Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
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Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
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[article]
Titre : ENTORSES GRAVES DU RACHIS CERVICAL INFERIEUR CHEZ LE SPORTIF : A PROPOS DECINQ CAS Type de document : texte imprimé Auteurs : LAPORTE C. ; E. Rolland ; G. SAILLANT ; RAMARE S. Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 159 - 164 Mots-clés : Rachis cervical Résumé : Les auteurs rapportent 5 cas d'entorses graves du rachis cervical inférieur survenues chez des sportifs traités entre 1980 et 1995 dans le service de chirurgie orthopédique du centre hospitalier de la Pitié. De nombreux sports comportent des risques de traumatisme sévère du rachis cervical (rugby, équitation, sport automobile...). Les entorses graves ne sont néanmoins pas des lésions fréquemment retrouvées. L'entorse grave est une pathologie traumatique rare secondaire à une rupture des éléments disco-ligamentaires intervertébraux. On distingue les entorses en flexion, les plus fréquentes, et les entorses en extension. Leur diagnostic est délicat car uniquement radiologique. Il s'agit d'une "subluxation" vertébrale diagnostiquée sur des radiographies du rachis cervical de profil au repos ou lors de clichés dynamiques réalisés à distance de l'accident. Le risque de méconnaître une telle lésion est de la laisser évoluer vers un cal vicieux car il n'existe aucune tendance à la cicatrisation du ligament longitudinal postérieur. En cas d'entorse grave en flexion sans signe neurologique ou simple irradiation douloureuse aux membres supérieurs, les auteurs proposent une fixation de l'étage lésé par voie postérieure. En revanche, une entorse grave en extension nécessite une stabilisation par voie antérieure.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14341
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 159 - 164[article] ENTORSES GRAVES DU RACHIS CERVICAL INFERIEUR CHEZ LE SPORTIF : A PROPOS DECINQ CAS [texte imprimé] / LAPORTE C. ; E. Rolland ; G. SAILLANT ; RAMARE S. . - 1997 . - p. 159 - 164.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 159 - 164
Mots-clés : Rachis cervical Résumé : Les auteurs rapportent 5 cas d'entorses graves du rachis cervical inférieur survenues chez des sportifs traités entre 1980 et 1995 dans le service de chirurgie orthopédique du centre hospitalier de la Pitié. De nombreux sports comportent des risques de traumatisme sévère du rachis cervical (rugby, équitation, sport automobile...). Les entorses graves ne sont néanmoins pas des lésions fréquemment retrouvées. L'entorse grave est une pathologie traumatique rare secondaire à une rupture des éléments disco-ligamentaires intervertébraux. On distingue les entorses en flexion, les plus fréquentes, et les entorses en extension. Leur diagnostic est délicat car uniquement radiologique. Il s'agit d'une "subluxation" vertébrale diagnostiquée sur des radiographies du rachis cervical de profil au repos ou lors de clichés dynamiques réalisés à distance de l'accident. Le risque de méconnaître une telle lésion est de la laisser évoluer vers un cal vicieux car il n'existe aucune tendance à la cicatrisation du ligament longitudinal postérieur. En cas d'entorse grave en flexion sans signe neurologique ou simple irradiation douloureuse aux membres supérieurs, les auteurs proposent une fixation de l'étage lésé par voie postérieure. En revanche, une entorse grave en extension nécessite une stabilisation par voie antérieure.
