Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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| Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierArthropathies acromio-claviculaires / EHORE P.-P. in Journal de traumatologie du sport, vol. 16/4 (1999)
Titre : Arthropathies acromio-claviculaires Type de document : texte imprimé Auteurs : EHORE P.-P. ; ARGENSON J.N. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 247 - 248 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14293
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 247 - 248[article] Arthropathies acromio-claviculaires [texte imprimé] / EHORE P.-P. ; ARGENSON J.N. . - 1999 . - p. 247 - 248.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 247 - 248
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Titre : Évaluation clinique de l'épaule en pathologie sportive Type de document : texte imprimé Auteurs : DUBY J. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 244 - 246 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14355
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 244 - 246[article] Évaluation clinique de l'épaule en pathologie sportive [texte imprimé] / DUBY J. . - 1999 . - p. 244 - 246.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 244 - 246
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Titre : Isocinétisme et épaule douloureuse chronique Type de document : texte imprimé Auteurs : BENEZET P.-J. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 249 - 251 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14422
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 249 - 251[article] Isocinétisme et épaule douloureuse chronique [texte imprimé] / BENEZET P.-J. . - 1999 . - p. 249 - 251.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 249 - 251
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Titre : La fracture de l'apophyse externe de l'astragale en surf des neiges: Mise au point à propos d'un cas Type de document : texte imprimé Auteurs : PROTHOY I. ; CAZEAU C Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 207 - 211 Résumé : La fracture de l'apophyse externe de l'astragale est un diagnostic différentiel classique des entorses externes de cheville. Pourtant, cette lésion rare est souvent diagnostiquée au stade de séquelle. Avec le développement de nouveaux sports de glisse sur neige, en particulier le surf, pratiqué avec des bottes souples, ce type de fracture doit être recherché devant un tableau d'entorse externe de cheville survenue lors d'un traumatisme en flexion dorsale. La classification de cette fracture en trois types repose sur le trait de fracture, qui est au mieux analysé par tomodensitométrie. La gravité de cette lésion est liée à son caractère souvent articulaire. La prise en charge de ces différentes formes n'est pas clairement codifiée dans la littérature, mais le traitement précoce de cette lésion donne toujours le meilleur résultat.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14452
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 207 - 211[article] La fracture de l'apophyse externe de l'astragale en surf des neiges: Mise au point à propos d'un cas [texte imprimé] / PROTHOY I. ; CAZEAU C . - 1999 . - p. 207 - 211.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 207 - 211
Résumé : La fracture de l'apophyse externe de l'astragale est un diagnostic différentiel classique des entorses externes de cheville. Pourtant, cette lésion rare est souvent diagnostiquée au stade de séquelle. Avec le développement de nouveaux sports de glisse sur neige, en particulier le surf, pratiqué avec des bottes souples, ce type de fracture doit être recherché devant un tableau d'entorse externe de cheville survenue lors d'un traumatisme en flexion dorsale. La classification de cette fracture en trois types repose sur le trait de fracture, qui est au mieux analysé par tomodensitométrie. La gravité de cette lésion est liée à son caractère souvent articulaire. La prise en charge de ces différentes formes n'est pas clairement codifiée dans la littérature, mais le traitement précoce de cette lésion donne toujours le meilleur résultat.
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Titre : Pathologie de la coiffe des rotateurs et conflit sous-acromial de l'épaule du lanceur Type de document : texte imprimé Auteurs : FICHEZ O Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 240 - 243 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14623
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 240 - 243[article] Pathologie de la coiffe des rotateurs et conflit sous-acromial de l'épaule du lanceur [texte imprimé] / FICHEZ O . - 1999 . - p. 240 - 243.
