Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Journal de traumatologie du sport . vol. 19/3Mention de date : 2002 Paru le : 01/10/2002 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierÉpaule et isocinétisme : revue de la littérature / GIMET G. in Journal de traumatologie du sport, vol. 19/3 (2002)
[article]
Titre : Épaule et isocinétisme : revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : GIMET G. ; A. Delarque ; J.-M. Viton ; Jean-Marie Coudreuse Année de publication : 2002 Article en page(s) : P. 152-158 Résumé : Cette bibliographie concernant « l'épaule et l'isocinétisme » a permis de retrouver 176 articles dans la littérature. L'isocinétisme, technique utilisée depuis une trentaine d'années en Médecine physique et Réadaptation, permet d'évaluer la force musculaire de façon objective et reproductible afin de quantifier un déficit d'un groupe musculaire (agoniste par rapport aux antagonistes par exemple). Cette technique peut être utilisée aussi bien sur des sujets sains et sportifs que chez des sujets convalescents ou âgés. Les vitesses habituellement utilisées sont de 60° sec et 180° sec. Le nombre de répétitions est fonction du type de travail, concentrique ou excentrique: généralement important à vitesse rapide en concentrique (souvent 10 à 20 répétitions), il est toujours inférieur à 5 quand le travail s'effectue en excentrique ou à vitesse lente en concentrique. Il existe en effet une relation inverse force-vitesse qui montre que, lors d'un travail concentrique, la force diminue quand la vitesse augmente. La position du sujet sur la machine est extrêmement importante et un changement de celle-ci peut entraîner une modification des valeurs de force obtenues. La position actuellement la plus utilisée est celle de Davies modifiée. Enfin, de plus en plus d'études prennent en compte les ratios agonistes en concentrique sur antagonistes en excentrique, reflétant davantage la physiologie musculaire lors d'un geste sportif ou non. Peu d'études proposent des protocoles complets de rééducation utilisant l'isocinétisme. Celui-ci est le plus souvent utilisé comme un outil d'évaluation ponctuelle guidant la rééducation manuelle.
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in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/3 (2002) . - P. 152-158[article] Épaule et isocinétisme : revue de la littérature [texte imprimé] / GIMET G. ; A. Delarque ; J.-M. Viton ; Jean-Marie Coudreuse . - 2002 . - P. 152-158.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/3 (2002) . - P. 152-158
Résumé : Cette bibliographie concernant « l'épaule et l'isocinétisme » a permis de retrouver 176 articles dans la littérature. L'isocinétisme, technique utilisée depuis une trentaine d'années en Médecine physique et Réadaptation, permet d'évaluer la force musculaire de façon objective et reproductible afin de quantifier un déficit d'un groupe musculaire (agoniste par rapport aux antagonistes par exemple). Cette technique peut être utilisée aussi bien sur des sujets sains et sportifs que chez des sujets convalescents ou âgés. Les vitesses habituellement utilisées sont de 60° sec et 180° sec. Le nombre de répétitions est fonction du type de travail, concentrique ou excentrique: généralement important à vitesse rapide en concentrique (souvent 10 à 20 répétitions), il est toujours inférieur à 5 quand le travail s'effectue en excentrique ou à vitesse lente en concentrique. Il existe en effet une relation inverse force-vitesse qui montre que, lors d'un travail concentrique, la force diminue quand la vitesse augmente. La position du sujet sur la machine est extrêmement importante et un changement de celle-ci peut entraîner une modification des valeurs de force obtenues. La position actuellement la plus utilisée est celle de Davies modifiée. Enfin, de plus en plus d'études prennent en compte les ratios agonistes en concentrique sur antagonistes en excentrique, reflétant davantage la physiologie musculaire lors d'un geste sportif ou non. Peu d'études proposent des protocoles complets de rééducation utilisant l'isocinétisme. Celui-ci est le plus souvent utilisé comme un outil d'évaluation ponctuelle guidant la rééducation manuelle.
