Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
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Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Ajouter le résultat dans votre panierFractures de fatigue du sacrum. À propos de deux cas et revue de la littérature / JAN J in Journal de traumatologie du sport, Vol. 16/3 (octobre 1999)
Titre : Fractures de fatigue du sacrum. À propos de deux cas et revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : JAN J ; Pierre Rochcongar ; MEGRET A. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 131 - 136 Résumé : A partir de deux cas cliniques observés chez des athlètes, les auteurs ont fait une revue de la littérature concernant les fractures de fatigue du sacrum. Le diagnostic évoqué lors de l'interrogatoire et de l'exa men clinique est confirmé par la scintigraphie et surtout l'IRM qui précocement mettent en évidence le trait de fracture parallèle à l'articulation sacro-iliaque. Différents facteurs de risque sont analysés : - la variation brutale de la quantité et ou de l'intensité de l'entraînement ; - l'augmentation des contraintes mécaniques des articulations sacro-iliaques favorisée par l'hyperlordose ; - l'aménorrhée prolongée et les désordres hormonaux chez les athlètes féminines ; - l'apport nutritionnel insuffisant : calorique et calcique. Dans tous les cas, le traitement repose essentiellement sur le repos sportif prolongé en moyenne 8 semaines.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14392
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 131 - 136[article] Fractures de fatigue du sacrum. À propos de deux cas et revue de la littérature [texte imprimé] / JAN J ; Pierre Rochcongar ; MEGRET A. . - 1999 . - p. 131 - 136.
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 131 - 136
Résumé : A partir de deux cas cliniques observés chez des athlètes, les auteurs ont fait une revue de la littérature concernant les fractures de fatigue du sacrum. Le diagnostic évoqué lors de l'interrogatoire et de l'exa men clinique est confirmé par la scintigraphie et surtout l'IRM qui précocement mettent en évidence le trait de fracture parallèle à l'articulation sacro-iliaque. Différents facteurs de risque sont analysés : - la variation brutale de la quantité et ou de l'intensité de l'entraînement ; - l'augmentation des contraintes mécaniques des articulations sacro-iliaques favorisée par l'hyperlordose ; - l'aménorrhée prolongée et les désordres hormonaux chez les athlètes féminines ; - l'apport nutritionnel insuffisant : calorique et calcique. Dans tous les cas, le traitement repose essentiellement sur le repos sportif prolongé en moyenne 8 semaines.
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Titre : Imagerie du ménisque opéré. Le ménisque opéré : place de l'arthroscanner Type de document : texte imprimé Auteurs : BARTHELEMY R. ; LERUMEUR Y. ; PAILLASSON F. ; BARJHOUX J.-L. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 193 - 196 Résumé : Dans l'étude du ménisque opéré : recherche de récidive fissuraire ou de chondropathie ulcérée, l'IRM, en l'absence d'injection intra-articulaire autorisée, est souvent mise en défaut. Les hypersignaux persistants peuvent simuler une fissure récidivante et l'analyse du cartilage méconnaît en routine les lésions débutantes (stade Il arthroscopique). La technique du scanner spiralé appliquée à l'arthroscanner permet, grâce aux reconstructions 2D multiplanaires, une bonne analyse du moignon méniscal résiduel et de détecter des ulcérations cartilagineuses débutantes.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14402
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 193 - 196[article] Imagerie du ménisque opéré. Le ménisque opéré : place de l'arthroscanner [texte imprimé] / BARTHELEMY R. ; LERUMEUR Y. ; PAILLASSON F. ; BARJHOUX J.-L. . - 1999 . - p. 193 - 196.
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 193 - 196
Résumé : Dans l'étude du ménisque opéré : recherche de récidive fissuraire ou de chondropathie ulcérée, l'IRM, en l'absence d'injection intra-articulaire autorisée, est souvent mise en défaut. Les hypersignaux persistants peuvent simuler une fissure récidivante et l'analyse du cartilage méconnaît en routine les lésions débutantes (stade Il arthroscopique). La technique du scanner spiralé appliquée à l'arthroscanner permet, grâce aux reconstructions 2D multiplanaires, une bonne analyse du moignon méniscal résiduel et de détecter des ulcérations cartilagineuses débutantes.