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Titre : Réflexions à propos du traitement des ruptures du tendon d'Achille parsuture percutanée Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-F. Kouvalchouk ; MOUJTAHID M. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 222 - 228 Résumé : À côté des traitements chirurgical conventionnel, orthopédique ou fonctionnel pur, la suture percutanée représente une autre option thérapeutique. Le matériel mis au point par P. Delponte, le Ténolig(r), en a permis le développement. A propos d'une série personnelle de 50 cas consécutifs et tous revus, avec un recul minimum de 1 an, et en faisant référence à la littérature, les auteurs font état de leurs réflexions. Il leur apparaît que pour les ruptures récentes de la partie moyenne du tendon, la suture percutanée est la méthode de choix avec des résultats au moins équivalents à ceux des autres techniques. De plus, elle associe les avantages de chacune des autres méthodes sans en avoir les inconvénients respectifs. Notamment, il n'existe pas les risques cutanés du traitement chirurgical ni les dangers de rupture itérative des traitements orthopédique et fonctionnel (4 % dans leur série personnelle). Cependant, il convient d'insister sur le fait que la technique de la suture percutanée exige soin et rigueur et qu'elle est moins facile qu'il peut y paraître. Par ailleurs, la méthode a ses limites et pour les auteurs, n'est pas indiquée pour les ruptures vues tardivement, les ruptures itératives et les désinsertions basses.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14663
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 222 - 228[article] Réflexions à propos du traitement des ruptures du tendon d'Achille parsuture percutanée [texte imprimé] / J.-F. Kouvalchouk ; MOUJTAHID M. . - 1999 . - p. 222 - 228.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 222 - 228
Résumé : À côté des traitements chirurgical conventionnel, orthopédique ou fonctionnel pur, la suture percutanée représente une autre option thérapeutique. Le matériel mis au point par P. Delponte, le Ténolig(r), en a permis le développement. A propos d'une série personnelle de 50 cas consécutifs et tous revus, avec un recul minimum de 1 an, et en faisant référence à la littérature, les auteurs font état de leurs réflexions. Il leur apparaît que pour les ruptures récentes de la partie moyenne du tendon, la suture percutanée est la méthode de choix avec des résultats au moins équivalents à ceux des autres techniques. De plus, elle associe les avantages de chacune des autres méthodes sans en avoir les inconvénients respectifs. Notamment, il n'existe pas les risques cutanés du traitement chirurgical ni les dangers de rupture itérative des traitements orthopédique et fonctionnel (4 % dans leur série personnelle). Cependant, il convient d'insister sur le fait que la technique de la suture percutanée exige soin et rigueur et qu'elle est moins facile qu'il peut y paraître. Par ailleurs, la méthode a ses limites et pour les auteurs, n'est pas indiquée pour les ruptures vues tardivement, les ruptures itératives et les désinsertions basses.
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Titre : Tendinopathie rotulienne du sportif opérée et rééducation: Étuderétrospective Type de document : texte imprimé Auteurs : SAVALLI L ; PUIG P. ; P. TROUVE ; P. MIDDLETON Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 212 - 217 Résumé : Les auteurs ont passé en revue 44 dossiers de tendinopathies rotuliennes opérées, soit 48 genoux. Il s'agit de sportifs de niveau régional, national et international, hospitalisés au CERS entre 1994 et 1998. Les dossiers ont été répartis en 2 groupes selon le délai d'admission après l'intervention, moins de 45 jours et entre 45 et 90 jours. Les patients admis au-delà de 90 jours ont été exclus de ce travail. Pour les besoins de l'étude, un questionnaire a été envoyé au patient, à distance du séjour au CERS, afin de connaître l'évolution. Quatre-vingt un pour cent des patients sont de sexe masculin, avec un âge moyen de 23 ans. Dans 88 % des cas il s'agit d'une pathologie dégénérative micro-traumatique. Le taux de réponses au questionnaire est de 41 %. Tous les patients ont repris le sport, avec un délai moyen de 8 mois (extrêmes : 2 à 24 mois). Les reprises tardives du sport sont parfois sans rapport avec l'intervention, mais peuvent être la conséquence de problèmes personnels notamment le suivi d'études. Parmi les patients qui ont répondu au questionnaire, une proportion relativement élevée, soit près d'un tiers, restent douloureux. Mais si l'on accepte comme bons résultats les patients non douloureux et ou ayant retrouvé leur niveau sportif antérieur, cela représente 72 % d'entre eux. Les auteurs discutent les résultats de l'étude et les modalités de la rééducation. Ils mettent en avant l'intérêt d'un travail du quadriceps en chaîne fermée, au décours de l'intervention, car peu contraignant pour l'appareil extenseur. La mise en oeuvre d'un travail excentrique du quadriceps, à distance de l'intervention, est importante pour améliorer les propriétés mécaniques du tendon. Il apparaît à travers cette étude que les résultats de la chirurgie de la tendinopathie rotulienne sont assez aléatoires, notamment en terme de douleur et de délais de reprise du sport. L'intrication, dans un certain nombre de cas, d'un syndrome fémoro-patellaire, en particulier d'une chondropathie de la pointe de la rotule peut expliquer, certains résultats décevants.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14703
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 212 - 217[article] Tendinopathie rotulienne du sportif opérée et rééducation: Étuderétrospective [texte imprimé] / SAVALLI L ; PUIG P. ; P. TROUVE ; P. MIDDLETON . - 1999 . - p. 212 - 217.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 212 - 217