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Exclu du prêtÉpidémiologie des traumatismes du coude lors de la pratique du golf / PROTHOY I. in Journal de traumatologie du sport, vol. 19/3 (2002)
[article]
Titre : Épidémiologie des traumatismes du coude lors de la pratique du golf Type de document : texte imprimé Auteurs : PROTHOY I. ; D. Poux Année de publication : 2002 Article en page(s) : P. 159-169 Résumé : Cette étude se propose de démembrer les pathologies du coude chez le golfeur et de retrouver les facteurs favorisant ces lésions. Nous avons examiné les coudes et la technique de 103 patients, que nous avons comparés à 122 joueurs sains, à l'aide de tests statistiques. Notre étude met en évidence la grande fréquence de neuropathies canalaires de la branche postérieure du nerf radial dans le cadre d'épicondylalgies du golfeur, notamment chez la femme. Par ailleurs, nous observons que ces pathologies du coude touchent plus fréquemment la femme que l'homme, et que le classique « golf elbow » est nettement moins fréquent que le « tennis elbow ». Nous retrouvons des lésions tendineuses basses du biceps et du triceps qui nous apparaissent rares mais non exceptionnelles. De même, la fréquence d'atteintes multiples du coude chez un même joueur, qu'elles soient successives ou simultanées, nous semble importante. Sur le plan physiologique, l'âge élevé, le sexe féminin, le surentraînement sont des facteurs favorisant les traumatismes. Sur le plan technique, un mauvais grip, un plan de swing vertical, une crispation exagérée ou la réalisation fréquente de « mauvais coups » favorisent les traumatismes. Sur le plan matériel, l'utilisation de manches de clubs raides ou d'un grip usé favorisent les lésions. Sur le plan environnemental, la pratique du practice sur sol dur apparaît néfaste.
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in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/3 (2002) . - P. 159-169[article] Épidémiologie des traumatismes du coude lors de la pratique du golf [texte imprimé] / PROTHOY I. ; D. Poux . - 2002 . - P. 159-169.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/3 (2002) . - P. 159-169
Résumé : Cette étude se propose de démembrer les pathologies du coude chez le golfeur et de retrouver les facteurs favorisant ces lésions. Nous avons examiné les coudes et la technique de 103 patients, que nous avons comparés à 122 joueurs sains, à l'aide de tests statistiques. Notre étude met en évidence la grande fréquence de neuropathies canalaires de la branche postérieure du nerf radial dans le cadre d'épicondylalgies du golfeur, notamment chez la femme. Par ailleurs, nous observons que ces pathologies du coude touchent plus fréquemment la femme que l'homme, et que le classique « golf elbow » est nettement moins fréquent que le « tennis elbow ». Nous retrouvons des lésions tendineuses basses du biceps et du triceps qui nous apparaissent rares mais non exceptionnelles. De même, la fréquence d'atteintes multiples du coude chez un même joueur, qu'elles soient successives ou simultanées, nous semble importante. Sur le plan physiologique, l'âge élevé, le sexe féminin, le surentraînement sont des facteurs favorisant les traumatismes. Sur le plan technique, un mauvais grip, un plan de swing vertical, une crispation exagérée ou la réalisation fréquente de « mauvais coups » favorisent les traumatismes. Sur le plan matériel, l'utilisation de manches de clubs raides ou d'un grip usé favorisent les lésions. Sur le plan environnemental, la pratique du practice sur sol dur apparaît néfaste.
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Exclu du prêtL'embrochage intermétacarpien des fractures de Bennett / KASMAOUI H. in Journal de traumatologie du sport, vol. 19/3 (2002)
[article]
Titre : L'embrochage intermétacarpien des fractures de Bennett Type de document : texte imprimé Auteurs : KASMAOUI H. ; KADI S. ; LAZREK K. H. ; TANANE M. ; TAOUBANE H. ; BOUSSOUGA M. Année de publication : 2002 Article en page(s) : P. 147-151 Résumé : Les auteurs rapportent une série de 16 fractures de Bennett traitées entre 1990 et 1999. Les patients, tous de sexe masculin, ont un âge moyen de 27,5 ans et les étiologies sont dominées par les chutes sur la main, pouce en abduction (9 cas soit 56,2 %). Les incidences radiographiques, selon Kapandji, ont montré une fracture de Bennett à gros fragment dans 7 cas et à petit fragment dans 9 cas, ainsi qu'une fracture associée du trapèze. Le traitement a consisté en un double embrochage intermétacarpien, selon Tubiana, dans 12 cas (75 %) et selon Iselin dans 4 cas (25 %) devant des fractures à très petit fragment interne. Globalement, 12 résultats sont excellents (75 %), 3 bons (18,7 %) et un résultat est médiocre (6,2 %). Le double embrochage intermétacarpien permet une contention stable et la consolidation des fractures de Bennett avec une bonne fonction de la colonne du pouce.