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Titre : Les accidents de ski et de glisse sur neige. Etude épidémiologique rétrospective à propos de 4 647 accidents (1990-1997) Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Saragaglia ; HUBOUD-PERON A. ; KIRCHMEIER M. ; THENAULT M.-H. ; VOUAILLAT H. ; DIEMER C. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 155 - 170 Résumé : L'objectif de ce travail était de recenser les accidents de ski et des sports de glisse admis à l'Hôpital-Sud de Grenoble, entre octobre 1990 et avril 1997, soit en 7 saisons de sports d'hiver. Nous avons colligé 4 920 lésions pour 4 647 accidents (ski de piste - 3 570 -, surf des neiges - 535 -, ski de fond -322 -, ski de randonnée - 110 -, ski artistique - 86 -monoski - 19 -, télémark - 3 -, skwal - 1 -, bigfoot -1 -) chez 4 647 patients : 2 586 hommes et 2 061 femmes âgés de 3 à 81 ans (âge moyen de 29 ans). La grande majorité était des sportifs de loisir (4 608) et nous n'avions que 39 sportifs de compétition. Le mécanisme causal était la plupart du temps indirect (82,3 %) et il s'agissait dans 810 cas (17,7 %) d'une collision. 241 avaient une lésion associée, 29 avaient deux lésions associées, et 3, trois lésions associées. En ce qui concerne le bilan des lésions, nous avons colligé 1 707 lésions des membres supérieurs (34.7 %), 2 866 lésions des membres inférieurs (58,3 %) et 347 lésions autres (7 % ). Parmi les lésions dues au ski alpin, il faut remarquer plusieurs chiffres qui soulignent l'évolution de cette traumatologie au cours des dix dernières années : 31 % de lésions du membre supérieur dont 37,5 % de lésions de l'épaule et de la ceinture scapulaire, et 19,4 % d'entorses de la métacarpophalangienne du pouce, 5 % de fractures du fémur, 37 % de lésions du genou dont 91,5 % d'entorses, et 11,5 % de fractures de jambe. À signaler également 7 % de traumatismes de la tête et du tronc. En ce qui concerne le surf des neiges, on constate une augmentation constante de la traumatologie avec des traumatismes beaucoup moins graves qu'en ski alpin: 51.2 % de lésions du membre supérieur dont 19 % de traumatismes de l'épaule et de la ceinture scapulaire et 60 % de traumatismes de l'avant-bras et du poignet, 16 % de lésions du genou dont 80 % d'entorses du ligament collatéral médial et 9,6 % de ruptures du ligament croisé antérieur, 5,8 % de fractures de jambe et 12,6 % de lésions du cou-de-pied. Au total, il ressort de cette étude que la lésion spécifique du ski de piste et de randonnée est l'entorse du genou (32,5 % pour le premier. 42,4% pour le deuxième). En ce qui concerne le surf des neiges, ce sont les traumatismes du poignet (99) et de l'avant-bras (75) qui arrivent à la première place avec 174 lésions (soit 31 % ). Pour ce qui est du ski de fond, il ne se dégage pas de lésion spécifique, les articulations de l'épaule (53), du genou (67) et du cou-de-pied (57) représentent 53 % des traumatismes.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14523
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 155 - 170[article] Les accidents de ski et de glisse sur neige. Etude épidémiologique rétrospective à propos de 4 647 accidents (1990-1997) [texte imprimé] / Dominique Saragaglia ; HUBOUD-PERON A. ; KIRCHMEIER M. ; THENAULT M.-H. ; VOUAILLAT H. ; DIEMER C. . - 1999 . - p. 155 - 170.
