Centre de Documentation Campus Montignies
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Votre centre de documentation sera fermé du 28 octobre au 3 novembre
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Journal de traumatologie du sport . vol. 18/3Mention de date : 2001 Paru le : 01/11/2001 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierBienfaits et méfaits de l'activité physique sur la minéralisation dusquelette de la femme : ni trop, ni trop peu / VIDALIN H in Journal de traumatologie du sport, vol. 18/3 (2001)
[article]
Titre : Bienfaits et méfaits de l'activité physique sur la minéralisation dusquelette de la femme : ni trop, ni trop peu Type de document : texte imprimé Auteurs : VIDALIN H ; DUPECHOT M. Année de publication : 2001 Article en page(s) : P. 150-157 Résumé : L'activité physique chez la femme présente deux versants : favorable ou lésionnel sur le squelette. Une revue de la littérature permet de mettre en évidence ces effets. Que ce soit chez l'enfant, la jeune fille ou la femme plus âgée, si l'activité est indispensable pour maintenir ou améliorer la minéralisation osseuse, à l'inverse, en cas d'excès les effets péjoratifs sont nombreux et parfois graves. Lors de l'examen systématique ou en cas de blessure, une enquête doit être faite et un traitement doit être proposé. Ce traitement peut être une recommandation d'activité physique, ou en cas de troubles un traitement spécifique :-chez la fillette, une surveillance de la nutrition, de la courbe de croissance et de la tolérance aux activités sportives est nécessaire. En cas d'anomalie de la courbe de croissance, un avis spécialisé sera demandé ;-lors de la phase pubertaire, une attention toute particulière sera portée sur la qualité de la nutrition et sur les signes de déclenchement de la puberté. Après 16 ans, en l'absence de signes pubertaires, un bilan sera demandé et un traitement pourra être mis en route. Il en sera de même en cas de pathologie concernant le squelette ;-chez la jeune femme, si l'activité physique induit des modifications du cycle, des troubles nutritionnels ou une pathologie osseuse, une analyse plus approfondie sera demandée (mesure de la DMO, bilan hormonal) ;-en cas de pathologie traumatique itérative ou de fracture de contrainte, un bilan sera demandé (hormonal, DMO) et des recommandations nutritionnelles et thérapeutiques seront préconisées si nécessaire ;-chez la jeune femme sportive, les signes de la « triade de la sportive » seront recherchés. S'ils sont présents, des recommandations thérapeutiques seront données ;-chez la femme ménopausée ou aménorrhéique, l'activité physique sera adaptée, en plus ou en moins, selon la pathologie: recommandations d'activité en cas de sédentarité et aménagement des programmes de travail en cas de surcharge. A chaque femme correspond un programme d'activité. La sédentarité peut avoir des effets péjoratifs sur la minéralisation osseuse, mais l'activité soutenue également. C'est pourquoi, au vu de la bibliographie, la prise en charge médicale de la femme inactive ou ayant une activité soutenue quel que soit son âge est souhaitable. L'activité physique peut être un complément du programme thérapeutique, et une thérapeutique peut être conseillée en cas d'effets péjoratifs de l'activité physique. Nous en donnons ici les principes directeurs au vu des données bibliographiques actuelles.