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in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/3 (2002) . - P. 147-151[article] L'embrochage intermétacarpien des fractures de Bennett [texte imprimé] / KASMAOUI H. ; KADI S. ; LAZREK K. H. ; TANANE M. ; TAOUBANE H. ; BOUSSOUGA M. . - 2002 . - P. 147-151.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/3 (2002) . - P. 147-151
Résumé : Les auteurs rapportent une série de 16 fractures de Bennett traitées entre 1990 et 1999. Les patients, tous de sexe masculin, ont un âge moyen de 27,5 ans et les étiologies sont dominées par les chutes sur la main, pouce en abduction (9 cas soit 56,2 %). Les incidences radiographiques, selon Kapandji, ont montré une fracture de Bennett à gros fragment dans 7 cas et à petit fragment dans 9 cas, ainsi qu'une fracture associée du trapèze. Le traitement a consisté en un double embrochage intermétacarpien, selon Tubiana, dans 12 cas (75 %) et selon Iselin dans 4 cas (25 %) devant des fractures à très petit fragment interne. Globalement, 12 résultats sont excellents (75 %), 3 bons (18,7 %) et un résultat est médiocre (6,2 %). Le double embrochage intermétacarpien permet une contention stable et la consolidation des fractures de Bennett avec une bonne fonction de la colonne du pouce.
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Exclu du prêtLe traumatisme dans la genèse des spondylarthropathies : à propos de 4 cas / FLIN C. in Journal de traumatologie du sport, vol. 19/3 (2002)
[article]
Titre : Le traumatisme dans la genèse des spondylarthropathies : à propos de 4 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : FLIN C. ; FULPIN J. ; CHOUC P. Y. Année de publication : 2002 Article en page(s) : P. 141-146 Résumé : Le rôle du traumatisme dans la genèse des rhumatismes inflammatoires est très discuté. Outre l'intérêt pathogénique, ce lien a surtout des implications médico-légales majeures. Nous relatons 4 observations personnelles de spondylarthropathies pour lesquelles un traumatisme, en général sévère, a fait suspecter un rôle dans la genèse ou l'aspect évolutif du traumatisme. À partir de ces observations et d'une revue de la littérature, les auteurs discutent les relations entre traumatisme et rhumatisme inflammatoire chronique. Des critères d'imputabilité ont été définis par différents travaux français, néanmoins la responsabilité du traumatisme peut se discuter sous différents angles: rôle aggravant ou localisateur, ou rôle révélateur ou même déclenchant. Grâce à cette approche, les auteurs essaient d'apporter des éléments permettant de retenir une imputabilité et donc une réparation.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14515
in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/3 (2002) . - P. 141-146[article] Le traumatisme dans la genèse des spondylarthropathies : à propos de 4 cas [texte imprimé] / FLIN C. ; FULPIN J. ; CHOUC P. Y. . - 2002 . - P. 141-146.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/3 (2002) . - P. 141-146
Résumé : Le rôle du traumatisme dans la genèse des rhumatismes inflammatoires est très discuté. Outre l'intérêt pathogénique, ce lien a surtout des implications médico-légales majeures. Nous relatons 4 observations personnelles de spondylarthropathies pour lesquelles un traumatisme, en général sévère, a fait suspecter un rôle dans la genèse ou l'aspect évolutif du traumatisme. À partir de ces observations et d'une revue de la littérature, les auteurs discutent les relations entre traumatisme et rhumatisme inflammatoire chronique. Des critères d'imputabilité ont été définis par différents travaux français, néanmoins la responsabilité du traumatisme peut se discuter sous différents angles: rôle aggravant ou localisateur, ou rôle révélateur ou même déclenchant. Grâce à cette approche, les auteurs essaient d'apporter des éléments permettant de retenir une imputabilité et donc une réparation.
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Exclu du prêtLésions ostéochondrales du dôme astragalien chez le sportif : traitement chirurgical à propos de 17 cas / JARDE O. in Journal de traumatologie du sport, vol. 19/3 (2002)
[article]
Titre : Lésions ostéochondrales du dôme astragalien chez le sportif : traitement chirurgical à propos de 17 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : JARDE O. ; DAMOTTE A. ; GUERIAT F. ; OLORY B. ; BELLOT F. Année de publication : 2002 Article en page(s) : P. 133-140 Résumé : Les auteurs ont revu 17 cas de lésions ostéochondrales du dôme astragalien chez le sportif traitées chirurgicalement. Quatorze avaient des antécédents traumatiques. Le délai d'évolution était en moyenne de 10 mois. Le traitement a toujours comporté un curetage de la lésion ostéochondrale avec des perforations selon Pridie. Il a été réalisé par 8 abords directs, 3 ostéotomies malléolaires et 6 arthroscopies. Il a été complété par 6 greffes spongieuses. Le recul moyen est de 3 ans 7 mois (minimum 2 ans). Tous ont eu, au moment de la révision, un arthroscanner. Les résultats post-opératoires ont été appréciés selon des critères cliniques et arthroscanographiques. Les auteurs insistent sur l'intérêt de la classification FOG (Fracture Ostéonécrose Géode) et les conclusions étio-physiopathologiques et pronostiques qui en découlent en soulignant l'absence d'intérêt de la classification de Berndt et Harty. Seules les lésions symptomatiques doivent être traitées et seul le traitement chirurgical à ce stade peut avoir une efficacité par arthroscopie ou abord direct avec greffe spongieuse. Le traitement chirurgical donne plus de 75 % de très bons résultats avec disparition de la douleur, amélioration du périmètre de marche. Les auteurs préconisent en cas de nécrose localisée un curetage perforation arthroscopique. En présence d'une perte de substance importante, il faut faire, en plus, un comblement spongieux par abord direct avec greffe spongieuse.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14587
in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/3 (2002) . - P. 133-140[article] Lésions ostéochondrales du dôme astragalien chez le sportif : traitement chirurgical à propos de 17 cas [texte imprimé] / JARDE O. ; DAMOTTE A. ; GUERIAT F. ; OLORY B. ; BELLOT F. . - 2002 . - P. 133-140.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/3 (2002) . - P. 133-140
Résumé : Les auteurs ont revu 17 cas de lésions ostéochondrales du dôme astragalien chez le sportif traitées chirurgicalement. Quatorze avaient des antécédents traumatiques. Le délai d'évolution était en moyenne de 10 mois. Le traitement a toujours comporté un curetage de la lésion ostéochondrale avec des perforations selon Pridie. Il a été réalisé par 8 abords directs, 3 ostéotomies malléolaires et 6 arthroscopies. Il a été complété par 6 greffes spongieuses. Le recul moyen est de 3 ans 7 mois (minimum 2 ans). Tous ont eu, au moment de la révision, un arthroscanner. Les résultats post-opératoires ont été appréciés selon des critères cliniques et arthroscanographiques. Les auteurs insistent sur l'intérêt de la classification FOG (Fracture Ostéonécrose Géode) et les conclusions étio-physiopathologiques et pronostiques qui en découlent en soulignant l'absence d'intérêt de la classification de Berndt et Harty. Seules les lésions symptomatiques doivent être traitées et seul le traitement chirurgical à ce stade peut avoir une efficacité par arthroscopie ou abord direct avec greffe spongieuse. Le traitement chirurgical donne plus de 75 % de très bons résultats avec disparition de la douleur, amélioration du périmètre de marche. Les auteurs préconisent en cas de nécrose localisée un curetage perforation arthroscopique. En présence d'une perte de substance importante, il faut faire, en plus, un comblement spongieux par abord direct avec greffe spongieuse.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLuxation de hanche au rugby : à propos de 3 cas, analyse du mécanisme et revue de la littérature / DESNOYERS V. in Journal de traumatologie du sport, vol. 19/3 (2002)
[article]
Titre : Luxation de hanche au rugby : à propos de 3 cas, analyse du mécanisme et revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : DESNOYERS V. ; MABIT C. ; OKSMAN A. ; PROUST J. ; ARIBIT F. Année de publication : 2002 Article en page(s) : P. 170-172 Résumé : Les auteurs rapportent 3 observations de luxation de hanche lors de la pratique du rugby. Dans tous les cas, le sens du déplacement est postérieur. Un cas est une luxation simple, un autre cas est associé à une fracture de la colonne postérieure du cotyle. Pour le dernier patient, il s'agit d'une récidive d'un premier épisode de luxation survenu 20 ans auparavant toujours au rugby; associé pour chaque épisode à une atteinte nerveuse. Le traitement a fait appel à une réduction sous anesthésie générale à foyer fermé pour 2 cas et par voie sanglante pour la récidive. Deux patients ont bénéficié d'une traction pendant 4 semaines. Deux patients ont repris le rugby en moyenne à un an de l'accident avec une bonne évolution clinique et radiographique. Le dernier patient présente une récupération neurologique partielle. Il ne présente pas de douleur majeur au niveau de la hanche. Il a repris une activité d'entraîneur au sein d'une école de rugby. La luxation de hanche au rugby est un événement rare et redoutable. Une analyse du mécanisme de survenue est présentée avec une revue de la littérature.
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in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/3 (2002) . - P. 170-172[article] Luxation de hanche au rugby : à propos de 3 cas, analyse du mécanisme et revue de la littérature [texte imprimé] / DESNOYERS V. ; MABIT C. ; OKSMAN A. ; PROUST J. ; ARIBIT F. . - 2002 . - P. 170-172.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/3 (2002) . - P. 170-172
Résumé : Les auteurs rapportent 3 observations de luxation de hanche lors de la pratique du rugby. Dans tous les cas, le sens du déplacement est postérieur. Un cas est une luxation simple, un autre cas est associé à une fracture de la colonne postérieure du cotyle. Pour le dernier patient, il s'agit d'une récidive d'un premier épisode de luxation survenu 20 ans auparavant toujours au rugby; associé pour chaque épisode à une atteinte nerveuse. Le traitement a fait appel à une réduction sous anesthésie générale à foyer fermé pour 2 cas et par voie sanglante pour la récidive. Deux patients ont bénéficié d'une traction pendant 4 semaines. Deux patients ont repris le rugby en moyenne à un an de l'accident avec une bonne évolution clinique et radiographique. Le dernier patient présente une récupération neurologique partielle. Il ne présente pas de douleur majeur au niveau de la hanche. Il a repris une activité d'entraîneur au sein d'une école de rugby. La luxation de hanche au rugby est un événement rare et redoutable. Une analyse du mécanisme de survenue est présentée avec une revue de la littérature.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtRupture du tendon d'Achille chez le sportif rééducation et évaluation à plus de 2 ans, en moyenne, de l'intervention : à propos d'une série de 36 cas / SAVALLI L in Journal de traumatologie du sport, vol. 19/3 (2002)
[article]
Titre : Rupture du tendon d'Achille chez le sportif rééducation et évaluation à plus de 2 ans, en moyenne, de l'intervention : à propos d'une série de 36 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : SAVALLI L ; PUIG P. ; P. TROUVE ; P. MIDDLETON Année de publication : 2002 Article en page(s) : P. 125-132 Résumé : La rupture du tendon d'Achille constitue une blessure relativement rare chez le sportif et concerne la pratique de sports particulièrement contraignants, en premier lieu, statistiquement, les sports collectifs de ballon et les sports de raquette. Le traitement chirurgical, selon la technique classique ou percutanée, donne des résultats fonctionnels tout à fait satisfaisants. Après d'autres travaux, c'est ce qu'atteste cette étude, portant sur 36 sportifs, tous compétiteurs, âgés en moyenne de 30 ans et hospitalisés au CERS au décours d'une intervention chirurgicale pour rupture du tendon d'Achille. Dans leur grande majorité, les patients ont bénéficié d'une technique classique avec ou sans renfort. Les sportifs ont été interrogés à distance par questionnaire à plus de 2 ans de l'intervention en moyenne. Le taux de réponse effective au questionnaire est de 55 % (20 réponses). Un certain nombre nous a été retourné par la poste pour cause de changement d'adresse. Les sportifs qui ont répondu au questionnaire ont tous repris le sport à 6,78 mois +-2,43 en moyenne, 15 en compétition (75 %) dont 14 au niveau antérieur à la blessure (74 %). Parmi ceux qui n'ont pas repris la compétition, 2 (10 %) mettent en cause leur blessure achilléenne. Seize sportifs (80 %) se disent satisfaits ou très satisfaits du résultat. Au moment de l'enquête, le niveau douloureux évalué sur l'échelle visuelle analogique apparaît très bas à 0,36 10 +-0,68. Les auteurs insistent sur l'importance de la rééducation pour la qualité du résultat fonctionnel final et discutent des modalités de celle-ci.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14679
in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/3 (2002) . - P. 125-132[article] Rupture du tendon d'Achille chez le sportif rééducation et évaluation à plus de 2 ans, en moyenne, de l'intervention : à propos d'une série de 36 cas [texte imprimé] / SAVALLI L ; PUIG P. ; P. TROUVE ; P. MIDDLETON . - 2002 . - P. 125-132.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/3 (2002) . - P. 125-132
Résumé : La rupture du tendon d'Achille constitue une blessure relativement rare chez le sportif et concerne la pratique de sports particulièrement contraignants, en premier lieu, statistiquement, les sports collectifs de ballon et les sports de raquette. Le traitement chirurgical, selon la technique classique ou percutanée, donne des résultats fonctionnels tout à fait satisfaisants. Après d'autres travaux, c'est ce qu'atteste cette étude, portant sur 36 sportifs, tous compétiteurs, âgés en moyenne de 30 ans et hospitalisés au CERS au décours d'une intervention chirurgicale pour rupture du tendon d'Achille. Dans leur grande majorité, les patients ont bénéficié d'une technique classique avec ou sans renfort. Les sportifs ont été interrogés à distance par questionnaire à plus de 2 ans de l'intervention en moyenne. Le taux de réponse effective au questionnaire est de 55 % (20 réponses). Un certain nombre nous a été retourné par la poste pour cause de changement d'adresse. Les sportifs qui ont répondu au questionnaire ont tous repris le sport à 6,78 mois +-2,43 en moyenne, 15 en compétition (75 %) dont 14 au niveau antérieur à la blessure (74 %). Parmi ceux qui n'ont pas repris la compétition, 2 (10 %) mettent en cause leur blessure achilléenne. Seize sportifs (80 %) se disent satisfaits ou très satisfaits du résultat. Au moment de l'enquête, le niveau douloureux évalué sur l'échelle visuelle analogique apparaît très bas à 0,36 10 +-0,68. Les auteurs insistent sur l'importance de la rééducation pour la qualité du résultat fonctionnel final et discutent des modalités de celle-ci.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14679 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtSynostose calcanéo-naviculaire : à propos d'un cas clinique et revue de la littérature / VANMARSENILLE J. M. in Journal de traumatologie du sport, vol. 19/3 (2002)
[article]
Titre : Synostose calcanéo-naviculaire : à propos d'un cas clinique et revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : VANMARSENILLE J. M. ; VAN DE BERG B. ; ROMBOUTS J.-J. Année de publication : 2002 Article en page(s) : P. 173-176 Résumé : Les synostoses du tarse sont des anomalies peu fréquentes que l'on découvre en général durant l'adolescence. L'anamnèse (douleurs, entorses), l'examen clinique (recrudescence des plaintes en varus, en valgus,...) et les radiographies simples des pieds permettent en général de poser le diagnostic. Des examens complémentaires sont réalisés pour rechercher une fissure de la barre (scintigraphie) ou analyser sa morphologie en prévision d'une intervention chirurgicale (scanner avec reconstruction tridimensionnelle). Le traitement conservateur est prescrit d'emblée. Néanmoins, en cas de soulagement insuffisant, le traitement chirurgical peut être envisagé, la résection de la synostose ou l'arthrodèse étant préférée en fonction de l'importance des lésions arthrosiques secondaires.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14702
in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/3 (2002) . - P. 173-176[article] Synostose calcanéo-naviculaire : à propos d'un cas clinique et revue de la littérature [texte imprimé] / VANMARSENILLE J. M. ; VAN DE BERG B. ; ROMBOUTS J.-J. . - 2002 . - P. 173-176.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/3 (2002) . - P. 173-176
Résumé : Les synostoses du tarse sont des anomalies peu fréquentes que l'on découvre en général durant l'adolescence. L'anamnèse (douleurs, entorses), l'examen clinique (recrudescence des plaintes en varus, en valgus,...) et les radiographies simples des pieds permettent en général de poser le diagnostic. Des examens complémentaires sont réalisés pour rechercher une fissure de la barre (scintigraphie) ou analyser sa morphologie en prévision d'une intervention chirurgicale (scanner avec reconstruction tridimensionnelle). Le traitement conservateur est prescrit d'emblée. Néanmoins, en cas de soulagement insuffisant, le traitement chirurgical peut être envisagé, la résection de la synostose ou l'arthrodèse étant préférée en fonction de l'importance des lésions arthrosiques secondaires.
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