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 155 - 170
Résumé : L'objectif de ce travail était de recenser les accidents de ski et des sports de glisse admis à l'Hôpital-Sud de Grenoble, entre octobre 1990 et avril 1997, soit en 7 saisons de sports d'hiver. Nous avons colligé 4 920 lésions pour 4 647 accidents (ski de piste - 3 570 -, surf des neiges - 535 -, ski de fond -322 -, ski de randonnée - 110 -, ski artistique - 86 -monoski - 19 -, télémark - 3 -, skwal - 1 -, bigfoot -1 -) chez 4 647 patients : 2 586 hommes et 2 061 femmes âgés de 3 à 81 ans (âge moyen de 29 ans). La grande majorité était des sportifs de loisir (4 608) et nous n'avions que 39 sportifs de compétition. Le mécanisme causal était la plupart du temps indirect (82,3 %) et il s'agissait dans 810 cas (17,7 %) d'une collision. 241 avaient une lésion associée, 29 avaient deux lésions associées, et 3, trois lésions associées. En ce qui concerne le bilan des lésions, nous avons colligé 1 707 lésions des membres supérieurs (34.7 %), 2 866 lésions des membres inférieurs (58,3 %) et 347 lésions autres (7 % ). Parmi les lésions dues au ski alpin, il faut remarquer plusieurs chiffres qui soulignent l'évolution de cette traumatologie au cours des dix dernières années : 31 % de lésions du membre supérieur dont 37,5 % de lésions de l'épaule et de la ceinture scapulaire, et 19,4 % d'entorses de la métacarpophalangienne du pouce, 5 % de fractures du fémur, 37 % de lésions du genou dont 91,5 % d'entorses, et 11,5 % de fractures de jambe. À signaler également 7 % de traumatismes de la tête et du tronc. En ce qui concerne le surf des neiges, on constate une augmentation constante de la traumatologie avec des traumatismes beaucoup moins graves qu'en ski alpin: 51.2 % de lésions du membre supérieur dont 19 % de traumatismes de l'épaule et de la ceinture scapulaire et 60 % de traumatismes de l'avant-bras et du poignet, 16 % de lésions du genou dont 80 % d'entorses du ligament collatéral médial et 9,6 % de ruptures du ligament croisé antérieur, 5,8 % de fractures de jambe et 12,6 % de lésions du cou-de-pied. Au total, il ressort de cette étude que la lésion spécifique du ski de piste et de randonnée est l'entorse du genou (32,5 % pour le premier. 42,4% pour le deuxième). En ce qui concerne le surf des neiges, ce sont les traumatismes du poignet (99) et de l'avant-bras (75) qui arrivent à la première place avec 174 lésions (soit 31 % ). Pour ce qui est du ski de fond, il ne se dégage pas de lésion spécifique, les articulations de l'épaule (53), du genou (67) et du cou-de-pied (57) représentent 53 % des traumatismes.
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Titre : Les fractures du scaphoïde : nouvelle stratégie diagnostique. Etude prospective et randomisée chez 60 patients Type de document : texte imprimé Auteurs : RUNGE M. ; VERDENET J. ; GARBUIO P. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 137 - 141 Résumé : Les auteurs exposent une nouvelle démarche diagnostique des fractures du scaphoïde en insistant sur l'intérêt du bilan scintigraphique avec quantification du rapport de fixation dans le but d'un diagnostic précoce.
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in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 137 - 141[article] Les fractures du scaphoïde : nouvelle stratégie diagnostique. Etude prospective et randomisée chez 60 patients [texte imprimé] / RUNGE M. ; VERDENET J. ; GARBUIO P. . - 1999 . - p. 137 - 141.
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 137 - 141
Résumé : Les auteurs exposent une nouvelle démarche diagnostique des fractures du scaphoïde en insistant sur l'intérêt du bilan scintigraphique avec quantification du rapport de fixation dans le but d'un diagnostic précoce.
