Dépouillements

Arrachement traumatique de la tubérosité tibiale antérieure chez l'adolescent sportif / LECONTE D. in Journal de traumatologie du sport, vol. 19/1 (2002)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 19/1 (2002) . - P. 9-14 Titre : Arrachement traumatique de la tubérosité tibiale antérieure chez l'adolescent sportif Type de document : texte imprimé Auteurs : LECONTE D. ; MOUTERDE P. ; GOUIZI L. Année de publication : 2002 Article en page(s) : P. 9-14 Résumé : Les auteurs présentent une série homogène de 21 adolescents sportifs victimes d'un arrachement traumatique de la tubérosité tibiale antérieure. Douze présentaient des antécédents d'Osgood-Schlatter. Les lésions anatomiques sont classées en deux types, selon que le trait de fracture atteint ou non l'épiphyse et donc l'articulation fémoro-tibiale. La plupart des lésions (18 21) ont nécessité une ostéosynthèse qui, dans 4 cas récents, a pu être effectuée par voie percutanée. L'immobilisation post-opératoire de 4 à 6 semaines est plus légère pour les fractures extra-épiphysaires (genouillère avec appui) que pour les lésions épiphysaires (cruro-pédieux sans appui), la récupération fonctionnelle en est plus précoce. Les résultats à court et long termes sont satisfaisants : récupération fonctionnelle complète, reprise du sport au niveau antérieur, absence de recurvatum. Les auteurs soulignent la nette prédominance masculine des patients, exposent l'intérêt pratique de leur classification simplifiée des lésions anatomiques. Ils insistent sur l'importance de la douleur « sonnette d'alarme » chez les adolescents atteints de la maladie d'Osgood-Schlatter dans la prévention des arrachements tubérositaires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14289 [article] Arrachement traumatique de la tubérosité tibiale antérieure chez l'adolescent sportif [texte imprimé] / LECONTE D. ; MOUTERDE P. ; GOUIZI L. . - 2002 . - P. 9-14. in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/1 (2002) . - P. 9-14 Résumé : Les auteurs présentent une série homogène de 21 adolescents sportifs victimes d'un arrachement traumatique de la tubérosité tibiale antérieure. Douze présentaient des antécédents d'Osgood-Schlatter. Les lésions anatomiques sont classées en deux types, selon que le trait de fracture atteint ou non l'épiphyse et donc l'articulation fémoro-tibiale. La plupart des lésions (18 21) ont nécessité une ostéosynthèse qui, dans 4 cas récents, a pu être effectuée par voie percutanée. L'immobilisation post-opératoire de 4 à 6 semaines est plus légère pour les fractures extra-épiphysaires (genouillère avec appui) que pour les lésions épiphysaires (cruro-pédieux sans appui), la récupération fonctionnelle en est plus précoce. Les résultats à court et long termes sont satisfaisants : récupération fonctionnelle complète, reprise du sport au niveau antérieur, absence de recurvatum. Les auteurs soulignent la nette prédominance masculine des patients, exposent l'intérêt pratique de leur classification simplifiée des lésions anatomiques. Ils insistent sur l'importance de la douleur « sonnette d'alarme » chez les adolescents atteints de la maladie d'Osgood-Schlatter dans la prévention des arrachements tubérositaires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14289

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Avulsion traumatique distale du triceps brachial : à propos d'un cas / MOUJTAHID M. in Journal de traumatologie du sport, vol. 19/1 (2002)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 19/1 (2002) . - P. 37-41 Titre : Avulsion traumatique distale du triceps brachial : à propos d'un cas Type de document : texte imprimé Auteurs : MOUJTAHID M. ; EL GANDAOUI I. ; HARFAOUI A. ; NECHAD M. ; ZRYOUIL B. ; CHROQUI F. Année de publication : 2002 Article en page(s) : P. 37-41 Résumé : Les avulsions traumatiques distales du triceps brachial sont des lésions rares. Elles surviennent habituellement après un traumatisme brutal du coude en position d'extension associée à une contraction brutale du muscle triceps brachial. L'examen clinique retrouvait une douleur à la palpation du tendon distal du triceps brachial et une impossibilité d'extension active de l'avant-bras. La radiographie du coude de profil a retrouvé un arrachement d'une pastille osseuse olécrânienne de petite taille. L'échographie et l'IRM sont contributives en cas de négativité des clichés standard. La réinsertion chirurgicale précoce du tendon tricipital semble donner un très bon résultat fonctionnel. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14301 [article] Avulsion traumatique distale du triceps brachial : à propos d'un cas [texte imprimé] / MOUJTAHID M. ; EL GANDAOUI I. ; HARFAOUI A. ; NECHAD M. ; ZRYOUIL B. ; CHROQUI F. . - 2002 . - P. 37-41. in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/1 (2002) . - P. 37-41 Résumé : Les avulsions traumatiques distales du triceps brachial sont des lésions rares. Elles surviennent habituellement après un traumatisme brutal du coude en position d'extension associée à une contraction brutale du muscle triceps brachial. L'examen clinique retrouvait une douleur à la palpation du tendon distal du triceps brachial et une impossibilité d'extension active de l'avant-bras. La radiographie du coude de profil a retrouvé un arrachement d'une pastille osseuse olécrânienne de petite taille. L'échographie et l'IRM sont contributives en cas de négativité des clichés standard. La réinsertion chirurgicale précoce du tendon tricipital semble donner un très bon résultat fonctionnel. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14301

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Fracture de fatigue rotulienne : une localisation exceptionnelle / LEMOUSSU N. in Journal de traumatologie du sport, vol. 19/1 (2002)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 19/1 (2002) . - P. 45-50 Titre : Fracture de fatigue rotulienne : une localisation exceptionnelle Type de document : texte imprimé Auteurs : LEMOUSSU N. ; BOYER F. ; ETIENNE J. C. ; REGRAIN E. ; SCHERNBERG F ; B. Vesselle ; S. ACKAH-MIEZAN Année de publication : 2002 Article en page(s) : P. 45-50 Résumé : Les fractures de fatigue sont caractérisées par la présence d'une solution de continuité osseuse survenant sur un os sain. Elles surviennent habituellement après un surmenage mécanique chez un sujet jeune, sportif ou militaire. Les localisations préférentielles sont les membres inférieurs, mais la rotule est exceptionnellement atteinte. Nous en rapportons une observation. Un patient de 35 ans, sportif régulier (jogging, tennis, enduro) ressent une douleur du genou gauche au cours d'un match de tennis. Une semaine plus tard, il parcourt environ 500 kilomètres à vélo en quatre jours. Après une semaine environ, il participe à une nouvelle partie de tennis. En allant chercher une balle au filet, il prend un appui sur le pied gauche, le genou fléchi à 90°. Il entend un craquement suivi d'une impotence fonctionnelle totale entraînant une chute de sa hauteur. Les radiographies montrent une fracture transversale déplacée à l'union des deux tiers supérieurs et du tiers inférieur de la rotule. Un traitement chirurgical par cerclage et haubanage est pratiqué. Les fractures de fatigue de la rotule sont connues depuis Muller (1943). Une trentaine d'observations ont été rapportées dans la littérature chez des sujets sains. L'histoire clinique se fait fréquemment en deux temps avec un épisode initial peu douloureux confondu avec une tendinopathie rotulienne ou quadricipitale. Dans un deuxième temps, le déplacement est provoqué lors d'un effort physique. Le traitement chirurgical est alors inéluctable. La persistance d'une douleur antérieure du genou chez un jeune sportif incite à réaliser des explorations complémentaires. Les radiographies standard doivent être répétées. Un examen scintigraphique aux signes positifs très précoces, ainsi que la mise en décharge systématique dès le diagnostic évoqué sont proposés. Le traitement orthopédique mis en oeuvre rapidement évite le traitement chirurgical. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14380 [article] Fracture de fatigue rotulienne : une localisation exceptionnelle [texte imprimé] / LEMOUSSU N. ; BOYER F. ; ETIENNE J. C. ; REGRAIN E. ; SCHERNBERG F ; B. Vesselle ; S. ACKAH-MIEZAN . - 2002 . - P. 45-50. in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/1 (2002) . - P. 45-50 Résumé : Les fractures de fatigue sont caractérisées par la présence d'une solution de continuité osseuse survenant sur un os sain. Elles surviennent habituellement après un surmenage mécanique chez un sujet jeune, sportif ou militaire. Les localisations préférentielles sont les membres inférieurs, mais la rotule est exceptionnellement atteinte. Nous en rapportons une observation. Un patient de 35 ans, sportif régulier (jogging, tennis, enduro) ressent une douleur du genou gauche au cours d'un match de tennis. Une semaine plus tard, il parcourt environ 500 kilomètres à vélo en quatre jours. Après une semaine environ, il participe à une nouvelle partie de tennis. En allant chercher une balle au filet, il prend un appui sur le pied gauche, le genou fléchi à 90°. Il entend un craquement suivi d'une impotence fonctionnelle totale entraînant une chute de sa hauteur. Les radiographies montrent une fracture transversale déplacée à l'union des deux tiers supérieurs et du tiers inférieur de la rotule. Un traitement chirurgical par cerclage et haubanage est pratiqué. Les fractures de fatigue de la rotule sont connues depuis Muller (1943). Une trentaine d'observations ont été rapportées dans la littérature chez des sujets sains. L'histoire clinique se fait fréquemment en deux temps avec un épisode initial peu douloureux confondu avec une tendinopathie rotulienne ou quadricipitale. Dans un deuxième temps, le déplacement est provoqué lors d'un effort physique. Le traitement chirurgical est alors inéluctable. La persistance d'une douleur antérieure du genou chez un jeune sportif incite à réaliser des explorations complémentaires. Les radiographies standard doivent être répétées. Un examen scintigraphique aux signes positifs très précoces, ainsi que la mise en décharge systématique dès le diagnostic évoqué sont proposés. Le traitement orthopédique mis en oeuvre rapidement évite le traitement chirurgical. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14380

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L'atteinte de l'aponévrose plantaire superficielle chez les joueurs de tennis : à propos de 21 cas / DAUBINET G. in Journal de traumatologie du sport, vol. 19/1 (2002)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 19/1 (2002) . - P. 15-18 Titre : L'atteinte de l'aponévrose plantaire superficielle chez les joueurs de tennis : à propos de 21 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : DAUBINET G. ; Jacques Parier ; P. Thelen ; MONTALVAN B. Année de publication : 2002 Article en page(s) : P. 15-18 Résumé : L'atteinte de l'aponévrose plantaire superficielle est une cause fréquente de douleurs de l'arrière-pied chez le sportif. Elle se présente sous 3 formes cliniques :-la rupture, évoluant favorablement en quelques semaines avec un traitement médical ;-la myo-aponévrosite plantaire : tableau douloureux chronique nécessitant une prise en charge médicale diversifiée (semelles, rééducation...) et prolongée, voire chirurgicale en cas d'échec ;-la fasciite plantaire, forme de l'adulte jeune. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14428 [article] L'atteinte de l'aponévrose plantaire superficielle chez les joueurs de tennis : à propos de 21 cas [texte imprimé] / DAUBINET G. ; Jacques Parier ; P. Thelen ; MONTALVAN B. . - 2002 . - P. 15-18. in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/1 (2002) . - P. 15-18 Résumé : L'atteinte de l'aponévrose plantaire superficielle est une cause fréquente de douleurs de l'arrière-pied chez le sportif. Elle se présente sous 3 formes cliniques :-la rupture, évoluant favorablement en quelques semaines avec un traitement médical ;-la myo-aponévrosite plantaire : tableau douloureux chronique nécessitant une prise en charge médicale diversifiée (semelles, rééducation...) et prolongée, voire chirurgicale en cas d'échec ;-la fasciite plantaire, forme de l'adulte jeune. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14428

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Les syndromes de loge chroniques de jambe : étude rétrospective à propos de 54 cas et revue de la littérature / VENET G. in Journal de traumatologie du sport, vol. 19/1 (2002)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 19/1 (2002) . - P. 27-36 Titre : Les syndromes de loge chroniques de jambe : étude rétrospective à propos de 54 cas et revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : VENET G. ; G. Pietu ; J. Letenneur Année de publication : 2002 Article en page(s) : P. 27-36 Résumé : Les auteurs rapportent l'expérience du CHU de Nantes par l'étude de 54 cas de syndromes de loge chroniques de jambe pris en charge entre 1989 et 1997. Cette série est constituée de sujets jeunes (moyenne d'âge 20 ans + 6) à forte prédominance masculine (80 %) et sportive (98 %). Les sports incriminés sont analysés. Cent pour cent des patients présentaient