Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierAnatomie échographique du coude / BRASSEUR J. L. in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/1 (avril 1998)
[article]
Titre : Anatomie échographique du coude Type de document : texte imprimé Auteurs : BRASSEUR J. L. ; TARDIEU M. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 49 - 53 Résumé : La topographie superficielle des éléments tendineux et péri-articulaires du coude autorise une étude échographique de très haute résolution. Les coupes sagittales antérieures et postérieures sont utilisées pour l'étude de la cavité articulaire et des gouttières para-olécrâniennes ainsi que pour l'examen des tendons du triceps et du biceps. Les coupes frontales latérales et médiales sont utilisées pour l'étude des éléments tendineux de l'épicondyle et de l'épitrochlée. Les lésions ostéoarticulaires et capsuloligamentaires peuvent être recherchées, en particulier les nodules ostéochondromateux et les déchirures du LLI, mais les indications les plus fréquentes consistent en la mise au point des différents types d'atteinte tendineuse au voisinage des zones d'insertion. L'échographie du coude présente donc de nombreuses indications souvent méconnues et permet de réaliser un bilan fort complet en complément des clichés radiographiques standard.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14282
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 49 - 53[article] Anatomie échographique du coude [texte imprimé] / BRASSEUR J. L. ; TARDIEU M. . - 1998 . - p. 49 - 53.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 49 - 53
Résumé : La topographie superficielle des éléments tendineux et péri-articulaires du coude autorise une étude échographique de très haute résolution. Les coupes sagittales antérieures et postérieures sont utilisées pour l'étude de la cavité articulaire et des gouttières para-olécrâniennes ainsi que pour l'examen des tendons du triceps et du biceps. Les coupes frontales latérales et médiales sont utilisées pour l'étude des éléments tendineux de l'épicondyle et de l'épitrochlée. Les lésions ostéoarticulaires et capsuloligamentaires peuvent être recherchées, en particulier les nodules ostéochondromateux et les déchirures du LLI, mais les indications les plus fréquentes consistent en la mise au point des différents types d'atteinte tendineuse au voisinage des zones d'insertion. L'échographie du coude présente donc de nombreuses indications souvent méconnues et permet de réaliser un bilan fort complet en complément des clichés radiographiques standard.
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Exclu du prêtEntorses et luxations des interphalangiennes proximales des doigts / François Moutet in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/1 (avril 1998)
[article]
Titre : Entorses et luxations des interphalangiennes proximales des doigts Type de document : texte imprimé Auteurs : François Moutet ; GUINARD D. ; Dominique Thomas ; Denis Corcella Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 38 - 43 Résumé : Lésions fréquentes et banales au cours de la pratique sportive, les entorses et luxations des interphalangiennes des doigts ne doivent pas être négligées. Ces petites lésions aux douleurs traînantes, aux raideurs fréquentes, laissant le plus souvent une articulation dont l'augmentation de volume est mal comprise et mal acceptée par le patient. Vues secondairement, elles sont porteuses de déficits longs et difficiles à récupérer. La hantise de la raideur explique l'obsession de la mobilisation précoce. Ces lésions relèvent en effet toujours d'un traitement fonctionnel spécifique qui doit être confié à un kinésithérapeute spécialisé. Les entorses latérales, graves ou bénignes relèvent de la mobilisation active immédiate. Les arrachements de la plaque palmaire relèvent eux aussi de la mobilisation active immédiate en syndactylie ou non. Les luxations sont en règle postérieures. Les luxations antérieures sont rares mais nécessitent un traitement spécifique. Les luxations latérales peuvent être le siège d'incarcérations ligamentaires obligeant alors à un geste chirurgical.
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in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 38 - 43[article] Entorses et luxations des interphalangiennes proximales des doigts [texte imprimé] / François Moutet ; GUINARD D. ; Dominique Thomas ; Denis Corcella . - 1998 . - p. 38 - 43.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 38 - 43
Résumé : Lésions fréquentes et banales au cours de la pratique sportive, les entorses et luxations des interphalangiennes des doigts ne doivent pas être négligées. Ces petites lésions aux douleurs traînantes, aux raideurs fréquentes, laissant le plus souvent une articulation dont l'augmentation de volume est mal comprise et mal acceptée par le patient. Vues secondairement, elles sont porteuses de déficits longs et difficiles à récupérer. La hantise de la raideur explique l'obsession de la mobilisation précoce. Ces lésions relèvent en effet toujours d'un traitement fonctionnel spécifique qui doit être confié à un kinésithérapeute spécialisé. Les entorses latérales, graves ou bénignes relèvent de la mobilisation active immédiate. Les arrachements de la plaque palmaire relèvent eux aussi de la mobilisation active immédiate en syndactylie ou non. Les luxations sont en règle postérieures. Les luxations antérieures sont rares mais nécessitent un traitement spécifique. Les luxations latérales peuvent être le siège d'incarcérations ligamentaires obligeant alors à un geste chirurgical.