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Titre : Les luxations rétro-sternales de la clavicule. À propos d'un cas et revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : BLUMEN D. ; AUBANIAC J.-M. ; BONIS E. ; ARGENSON J.N. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 186 - 189 Résumé : Les auteurs rapportent un cas de luxation rétro-sternale de la clavicule traité chirurgicalement par réfection du plan capsulo-ligamentaire et stabilisation provisoire par embrochage. Sur la base d'une revue de la littérature, les auteurs font le point sur l'épidémiologie, l'anatomopathologie et l'importance des lésions associées. Celles-ci sont fréquentes et parfois graves, justifiant la réduction impérative. Le scanner est l'examen le plus utile tant pour le diagnostic que pour l'exploration des complications. Le traitement orthopédique doit être tenté en première intention selon une technique bien codifiée : les échecs, les formes diagnostiquées tardivement ainsi que les complications graves doivent conduire au traitement chirurgical. Le ligament costo-claviculaire est réparé soit par ligamentoplastie de Burrows, soit par réinsertion trans-osseuse ; la clavicule est stabilisée par laçage trans-osseux ou par plaque antérieure.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14565
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 186 - 189[article] Les luxations rétro-sternales de la clavicule. À propos d'un cas et revue de la littérature [texte imprimé] / BLUMEN D. ; AUBANIAC J.-M. ; BONIS E. ; ARGENSON J.N. . - 1999 . - p. 186 - 189.
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 186 - 189
Résumé : Les auteurs rapportent un cas de luxation rétro-sternale de la clavicule traité chirurgicalement par réfection du plan capsulo-ligamentaire et stabilisation provisoire par embrochage. Sur la base d'une revue de la littérature, les auteurs font le point sur l'épidémiologie, l'anatomopathologie et l'importance des lésions associées. Celles-ci sont fréquentes et parfois graves, justifiant la réduction impérative. Le scanner est l'examen le plus utile tant pour le diagnostic que pour l'exploration des complications. Le traitement orthopédique doit être tenté en première intention selon une technique bien codifiée : les échecs, les formes diagnostiquées tardivement ainsi que les complications graves doivent conduire au traitement chirurgical. Le ligament costo-claviculaire est réparé soit par ligamentoplastie de Burrows, soit par réinsertion trans-osseuse ; la clavicule est stabilisée par laçage trans-osseux ou par plaque antérieure.
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Titre : Les traumatismes sportifs. Etude prospective de 972 cas pris en charge en urgence sur une période de trois mois Type de document : texte imprimé Auteurs : MENGUY F. ; GUILLOU-MARTIN A. ; CONDAMINE J.-L. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 171 - 181 Résumé : Notre étude repose sur l'analyse de 972 cas pris en charge par les urgences du CHU de Caen. Cette pathologie du sport a représentée 14 % de l'activité du service sur la période considérée. 17 sports ont été impliqués regroupant plus de 10 traumatismes chacuns dans l'étude : le football arrive en premier 41 %, suivi du basket-ball 15 %, de la gymnastique et de l'athlétisme 6 %, de la course et du hand-ball 5 %, de l'équitation 4 %. Il existe un pic de répartition des cas pour le week-end et le lundi. Cette étude permet de mettre en évidence les caractéristiques des patients : il s'agit de patients jeunes : 76 % des traumatismes touchent des jeunes entre 9 et 26 ans avec une nette prédominance masculine dans 70 % des cas. 54 % des patients étaient des sportifs amateurs. 29 % pratiquaient le sport en compétition. Il s'agit 2 fois sur 3 d'étudiants et de scolaires. Les lésions rencontrées sont les entorses 40 %, les contusions 26 %, les fractures 19 %, les plaies 2 %. Le membre inférieur est touché dans 51 % des cas, le membre supérieur dans 33 % des cas, le crâne dans 8 %. Les hospitalisés représentent 8 % des patients pris en charge. Le traitement proposé a été orthopédique dans 48 % des cas, fonctionnel dans 36 %, chirurgical dans 9 %. Nous proposons une analyse des cas en fonction du sport pratiqué, du patient, du traitement et enfin à partir des cas hospitalisés. Nous comparons nos résultats à la littérature. Une tentative d'analyse des coûts de cette traumatologie a été réalisée. Elle reste cependant incomplète du fait de la limitation de l'étude à la prise en charge en urgence. Enfin nous apportons quelques éléments de réponse quant à la réduction de l'incidence des accidents de sports. à savoir la prévention et l'éducation, notamment chez les plus jeunes.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14581
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 171 - 181[article] Les traumatismes sportifs. Etude prospective de 972 cas pris en charge en urgence sur une période de trois mois [texte imprimé] / MENGUY F. ; GUILLOU-MARTIN A. ; CONDAMINE J.-L. . - 1999 . - p. 171 - 181.
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 171 - 181
Résumé : Notre étude repose sur l'analyse de 972 cas pris en charge par les urgences du CHU de Caen. Cette pathologie du sport a représentée 14 % de l'activité du service sur la période considérée. 17 sports ont été impliqués regroupant plus de 10 traumatismes chacuns dans l'étude : le football arrive en premier 41 %, suivi du basket-ball 15 %, de la gymnastique et de l'athlétisme 6 %, de la course et du hand-ball 5 %, de l'équitation 4 %. Il existe un pic de répartition des cas pour le week-end et le lundi. Cette étude permet de mettre en évidence les caractéristiques des patients : il s'agit de patients jeunes : 76 % des traumatismes touchent des jeunes entre 9 et 26 ans avec une nette prédominance masculine dans 70 % des cas. 54 % des patients étaient des sportifs amateurs. 29 % pratiquaient le sport en compétition. Il s'agit 2 fois sur 3 d'étudiants et de scolaires. Les lésions rencontrées sont les entorses 40 %, les contusions 26 %, les fractures 19 %, les plaies 2 %. Le membre inférieur est touché dans 51 % des cas, le membre supérieur dans 33 % des cas, le crâne dans 8 %. Les hospitalisés représentent 8 % des patients pris en charge. Le traitement proposé a été orthopédique dans 48 % des cas, fonctionnel dans 36 %, chirurgical dans 9 %. Nous proposons une analyse des cas en fonction du sport pratiqué, du patient, du traitement et enfin à partir des cas hospitalisés. Nous comparons nos résultats à la littérature. Une tentative d'analyse des coûts de cette traumatologie a été réalisée. Elle reste cependant incomplète du fait de la limitation de l'étude à la prise en charge en urgence. Enfin nous apportons quelques éléments de réponse quant à la réduction de l'incidence des accidents de sports. à savoir la prévention et l'éducation, notamment chez les plus jeunes.
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Titre : Ostéosynthèse par agrafes des fractures du scaphoïde carpien. A propos de 37 agrafages chez le sportif Type de document : texte imprimé Auteurs : SARTORIUS C. ; DAVREUX T. ; CARPENTIER E. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 142 - 146 Résumé : Les auteurs désireux d'améliorer le traitement des fractures fraîches du scaphoïde carpien préconisent l'agrafage comme technique d'ostéosynthèse, expérience acquise dans le traitement des pseudarthroses de cet os. Sur 37 fractures chez des sportifs de tous niveaux, la consolidation radiologique a été obtenue en 68 jours en moyenne chez tous les patients au prix d'une courte immobilisation de 5 semaines. Un seul sportif a modifié sa pratique sportive (motocross). Ils réservent cette technique fiable et non iatrogène aux fractures déplacées et ou instables du scaphoïde carpien.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14620
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 142 - 146[article] Ostéosynthèse par agrafes des fractures du scaphoïde carpien. A propos de 37 agrafages chez le sportif [texte imprimé] / SARTORIUS C. ; DAVREUX T. ; CARPENTIER E. . - 1999 . - p. 142 - 146.
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 142 - 146
Résumé : Les auteurs désireux d'améliorer le traitement des fractures fraîches du scaphoïde carpien préconisent l'agrafage comme technique d'ostéosynthèse, expérience acquise dans le traitement des pseudarthroses de cet os. Sur 37 fractures chez des sportifs de tous niveaux, la consolidation radiologique a été obtenue en 68 jours en moyenne chez tous les patients au prix d'une courte immobilisation de 5 semaines. Un seul sportif a modifié sa pratique sportive (motocross). Ils réservent cette technique fiable et non iatrogène aux fractures déplacées et ou instables du scaphoïde carpien.
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Titre : Traitement arthroscopique des lésions ostéochondrales du dôme astragalien Type de document : texte imprimé Auteurs : CLADIERE F. ; LERAT J. L. ; MOYEN B. ; BESSE J.-L. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 147 - 154 Résumé : De nombreux auteurs ont effectué des travaux sur les lésions ostéochondrales du dôme astragalien. L'étiopathogénie reste discutée pour les ostéochondrites disséquantes : traumatique, microtraumatique, vasculaire. Plusieurs classifications radiologiques sont utilisées notamment la plus ancienne : celle de Berndt et Harty. Le traitement de ces lésions reste chirurgical dans la majorité des cas, accessible à une chirurgie arthroscopique ou conventionnelle. Les auteurs présentent une série de 14 cas traités chirurgicalement par excision-curetage de la lésion sous arthroscopie avec un recul moyen supérieur aux autres études de la littérature (80 + -30 mois). Les résultats sont appréciés sur le plan fonctionnel et clinique par les scores de Karlsson et de l'American Orthopedic Foot and Ankle Society. L'activité sportive est évaluée par le score de Tegner. Les examens radiologiques ont recherché des signes de dégénérescence arthrosique et le comblement du defect osseux. Les résultats fonctionnels et cliniques montrent 71 % d'excellents et bons résultats. 57 % des patients ont retrouvé un même niveau sportif avec un score moyen de Tegner de 5,6 + - 1 et un délai moyen de reprise du sport de 7.7 mois + -6 mois. Quatre patients ont développé des ostéophytes antérieurs sans pincement articulaire. Tous les patients ont conservé un defect osseux au niveau de la région curetée. L'exploration du cartilage, dans quatre cas, a montré un tissu fibreux recouvert d'un néo-cartilage en continuité. Les auteurs retrouvent des résultats fonctionnels et cliniques se rapprochant des autres séries qui présentent un recul inférieur. Dans toutes les séries de la littérature, il est retrouvé un defect osseux résiduel en regard de la lésion curetée, comblé par un fibro-cartilage. Les stades III et IV de la classification radiologique de Berndt et Harty doivent être traités chirurgicalement, avec dans le cas contraire, l'évolution potentielle vers un cinquième stade de type " géode ". En conclusion, malgré l'absence de contrôle systématique du néocartilage, les auteurs espèrent une stabilité fonctionnelle des résultats dans le temps. La persistance d'un defect osseux doit conduire à de nouvelles techniques notamment aux autogreffes ostéochondrales, de réalisation difficile, dont les premiers résultats sont encourageants.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14710
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 147 - 154[article] Traitement arthroscopique des lésions ostéochondrales du dôme astragalien [texte imprimé] / CLADIERE F. ; LERAT J. L. ; MOYEN B. ; BESSE J.-L. . - 1999 . - p. 147 - 154.
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 147 - 154
Résumé : De nombreux auteurs ont effectué des travaux sur les lésions ostéochondrales du dôme astragalien. L'étiopathogénie reste discutée pour les ostéochondrites disséquantes : traumatique, microtraumatique, vasculaire. Plusieurs classifications radiologiques sont utilisées notamment la plus ancienne : celle de Berndt et Harty. Le traitement de ces lésions reste chirurgical dans la majorité des cas, accessible à une chirurgie arthroscopique ou conventionnelle. Les auteurs présentent une série de 14 cas traités chirurgicalement par excision-curetage de la lésion sous arthroscopie avec un recul moyen supérieur aux autres études de la littérature (80 + -30 mois). Les résultats sont appréciés sur le plan fonctionnel et clinique par les scores de Karlsson et de l'American Orthopedic Foot and Ankle Society. L'activité sportive est évaluée par le score de Tegner. Les examens radiologiques ont recherché des signes de dégénérescence arthrosique et le comblement du defect osseux. Les résultats fonctionnels et cliniques montrent 71 % d'excellents et bons résultats. 57 % des patients ont retrouvé un même niveau sportif avec un score moyen de Tegner de 5,6 + - 1 et un délai moyen de reprise du sport de 7.7 mois + -6 mois. Quatre patients ont développé des ostéophytes antérieurs sans pincement articulaire. Tous les patients ont conservé un defect osseux au niveau de la région curetée. L'exploration du cartilage, dans quatre cas, a montré un tissu fibreux recouvert d'un néo-cartilage en continuité. Les auteurs retrouvent des résultats fonctionnels et cliniques se rapprochant des autres séries qui présentent un recul inférieur. Dans toutes les séries de la littérature, il est retrouvé un defect osseux résiduel en regard de la lésion curetée, comblé par un fibro-cartilage. Les stades III et IV de la classification radiologique de Berndt et Harty doivent être traités chirurgicalement, avec dans le cas contraire, l'évolution potentielle vers un cinquième stade de type " géode ". En conclusion, malgré l'absence de contrôle systématique du néocartilage, les auteurs espèrent une stabilité fonctionnelle des résultats dans le temps. La persistance d'un defect osseux doit conduire à de nouvelles techniques notamment aux autogreffes ostéochondrales, de réalisation difficile, dont les premiers résultats sont encourageants.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14710 Exemplaires (1)
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Titre : Un cas rare de cervicalgies chroniques du sportif Type de document : texte imprimé Auteurs : HUGUET A. ; GALLOUEDEC J.-J. ; J. Letenneur ; MAUGARS Y. ; FAURE A. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 190 - 192 Résumé : Les auteurs rapportent un cas de cervicalgies chroniques chez un sportif, en rapport avec une spondylolyse cervicale congénitale sans spondylolisthésis. Ils soulignent l'intérêt du traitement médical, et en particulier de l'infiltration radioguidée dans ce type de pathologie, en l'absence d'instabilité.
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in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 190 - 192[article] Un cas rare de cervicalgies chroniques du sportif [texte imprimé] / HUGUET A. ; GALLOUEDEC J.-J. ; J. Letenneur ; MAUGARS Y. ; FAURE A. . - 1999 . - p. 190 - 192.
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 190 - 192
Résumé : Les auteurs rapportent un cas de cervicalgies chroniques chez un sportif, en rapport avec une spondylolyse cervicale congénitale sans spondylolisthésis. Ils soulignent l'intérêt du traitement médical, et en particulier de l'infiltration radioguidée dans ce type de pathologie, en l'absence d'instabilité.
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Titre : Un cas rare de fracture de l'angle inférieur de la scapula Type de document : texte imprimé Auteurs : VANNINEUSE A. ; RALAIMIARAMANANA F. ; QUIGNODON J.-F. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 182 - 185 Résumé : Les fractures indirectes ou avulsions de la scapula sont exceptionnelles. Nous rapportons une lésion Salter type II de l'angle inférieur chez une patiente de 16 ans, survenue au cours d'une compétition de judo. La biomécanique de cette lésion implique des facteurs multiples. Parmi eux, le muscle teres major agit sur un os bloqué par les autres muscles. Il s'agit, peut-être, du facteur le plus important. De telles fractures très déplacées tireront bénéfice d'un embrochage chirurgical. Il offre un résultat rapide et favorable. L'activité sportive est autorisée sans restriction en 6 mois.
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in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 182 - 185[article] Un cas rare de fracture de l'angle inférieur de la scapula [texte imprimé] / VANNINEUSE A. ; RALAIMIARAMANANA F. ; QUIGNODON J.-F. . - 1999 . - p. 182 - 185.
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 16/3 (octobre 1999) . - p. 182 - 185
Résumé : Les fractures indirectes ou avulsions de la scapula sont exceptionnelles. Nous rapportons une lésion Salter type II de l'angle inférieur chez une patiente de 16 ans, survenue au cours d'une compétition de judo. La biomécanique de cette lésion implique des facteurs multiples. Parmi eux, le muscle teres major agit sur un os bloqué par les autres muscles. Il s'agit, peut-être, du facteur le plus important. De telles fractures très déplacées tireront bénéfice d'un embrochage chirurgical. Il offre un résultat rapide et favorable. L'activité sportive est autorisée sans restriction en 6 mois.
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