une douleur spécifique et stéréotypée, bilatérale pour 45 d'entre eux. L'examen clinique était normal dans la majorité des cas ; la seule anomalie retrouvée correspondait à la présence de hernies musculaires dans 33 % des cas. Des diagnostics associés de périostite tibiale (4 cas), de piège veineux (1 cas), et d'artère poplitée piégée (1 cas) ont été mis en évidence par l'examen clinique et les examens complémentaires spécifiques. Le diagnostic positif de syndrome de loge a été confié à la mesure des pressions intramusculaires selon la technique de Whitesides potentialisée par un effort sportif. Le traitement chirurgical par aponévrotomie sous cutanée est décrit. Quatre patients ont nécessité 2 interventions et les causes de réintervention sont détaillées. Les résultats ont été analysés avec un recul moyen de 2,6 ans (extrêmes : 6 mois, 8 ans) sur 49 patients (4 perdus de vue et un patient non opéré) et ont permis de retrouver 90 % de patients asymptomatiques, 90 % de patients ayant récupéré leur niveau sportif antérieur et de façon globale 95 % de bons et très bons résultats. Les auteurs discutent les données et les résultats de leur série par rapport à la littérature sur le sujet. Les spécificités des différents sports en cause dans cette pathologie sont analysées. Les syndromes de loge chroniques de jambe sont une des étiologies fréquentes des douleurs d'effort du sportif. Cette pathologie est facilement reconnue par des signes fonctionnels caractéristiques et par la mesure des pressions intramusculaires. Le traitement par aponévrotomie sous-cutanée donne de très bons résultats. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14577 [article] Les syndromes de loge chroniques de jambe : étude rétrospective à propos de 54 cas et revue de la littérature [texte imprimé] / VENET G. ; G. Pietu ; J. Letenneur . - 2002 . - P. 27-36. in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/1 (2002) . - P. 27-36 Résumé : Les auteurs rapportent l'expérience du CHU de Nantes par l'étude de 54 cas de syndromes de loge chroniques de jambe pris en charge entre 1989 et 1997. Cette série est constituée de sujets jeunes (moyenne d'âge 20 ans + 6) à forte prédominance masculine (80 %) et sportive (98 %). Les sports incriminés sont analysés. Cent pour cent des patients présentaient une douleur spécifique et stéréotypée, bilatérale pour 45 d'entre eux. L'examen clinique était normal dans la majorité des cas ; la seule anomalie retrouvée correspondait à la présence de hernies musculaires dans 33 % des cas. Des diagnostics associés de périostite tibiale (4 cas), de piège veineux (1 cas), et d'artère poplitée piégée (1 cas) ont été mis en évidence par l'examen clinique et les examens complémentaires spécifiques. Le diagnostic positif de syndrome de loge a été confié à la mesure des pressions intramusculaires selon la technique de Whitesides potentialisée par un effort sportif. Le traitement chirurgical par aponévrotomie sous cutanée est décrit. Quatre patients ont nécessité 2 interventions et les causes de réintervention sont détaillées. Les résultats ont été analysés avec un recul moyen de 2,6 ans (extrêmes : 6 mois, 8 ans) sur 49 patients (4 perdus de vue et un patient non opéré) et ont permis de retrouver 90 % de patients asymptomatiques, 90 % de patients ayant récupéré leur niveau sportif antérieur et de façon globale 95 % de bons et très bons résultats. Les auteurs discutent les données et les résultats de leur série par rapport à la littérature sur le sujet. Les spécificités des différents sports en cause dans cette pathologie sont analysées. Les syndromes de loge chroniques de jambe sont une des étiologies fréquentes des douleurs d'effort du sportif. Cette pathologie est facilement reconnue par des signes fonctionnels caractéristiques et par la mesure des pressions intramusculaires. Le traitement par aponévrotomie sous-cutanée donne de très bons résultats. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14577

