Dépouillements

COMPRESSION DU NERF FIBULAIRE SUPERFICIEL CHEZ LE SPORTIF : APPORT D'UN NOUVEAU TEST CLINIQUE / FABRE D in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/1 (mai 1997)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 14/1 (mai 1997) . - p. 8 - 12 Titre : COMPRESSION DU NERF FIBULAIRE SUPERFICIEL CHEZ LE SPORTIF : APPORT D'UN NOUVEAU TEST CLINIQUE Type de document : texte imprimé Auteurs : FABRE D ; P. BUISSON ; GUILLEMOT E. ; POTIER A ; BATISSE J. Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 8 - 12 Résumé : Les auteurs rapportent 3 observations de syndrome du nerf fibulaire superficiel piégé à la jambe, induit par l'exercice chez de jeunes sportifs. Les douleurs de la face externe de la jambe associées à des paresthésies du dos du pied doivent faire évoquer ce diagnostic. Cette pathologie fréquemment méconnue peut être mise en évidence grâce à des manoeuvres spécifiques de contractions isométriques exacerbant la compression au point d'émergence du nerf dans la région sus-malléolaire. L'examen réalisé avant et après effort retrouve le plus souvent la saillie d'une hernie musculaire à travers un defect du fascia crural. Un test clinique simple consiste à demander au patient de se maintenir en équilibre en appui monopodal sur la pointe du pied. Les contractions antagonistes musculaires entraînent suffisamment de contrainte sur les aponévroses pour provoquer la compression du nerf. La symptomatologie apparaît alors dans des conditions identiques à celles de l'effort. Cette épreuve clinique est avantageusement sensibilisée par la recherche du signe de Tinel et l'infiltration locale de Lidocaïne(r). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14311 [article] COMPRESSION DU NERF FIBULAIRE SUPERFICIEL CHEZ LE SPORTIF : APPORT D'UN NOUVEAU TEST CLINIQUE [texte imprimé] / FABRE D ; P. BUISSON ; GUILLEMOT E. ; POTIER A ; BATISSE J. . - 1997 . - p. 8 - 12. in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/1 (mai 1997) . - p. 8 - 12 Résumé : Les auteurs rapportent 3 observations de syndrome du nerf fibulaire superficiel piégé à la jambe, induit par l'exercice chez de jeunes sportifs. Les douleurs de la face externe de la jambe associées à des paresthésies du dos du pied doivent faire évoquer ce diagnostic. Cette pathologie fréquemment méconnue peut être mise en évidence grâce à des manoeuvres spécifiques de contractions isométriques exacerbant la compression au point d'émergence du nerf dans la région sus-malléolaire. L'examen réalisé avant et après effort retrouve le plus souvent la saillie d'une hernie musculaire à travers un defect du fascia crural. Un test clinique simple consiste à demander au patient de se maintenir en équilibre en appui monopodal sur la pointe du pied. Les contractions antagonistes musculaires entraînent suffisamment de contrainte sur les aponévroses pour provoquer la compression du nerf. La symptomatologie apparaît alors dans des conditions identiques à celles de l'effort. Cette épreuve clinique est avantageusement sensibilisée par la recherche du signe de Tinel et l'infiltration locale de Lidocaïne(r). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14311

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COMPRESSION DU NERF SURAL CHEZ LE SPORTIF : A PROPOS DE 3 CAS / FABRE T. in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/1 (mai 1997)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 14/1 (mai 1997) . - p. 4 - 7 Titre : COMPRESSION DU NERF SURAL CHEZ LE SPORTIF : A PROPOS DE 3 CAS Type de document : texte imprimé Auteurs : FABRE T. ; LASSEUR E. ; PITON C. ; DURANDEAU A. Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 4 - 7 Résumé : Les auteurs rapportent 3 cas de compression du nerf sural chez le sportif. Il s'agit de trois sportifs de loisir: un coureur de fond, un joueur de squash, une pratiquante de patins à roulettes en ligne. Le délai du diagnostic préopératoire est en général long, en moyenne 15 mois (8-24 mois). Le diagnostic est évoqué devant une douleur postérieure de la partie basse du mollet se propageant à la face externe de la cheville et du pied, exacerbée lors de la flexion plantaire. Le signe de Tinel montre de façon très précise la zone de compression. De nombreux examens complémentaires sont en général demandés inutilement: Doppler, échographie, scanner. Seule l'électromyographie a une valeur en montrant une diminution de la vitesse de conduction sensitive et une réduction de l'amplitude du potentiel sensitif sur le nerf sural pour 2 patients. Pour le 3 patient, l'examen électrique s'est révélé négatif mais le test d'infiltration à la xylocaïne centré sur le signe de Tinel a permis de redresser le diagnostic. Une arcade anatomique inextensible réalisée par le dédoublement de l'aponévrose superficielle surale est responsable de la compression du nerf sural lors de sa traversée aponévrotique. La présentation clinique et le mécanisme étiopathogénique distingue cette atteinte du syndrome de loge chronique postérieur sural. Le traitement chirurgical réalisé sous anesthésie locale permet une section de cette arcade fibro-aponévrotique. Ce traitement a permis pour les 3 patients une guérison avec un excellent résultat et un retour au niveau sportif antérieur. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14312 [article] COMPRESSION DU NERF SURAL CHEZ LE SPORTIF : A PROPOS DE 3 CAS [texte imprimé] / FABRE T. ; LASSEUR E. ; PITON C. ; DURANDEAU A. . - 1997 . - p. 4 - 7. in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/1 (mai 1997) . - p. 4 - 7 Résumé : Les auteurs rapportent 3 cas de compression du nerf sural chez le sportif. Il s'agit de trois sportifs de loisir: un coureur de fond, un joueur de squash, une pratiquante de patins à roulettes en ligne. Le délai du diagnostic préopératoire est en général long, en moyenne 15 mois (8-24 mois). Le diagnostic est évoqué devant une douleur postérieure de la partie basse du mollet se propageant à la face externe de la cheville et du pied, exacerbée lors de la flexion plantaire. Le signe de Tinel montre de façon très précise la zone de compression. De nombreux examens complémentaires sont en général demandés inutilement: Doppler, échographie, scanner. Seule l'électromyographie a une valeur en montrant une diminution de la vitesse de conduction sensitive et une réduction de l'amplitude du potentiel sensitif sur le nerf sural pour 2 patients. Pour le 3 patient, l'examen électrique s'est révélé négatif mais le test d'infiltration à la xylocaïne centré sur le signe de Tinel a permis de redresser le diagnostic. Une arcade anatomique inextensible réalisée par le dédoublement de l'aponévrose superficielle surale est responsable de la compression du nerf sural lors de sa traversée aponévrotique. La présentation clinique et le mécanisme étiopathogénique distingue cette atteinte du syndrome de loge chronique postérieur sural. Le traitement chirurgical réalisé sous anesthésie locale permet une section de cette arcade fibro-aponévrotique. Ce traitement a permis pour les 3 patients une guérison avec un excellent résultat et un retour au niveau sportif antérieur. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14312

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LE TEST DE DORSIFLEXIONS DANS LE DIAGNOSTIC DU SYNDROME CHRONIQUE DE LOGE ANTERO-EXTERNE DE JAMBE / CHARLOPAIN P. in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/1 (mai 1997)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 14/1 (mai 1997) . - p. 13 - 19 Titre : LE TEST DE DORSIFLEXIONS DANS LE DIAGNOSTIC DU SYNDROME CHRONIQUE DE LOGE ANTERO-EXTERNE DE JAMBE Type de document : texte imprimé Auteurs : CHARLOPAIN P. ; DUMAS P. ; LAGADOU C. ; VION M. ; DELOLME H. Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 13 - 19 Résumé : Le but de ce travail est de prouver la validité d'un test clinique simple dans le diagnostic de syndrome chronique de loge antéro-externe de jambe en comparaison de la mesure des pressions intra-compartimentales par la technique de Whitesides. L'étude a porté sur 42 patients qui ont consulté pour un syndrome douloureux chronique de jambe(s) à l'effort. Le test consistait en des efforts de dorsiflexions du pied à puissance et fréquence constantes : une dorsiflexion par seconde pendant quatre minutes. Il était considéré comme positif lorsque le score réalisé était inférieur à 150 dorsiflexions en quatre minutes, avec reproduction exacte de la douleur motivant la consultation. Une mesure de pression était considérée comme pathologique lorsque le résultat était supérieur ou égal à 20 mm de mercure 10 minutes après effort. Dans cette étude pragmatique, la prévalence du syndrome des loges est de 67 %, sa sensibilité de 93 % et sa spécificité de 95 %. La valeur prédictive positive du test est de 96 %, sa valeur prédictive négative de 90 %. Ce test doit être utilisé dans le diagnostic d'une douleur chronique de jambe de topographie antérieure. Une conduite à tenir diagnostique est proposée en fonction du score obtenu. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14509 [article] LE TEST DE DORSIFLEXIONS DANS LE DIAGNOSTIC DU SYNDROME CHRONIQUE DE LOGE ANTERO-EXTERNE DE JAMBE [texte imprimé] / CHARLOPAIN P. ; DUMAS P. ; LAGADOU C. ; VION M. ; DELOLME H. . - 1997 . - p. 13 - 19. in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/1 (mai 1997) . - p. 13 - 19 Résumé : Le but de ce travail est de prouver la validité d'un test clinique simple dans le diagnostic de syndrome chronique de loge antéro-externe de jambe en comparaison de la mesure des pressions intra-compartimentales par la technique de Whitesides. L'étude a porté sur 42 patients qui ont consulté pour un syndrome douloureux chronique de jambe(s) à l'effort. Le test consistait en des efforts de dorsiflexions du pied à puissance et fréquence constantes : une dorsiflexion par seconde pendant quatre minutes. Il était considéré comme positif lorsque le score réalisé était inférieur à 150 dorsiflexions en quatre minutes, avec reproduction exacte de la douleur motivant la consultation. Une mesure de pression était considérée comme pathologique lorsque le résultat était supérieur ou égal à 20 mm de mercure 10 minutes après effort. Dans cette étude pragmatique, la prévalence du syndrome des loges est de 67 %, sa sensibilité de 93 % et sa spécificité de 95 %. La valeur prédictive positive du test est de 96 %, sa valeur prédictive négative de 90 %. Ce test doit être utilisé dans le diagnostic d'une douleur chronique de jambe de topographie antérieure. Une conduite à tenir diagnostique est proposée en fonction du score obtenu. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14509

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LES ATTEINTES MENISCALES SUR LAXITE ANTERIEURE CHRONIQUE AVANT ET APRES L'INTERVENTION DE MARSHALL-MAC INTOSH : 180 CAS A PLUS DE 3 ANS DE RECUL / COURAGE O. in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/1 (mai 1997)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 14/1 (mai 1997) . - p. 20 - 24 Titre : LES ATTEINTES MENISCALES SUR LAXITE ANTERIEURE CHRONIQUE AVANT ET APRES L'INTERVENTION DE MARSHALL-MAC INTOSH : 180 CAS A PLUS DE 3 ANS DE RECUL Type de document : texte imprimé Auteurs : COURAGE O. ; B. Locker ; C. Vielpeau ; JARRIGUES J. Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 20 - 24 Résumé : Les auteurs ont revu une série rétrospective de 180 laxités antérieures du genou opérées de 1982 à 1987, par une plastie de type Marshall-Mac Intosh. Le délai entre l'accident et la chirurgie était de 26 mois. Toutes les lésions méniscales pré- et post-opératoires ont été répertoriées. La probabiité d'avoir une lésion méniscale est de 20 % pendant l'année qui suit l'accident et de 40 % pendant les deux premières années. Avec un recul moyen de 4 ans, après la ligamentoplastie, la probabilité d'avoir une lésion méniscale est infime, même si on ne considère que le groupe de 59 patients dont les 2 ménisques étaient intacts lors de l'intervention. Le délai accident-chirurgie et l'importance de la laxité sont les deux facteurs statistiquement significatifs de survenue d'une lésion méniscale. Ces constatations incitent à opérer plus tôt les jeunes sportifs atteints de rupture du ligament croisé antérieur. La période optimale semble être située entre le troisième et le sixième mois. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14529 [article] LES ATTEINTES MENISCALES SUR LAXITE ANTERIEURE CHRONIQUE AVANT ET APRES L'INTERVENTION DE MARSHALL-MAC INTOSH : 180 CAS A PLUS DE 3 ANS DE RECUL [texte imprimé] / COURAGE O. ; B. Locker ; C. Vielpeau ; JARRIGUES J. . - 1997 . - p. 20 - 24. in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/1 (mai 1997) . - p. 20 - 24 Résumé : Les auteurs ont revu une série rétrospective de 180 laxités antérieures du genou opérées de 1982 à 1987, par une plastie de type Marshall-Mac Intosh. Le délai entre l'accident et la chirurgie était de 26 mois. Toutes les lésions méniscales pré- et post-opératoires ont été répertoriées. La probabiité d'avoir une lésion méniscale est de 20 % pendant l'année qui suit l'accident et de 40 % pendant les deux premières années. Avec un recul moyen de 4 ans, après la ligamentoplastie, la probabilité d'avoir une lésion méniscale est infime, même si on ne considère que le groupe de 59 patients dont les 2 ménisques étaient intacts lors de l'intervention. Le délai accident-chirurgie et l'importance de la laxité sont les deux facteurs statistiquement significatifs de survenue d'une lésion méniscale. Ces constatations incitent à opérer plus tôt les jeunes sportifs atteints de rupture du ligament croisé antérieur. La période optimale semble être située entre le troisième et le sixième mois. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14529

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LUXATION ANTERIEURE SPONTANEE DE HANCHE CHEZ LE SPORTIF : A PROPOS D'UN CAS / TABIB W. in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/1 (mai 1997)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 14/1 (mai 1997) . - p. 49 - 52 Titre : LUXATION ANTERIEURE SPONTANEE DE HANCHE CHEZ LE SPORTIF : A PROPOS D'UN CAS Type de document : texte imprimé Auteurs : TABIB W. ; SAUVAT F. ; COUDERT X. Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 49 - 52 Résumé : Les auteurs rapportent un cas original de luxation antérieure spontanée de hanche chez une sportive. Un défaut de couverture antérieure de la tête fémorale ainsi que des facteurs dynamiques sont incriminés. Le traitement orthopédique a donné un bon résultat. Avec un recul de 3 ans, la surveillance clinique et radiologique ne montre pas de signes de nécrose de la tête fémorale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14592 [article] LUXATION ANTERIEURE SPONTANEE DE HANCHE CHEZ LE SPORTIF : A PROPOS D'UN CAS [texte imprimé] / TABIB W. ; SAUVAT F. ; COUDERT X. . - 1997 . - p. 49 - 52. in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/1 (mai 1997) . - p. 49 - 52 Résumé : Les auteurs rapportent un cas original de luxation antérieure spontanée de hanche chez une sportive. Un défaut de couverture antérieure de la tête fémorale ainsi que des facteurs dynamiques sont incriminés. Le traitement orthopédique a donné un bon résultat. Avec un recul de 3 ans, la surveillance clinique et radiologique ne montre pas de signes de nécrose de la tête fémorale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14592

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OSTEOME OSTEOIDE ARTICULAIRE : A PROPOS DE 3 OBSERVATIONS / HASSAN E. in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/1 (mai 1997)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 14/1 (mai 1997) . - p. 25 - 29 Titre : OSTEOME OSTEOIDE ARTICULAIRE : A PROPOS DE 3 OBSERVATIONS Type de document : texte imprimé Auteurs : HASSAN E. ; J.-F. Kouvalchouk ; H. de Labareyre ; SADDIER P. ; GUYOT J. Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 25 - 29 Résumé : Les auteurs rapportent 3 observations d'ostéome ostéoïde intra-articulaire de la cheville et de l'avant-pied. La symptomatologie clinique se résumait à des douleurs étiquetées comme étant des séquelles d'entorse. Elles étaient particulières car intermittentes, et à prédominance nocturne. L'articulation concernée avait un aspect inflammatoire et était douloureuse à la mobilisation. Les examens radiologiques ont mis en évidence une tuméfaction des parties molles péri-tumorales, et une image arrondie saillante dans l'articulation. L'intervention a permis dans tous les cas l'ablation de la tumeur et la disparition de la symptomatologie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14619 [article] OSTEOME OSTEOIDE ARTICULAIRE : A PROPOS DE 3 OBSERVATIONS [texte imprimé] / HASSAN E. ; J.-F. Kouvalchouk ; H. de Labareyre ; SADDIER P. ; GUYOT J. . - 1997 . - p. 25 - 29. in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/1 (mai 1997) . - p. 25 - 29 Résumé : Les auteurs rapportent 3 observations d'ostéome ostéoïde intra-articulaire de la cheville et de l'avant-pied. La symptomatologie clinique se résumait à des douleurs étiquetées comme étant des séquelles d'entorse. Elles étaient particulières car intermittentes, et à prédominance nocturne. L'articulation concernée avait un aspect inflammatoire et était douloureuse à la mobilisation. Les examens radiologiques ont mis en évidence une tuméfaction des parties molles péri-tumorales, et une image arrondie saillante dans l'articulation. L'intervention a permis dans tous les cas l'ablation de la tumeur et la disparition de la symptomatologie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14619

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PATHOLOGIE DOULOUREUSE FEMORO-PATELLAIRE : ANALYSE ET CLASSIFICATION / DUPONT J.-Y. in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/1 (mai 1997)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 14/1 (mai 1997) . - p. 30 - 48 [ 19 pages. ] Titre : PATHOLOGIE DOULOUREUSE FEMORO-PATELLAIRE : ANALYSE ET CLASSIFICATION Type de document : texte imprimé Auteurs : DUPONT J.-Y. Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 30 - 48 [ 19 pages. ] Résumé : Les douleurs antérieures du genou sont liées soit à une pathologie spécifique (plica, tendinites, ostéochondries, etc.), soit à des associations variables de subluxation rotulienne, dysplasies trochléennes et rotuliennes, pastella alta et chondropathies. A partir d'une analyse prospective comparant l'imagerie de 443 témoins, et 67 luxations de rotule, à celle de 190 patients souffrant de syndrome douloureux rotulien, il semble que les subluxations externes de la rotule jouent un rôle majeur dans la genèse de cette symptomatologie. Nous présentons la sensibilité et la spécificité de différentes techniques radiologiques. En radiologie standard, la meilleure sensibilité dans le dépistage des subluxations revient au cliché de profil en extension, condyle superposé. L'incidence axiale possède de moins bonnes performances que le profil en extension, condyles superposés. L'incidence axiale possède de moins bonnes performances que le profil. L'arthroscopie est plus sensible et moins spécifique que la radiographie. L'imagerie des syndromes douloureux rotuliens est intermédiaire entre celle des luxations de rotule et celle des contrôles asymptomatiques. Quarante cinq pour cent d'une population n'ayant ni antécédents ni symptomatologie rotuliens présentent une subluxation rotulienne. Ce ne peut donc être une pathologie au sens strict. Nous la définirons comme un ensemble multifactoriel d'anomalies de la course rotulienne à expressions cliniques variables. Nous présentons une classification des problèmes fémoro-patellaires basée sur une combinaison de la clinique et de l'imagerie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14624 [article] PATHOLOGIE DOULOUREUSE FEMORO-PATELLAIRE : ANALYSE ET CLASSIFICATION [texte imprimé] / DUPONT J.-Y. . - 1997 . - p. 30 - 48 [ 19 pages. ]. in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/1 (mai 1997) . - p. 30 - 48 [ 19 pages. ] Résumé : Les douleurs antérieures du genou sont liées soit à une pathologie spécifique (plica, tendinites, ostéochondries, etc.), soit à des associations variables de subluxation rotulienne, dysplasies trochléennes et rotuliennes, pastella alta et chondropathies. A partir d'une analyse prospective comparant l'imagerie de 443 témoins, et 67 luxations de rotule, à celle de 190 patients souffrant de syndrome douloureux rotulien, il semble que les subluxations externes de la rotule jouent un rôle majeur dans la genèse de cette symptomatologie. Nous présentons la sensibilité et la spécificité de différentes techniques radiologiques. En radiologie standard, la meilleure sensibilité dans le dépistage des subluxations revient au cliché de profil en extension, condyle superposé. L'incidence axiale possède de moins bonnes performances que le profil en extension, condyles superposés. L'incidence axiale possède de moins bonnes performances que le profil. L'arthroscopie est plus sensible et moins spécifique que la radiographie. L'imagerie des syndromes douloureux rotuliens est intermédiaire entre celle des luxations de rotule et celle des contrôles asymptomatiques. Quarante cinq pour cent d'une population n'ayant ni antécédents ni symptomatologie rotuliens présentent une subluxation rotulienne. Ce ne peut donc être une pathologie au sens strict. Nous la définirons comme un ensemble multifactoriel d'anomalies de la course rotulienne à expressions cliniques variables. Nous présentons une classification des problèmes fémoro-patellaires basée sur une combinaison de la clinique et de l'imagerie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14624

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UN ACCIDENT SPORTIF PEU COMMUN : LA LUXATION DU GENOU AU SAUT EN HAUTEUR / VARANGO G. in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/1 (mai 1997)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 14/1 (mai 1997) . - p. 53 - 56 Titre : UN ACCIDENT SPORTIF PEU COMMUN : LA LUXATION DU GENOU AU SAUT EN HAUTEUR Type de document : texte imprimé Auteurs : VARANGO G. ; DAO A. ; KODO M. ; LAMBIN Y. ; BAMBA I. Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 53 - 56 Résumé : Les auteurs rapportent un cas de luxation du genou survenue chez une adolescente obèse de 15 ans, lors d'une épreuve sportive de saut en hauteur. La coexistence d'un déficit neurologique (sciatique poplité externe) et d'une abolition des pouls distaux a entraîné la réduction orthopédique d'urgence. La persistance d'une ischémie d'aval, confirmée par l'examen au Doppler en l'absence d'artériographie a déterminé l'exploration chirurgicale immédiate qui révélait une rupture de l'artère poplitée et du ligament croisé antérieur, ainsi qu'une élongation du nerf sciatique poplité externe. La revascularisation obtenue par résection anastomose a été réalisée dès la 4 heure, à l'exclusion de toute plastie ligamentaire concomitante. Au terme d'une évolution ultérieure lentement favorable, les séquelles se résument avec un recul de 3 ans, à une instabiité ligamentaire résiduelle sans incidence sur les activités de loisir. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14749 [article] UN ACCIDENT SPORTIF PEU COMMUN : LA LUXATION DU GENOU AU SAUT EN HAUTEUR [texte imprimé] / VARANGO G. ; DAO A. ; KODO M. ; LAMBIN Y. ; BAMBA I. . - 1997 . - p. 53 - 56. in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/1 (mai 1997) . - p. 53 - 56 Résumé : Les auteurs rapportent un cas de luxation du genou survenue chez une adolescente obèse de 15 ans, lors d'une épreuve sportive de saut en hauteur. La coexistence d'un déficit neurologique (sciatique poplité externe) et d'une abolition des pouls distaux a entraîné la réduction orthopédique d'urgence. La persistance d'une ischémie d'aval, confirmée par l'examen au Doppler en l'absence d'artériographie a déterminé l'exploration chirurgicale immédiate qui révélait une rupture de l'artère poplitée et du ligament croisé antérieur, ainsi qu'une élongation du nerf sciatique poplité externe. La revascularisation obtenue par résection anastomose a été réalisée dès la 4 heure, à l'exclusion de toute plastie ligamentaire concomitante. Au terme d'une évolution ultérieure lentement favorable, les séquelles se résument avec un recul de 3 ans, à une instabiité ligamentaire résiduelle sans incidence sur les activités de loisir. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14749

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