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in Journal de traumatologie du sport > vol. 18/3 (2001) . - P. 150-157[article] Bienfaits et méfaits de l'activité physique sur la minéralisation dusquelette de la femme : ni trop, ni trop peu [texte imprimé] / VIDALIN H ; DUPECHOT M. . - 2001 . - P. 150-157.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 18/3 (2001) . - P. 150-157
Résumé : L'activité physique chez la femme présente deux versants : favorable ou lésionnel sur le squelette. Une revue de la littérature permet de mettre en évidence ces effets. Que ce soit chez l'enfant, la jeune fille ou la femme plus âgée, si l'activité est indispensable pour maintenir ou améliorer la minéralisation osseuse, à l'inverse, en cas d'excès les effets péjoratifs sont nombreux et parfois graves. Lors de l'examen systématique ou en cas de blessure, une enquête doit être faite et un traitement doit être proposé. Ce traitement peut être une recommandation d'activité physique, ou en cas de troubles un traitement spécifique :-chez la fillette, une surveillance de la nutrition, de la courbe de croissance et de la tolérance aux activités sportives est nécessaire. En cas d'anomalie de la courbe de croissance, un avis spécialisé sera demandé ;-lors de la phase pubertaire, une attention toute particulière sera portée sur la qualité de la nutrition et sur les signes de déclenchement de la puberté. Après 16 ans, en l'absence de signes pubertaires, un bilan sera demandé et un traitement pourra être mis en route. Il en sera de même en cas de pathologie concernant le squelette ;-chez la jeune femme, si l'activité physique induit des modifications du cycle, des troubles nutritionnels ou une pathologie osseuse, une analyse plus approfondie sera demandée (mesure de la DMO, bilan hormonal) ;-en cas de pathologie traumatique itérative ou de fracture de contrainte, un bilan sera demandé (hormonal, DMO) et des recommandations nutritionnelles et thérapeutiques seront préconisées si nécessaire ;-chez la jeune femme sportive, les signes de la « triade de la sportive » seront recherchés. S'ils sont présents, des recommandations thérapeutiques seront données ;-chez la femme ménopausée ou aménorrhéique, l'activité physique sera adaptée, en plus ou en moins, selon la pathologie: recommandations d'activité en cas de sédentarité et aménagement des programmes de travail en cas de surcharge. A chaque femme correspond un programme d'activité. La sédentarité peut avoir des effets péjoratifs sur la minéralisation osseuse, mais l'activité soutenue également. C'est pourquoi, au vu de la bibliographie, la prise en charge médicale de la femme inactive ou ayant une activité soutenue quel que soit son âge est souhaitable. L'activité physique peut être un complément du programme thérapeutique, et une thérapeutique peut être conseillée en cas d'effets péjoratifs de l'activité physique. Nous en donnons ici les principes directeurs au vu des données bibliographiques actuelles.
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Exclu du prêtInstabilité de la cheville : bases anatomiques et biomécaniques / NELDE F. in Journal de traumatologie du sport, vol. 18/3 (2001)
[article]
Titre : Instabilité de la cheville : bases anatomiques et biomécaniques : l'imagerie de la rupture du ligament croisé antérieur du genou Type de document : texte imprimé Auteurs : NELDE F. ; VANDERSTRAETEN G. G. ; MAHFOUDI M. Année de publication : 2001 Article en page(s) : P. 133-144 Résumé : La stabilité de la cheville (l'articulation talo-crurale) dépend des facteurs articulaires, ligamentaires et musculaires. Les structures ligamentaires sont le ligament tibio-fibulaire antérieur et postérieur, la membrane interosseuse mais également les ligaments collatéraux. Elles sont tellement construites qu'elles peuvent résister aux forces provenant par des mouvements physiologiques et suite au poids corporel. Quand la cheville est sollicitée, la stabilité est principalement déterminée par les structures osseuses. Le ligament tibio-fibulaire antérieur est la structure ligamentaire la plus importante dans la stabilité quand la cheville est sollicitée en inversion. La flexion plantaire est la position la plus vulnérable de la cheville. Le muscle long fibulaire latéral et le muscle court fibulaire latéral sont les plus importants stabilisateurs dynamiques.
Le genou traumatique a largement bénéficié de l'apport de l'ensemble des moyens d'imagerie dans la prise en charge diagnostique des lésions de ces différentes structures. L'IRM participe pour une grande part à cette prise en charge. Sa technique de réalisation et ses résultats comme ceux, d'ailleurs, des autres examens radiologiques sont exposés. Ces résultats concernent la rupture du LCA.
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in Journal de traumatologie du sport > vol. 18/3 (2001) . - P. 133-144[article] Instabilité de la cheville : bases anatomiques et biomécaniques : l'imagerie de la rupture du ligament croisé antérieur du genou [texte imprimé] / NELDE F. ; VANDERSTRAETEN G. G. ; MAHFOUDI M. . - 2001 . - P. 133-144.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 18/3 (2001) . - P. 133-144
Résumé : La stabilité de la cheville (l'articulation talo-crurale) dépend des facteurs articulaires, ligamentaires et musculaires. Les structures ligamentaires sont le ligament tibio-fibulaire antérieur et postérieur, la membrane interosseuse mais également les ligaments collatéraux. Elles sont tellement construites qu'elles peuvent résister aux forces provenant par des mouvements physiologiques et suite au poids corporel. Quand la cheville est sollicitée, la stabilité est principalement déterminée par les structures osseuses. Le ligament tibio-fibulaire antérieur est la structure ligamentaire la plus importante dans la stabilité quand la cheville est sollicitée en inversion. La flexion plantaire est la position la plus vulnérable de la cheville. Le muscle long fibulaire latéral et le muscle court fibulaire latéral sont les plus importants stabilisateurs dynamiques.
Le genou traumatique a largement bénéficié de l'apport de l'ensemble des moyens d'imagerie dans la prise en charge diagnostique des lésions de ces différentes structures. L'IRM participe pour une grande part à cette prise en charge. Sa technique de réalisation et ses résultats comme ceux, d'ailleurs, des autres examens radiologiques sont exposés. Ces résultats concernent la rupture du LCA.
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Exclu du prêtIntérêt du travail excentrique des muscles fibulaires après entorse du ligament latéral externe de la cheville / GRAZIANI F. in Journal de traumatologie du sport, vol. 18/3 (2001)
[article]
Titre : Intérêt du travail excentrique des muscles fibulaires après entorse du ligament latéral externe de la cheville Type de document : texte imprimé Auteurs : GRAZIANI F. ; Jean-Marie Coudreuse ; BRUNET C Année de publication : 2001 Article en page(s) : P. 123-127 Résumé : Dix-huit patients sportifs entre 1998 et 1999 ont été évalués et séparés en deux groupes pour cette étude. Un groupe de 9 patients était rééduqué sur le mode concentrique (GC), l'autre groupe était rééduqué sur le mode excentrique (GE). Après 12 séances de rééducation, l'analyse isocinétique (en mode concentrique et excentrique) de la force des fibulaires est effectuée en comparant la cheville saine par rapport à la cheville lésée et ceci dans les deux groupes. Un groupe témoin (GT) de 10 sujets sportifs sans lésion ligamentaire de cheville a servi de référence. L'analyse des données isocinétiques sur un mode concentrique et excentrique révèle un gain de force des fibulaires à la fois en concentrique et en excentrique, plus important dans le groupe rééduqué en excentrique (p = 0,02). On peut supposer que l'augmentation de la force excentrique des fibulaires va dans le sens de la prévention des risques de récidive d'entorse du ligament latéral externe de la cheville.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14420
in Journal de traumatologie du sport > vol. 18/3 (2001) . - P. 123-127[article] Intérêt du travail excentrique des muscles fibulaires après entorse du ligament latéral externe de la cheville [texte imprimé] / GRAZIANI F. ; Jean-Marie Coudreuse ; BRUNET C . - 2001 . - P. 123-127.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 18/3 (2001) . - P. 123-127
Résumé : Dix-huit patients sportifs entre 1998 et 1999 ont été évalués et séparés en deux groupes pour cette étude. Un groupe de 9 patients était rééduqué sur le mode concentrique (GC), l'autre groupe était rééduqué sur le mode excentrique (GE). Après 12 séances de rééducation, l'analyse isocinétique (en mode concentrique et excentrique) de la force des fibulaires est effectuée en comparant la cheville saine par rapport à la cheville lésée et ceci dans les deux groupes. Un groupe témoin (GT) de 10 sujets sportifs sans lésion ligamentaire de cheville a servi de référence. L'analyse des données isocinétiques sur un mode concentrique et excentrique révèle un gain de force des fibulaires à la fois en concentrique et en excentrique, plus important dans le groupe rééduqué en excentrique (p = 0,02). On peut supposer que l'augmentation de la force excentrique des fibulaires va dans le sens de la prévention des risques de récidive d'entorse du ligament latéral externe de la cheville.
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Exclu du prêtLe muscle soléaire accessoire chez le sportif : à propos de 15 observations / F. Duparc in Journal de traumatologie du sport, vol. 18/3 (2001)
[article]
Titre : Le muscle soléaire accessoire chez le sportif : à propos de 15 observations Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Duparc ; J. Lechevallier ; J. Simonet ; BOYER C. Année de publication : 2001 Article en page(s) : P. 128-132 Résumé : La découverte d'un muscle soléaire accessoire chez le sportif reste exceptionnelle, mais les circonstances de découverte méritent d'être connues pour éviter des errances diagnostiques, voire des thérapeutiques inappropriées. Les auteurs rapportent 15 observations de découverte de muscles soléaires accessoires, chez des sportifs, en raison d'un syndrome douloureux volontiers évocateur d'un syndrome de loge d'effort chronique, d'un syndrome de masse de la partie postéro-médiale de la moitié inférieure de la jambe, ou de douleurs vagues qui ne correspondaient pas à des symptômes plus classiques de tendinopathie calcanéenne. La présentation clinique est analysée, le traitement de ces variations anatomiques musculaires est étudié et ces éléments sont confrontés aux données de la littérature.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14496
in Journal de traumatologie du sport > vol. 18/3 (2001) . - P. 128-132[article] Le muscle soléaire accessoire chez le sportif : à propos de 15 observations [texte imprimé] / F. Duparc ; J. Lechevallier ; J. Simonet ; BOYER C. . - 2001 . - P. 128-132.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 18/3 (2001) . - P. 128-132
Résumé : La découverte d'un muscle soléaire accessoire chez le sportif reste exceptionnelle, mais les circonstances de découverte méritent d'être connues pour éviter des errances diagnostiques, voire des thérapeutiques inappropriées. Les auteurs rapportent 15 observations de découverte de muscles soléaires accessoires, chez des sportifs, en raison d'un syndrome douloureux volontiers évocateur d'un syndrome de loge d'effort chronique, d'un syndrome de masse de la partie postéro-médiale de la moitié inférieure de la jambe, ou de douleurs vagues qui ne correspondaient pas à des symptômes plus classiques de tendinopathie calcanéenne. La présentation clinique est analysée, le traitement de ces variations anatomiques musculaires est étudié et ces éléments sont confrontés aux données de la littérature.
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Exclu du prêtPrise en charge de la luxation gléno-humérale par les médecins de stations de sports d'hiver : à propos de 529 cas (saison 1999/2000) / GENIN J in Journal de traumatologie du sport, vol. 18/3 (2001)
[article]
Titre : Prise en charge de la luxation gléno-humérale par les médecins de stations de sports d'hiver : à propos de 529 cas (saison 1999/2000) Type de document : texte imprimé Auteurs : GENIN J Année de publication : 2001 Article en page(s) : P. 113-122 Résumé : L'articulation gléno-humérale est l'articulation la plus mobile de l'organisme mais aussi la plus vulnérable. La première représentation de luxation d'épaule remonte à 3 000 ans avant JC. En traumatologie des sports d'hiver, la luxation gléno-humérale est la plus fréquente des luxations. Elle représente 3,20 % du total des blessés pris en charge par les médecins de station (saison 98 99), et plus des deux tiers des luxations survenant lors des sports d'hiver toutes articulations confondues. En moyenne, un médecin de station prend en charge 12 luxations d'épaule par saison avec des extrêmes allant de 1 à 80. Le médecin de station établit le diagnostic, élimine une lésion associée ou une complication, et traite le patient au cabinet dans plus de 90 % des cas. La technique de réduction doit être simple, réalisable par un opérateur seul, atraumatique, indolore et rapide. Nous utilisons le plus souvent la technique de Milch. Le recours à l'analgésie, la sédation ou l'analgésie-sédation est nécessaire dans 18 % des cas. L'immobilisation est assurée par un gilet orthopédique de type Berrehail pour une durée moyenne de 18 jours. Durant la saison d'hiver 99 2000, 44 médecins de 31 stations différentes ont participé à une enquête sur la prise en charge de la luxation d'épaule. Nous vous livrons aujourd'hui les résultats de cette enquête.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14650
in Journal de traumatologie du sport > vol. 18/3 (2001) . - P. 113-122[article] Prise en charge de la luxation gléno-humérale par les médecins de stations de sports d'hiver : à propos de 529 cas (saison 1999/2000) [texte imprimé] / GENIN J . - 2001 . - P. 113-122.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 18/3 (2001) . - P. 113-122
Résumé : L'articulation gléno-humérale est l'articulation la plus mobile de l'organisme mais aussi la plus vulnérable. La première représentation de luxation d'épaule remonte à 3 000 ans avant JC. En traumatologie des sports d'hiver, la luxation gléno-humérale est la plus fréquente des luxations. Elle représente 3,20 % du total des blessés pris en charge par les médecins de station (saison 98 99), et plus des deux tiers des luxations survenant lors des sports d'hiver toutes articulations confondues. En moyenne, un médecin de station prend en charge 12 luxations d'épaule par saison avec des extrêmes allant de 1 à 80. Le médecin de station établit le diagnostic, élimine une lésion associée ou une complication, et traite le patient au cabinet dans plus de 90 % des cas. La technique de réduction doit être simple, réalisable par un opérateur seul, atraumatique, indolore et rapide. Nous utilisons le plus souvent la technique de Milch. Le recours à l'analgésie, la sédation ou l'analgésie-sédation est nécessaire dans 18 % des cas. L'immobilisation est assurée par un gilet orthopédique de type Berrehail pour une durée moyenne de 18 jours. Durant la saison d'hiver 99 2000, 44 médecins de 31 stations différentes ont participé à une enquête sur la prise en charge de la luxation d'épaule. Nous vous livrons aujourd'hui les résultats de cette enquête.
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Exclu du prêtRésultats du traitement arthroscopique du conflit glénoïdien postéro-supérieur chez le tennisman / B. Sonnery-Cottet in Journal de traumatologie du sport, vol. 18/3 (2001)
[article]
Titre : Résultats du traitement arthroscopique du conflit glénoïdien postéro-supérieur chez le tennisman Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Sonnery-Cottet ; Éric Noël ; WALCH G ; B. Edwards Année de publication : 2001 Article en page(s) : P. 107-112 Résumé : Nous avons étudié 28 joueurs de tennis opérés par arthroscopie d'un conflit glénoïdien postéro-supérieur, responsable de l'arrêt de leur sport favori. Dans tous les cas, il s'agissait de l'épaule dominante, l'âge moyen des patients était de 26,9 ans. Il s'agissait de 18 joueurs de compétition et 10 joueurs de loisir. La révision avec un recul moyen postopératoire de 45,7 mois (12-108 mois) comportait un questionnaire sur les gestes de la vie quotidienne, une évaluation subjective et sur la pratique du tennis pré- et postopératoire. Le score postopératoire moyen était de 26,9 sur 30 points. Trente-trois patients étaient satisfaits du résultat. Vingt-deux patients avaient repris le tennis. Cependant, 20 patients sur ces 22 reportaient des douleurs lors de la pratique de leur sport. À notre connaissance, il s'agit de la première étude rapportant les résultats du traitement chirurgical du conflit glénoïdien postéro-supérieur chez le joueur de tennis. Au-delà des bons résultats sur la reprise du tennis, la persistance des douleurs pendant la pratique du sport nous incite à rester prudent.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14671
in Journal de traumatologie du sport > vol. 18/3 (2001) . - P. 107-112[article] Résultats du traitement arthroscopique du conflit glénoïdien postéro-supérieur chez le tennisman [texte imprimé] / B. Sonnery-Cottet ; Éric Noël ; WALCH G ; B. Edwards . - 2001 . - P. 107-112.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 18/3 (2001) . - P. 107-112
Résumé : Nous avons étudié 28 joueurs de tennis opérés par arthroscopie d'un conflit glénoïdien postéro-supérieur, responsable de l'arrêt de leur sport favori. Dans tous les cas, il s'agissait de l'épaule dominante, l'âge moyen des patients était de 26,9 ans. Il s'agissait de 18 joueurs de compétition et 10 joueurs de loisir. La révision avec un recul moyen postopératoire de 45,7 mois (12-108 mois) comportait un questionnaire sur les gestes de la vie quotidienne, une évaluation subjective et sur la pratique du tennis pré- et postopératoire. Le score postopératoire moyen était de 26,9 sur 30 points. Trente-trois patients étaient satisfaits du résultat. Vingt-deux patients avaient repris le tennis. Cependant, 20 patients sur ces 22 reportaient des douleurs lors de la pratique de leur sport. À notre connaissance, il s'agit de la première étude rapportant les résultats du traitement chirurgical du conflit glénoïdien postéro-supérieur chez le joueur de tennis. Au-delà des bons résultats sur la reprise du tennis, la persistance des douleurs pendant la pratique du sport nous incite à rester prudent.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14671 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
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