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Syndrome de loge aigu antérieure de jambe après chirurgie pour rupture du tendon d'Achille / PICHON H. in Journal de traumatologie du sport, vol. 19/1 (2002)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 19/1 (2002) . - P. 5-8 Titre : Syndrome de loge aigu antérieure de jambe après chirurgie pour rupture du tendon d'Achille Type de document : texte imprimé Auteurs : PICHON H. ; LANO J. ; P. Simon ; BABIN S.-R. Année de publication : 2002 Article en page(s) : P. 5-8 Résumé : Nous rapportons ici l'observation d'un patient de 25 ans, qui a développé un syndrome de la loge antérieure de jambe, après chirurgie pour rupture du tendon d'Achille. L'intervention avait été effectuée par une technique conventionnelle sous anesthésie loco-régionale. L'aponévrotomie réalisée au 4è jour, n'a pas permis d'éviter l'évolution vers la nécrose de la loge antérieure. L'évolution clinique est toutefois favorable, puisque les activités professionnelles et sportives ont pu être reprises, respectivement au 3 et 6 mois. Une anomalie vasculaire ayant été éliminée, le mécanisme probablement multi-factoriel est discuté : compression extrinsèque per ou post-opératoire sur le dos du pied, lésion musculaire intrinsèque de la loge antérieure concomitante du traumatisme, position en hyper-équin de la cheville en per et post-opératoire, cette dernière ayant certainement été un facteur de décompensation et d'auto-aggravation de la lésion. Cette complication heureusement exceptionnelle après ce type de chirurgie semble toutefois suffisamment grave pour être signalée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14696 [article] Syndrome de loge aigu antérieure de jambe après chirurgie pour rupture du tendon d'Achille [texte imprimé] / PICHON H. ; LANO J. ; P. Simon ; BABIN S.-R. . - 2002 . - P. 5-8. in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/1 (2002) . - P. 5-8 Résumé : Nous rapportons ici l'observation d'un patient de 25 ans, qui a développé un syndrome de la loge antérieure de jambe, après chirurgie pour rupture du tendon d'Achille. L'intervention avait été effectuée par une technique conventionnelle sous anesthésie loco-régionale. L'aponévrotomie réalisée au 4è jour, n'a pas permis d'éviter l'évolution vers la nécrose de la loge antérieure. L'évolution clinique est toutefois favorable, puisque les activités professionnelles et sportives ont pu être reprises, respectivement au 3 et 6 mois. Une anomalie vasculaire ayant été éliminée, le mécanisme probablement multi-factoriel est discuté : compression extrinsèque per ou post-opératoire sur le dos du pied, lésion musculaire intrinsèque de la loge antérieure concomitante du traumatisme, position en hyper-équin de la cheville en per et post-opératoire, cette dernière ayant certainement été un facteur de décompensation et d'auto-aggravation de la lésion. Cette complication heureusement exceptionnelle après ce type de chirurgie semble toutefois suffisamment grave pour être signalée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14696

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Une luxation gléno-humérale associée à une fracture du rebord glénoïdien de « grande taille » : à propos de deux cas / DUPOUX-CABIAC J. in Journal de traumatologie du sport, vol. 19/1 (2002)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > vol. 19/1 (2002) . - P. 42-44 Titre : Une luxation gléno-humérale associée à une fracture du rebord glénoïdien de « grande taille » : à propos de deux cas Type de document : texte imprimé Auteurs : DUPOUX-CABIAC J. Année de publication : 2002 Article en page(s) : P. 42-44 Résumé : L'auteur décrit une forme particulière de luxation gléno-humérale antéro-interne associée à une fracture du rebord glénoïdien antéro-inférieur de « grande taille ». ». Cette épaule se présente comme une épaule douloureuse post-traumatique et, non pas, comme une épaule luxée. L'examen clinique et le bilan radiographique permettent de faire le diagnostic et de préciser l'indication thérapeutique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14761 [article] Une luxation gléno-humérale associée à une fracture du rebord glénoïdien de « grande taille » : à propos de deux cas [texte imprimé] / DUPOUX-CABIAC J. . - 2002 . - P. 42-44. in Journal de traumatologie du sport > vol. 19/1 (2002) . - P. 42-44 Résumé : L'auteur décrit une forme particulière de luxation gléno-humérale antéro-interne associée à une fracture du rebord glénoïdien antéro-inférieur de « grande taille ». ». Cette épaule se présente comme une épaule douloureuse post-traumatique et, non pas, comme une épaule luxée. L'examen clinique et le bilan radiographique permettent de faire le diagnostic et de préciser l'indication thérapeutique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14761

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