Résumé : Les auteurs ont passé en revue 44 dossiers de tendinopathies rotuliennes opérées, soit 48 genoux. Il s'agit de sportifs de niveau régional, national et international, hospitalisés au CERS entre 1994 et 1998. Les dossiers ont été répartis en 2 groupes selon le délai d'admission après l'intervention, moins de 45 jours et entre 45 et 90 jours. Les patients admis au-delà de 90 jours ont été exclus de ce travail. Pour les besoins de l'étude, un questionnaire a été envoyé au patient, à distance du séjour au CERS, afin de connaître l'évolution. Quatre-vingt un pour cent des patients sont de sexe masculin, avec un âge moyen de 23 ans. Dans 88 % des cas il s'agit d'une pathologie dégénérative micro-traumatique. Le taux de réponses au questionnaire est de 41 %. Tous les patients ont repris le sport, avec un délai moyen de 8 mois (extrêmes : 2 à 24 mois). Les reprises tardives du sport sont parfois sans rapport avec l'intervention, mais peuvent être la conséquence de problèmes personnels notamment le suivi d'études. Parmi les patients qui ont répondu au questionnaire, une proportion relativement élevée, soit près d'un tiers, restent douloureux. Mais si l'on accepte comme bons résultats les patients non douloureux et ou ayant retrouvé leur niveau sportif antérieur, cela représente 72 % d'entre eux. Les auteurs discutent les résultats de l'étude et les modalités de la rééducation. Ils mettent en avant l'intérêt d'un travail du quadriceps en chaîne fermée, au décours de l'intervention, car peu contraignant pour l'appareil extenseur. La mise en oeuvre d'un travail excentrique du quadriceps, à distance de l'intervention, est importante pour améliorer les propriétés mécaniques du tendon. Il apparaît à travers cette étude que les résultats de la chirurgie de la tendinopathie rotulienne sont assez aléatoires, notamment en terme de douleur et de délais de reprise du sport. L'intrication, dans un certain nombre de cas, d'un syndrome fémoro-patellaire, en particulier d'une chondropathie de la pointe de la rotule peut expliquer, certains résultats décevants.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14703 Exemplaires (1)
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Titre : Traitement chirurgical des ruptures du tendon d'Achille Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Thoreux ; MASQUELET A.-C. ; COLOM A. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 229 - 235 Résumé : Les auteurs rappellent l'ensemble des techniques chirurgicales pouvant être utilisées pour la réparation des ruptures fraîches du tendon d'Achille. Ils distinguent les réparations sans renforcement et celles avec renforcement de quelque nature qu'elles soient. Ils exposent également des possibilités techniques combinées, associant la chirurgie percutanée et la chirurgie à " ciel ouvert ". Ils énumèrent ensuite les complications du traitement chirurgical et leurs incidences respectives dans la littérature internationale. Le dernier chapitre, s'appuyant sur une analyse de la littérature internationale, en particulier sur les études comparant deux méthodes thérapeutiques, permet d'envisager les résultats du traitement chirurgical et de discuter des avantages et des inconvénients propres à chaque méthode thérapeutique. En conclusion, il apparaît que toutes les méthodes de traitement des ruptures récentes du tendon d'Achille donnent des résultats satisfaisants à long terme si elles sont méthodiquement conduites. L'avantage du traitement chirurgical, par rapport au traitement orthopédique notamment, est de redonner au tendon une longueur proche de la normale et de limiter les risques de rupture itérative. Malgré l'avènement du traitement percutané, il reste des indications chirurgicales à " ciel ouvert " telles que les ruptures itératives, les ruptures vues tardivement (au-delà du 10 jour) et les contre-indications du traitement percutané, comme les ruptures distales.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14718
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 229 - 235[article] Traitement chirurgical des ruptures du tendon d'Achille [texte imprimé] / P. Thoreux ; MASQUELET A.-C. ; COLOM A. . - 1999 . - p. 229 - 235.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 229 - 235
Résumé : Les auteurs rappellent l'ensemble des techniques chirurgicales pouvant être utilisées pour la réparation des ruptures fraîches du tendon d'Achille. Ils distinguent les réparations sans renforcement et celles avec renforcement de quelque nature qu'elles soient. Ils exposent également des possibilités techniques combinées, associant la chirurgie percutanée et la chirurgie à " ciel ouvert ". Ils énumèrent ensuite les complications du traitement chirurgical et leurs incidences respectives dans la littérature internationale. Le dernier chapitre, s'appuyant sur une analyse de la littérature internationale, en particulier sur les études comparant deux méthodes thérapeutiques, permet d'envisager les résultats du traitement chirurgical et de discuter des avantages et des inconvénients propres à chaque méthode thérapeutique. En conclusion, il apparaît que toutes les méthodes de traitement des ruptures récentes du tendon d'Achille donnent des résultats satisfaisants à long terme si elles sont méthodiquement conduites. L'avantage du traitement chirurgical, par rapport au traitement orthopédique notamment, est de redonner au tendon une longueur proche de la normale et de limiter les risques de rupture itérative. Malgré l'avènement du traitement percutané, il reste des indications chirurgicales à " ciel ouvert " telles que les ruptures itératives, les ruptures vues tardivement (au-delà du 10 jour) et les contre-indications du traitement percutané, comme les ruptures distales.
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Titre : Traitement des lésions du nerf sus-scapulaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marie Coudreuse ; BRUNET C ; A. Delarque ; ARGENSON J.N. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 236 - 239 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14730
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 236 - 239[article] Traitement des lésions du nerf sus-scapulaire [texte imprimé] / Jean-Marie Coudreuse ; BRUNET C ; A. Delarque ; ARGENSON J.N. . - 1999 . - p. 236 - 239.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 236 - 239
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14730 Exemplaires (1)
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Titre : Trois observations de soléaire accessoire Type de document : texte imprimé Auteurs : GAYET L.-E. ; DELUSTRAC J.-M. ; DUPORT G. ; SCEPI M. ; CHANSIGAUD J.-P. Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 218 - 221 Résumé : La fréquence du soléaire accessoire est de 6 %, mais l'incidence clinique est faible. À propos de trois cas, les auteurs en rappellent la symptomatologie, l'anatomie et la physiopathologie. Il s'agit d'une tuméfaction plus ou moins douloureuse, avec parfois une tendance au varus et à l'équin. L'insertion proximale de ce muscle accessoire siège en avant du soléaire normal et son insertion distale tendineuse, très variable, siège souvent à la face interne du calcanéum. Plusieurs hypothèses s'affrontent pour expliquer les phénomènes douloureux: soit une compression du nerf tibial postérieur, soit une tension excessive exercée sur le nerf du chef musculaire accessoire, soit un syndrome de loge d'effort chronique localisé. Les deux premiers patients ont eu une exérèse musculaire avec un bon résultat fonctionnel. Le troisième a adapté sa pratique sportive. Les auteurs rapportent le traitement utilisé dans les 28 autres cas qu'ils ont retrouvés dans la littérature: simple chaussure basse, exérèse aponévrotique, exérèse musculaire, voire anastomose du tendon surnuméraire au tendon d'Achille. La présence du muscle soléaire surnuméraire n'est pas exceptionnelle; la connaissance de cette anomalie musculaire permet de proposer une attitude thérapeutique adaptée à la gêne fonctionnelle.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14747
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 218 - 221[article] Trois observations de soléaire accessoire [texte imprimé] / GAYET L.-E. ; DELUSTRAC J.-M. ; DUPORT G. ; SCEPI M. ; CHANSIGAUD J.-P. . - 1999 . - p. 218 - 221.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 16/4 (1999) . - p. 218 - 221
Résumé : La fréquence du soléaire accessoire est de 6 %, mais l'incidence clinique est faible. À propos de trois cas, les auteurs en rappellent la symptomatologie, l'anatomie et la physiopathologie. Il s'agit d'une tuméfaction plus ou moins douloureuse, avec parfois une tendance au varus et à l'équin. L'insertion proximale de ce muscle accessoire siège en avant du soléaire normal et son insertion distale tendineuse, très variable, siège souvent à la face interne du calcanéum. Plusieurs hypothèses s'affrontent pour expliquer les phénomènes douloureux: soit une compression du nerf tibial postérieur, soit une tension excessive exercée sur le nerf du chef musculaire accessoire, soit un syndrome de loge d'effort chronique localisé. Les deux premiers patients ont eu une exérèse musculaire avec un bon résultat fonctionnel. Le troisième a adapté sa pratique sportive. Les auteurs rapportent le traitement utilisé dans les 28 autres cas qu'ils ont retrouvés dans la littérature: simple chaussure basse, exérèse aponévrotique, exérèse musculaire, voire anastomose du tendon surnuméraire au tendon d'Achille. La présence du muscle soléaire surnuméraire n'est pas exceptionnelle; la connaissance de cette anomalie musculaire permet de proposer une attitude thérapeutique adaptée à la gêne fonctionnelle.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14747 Exemplaires (1)
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