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Exclu du prêtIMPORTANCE DE LA REDUCTION ORTHOPEDIQUE EN URGENCE DANS LES FRACTURES DU RACHIS DORSO-LOMBAIRE CHEZ LE SPORTIF / DUFOUR O. in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/3 (septembre 1997)
[article]
Titre : IMPORTANCE DE LA REDUCTION ORTHOPEDIQUE EN URGENCE DANS LES FRACTURES DU RACHIS DORSO-LOMBAIRE CHEZ LE SPORTIF Type de document : texte imprimé Auteurs : DUFOUR O. ; KELBERINE F. ; SCHEINER J.-P. ; TURCAT Y. ; COUDERT X. Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 165 - 168 Résumé : L'étude de 40 cas de fractures du rachis dorso-lombaire répartis en deux groupes, selon le caractère urgent ou différé de la réduction, a permis d'objectiver l'importance de la réduction orthopédique en urgence sur la cyphose vertébrale fracturaire. Un traversin dans le dos au niveau de la fracture dès l'arrivée du malade dans le service permet cette réduction.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14408
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 165 - 168[article] IMPORTANCE DE LA REDUCTION ORTHOPEDIQUE EN URGENCE DANS LES FRACTURES DU RACHIS DORSO-LOMBAIRE CHEZ LE SPORTIF [texte imprimé] / DUFOUR O. ; KELBERINE F. ; SCHEINER J.-P. ; TURCAT Y. ; COUDERT X. . - 1997 . - p. 165 - 168.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 165 - 168
Résumé : L'étude de 40 cas de fractures du rachis dorso-lombaire répartis en deux groupes, selon le caractère urgent ou différé de la réduction, a permis d'objectiver l'importance de la réduction orthopédique en urgence sur la cyphose vertébrale fracturaire. Un traversin dans le dos au niveau de la fracture dès l'arrivée du malade dans le service permet cette réduction.
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Exclu du prêtLE SYNDROME D'EFFORT CHRONIQUE DES LOGES ANTERO-EXTERNES DE JAMBE / J.-F. Kouvalchouk in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/3 (septembre 1997)
[article]
Titre : LE SYNDROME D'EFFORT CHRONIQUE DES LOGES ANTERO-EXTERNES DE JAMBE Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-F. Kouvalchouk ; Jacques Rodineau ; E. Rolland ; PEYRE M. Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 179 - 193 Résumé : Le syndrome de loge d'effort, dans son expression chronique, au niveau des loges antérieure et externe de jambe, est l'une des causes les plus fréquentes des douleurs de jambe chez le sportif, notamment coureur à pied de fond. L'élévation des pressions intramusculaires est l'élément clef de la physiopathologie, par inadéquation entre l'augmentation du volume du muscle à l'effort et l'inextensibilité des parois de la loge musculaire. L'élévation des pressions, au-dessus du seuil critique de 30 mm Hg, entraîne un véritable cercle vicieux qui ne disparaît qu'avec l'arrêt de l'effort. Ainsi s'explique le syndrome douloureux lors de l'activité sportive, qui disparaîtra progressivement lorsque cessera l'effort, mais qui réapparaîtra pour un effort identique, au risque, toujours possible, d'évoluer alors sous une forme aiguë, véritable urgence chirurgicale. La clinique, au repos, est totalement muette, montrant cependant parfois une hernie musculaire très évocatrice. Les prises de pression, à l'effort, quel que soit l'appareillage utilisé, objectivent le syndrome non seulement par le chiffre maximum enregistré, au-dessus du " seuil critique ", mais aussi, sinon surtout, par un retour trop lent aux chiffres de repos. Parmi les examens complémentaires, seule la scintigraphie est performante, les autres ayant surtout pour but d'éliminer les diagnostics différentiels. Le traitement "médical" n'a aucune place. Le traitement chirurgical par aponévrotomie sous-cutanée (ou aponévrectomie?) est de mise chez le sportif désireux de poursuivre son activité. Il donne environ 90 % de résultats bons ou très bons.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14501
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 179 - 193[article] LE SYNDROME D'EFFORT CHRONIQUE DES LOGES ANTERO-EXTERNES DE JAMBE [texte imprimé] / J.-F. Kouvalchouk ; Jacques Rodineau ; E. Rolland ; PEYRE M. . - 1997 . - p. 179 - 193.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 179 - 193
Résumé : Le syndrome de loge d'effort, dans son expression chronique, au niveau des loges antérieure et externe de jambe, est l'une des causes les plus fréquentes des douleurs de jambe chez le sportif, notamment coureur à pied de fond. L'élévation des pressions intramusculaires est l'élément clef de la physiopathologie, par inadéquation entre l'augmentation du volume du muscle à l'effort et l'inextensibilité des parois de la loge musculaire. L'élévation des pressions, au-dessus du seuil critique de 30 mm Hg, entraîne un véritable cercle vicieux qui ne disparaît qu'avec l'arrêt de l'effort. Ainsi s'explique le syndrome douloureux lors de l'activité sportive, qui disparaîtra progressivement lorsque cessera l'effort, mais qui réapparaîtra pour un effort identique, au risque, toujours possible, d'évoluer alors sous une forme aiguë, véritable urgence chirurgicale. La clinique, au repos, est totalement muette, montrant cependant parfois une hernie musculaire très évocatrice. Les prises de pression, à l'effort, quel que soit l'appareillage utilisé, objectivent le syndrome non seulement par le chiffre maximum enregistré, au-dessus du " seuil critique ", mais aussi, sinon surtout, par un retour trop lent aux chiffres de repos. Parmi les examens complémentaires, seule la scintigraphie est performante, les autres ayant surtout pour but d'éliminer les diagnostics différentiels. Le traitement "médical" n'a aucune place. Le traitement chirurgical par aponévrotomie sous-cutanée (ou aponévrectomie?) est de mise chez le sportif désireux de poursuivre son activité. Il donne environ 90 % de résultats bons ou très bons.
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Exclu du prêtLIGAMENTOPLASTIE DE CHEVILLE PAR TRANSPLANT PERIOSTE : A PROPOS DE 35 CAS / LONIEWSKI DE NININA X. in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/3 (septembre 1997)
[article]
Titre : LIGAMENTOPLASTIE DE CHEVILLE PAR TRANSPLANT PERIOSTE : A PROPOS DE 35 CAS Type de document : texte imprimé Auteurs : LONIEWSKI DE NININA X. ; GLEIZES V. ; T. ALA EDDINE Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 153 - 158 Résumé : Les auteurs rapportent leur expérience de la ligamentoplastie au périoste associée à une retente capsulaire antérieure dans le traitement chirurgical des instabilités antéro-externes chroniques de la cheville. Cette technique a été conceptualisée dans l'optique d'augmenter la solidité de la réfection capsulo-ligamentaire et d'éviter ainsi les récidives. Il s'agit d'une série de 35 cas, opérés de 1992 à 1996, dont 30 ont été revus avec un recul supérieur à 6 mois, le recul moyen étant d'environ 2 ans. Aucun des patients n'a présenté d'entorses graves secondairement ; 86 % de ces patients sont satisfaits de leur intervention et 83 % ont amélioré ou stabilisé leur niveau d'activité sportive pré-opératoire; 27 % des malades ont eu un résultat parfait, 59 % un très bon résultat, 17 % un résultat acceptable et 10 % un mauvais résultat (selon la classification de Saillant).
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14588
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 153 - 158[article] LIGAMENTOPLASTIE DE CHEVILLE PAR TRANSPLANT PERIOSTE : A PROPOS DE 35 CAS [texte imprimé] / LONIEWSKI DE NININA X. ; GLEIZES V. ; T. ALA EDDINE . - 1997 . - p. 153 - 158.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 153 - 158
Résumé : Les auteurs rapportent leur expérience de la ligamentoplastie au périoste associée à une retente capsulaire antérieure dans le traitement chirurgical des instabilités antéro-externes chroniques de la cheville. Cette technique a été conceptualisée dans l'optique d'augmenter la solidité de la réfection capsulo-ligamentaire et d'éviter ainsi les récidives. Il s'agit d'une série de 35 cas, opérés de 1992 à 1996, dont 30 ont été revus avec un recul supérieur à 6 mois, le recul moyen étant d'environ 2 ans. Aucun des patients n'a présenté d'entorses graves secondairement ; 86 % de ces patients sont satisfaits de leur intervention et 83 % ont amélioré ou stabilisé leur niveau d'activité sportive pré-opératoire; 27 % des malades ont eu un résultat parfait, 59 % un très bon résultat, 17 % un résultat acceptable et 10 % un mauvais résultat (selon la classification de Saillant).
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Exclu du prêtPATHOLOGIE DE LA CHEVILLE ET DU TENDON D'ACHILLE LIEE A LA PRATIQUE DU TUMBLING / JAN J in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/3 (septembre 1997)
[article]
Titre : PATHOLOGIE DE LA CHEVILLE ET DU TENDON D'ACHILLE LIEE A LA PRATIQUE DU TUMBLING Type de document : texte imprimé Auteurs : JAN J ; Pierre Rochcongar ; BOULARD L. G. Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 147 - 152 Résumé : Les auteurs rapportent une étude rétrospective clinique et radiologique de la pathologie de la cheville et du tendon d'Achille parmi les membres (6 filles, 5 garçons) du centre de haut niveau de tumbling de Rennes. Tous les sujets ont présenté au moins un accident aigu et trois d'entre eux une rupture du tendon d'Achille. Tous décrivent des douleurs sous- et rétro-malléolaires internes rapportées à une hypersollicitation du tendon du jambier postérieur. De même, tous présentent des douleurs antéro-externes évoquant un syndrome de type " impingement ". Un syndrome du carrefour postérieur est retrouvé chez 6 sujets. Trois ont été opérés en raison de douleurs chroniques invalidantes. Des pseudo-blocages articulaires liés à la présence de corps étrangers intra-articulaires ont nécessité une intervention chez 2 jeunes filles. Les facteurs favorisant ces pathologies sont nombreux : la laxité articulaire, un traitement inadapté lors d'un premier accident, la répétition des micro-traumatismes, la biomécanique du geste, le matériel (piste de tumbling...). La poursuite de façon prospective de cette étude permettra la mise en place de programmes de prévention adaptés.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14622
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 147 - 152[article] PATHOLOGIE DE LA CHEVILLE ET DU TENDON D'ACHILLE LIEE A LA PRATIQUE DU TUMBLING [texte imprimé] / JAN J ; Pierre Rochcongar ; BOULARD L. G. . - 1997 . - p. 147 - 152.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 147 - 152
Résumé : Les auteurs rapportent une étude rétrospective clinique et radiologique de la pathologie de la cheville et du tendon d'Achille parmi les membres (6 filles, 5 garçons) du centre de haut niveau de tumbling de Rennes. Tous les sujets ont présenté au moins un accident aigu et trois d'entre eux une rupture du tendon d'Achille. Tous décrivent des douleurs sous- et rétro-malléolaires internes rapportées à une hypersollicitation du tendon du jambier postérieur. De même, tous présentent des douleurs antéro-externes évoquant un syndrome de type " impingement ". Un syndrome du carrefour postérieur est retrouvé chez 6 sujets. Trois ont été opérés en raison de douleurs chroniques invalidantes. Des pseudo-blocages articulaires liés à la présence de corps étrangers intra-articulaires ont nécessité une intervention chez 2 jeunes filles. Les facteurs favorisant ces pathologies sont nombreux : la laxité articulaire, un traitement inadapté lors d'un premier accident, la répétition des micro-traumatismes, la biomécanique du geste, le matériel (piste de tumbling...). La poursuite de façon prospective de cette étude permettra la mise en place de programmes de prévention adaptés.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtSPONDYLOLYSE DU SPORTIF : PHYSIOPATHOLOGIE, MANIFESTATIONS CLINIQUES ET IMAGERIE / J.-C. Le Huec in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/3 (septembre 1997)
[article]
Titre : SPONDYLOLYSE DU SPORTIF : PHYSIOPATHOLOGIE, MANIFESTATIONS CLINIQUES ET IMAGERIE Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-C. Le Huec ; DESPERIEZ M. ; DIARD F. ; LE REBELLER A. ; LIQUOIS F. ; MOINARD M. ; D. Chauveaux Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 169 - 177 Résumé : La spondylolyse dont la pathogénie est rapportée au rôle de la verticalisation, se fait le plus souvent chez le sportif par atteinte isthmique : - type A, par lyse isthmique; - type B, par allongement isthmique, - type C, par fracture traumatique aiguë de l'isthme. Les fractures de fatigue liées aux microtraumatismes sportifs répétés peuvent évoluer vers la