niveaux de preuve scientifique manquent surtout par insuffisance méthodologique, liée aux caractéristiques de la technologie même. Mais cela ne réduit pas les intérêts de cette pratique millénaire. Car comme le savent tous les praticiens de terrain et les scientifiques rigoureux « ce n’est pas parce que l’efficacité d’une technique n’est pas prouvée qu’il est prouvé qu’elle est inefficace ». D’autant plus, qu’on commence à en comprendre les processus. Note de contenu : Sommaire du dossier : Approche des massages dits réflexes – p. 32-35 - François Zimmermann Bases neurophysiologiques des réflexothérapies – p.36-41 - Dominique Pradal-Prat Utilisation de la réflexothérapie plantaire en gynéco-obstétrique – p. 42-44 - Danièle Raas, François Zimmermann Utilisation du BGM en réadaptation cardio-vasculaire – p. 45-49 - Alain Pianeta Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15236 [article] « Les massages dits réflexes, ces massages dits annexes » : dossier [texte imprimé] / Michel Gedda, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 2009 . - p. 31-49. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 91 (juillet 2009) . - p. 31-49 Mots-clés : Médecine manuelle  Appareil cardiovasculaire Résumé : On savait déjà qu’il n’existe pas de massage passif. Que tout massage éveille des sensations et réactions inéluctables, à l’origine d’une interaction unique, opérateur-dépendante et compétente. Car la subjectivité n’exclut pas l’efficacité. Ces manipulations tissulaires déroutent ainsi par le fait qu’elles dépassent la simple technicité pour engager la créativité - l’une des valeurs fondamentales de notre profession. Est-ce si détestable ? Les massages réflexes sont encore plus paradoxaux : on touche ici et ça agit ailleurs ! De façon ciblée et prédictive. Systématisée. Ça surprend toujours, dérange parfois. Pourtant les réflexes existent. Ils sont connus et usités à des fins diagnostiques depuis longue date. Alors pourquoi ne pas solliciter dans un but thérapeutique les physiologies qu’on reconnaît par ailleurs ? Les réflexothérapies le proposent : activer les complexités du système nerveux à partir d’une entrée périphérique, extérieure, pour obtenir une normalisation organique. Par une approche exclusivement clinique et non-invasive. Ajoutant une réponse neuronique contrôlée à l’effet mécanique, le masseur agit donc sur la peau comme sur un clavier à résonnances internes. On le sait : les niveaux de preuve scientifique manquent surtout par insuffisance méthodologique, liée aux caractéristiques de la technologie même. Mais cela ne réduit pas les intérêts de cette pratique millénaire. Car comme le savent tous les praticiens de terrain et les scientifiques rigoureux « ce n’est pas parce que l’efficacité d’une technique n’est pas prouvée qu’il est prouvé qu’elle est inefficace ». D’autant plus, qu’on commence à en comprendre les processus. Note de contenu : Sommaire du dossier : Approche des massages dits réflexes – p. 32-35 - François Zimmermann Bases neurophysiologiques des réflexothérapies – p.36-41 - Dominique Pradal-Prat Utilisation de la réflexothérapie plantaire en gynéco-obstétrique – p. 42-44 - Danièle Raas, François Zimmermann Utilisation du BGM en réadaptation cardio-vasculaire – p. 45-49 - Alain Pianeta Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15236

Exemplaires (1)

Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
Revue	Revue	Centre de Documentation HELHa Campus Montignies	Réserve	Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt