Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierÉpicondylite : Histoire naturelle et étude critique des différents traitements / FICHEZ O in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/3 (novembre 1998)
[article]
Titre : Épicondylite : Histoire naturelle et étude critique des différents traitements Type de document : texte imprimé Auteurs : FICHEZ O Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 163 - 172 Résumé : Nous définirons l'épicondylite comme une atteinte mécanique de l'unité fonctionnelle téno-osseuse. Ceci nous amène à considérer au diagnostic différentiel deux autres causes d'épicondylalgies que sont les atteintes de la branche motrice du nerf radial sous l'arcade de Frohse et les lésions intra-articulaires. Les altérations histologiques reposent sur une prolifération angio-fibromateuse. L'évolution naturelle de l'épicondylite est difficile à apprécier car la moitié des patients présentant une épicondylalgie ne consulteront jamais en milieu médical. Nous estimons cette évolution spontanée à 18 mois en moyenne. Deux éléments interfèrent dans le profil de l'épicondylite rebelle : l'âge et le niveau technique. Les défauts de cinématique du poignet et du coude singulièrement lors de la pratique du revers de même que le mauvais centrage de la balle va générer une énergie vibratoire et une majoration des forces rotatoires. Le revers à deux mains semble être une excellente protection vis-à-vis de l'épicondylite. Il faut par ailleurs mettre en exergue la sursollicitation des extenseurs dans la spécificité du geste tennistique. Concernant l'approche critique des différents traitements, une revue de la littérature ne nous a pas permis de conclure à une action significative du laser gallium arsénide de même que l'acupuncture. L'utilisation des ultra-sons associée à la rééducation, massages tranverses, étirements et reconditionnement sont nécessaires avant la reprise sportive. Les grip-band n'ont pas montré de diminution significative de la vibration mais par contre sont intéressants dans la résistance au coefficient de glissement induite par la force rotatoire. Les ondes de choc extra-corporelles s'avèrent efficaces sur les épicondylites rebelles, versus placebo de manière très significative. Les injections de cortico-stéroïdes s'avèrent efficaces de manière très significative à 6 semaines mais on note dans le suivi à long terme, une récurrence algique vers le 3 mois qui, alors même que ces patients n'ont bénéficié que d'une injection à J.0, vont s'infléchir à nouveau pour donner des résultats très significatifs à un an mais non différents des traitements par bracelet de prévention ou mise au repos des extenseurs par attelle d'extension du poignet. Nous préconisons néanmois malgré cette récurrence du 3 mois d'effectuer une injection en péri-tendineux dans les formes algiques et invalidantes d'épicondylite.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14343
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 163 - 172[article] Épicondylite : Histoire naturelle et étude critique des différents traitements [texte imprimé] / FICHEZ O . - 1998 . - p. 163 - 172.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 163 - 172
Résumé : Nous définirons l'épicondylite comme une atteinte mécanique de l'unité fonctionnelle téno-osseuse. Ceci nous amène à considérer au diagnostic différentiel deux autres causes d'épicondylalgies que sont les atteintes de la branche motrice du nerf radial sous l'arcade de Frohse et les lésions intra-articulaires. Les altérations histologiques reposent sur une prolifération angio-fibromateuse. L'évolution naturelle de l'épicondylite est difficile à apprécier car la moitié des patients présentant une épicondylalgie ne consulteront jamais en milieu médical. Nous estimons cette évolution spontanée à 18 mois en moyenne. Deux éléments interfèrent dans le profil de l'épicondylite rebelle : l'âge et le niveau technique. Les défauts de cinématique du poignet et du coude singulièrement lors de la pratique du revers de même que le mauvais centrage de la balle va générer une énergie vibratoire et une majoration des forces rotatoires. Le revers à deux mains semble être une excellente protection vis-à-vis de l'épicondylite. Il faut par ailleurs mettre en exergue la sursollicitation des extenseurs dans la spécificité du geste tennistique. Concernant l'approche critique des différents traitements, une revue de la littérature ne nous a pas permis de conclure à une action significative du laser gallium arsénide de même que l'acupuncture. L'utilisation des ultra-sons associée à la rééducation, massages tranverses, étirements et reconditionnement sont nécessaires avant la reprise sportive. Les grip-band n'ont pas montré de diminution significative de la vibration mais par contre sont intéressants dans la résistance au coefficient de glissement induite par la force rotatoire. Les ondes de choc extra-corporelles s'avèrent efficaces sur les épicondylites rebelles, versus placebo de manière très significative. Les injections de cortico-stéroïdes s'avèrent efficaces de manière très significative à 6 semaines mais on note dans le suivi à long terme, une récurrence algique vers le 3 mois qui, alors même que ces patients n'ont bénéficié que d'une injection à J.0, vont s'infléchir à nouveau pour donner des résultats très significatifs à un an mais non différents des traitements par bracelet de prévention ou mise au repos des extenseurs par attelle d'extension du poignet. Nous préconisons néanmois malgré cette récurrence du 3 mois d'effectuer une injection en péri-tendineux dans les formes algiques et invalidantes d'épicondylite.
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Exclu du prêtÉpidémiologie des lésions traumatiques aiguës dues à la pratiquedu tennis / FORNASIERI C. in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/3 (novembre 1998)
[article]
Titre : Épidémiologie des lésions traumatiques aiguës dues à la pratiquedu tennis Type de document : texte imprimé Auteurs : FORNASIERI C. ; Dominique Saragaglia ; TOURNE Y. ; VERJUX T. ; CHARBEL A. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 140 - 144 Résumé : Les auteurs présentent les résultats d'une étude épidémiologique concernant les lésions traumatiques aiguës dues à la pratique du tennis. D'octobre 1990 à mai 1996, 163 traumatisés du tennis : 111 hommes et 52 femmes, d'âge moyen 30 ans, ont été reçus aux urgences du service d'orthopédie et de traumatologie du sport de l'Hôpital Sud de Grenoble. Le bilan traumatologique retrouvait 137 lésions du membre inférieur: 84,3 % et 23 lésions du membre supérieur : 13,9 %. Le bilan thérapeutique faisait état de 26 hospitalisations : 15,9 % totalisant 122 jours. Les auteurs concluaient, pour leur série, à la relative bégninité des traumatismes aigus du tennis et à la fréquence élevée des lésions des articulations distales des deux membres. L'" entorse " du poignet : 11 cas, apparaissait comme la lésion la plus fréquente du membre supérieur; et l'entorse latérale de la cheville : 75 cas, comme la lésion élective du membre inférieur, suivie des lésions musculotendineuses de la jambre : 20 cas et des lésions du ménisque médial : 11 cas.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14346
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 140 - 144[article] Épidémiologie des lésions traumatiques aiguës dues à la pratiquedu tennis [texte imprimé] / FORNASIERI C. ; Dominique Saragaglia ; TOURNE Y. ; VERJUX T. ; CHARBEL A. . - 1998 . - p. 140 - 144.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 140 - 144
Résumé : Les auteurs présentent les résultats d'une étude épidémiologique concernant les lésions traumatiques aiguës dues à la pratique du tennis. D'octobre 1990 à mai 1996, 163 traumatisés du tennis : 111 hommes et 52 femmes, d'âge moyen 30 ans, ont été reçus aux urgences du service d'orthopédie et de traumatologie du sport de l'Hôpital Sud de Grenoble. Le bilan traumatologique retrouvait 137 lésions du membre inférieur: 84,3 % et 23 lésions du membre supérieur : 13,9 %. Le bilan thérapeutique faisait état de 26 hospitalisations : 15,9 % totalisant 122 jours. Les auteurs concluaient, pour leur série, à la relative bégninité des traumatismes aigus du tennis et à la fréquence élevée des lésions des articulations distales des deux membres. L'" entorse " du poignet : 11 cas, apparaissait comme la lésion la plus fréquente du membre supérieur; et l'entorse latérale de la cheville : 75 cas, comme la lésion élective du membre inférieur, suivie des lésions musculotendineuses de la jambre : 20 cas et des lésions du ménisque médial : 11 cas.
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Exclu du prêtFlash sur la pathologie de l'avant-pied / FLORY-REVERBERI M. in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/3 (novembre 1998)
[article]
Titre : Flash sur la pathologie de l'avant-pied Type de document : texte imprimé Auteurs : FLORY-REVERBERI M. ; REVERBERI J. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 187 - 193 Résumé : Les douleurs de l'avant-pied sont fréquentes et les motifs de consultatiions variés : douleurs, déformations, problèmes cutanés ou unguénaux. Ces différentes pathologies se répartissent en : Métatarsalgies d'origine mécanique : statiques ou dynamiques ou liées à des ostéodystrophies de croissance, à des micro-traumatismes répétés telles les fractures de fatigue ou parfois à des traumatismes plus importants telles les algoneurodystrophies ; ou, il peut s'agir d'un syndrome douloureux du 2 rayon métatarso-phalangien secondaire à un hallus valgus ou de douleurs de l'espace intermétatarsien tel qu'on peut le rencontrer dans la maladie de Morton. Métatarsalgies inflammatoires : d'origine rhumatismale, métabolique, infectieuse ou tumorale. Pathologie des orteils : il faut individualiser la pathologie du gros orteil : hallus valgus et hallus rigidus de celle des autres orteils et hallus rigidus de celle des autres orteils : marteau, griffe, chevauchement, quintus varus et pathologie inflammatoire. Pathologie cutanée et unguéale de l'avant-pied : elle est liée aux troubles stato-dynamiques et aux déformations de l'avant-pied responsables d'hyper-pressions locales et où le chaussage joue un rôle important. L'exploration de l'avant-pied repose sur la radiographie devant être réalisée systématiquement et comporter trois incidences : l'avant-pied de face, en charge, le profil interne en charge, le déroulé du pied. D'autres incidences seront bien entendu réalisées et adaptées à chaque affection. Le traitement est médical dans la majorité des cas. Le traitement chirurgical est réservé aux échecs du traitement médical et au cas où la douleur est invalidante. Celui-ci n'est entrepris qu'après traitement médical correctement conduit.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14369
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 187 - 193[article] Flash sur la pathologie de l'avant-pied [texte imprimé] / FLORY-REVERBERI M. ; REVERBERI J. . - 1998 . - p. 187 - 193.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 187 - 193
Résumé : Les douleurs de l'avant-pied sont fréquentes et les motifs de consultatiions variés : douleurs, déformations, problèmes cutanés ou unguénaux. Ces différentes pathologies se répartissent en : Métatarsalgies d'origine mécanique : statiques ou dynamiques ou liées à des ostéodystrophies de croissance, à des micro-traumatismes répétés telles les fractures de fatigue ou parfois à des traumatismes plus importants telles les algoneurodystrophies ; ou, il peut s'agir d'un syndrome douloureux du 2 rayon métatarso-phalangien secondaire à un hallus valgus ou de douleurs de l'espace intermétatarsien tel qu'on peut le rencontrer dans la maladie de Morton. Métatarsalgies inflammatoires : d'origine rhumatismale, métabolique, infectieuse ou tumorale. Pathologie des orteils : il faut individualiser la pathologie du gros orteil : hallus valgus et hallus rigidus de celle des autres orteils et hallus rigidus de celle des autres orteils : marteau, griffe, chevauchement, quintus varus et pathologie inflammatoire. Pathologie cutanée et unguéale de l'avant-pied : elle est liée aux troubles stato-dynamiques et aux déformations de l'avant-pied responsables d'hyper-pressions locales et où le chaussage joue un rôle important. L'exploration de l'avant-pied repose sur la radiographie devant être réalisée systématiquement et comporter trois incidences : l'avant-pied de face, en charge, le profil interne en charge, le déroulé du pied. D'autres incidences seront bien entendu réalisées et adaptées à chaque affection. Le traitement est médical dans la majorité des cas. Le traitement chirurgical est réservé aux échecs du traitement médical et au cas où la douleur est invalidante. Celui-ci n'est entrepris qu'après traitement médical correctement conduit.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtInstabilité micro-traumatique de l'épaule : Etude prospective chez 83 sportifs de haut niveau / DETERME P. in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/3 (novembre 1998)
[article]
Titre : Instabilité micro-traumatique de l'épaule : Etude prospective chez 83 sportifs de haut niveau Type de document : texte imprimé Auteurs : DETERME P. ; MANSAT M. ; BELLUMORE Y. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 154 - 161 Résumé : Le but de ce travail est de préciser la place et la physiopathologie des instabilités micro-traumatiques du sujet sportif. L'étude porte sur des athlètes de haut niveau, qui ont bénéficié d'un bilan clinique associé à des mesures isocinétiques sur Cybex. Les sujets présentant des douleurs d'épaule ont par ailleurs été examinés par une électromyographie multipiste et par ciné-IRM. Nous avons pu apprécier le rôle majeur que joue l'examen clinique dans le diagnostic. Les mesures isocinétiques ont confirmé les déséquilibres musculaires et nous ont permis de définir les profils musculaires des sportifs susceptibles de développer une micro-instabilité. Par contre, les analyses électromyographiques ont été décevantes sur le plan individuel, mais nous ont montré le rôle majeur que tiennent les antagonistes lors des mouvements. L'action des stabilisateurs accessoires a été mise en évidence. La ciné-IRM n'a pas répondu aux espoirs que nous placions en elle. Les lésions de micro-instabilité sont trop subtiles et à l'heure actuelle, la ciné-IRM sans injection de produit de contraste, n'est pas un examen utile dans le bilan de ces épaules. Le concept d'instabilité micro-traumatique se caractérise par l'existence de douleurs liées au geste, en rapport avec des anomalies de centrage dynamique de la tête humérale. Cette instabilité se voit dans un contexte d'hypermobilité non liée à une hyperlaxité constitutionnelle. Le geste du lanceur est un mouvement violent d'adduction et de rotation interne. Les structures postérieures doivent prendre en charge le freinage du mouvement. Un déséquilibre musculaire au bénéfice des rotateurs internes, ainsi que la répétition des translations antérieures de la tête humérale, sont les deux phénomènes à l'origine des lésions. On voit alors apparaître des lésions antérieures liées à la poussée de la tête humérale, et des lésions postérieures liées à de fortes tractions. Un cercle vicieux s'installe, et la perte de l'équilibre proprioceptif perturbe la physiologie de l'épaule. L'analyse de tous les mécanismes à l'origine de la micro-instabilité nous a amené à développer un programme de rééducation où le travail excentrique et le travail proprioceptif ont une place de choix. L'échec de cette rééducation, chez un athlète de haut niveau présentant une gêne sportive réelle, nous conduit à proposer une stabilisation chirurgicale après un bilan arthroscopique réalisé dans le même temps opératoire.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14414
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 154 - 161[article] Instabilité micro-traumatique de l'épaule : Etude prospective chez 83 sportifs de haut niveau [texte imprimé] / DETERME P. ; MANSAT M. ; BELLUMORE Y. . - 1998 . - p. 154 - 161.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 154 - 161
Résumé : Le but de ce travail est de préciser la place et la physiopathologie des instabilités micro-traumatiques du sujet sportif. L'étude porte sur des athlètes de haut niveau, qui ont bénéficié d'un bilan clinique associé à des mesures isocinétiques sur Cybex. Les sujets présentant des douleurs d'épaule ont par ailleurs été examinés par une électromyographie multipiste et par ciné-IRM. Nous avons pu apprécier le rôle majeur que joue l'examen clinique dans le diagnostic. Les mesures isocinétiques ont confirmé les déséquilibres musculaires et nous ont permis de définir les profils musculaires des sportifs susceptibles de développer une micro-instabilité. Par contre, les analyses électromyographiques ont été décevantes sur le plan individuel, mais nous ont montré le rôle majeur que tiennent les antagonistes lors des mouvements. L'action des stabilisateurs accessoires a été mise en évidence. La ciné-IRM n'a pas répondu aux espoirs que nous placions en elle. Les lésions de micro-instabilité sont trop subtiles et à l'heure actuelle, la ciné-IRM sans injection de produit de contraste, n'est pas un examen utile dans le bilan de ces épaules. Le concept d'instabilité micro-traumatique se caractérise par l'existence de douleurs liées au geste, en rapport avec des anomalies de centrage dynamique de la tête humérale. Cette instabilité se voit dans un contexte d'hypermobilité non liée à une hyperlaxité constitutionnelle. Le geste du lanceur est un mouvement violent d'adduction et de rotation interne. Les structures postérieures doivent prendre en charge le freinage du mouvement. Un déséquilibre musculaire au bénéfice des rotateurs internes, ainsi que la répétition des translations antérieures de la tête humérale, sont les deux phénomènes à l'origine des lésions. On voit alors apparaître des lésions antérieures liées à la poussée de la tête humérale, et des lésions postérieures liées à de fortes tractions. Un cercle vicieux s'installe, et la perte de l'équilibre proprioceptif perturbe la physiologie de l'épaule. L'analyse de tous les mécanismes à l'origine de la micro-instabilité nous a amené à développer un programme de rééducation où le travail excentrique et le travail proprioceptif ont une place de choix. L'échec de cette rééducation, chez un athlète de haut niveau présentant une gêne sportive réelle, nous conduit à proposer une stabilisation chirurgicale après un bilan arthroscopique réalisé dans le même temps opératoire.
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Exclu du prêtL'arthroscopie du poignet: Indications actuelles et perspectives d'avenir / FONTES D in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/3 (novembre 1998)
[article]
Titre : L'arthroscopie du poignet: Indications actuelles et perspectives d'avenir Type de document : texte imprimé Auteurs : FONTES D Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 178 - 186 Résumé : L'arthroscopie du poignet est une technique récente mais déjà éprouvée dont il convient de préciser les indications. Grâce à la miniaturisation des instruments opératoires, elle permet une parfaite visualisation des structures osseuses, cartilagineuses et ligamentaires. Elle revêt deux aspects: diagnostique et thérapeutique, ce dernier prenant actuellement une part croissante. Elle participe ainsi au bilan lésionnel des instabilités du carpe et de certaines pathologies synoviales (kystes du poignet, synovites rhumatismales), dégénératives ou post-traumatiques. L'exploration du complexe triangulaire s'est particulièrement enrichie depuis l'arthroscopie qui demeure la plus performante dans le diagnostic différentiel de lésions dégénératives ou traumatiques dont elle permet la plupart du temps un traitement adapté (régularisation, réinsertion, accourcissement du cubitus). Il est en outre possible de contrôler " de visu " la réduction de fractures radiocarpiennes plurigramentaires ainsi que la réduction de dissociations intracarpiennes et de certaines fractures du scaphoïde. La pathologie dégénérative du poignet comporte elle aussi des indications à l'arthroscopie qui autorise des régularisations articulaires (" shaving "). des synovectomies ou bien encore diverses " ectomies ". Technique peu invasive, elle est particulièrement adaptée à la pathologie sportive et autorise souvent une reprise précoce des activités.
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in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 178 - 186[article] L'arthroscopie du poignet: Indications actuelles et perspectives d'avenir [texte imprimé] / FONTES D . - 1998 . - p. 178 - 186.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 178 - 186
Résumé : L'arthroscopie du poignet est une technique récente mais déjà éprouvée dont il convient de préciser les indications. Grâce à la miniaturisation des instruments opératoires, elle permet une parfaite visualisation des structures osseuses, cartilagineuses et ligamentaires. Elle revêt deux aspects: diagnostique et thérapeutique, ce dernier prenant actuellement une part croissante. Elle participe ainsi au bilan lésionnel des instabilités du carpe et de certaines pathologies synoviales (kystes du poignet, synovites rhumatismales), dégénératives ou post-traumatiques. L'exploration du complexe triangulaire s'est particulièrement enrichie depuis l'arthroscopie qui demeure la plus performante dans le diagnostic différentiel de lésions dégénératives ou traumatiques dont elle permet la plupart du temps un traitement adapté (régularisation, réinsertion, accourcissement du cubitus). Il est en outre possible de contrôler " de visu " la réduction de fractures radiocarpiennes plurigramentaires ainsi que la réduction de dissociations intracarpiennes et de certaines fractures du scaphoïde. La pathologie dégénérative du poignet comporte elle aussi des indications à l'arthroscopie qui autorise des régularisations articulaires (" shaving "). des synovectomies ou bien encore diverses " ectomies ". Technique peu invasive, elle est particulièrement adaptée à la pathologie sportive et autorise souvent une reprise précoce des activités.
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Exclu du prêtLes décollements épiphysaires de l'extrémité inférieure du tibiaet du péroné / PONTAILLER J. R. in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/3 (novembre 1998)
[article]
Titre : Les décollements épiphysaires de l'extrémité inférieure du tibiaet du péroné Type de document : texte imprimé Auteurs : PONTAILLER J. R. ; VERGNES P. ; ZIPPOLI B. ; RAMIREZ DEL VILLARD S. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 131 - 138 Résumé : Les auteurs rapportent une série de 63 décollements de l'extrémité inférieure du tibia et du péroné. Les traumatismes ont été classés selon les critères de Salter et Harris. Ces traumatismes touchent préférentiellement les garçons. L'âge moyen de la série est de 13 ans. Les accidents sportifs constituent l'étiologie principale. Les traitements réalisés ont été les suivants : traitement orthopédique isolé ou associé à un embrochage percutané du péroné 35 cas (46 %) ; traitement chirurgical 45 cas (54 %). Les résultats ont été jugés en fonction de plusieurs critères : cliniques, anatomocliniques, radiologiques et thérapeutiques. Les résultats globaux se répartissent de la manière suivante : bons et très bons résultats 90 % ; résultats myens 6 % ; mauvais résultats 4 %. La principale complication de notre série a été les troubles de croissance. Nous notons 4 épiphysiodèses de l'extrémité inférieure du tibia: 3 partielles et 1 totale. L'épiphysiodèse semble favorisée par deux principaux facteurs : la violence du traumatisme intial et l'insuffisance de la réduction.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14531
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 131 - 138[article] Les décollements épiphysaires de l'extrémité inférieure du tibiaet du péroné [texte imprimé] / PONTAILLER J. R. ; VERGNES P. ; ZIPPOLI B. ; RAMIREZ DEL VILLARD S. . - 1998 . - p. 131 - 138.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 131 - 138
Résumé : Les auteurs rapportent une série de 63 décollements de l'extrémité inférieure du tibia et du péroné. Les traumatismes ont été classés selon les critères de Salter et Harris. Ces traumatismes touchent préférentiellement les garçons. L'âge moyen de la série est de 13 ans. Les accidents sportifs constituent l'étiologie principale. Les traitements réalisés ont été les suivants : traitement orthopédique isolé ou associé à un embrochage percutané du péroné 35 cas (46 %) ; traitement chirurgical 45 cas (54 %). Les résultats ont été jugés en fonction de plusieurs critères : cliniques, anatomocliniques, radiologiques et thérapeutiques. Les résultats globaux se répartissent de la manière suivante : bons et très bons résultats 90 % ; résultats myens 6 % ; mauvais résultats 4 %. La principale complication de notre série a été les troubles de croissance. Nous notons 4 épiphysiodèses de l'extrémité inférieure du tibia: 3 partielles et 1 totale. L'épiphysiodèse semble favorisée par deux principaux facteurs : la violence du traumatisme intial et l'insuffisance de la réduction.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLes pièges radiologiques de la traumatologie du coude chez l'enfant / MALLET J.-F. in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/3 (novembre 1998)
[article]
Titre : Les pièges radiologiques de la traumatologie du coude chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : MALLET J.-F. ; BRONFEN C. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 173 - 177 Résumé : L'ossification du coude de l'enfant peut rendre difficile l'interprétation des images radiographiques et être à l'origine de pièges et d'erreurs diagnostiques, thérapeutiques et évolutives. La connaissance de la croissance et de l'ossification des constituants de l'articulation, noyaux épiphysaires et apophysaires, permet de poser un diagnostic lésionnel précis, de faire la part de ce qui revient à un traumatisme ou à une autre affection, malformative ou tumorale, voire médicale dans la symptomatologie fonctionnelle du coude de l'enfant et de l'adolescent, sportif ou non.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14570
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 173 - 177[article] Les pièges radiologiques de la traumatologie du coude chez l'enfant [texte imprimé] / MALLET J.-F. ; BRONFEN C. . - 1998 . - p. 173 - 177.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 173 - 177
Résumé : L'ossification du coude de l'enfant peut rendre difficile l'interprétation des images radiographiques et être à l'origine de pièges et d'erreurs diagnostiques, thérapeutiques et évolutives. La connaissance de la croissance et de l'ossification des constituants de l'articulation, noyaux épiphysaires et apophysaires, permet de poser un diagnostic lésionnel précis, de faire la part de ce qui revient à un traumatisme ou à une autre affection, malformative ou tumorale, voire médicale dans la symptomatologie fonctionnelle du coude de l'enfant et de l'adolescent, sportif ou non.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLes ruptures de l'extrémité inférieure du biceps brachial chez le sportif / CATONNE Y. in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/3 (novembre 1998)
[article]
Titre : Les ruptures de l'extrémité inférieure du biceps brachial chez le sportif Type de document : texte imprimé Auteurs : CATONNE Y. ; COMBELLES F. ; DELATTRE O. ; DUPONT P. ; PASCAL-MOUSSELARD H. ; ROUVILLAIN J.-L. ; BENMANSOUR B. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 146 - 152 Résumé : Dix-neuf ruptures basses du tendon du biceps brachial provenant d'une étude multicentrique, survenues au cours de la pratique sportive sont étudiées. Il s'agissait de 19 hommes âgés de 27 à 62 ans, moyenne : 47 ans. Les sports pratiqués étaient le plus souvent les sports de contact (judo et rugby), les sports de force (haltérophilie et culturisme), la gymnastique et les sports mécaniques. Le mécanisme causal constituait toujours en une extension passive s'opposant à une flexion active. Le diagnostic a le plus souvent été fait cliniquement, avec un délai souvent long du fait du caractère tardif de la première consultation ; 8 jour en moyenne. Echographie, scanner, ou IRM s'avèrent surtout utiles dans les cas vus tardivement. Le traitement a été chirurgical 17 fois et conservateur 2 fois. Dans 11 cas, une réinsertion sur la tubérosité bicipitale a été réalisée. 6 fois, une suture du biceps au brachial antérieur a été faite. Le type anatomique de la rupture a été précisé 15 fois sur 17 interventions. Dans 14 cas, s'agissait d'une avulsion complète de la tubérosité bicipitale, dans un cas seulement d'une rupture en zone tendineuse. Les complications post-opératoires ont consisté en une paralysie radiale régressive en 1 an et un hématome nécessitant un drainage. Les résultats subjectifs ont été jugés bons 17 fois, assez bons une fois, mauvais une fois. Les résultats objectifs n'ont été précisés que dans 4 cas de cette série de 19 patients. En ce qui concerne le niveau sportif, dans 8 cas la reprise à niveau identique a été possible. Dans 5 cas, la reprise a été faite à un niveau inférieur ; dans 5 cas, elle est non précisée. Au total, les lésions surviennent chez le sportif souvent au-delà de la quarantaine. La restauration de la force de supination n'est possible que par une réinsertion anatomique du tendon. Le risque de complication nerveuse par compression de la branche postérieure du nerf radial est moindre si l'on utilise deux voies d'abord pour cette réinsertion.
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in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 146 - 152[article] Les ruptures de l'extrémité inférieure du biceps brachial chez le sportif [texte imprimé] / CATONNE Y. ; COMBELLES F. ; DELATTRE O. ; DUPONT P. ; PASCAL-MOUSSELARD H. ; ROUVILLAIN J.-L. ; BENMANSOUR B. . - 1998 . - p. 146 - 152.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 146 - 152
Résumé : Dix-neuf ruptures basses du tendon du biceps brachial provenant d'une étude multicentrique, survenues au cours de la pratique sportive sont étudiées. Il s'agissait de 19 hommes âgés de 27 à 62 ans, moyenne : 47 ans. Les sports pratiqués étaient le plus souvent les sports de contact (judo et rugby), les sports de force (haltérophilie et culturisme), la gymnastique et les sports mécaniques. Le mécanisme causal constituait toujours en une extension passive s'opposant à une flexion active. Le diagnostic a le plus souvent été fait cliniquement, avec un délai souvent long du fait du caractère tardif de la première consultation ; 8 jour en moyenne. Echographie, scanner, ou IRM s'avèrent surtout utiles dans les cas vus tardivement. Le traitement a été chirurgical 17 fois et conservateur 2 fois. Dans 11 cas, une réinsertion sur la tubérosité bicipitale a été réalisée. 6 fois, une suture du biceps au brachial antérieur a été faite. Le type anatomique de la rupture a été précisé 15 fois sur 17 interventions. Dans 14 cas, s'agissait d'une avulsion complète de la tubérosité bicipitale, dans un cas seulement d'une rupture en zone tendineuse. Les complications post-opératoires ont consisté en une paralysie radiale régressive en 1 an et un hématome nécessitant un drainage. Les résultats subjectifs ont été jugés bons 17 fois, assez bons une fois, mauvais une fois. Les résultats objectifs n'ont été précisés que dans 4 cas de cette série de 19 patients. En ce qui concerne le niveau sportif, dans 8 cas la reprise à niveau identique a été possible. Dans 5 cas, la reprise a été faite à un niveau inférieur ; dans 5 cas, elle est non précisée. Au total, les lésions surviennent chez le sportif souvent au-delà de la quarantaine. La restauration de la force de supination n'est possible que par une réinsertion anatomique du tendon. Le risque de complication nerveuse par compression de la branche postérieure du nerf radial est moindre si l'on utilise deux voies d'abord pour cette réinsertion.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtUtilisation de l'orthèse de stabilisation Malleoloc dans le traitement des entorses tibio-taliennes externes : Protocole d'étude 1996 / WATIN-AUGOUARD L. in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/3 (novembre 1998)
[article]
Titre : Utilisation de l'orthèse de stabilisation Malleoloc dans le traitement des entorses tibio-taliennes externes : Protocole d'étude 1996 Type de document : texte imprimé Auteurs : WATIN-AUGOUARD L. ; LECLUSE J. de Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 194 - 199 Résumé : Les lésions ligamentaires externes de la cheville, d'une fréquence considérable, n'ont pas toujours l'innocuité que supposerait leur prétendue bénignité. En restant adaptées à la gravité des lésions, dont la définition reste d'ailleurs difficile, les méthodes thérapeutiques, très variées, devraient toutes avoir pour but d'obtenir la récupération d'une cheville stable, sans laxité, mobile et indolore ; et de limiter au maximum les complications iatrogènes et le coût thérapeutique dans lequel intervient la durée d'incapacité professionnelle. Cette étude multicentrique veut démontrer l'intérêt de l'utilisation d'une orthèse de contention afin d'obtenir les meilleurs résultats en parallèle à un rapport coût-efficacité performant.
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in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 194 - 199[article] Utilisation de l'orthèse de stabilisation Malleoloc dans le traitement des entorses tibio-taliennes externes : Protocole d'étude 1996 [texte imprimé] / WATIN-AUGOUARD L. ; LECLUSE J. de . - 1998 . - p. 194 - 199.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/3 (novembre 1998) . - p. 194 - 199
Résumé : Les lésions ligamentaires externes de la cheville, d'une fréquence considérable, n'ont pas toujours l'innocuité que supposerait leur prétendue bénignité. En restant adaptées à la gravité des lésions, dont la définition reste d'ailleurs difficile, les méthodes thérapeutiques, très variées, devraient toutes avoir pour but d'obtenir la récupération d'une cheville stable, sans laxité, mobile et indolore ; et de limiter au maximum les complications iatrogènes et le coût thérapeutique dans lequel intervient la durée d'incapacité professionnelle. Cette étude multicentrique veut démontrer l'intérêt de l'utilisation d'une orthèse de contention afin d'obtenir les meilleurs résultats en parallèle à un rapport coût-efficacité performant.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14763 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
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