pseudarthrose ou la consolidation avec cal hypertrophique et irrégulier. Sur le plan clinique, la spondylolyse peut être de découverte fortuite ou secondaire à l'apparition de douleurs aiguës ou chroniques. On distingue alors les formes de l'adolescent et celles de l'adulte sportif. Le bilan de l'imagerie est fonction de la symptomatologie. En cas de lombalgie aiguë : clichés radiographiques simples au besoin complétés par la tomodensitométrie (TDM). En cas de symptomatologie douloureuse invalidante avec décision d'une éventuelle intervention : radiographies simples, et si nécessaire TDM. Le but de l'imagerie est : de montrer le type de l'atteinte de l'isthme ; d'apprécier l'importance de la stabilité du glissement ; d'évaluer son retentissement sur le disque et le foramen; et enfin d'évaluer l'équilibre du bassin et celui de la lordose lombaire.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14689
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 169 - 177[article] SPONDYLOLYSE DU SPORTIF : PHYSIOPATHOLOGIE, MANIFESTATIONS CLINIQUES ET IMAGERIE [texte imprimé] / J.-C. Le Huec ; DESPERIEZ M. ; DIARD F. ; LE REBELLER A. ; LIQUOIS F. ; MOINARD M. ; D. Chauveaux . - 1997 . - p. 169 - 177.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 169 - 177
Résumé : La spondylolyse dont la pathogénie est rapportée au rôle de la verticalisation, se fait le plus souvent chez le sportif par atteinte isthmique : - type A, par lyse isthmique; - type B, par allongement isthmique, - type C, par fracture traumatique aiguë de l'isthme. Les fractures de fatigue liées aux microtraumatismes sportifs répétés peuvent évoluer vers la pseudarthrose ou la consolidation avec cal hypertrophique et irrégulier. Sur le plan clinique, la spondylolyse peut être de découverte fortuite ou secondaire à l'apparition de douleurs aiguës ou chroniques. On distingue alors les formes de l'adolescent et celles de l'adulte sportif. Le bilan de l'imagerie est fonction de la symptomatologie. En cas de lombalgie aiguë : clichés radiographiques simples au besoin complétés par la tomodensitométrie (TDM). En cas de symptomatologie douloureuse invalidante avec décision d'une éventuelle intervention : radiographies simples, et si nécessaire TDM. Le but de l'imagerie est : de montrer le type de l'atteinte de l'isthme ; d'apprécier l'importance de la stabilité du glissement ; d'évaluer son retentissement sur le disque et le foramen; et enfin d'évaluer l'équilibre du bassin et celui de la lordose lombaire.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14689 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtTRAITEMENT CHIRURGICAL DES INSTABILITES POSTERIEURES D'EPAULE PAR OSTEOTOMIE D'ANTEVERSION DU COL DE L'OMOPLATE ASSOCIEE A UNE CAPSULORRAPHIE POSTERIEURE / P. Djian in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/3 (septembre 1997)
[article]
Titre : TRAITEMENT CHIRURGICAL DES INSTABILITES POSTERIEURES D'EPAULE PAR OSTEOTOMIE D'ANTEVERSION DU COL DE L'OMOPLATE ASSOCIEE A UNE CAPSULORRAPHIE POSTERIEURE Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Djian ; Y. Demarais ; HERMAN S. ; ROGER B ; P. Christel Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 137 - 146 Résumé : L'instabilité postérieure d'épaule est beaucoup moins connue que l'instabilité antérieure. Nous avons choisi d'étudier un de ces aspects représenté par l'instabilité postérieure post-traumatique d'épaule chez le sportif. Le diagnostic est souvent difficile; l'interrogatoire ainsi que la présence de signes cliniques tels qu'une faiblesse musculaire ou une appréhension lors de certains gestes sont à retenir. Le bilan radiographique prend ici toute son importance pour établir le diagnostic et guider l'attitude thérapeutique. De 1987 à 1996, nous avons opéré 10 patients dont l'âge moyen au moment de l'intervention était de 25 ans. Six patients avaient eu un traumatisme indirect de l'épaule au cours de leurs activités sportives. Il s'agissait de 7 compétiteurs dont 2 pratiquaient le judo, 2 le rugby, 2 gymnastes sportives de loisir et d'un boxeur. Le traumatisme est le plus souvent en rotation interne et rétropulsion. Les principaux signes amenant les patients à consulter ont été une sensation de ressaut douloureux, une appréhension lors de certains gestes notamment en antépulsion et rotation interne. Tous ces signes ont imposé progressivement l'arrêt du sport. A l'examen clinique, on constate une mobilité et une force musculaire normales. Le signe le plus important est l'appréhension en rotation interne associée à une poussée antéro-postérieure sur le coude. Parmi les examens complémentaires, l'arthroscanner de l'épaule apparaît fiable en montrant la distension de la capsule articulaire postérieure et des éventuels dégâts osseux. Il permet de mesurer comparativement la version de la glène. En moyenne, il existait une rétroversion de la glène en pré-opératoire de 13° (6-20°). L'intervention menée par voie postérieure permet de réaliser une ostéomie d'ouverture postérieure du col de l'omoplate avec une greffe prise aux dépens de l'épine de l'omoplate, associée à une capsulorraphie postérieure; l'épaule est ensuite immobilisée en rotation externe pendant 21 jours, puis la rééducation est entreprise permettant une reprise sportive au plutôt au 6 mois post-opératoire. Tous les patients ont été revus cliniquement. Des radiographies standard ainsi qu'un scanner post-opératoire ont été demandés pour apprécier les corrections obtenues. Nous avons utilisé comme méthode d'étude des résultats la classification proposée par Constant. Le recul moyen est de 33 mois avec 6 excellents, 3 bons et 1 mauvais résultat. L'imagerie post-opératoire (scanner) a montré une consolidation de l'ostéotomie avec une correction de l'antéversion de la glène de l'omoplate et une antéversion de 5° (0-8°). La poche de décollement postérieure a disparu. Les résultats antalgiques obtenus sur ces épaules primitivement instables sont bons. Il n'y a aucune instabilité post-opératoire. Sept épaules sont indolores ou presque. Seules 3 épaules restent symptomatiques. Au dernier recul, les mobilités actives en abduction et en antépulsion sont normales. Un patient présente un déficit en rotation externe active de 10°. Quant à la force de l'épaule en élévation latérale, elle reste le plus souvent bonne avec maintien de 17 livres en moyenne. Le traitement de l'instabilité postérieure d'épaule par ostéotomie glénoïdienne a montré de bons résultats dans l'ensemble sur cette courte série. Ces résultats sont rapidement obtenus et il faut noter que : - dans cette série, l'ostéotomie de la glène de l'omoplate n'a pas induit de conflit antéro-interne avec la coracoïde, - une seule voie d'abord est utilisée pour réaliser la réorientation de la glène et pour la prise de greffe osseuse, - la capsulorraphie est un geste adjuvant qui peut être aisément réalisé par la voie d'abord. Cette technique permet de reprendre le sport rapidement à
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in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 137 - 146[article] TRAITEMENT CHIRURGICAL DES INSTABILITES POSTERIEURES D'EPAULE PAR OSTEOTOMIE D'ANTEVERSION DU COL DE L'OMOPLATE ASSOCIEE A UNE CAPSULORRAPHIE POSTERIEURE [texte imprimé] / P. Djian ; Y. Demarais ; HERMAN S. ; ROGER B ; P. Christel . - 1997 . - p. 137 - 146.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 137 - 146
Résumé : L'instabilité postérieure d'épaule est beaucoup moins connue que l'instabilité antérieure. Nous avons choisi d'étudier un de ces aspects représenté par l'instabilité postérieure post-traumatique d'épaule chez le sportif. Le diagnostic est souvent difficile; l'interrogatoire ainsi que la présence de signes cliniques tels qu'une faiblesse musculaire ou une appréhension lors de certains gestes sont à retenir. Le bilan radiographique prend ici toute son importance pour établir le diagnostic et guider l'attitude thérapeutique. De 1987 à 1996, nous avons opéré 10 patients dont l'âge moyen au moment de l'intervention était de 25 ans. Six patients avaient eu un traumatisme indirect de l'épaule au cours de leurs activités sportives. Il s'agissait de 7 compétiteurs dont 2 pratiquaient le judo, 2 le rugby, 2 gymnastes sportives de loisir et d'un boxeur. Le traumatisme est le plus souvent en rotation interne et rétropulsion. Les principaux signes amenant les patients à consulter ont été une sensation de ressaut douloureux, une appréhension lors de certains gestes notamment en antépulsion et rotation interne. Tous ces signes ont imposé progressivement l'arrêt du sport. A l'examen clinique, on constate une mobilité et une force musculaire normales. Le signe le plus important est l'appréhension en rotation interne associée à une poussée antéro-postérieure sur le coude. Parmi les examens complémentaires, l'arthroscanner de l'épaule apparaît fiable en montrant la distension de la capsule articulaire postérieure et des éventuels dégâts osseux. Il permet de mesurer comparativement la version de la glène. En moyenne, il existait une rétroversion de la glène en pré-opératoire de 13° (6-20°). L'intervention menée par voie postérieure permet de réaliser une ostéomie d'ouverture postérieure du col de l'omoplate avec une greffe prise aux dépens de l'épine de l'omoplate, associée à une capsulorraphie postérieure; l'épaule est ensuite immobilisée en rotation externe pendant 21 jours, puis la rééducation est entreprise permettant une reprise sportive au plutôt au 6 mois post-opératoire. Tous les patients ont été revus cliniquement. Des radiographies standard ainsi qu'un scanner post-opératoire ont été demandés pour apprécier les corrections obtenues. Nous avons utilisé comme méthode d'étude des résultats la classification proposée par Constant. Le recul moyen est de 33 mois avec 6 excellents, 3 bons et 1 mauvais résultat. L'imagerie post-opératoire (scanner) a montré une consolidation de l'ostéotomie avec une correction de l'antéversion de la glène de l'omoplate et une antéversion de 5° (0-8°). La poche de décollement postérieure a disparu. Les résultats antalgiques obtenus sur ces épaules primitivement instables sont bons. Il n'y a aucune instabilité post-opératoire. Sept épaules sont indolores ou presque. Seules 3 épaules restent symptomatiques. Au dernier recul, les mobilités actives en abduction et en antépulsion sont normales. Un patient présente un déficit en rotation externe active de 10°. Quant à la force de l'épaule en élévation latérale, elle reste le plus souvent bonne avec maintien de 17 livres en moyenne. Le traitement de l'instabilité postérieure d'épaule par ostéotomie glénoïdienne a montré de bons résultats dans l'ensemble sur cette courte série. Ces résultats sont rapidement obtenus et il faut noter que : - dans cette série, l'ostéotomie de la glène de l'omoplate n'a pas induit de conflit antéro-interne avec la coracoïde, - une seule voie d'abord est utilisée pour réaliser la réorientation de la glène et pour la prise de greffe osseuse, - la capsulorraphie est un geste adjuvant qui peut être aisément réalisé par la voie d'abord. Cette technique permet de reprendre le sport rapidement à
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Exclu du prêtTRAUMATOLOGIE DES SPORTS D'HIVER : ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE RETROSPECTIVE A PROPOS DE 260 BLESSES / PLAWESKI S. in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/3 (septembre 1997)
[article]
Titre : TRAUMATOLOGIE DES SPORTS D'HIVER : ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE RETROSPECTIVE A PROPOS DE 260 BLESSES Type de document : texte imprimé Auteurs : PLAWESKI S. ; HUBOUD-PERON A. ; MERLOZ P. ; FAURE A. Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 129 - 135 Résumé : Les lésions traumatiques des sports d'hiver sont connues depuis longtemps, mais depuis l'avènement du surf des neiges leur répartition doit être modulée au sein de chaque discipline. Les nouveaux matériaux et les nouveaux design des skis, les conditions climatiques plus ou moins favorables, l'amélioration constante de l'état de la neige par un travail de surface transformant les pistes de ski en de véritables autoroutes autorisant de grandes vitesses, ont introduit de nouveaux risques et une modification de l'aspect lésionnel. Le but de cette étude a été de colliger les accidents dus à la pratique des sports d'hiver survenus au cours des saisons 1994-1995 et 1995-1996 et les dossiers des hospitalisés dans le service d'Orthopédie-Traumatologie du CHU de Grenoble (hôpital Nord). La série comporte 260 lésions survenues chez 156 hommes et 104 femmes d'âge moyen 27,6 ans (extrêmes : 2 et 70 ans) avec un pic de fréquence entre 15 et 25 ans. Le ski représente 80 % des accidentés alors que le surf n'en représente que 16,1 %, le ski de fond 3 % et la luge 0,6 %. Sur le bilan lésionnel, on constate une majorité d'atteintes du membre inférieur (159 cas ou 61%) suivies du membre supérieur (80 cas, soit 30,8 %) puis du rachis (16 cas, soit 6 %), des poly-traumatismes (10 cas, soit 4 %) et du bassin (5 cas, soit 2 %); 5 % des accidents sont dus à une collison. Les fractures restent la principale lésion (181 cas soit 69,6 %) localisées principalement au niveau du tibia (53 cas) et du fémur (36 cas), suivies par les entorses du genou (28 cas). Chez le skieur, le membre inférieur est le plus atteint (68,3 %) puis le membre supérieur (27,4 %) alors que pour le surfeur, on retrouve une petite majorité de lésions du membre supérieur (45,2 %) avec une prédominance de lésions du poignet (30 %), pour 38 % d'atteintes du membre inférieur. D'après l'indice de gravité relative introduit dans cette étude, le surf serait moins dangereux que le ski alpin, alors que cet indice apparaît plus élevé chez le jeune enfant (10 ans ou moins) où le risque de fracture de jambe est 9 fois plus élevé que chez l'adulte.
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in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 129 - 135[article] TRAUMATOLOGIE DES SPORTS D'HIVER : ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE RETROSPECTIVE A PROPOS DE 260 BLESSES [texte imprimé] / PLAWESKI S. ; HUBOUD-PERON A. ; MERLOZ P. ; FAURE A. . - 1997 . - p. 129 - 135.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 129 - 135
Résumé : Les lésions traumatiques des sports d'hiver sont connues depuis longtemps, mais depuis l'avènement du surf des neiges leur répartition doit être modulée au sein de chaque discipline. Les nouveaux matériaux et les nouveaux design des skis, les conditions climatiques plus ou moins favorables, l'amélioration constante de l'état de la neige par un travail de surface transformant les pistes de ski en de véritables autoroutes autorisant de grandes vitesses, ont introduit de nouveaux risques et une modification de l'aspect lésionnel. Le but de cette étude a été de colliger les accidents dus à la pratique des sports d'hiver survenus au cours des saisons 1994-1995 et 1995-1996 et les dossiers des hospitalisés dans le service d'Orthopédie-Traumatologie du CHU de Grenoble (hôpital Nord). La série comporte 260 lésions survenues chez 156 hommes et 104 femmes d'âge moyen 27,6 ans (extrêmes : 2 et 70 ans) avec un pic de fréquence entre 15 et 25 ans. Le ski représente 80 % des accidentés alors que le surf n'en représente que 16,1 %, le ski de fond 3 % et la luge 0,6 %. Sur le bilan lésionnel, on constate une majorité d'atteintes du membre inférieur (159 cas ou 61%) suivies du membre supérieur (80 cas, soit 30,8 %) puis du rachis (16 cas, soit 6 %), des poly-traumatismes (10 cas, soit 4 %) et du bassin (5 cas, soit 2 %); 5 % des accidents sont dus à une collison. Les fractures restent la principale lésion (181 cas soit 69,6 %) localisées principalement au niveau du tibia (53 cas) et du fémur (36 cas), suivies par les entorses du genou (28 cas). Chez le skieur, le membre inférieur est le plus atteint (68,3 %) puis le membre supérieur (27,4 %) alors que pour le surfeur, on retrouve une petite majorité de lésions du membre supérieur (45,2 %) avec une prédominance de lésions du poignet (30 %), pour 38 % d'atteintes du membre inférieur. D'après l'indice de gravité relative introduit dans cette étude, le surf serait moins dangereux que le ski alpin, alors que cet indice apparaît plus élevé chez le jeune enfant (10 ans ou moins) où le risque de fracture de jambe est 9 fois plus élevé que chez l'adulte.
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