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Exclu du prêtImagerie par Résonance Magnétique et fractures de fatigue chez l'enfant / J. Sales de Gauzy in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/1 (avril 1998)
[article]
Titre : Imagerie par Résonance Magnétique et fractures de fatigue chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Sales de Gauzy ; CAHUZAC J.-P. ; CHIAVASSA H. ; DARODES P. ; PUGET C. ; BAUNIN C. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 29 - 32 Résumé : Les fractures de fatigue chez l'enfant réalisent souvent des tableaux trompeurs et posent des problèmes de diagnostic différentiel difficiles incluant l'ostéomyélite et les tumeurs osseuses. Nous rapportons 6 observations de fractures de fatigue chez l'enfant explorées par IRM. Les signes susceptibles d'être observés sont de plusieurs ordres : - visualisation du trait de fracture sous forme d'une bande d'hyposignal sur les séquences T1 et T2 ; - réaction de reconstruction corticale ; - réaction inflammatoire et oedémateuse au niveau de la médullaire osseuse et des parties molles en regard. L'IRM est sensible, mettant toujours en évidence des anomalies, par contre elle manque de spécificité et la visualisation du trait de fracture est inconstante. Dans notre série, l'IRM n'a pas apporté d'argument spécifique dans 50 % des cas. Le diagnostic de fracture de fatigue repose donc plus sur un contexte particulier d'histoire clinique et d'aspect radiographique. L'indication d'une IRM doit rester exceptionnelle et ne se poser que dans les cas suspects de lésions agressives.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14405
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 29 - 32[article] Imagerie par Résonance Magnétique et fractures de fatigue chez l'enfant [texte imprimé] / J. Sales de Gauzy ; CAHUZAC J.-P. ; CHIAVASSA H. ; DARODES P. ; PUGET C. ; BAUNIN C. . - 1998 . - p. 29 - 32.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 29 - 32
Résumé : Les fractures de fatigue chez l'enfant réalisent souvent des tableaux trompeurs et posent des problèmes de diagnostic différentiel difficiles incluant l'ostéomyélite et les tumeurs osseuses. Nous rapportons 6 observations de fractures de fatigue chez l'enfant explorées par IRM. Les signes susceptibles d'être observés sont de plusieurs ordres : - visualisation du trait de fracture sous forme d'une bande d'hyposignal sur les séquences T1 et T2 ; - réaction de reconstruction corticale ; - réaction inflammatoire et oedémateuse au niveau de la médullaire osseuse et des parties molles en regard. L'IRM est sensible, mettant toujours en évidence des anomalies, par contre elle manque de spécificité et la visualisation du trait de fracture est inconstante. Dans notre série, l'IRM n'a pas apporté d'argument spécifique dans 50 % des cas. Le diagnostic de fracture de fatigue repose donc plus sur un contexte particulier d'histoire clinique et d'aspect radiographique. L'indication d'une IRM doit rester exceptionnelle et ne se poser que dans les cas suspects de lésions agressives.
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Exclu du prêtInstabilité subtalienne : étude anatomique et revue de la littérature / BRESLER F. in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/1 (avril 1998)
[article]
Titre : Instabilité subtalienne : étude anatomique et revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : BRESLER F. ; MOLE D. ; NICOLAY X. ; ROCHE O. ; SCHMITT D. ; BLUM A. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 33 - 37 Résumé : Le terme d'instabilité subtalienne est souvent utilisé pour désigner les phénomènes d'instabilité résiduelle après entorse de la cheville sans laxité tibio-talienne. De nombreuses techniques chirurgicales ont été proposées pour traiter cette instabilité qui reste pourtant très difficile à objectiver par les moyens d'imagerie moderne. A partir d'une étude anatomique expérimentale, les auteurs redéfinissent les notions de laxité et d'instabilité subtalienne et tentent d'expliquer les insuffisances des moyens diagnostiques actuels. 4 pièces anatomiques fraîches indemnes de lésions ligamentaires ont été prélevées chez des sujets de moins de 70 ans. Après sections successives des ligaments fibulo-calcanéen, talo-calcanéen latéral, talo-calcanéen inter-osseux, talo- et calcanéo-naviculaire, ont été mesurées : - la laxité subtalienne en varus par mesure directe de l'ouverture externe de l'interligne talo-calcanéen ; - la mobilité subtalienne en rotation par la mesure de l'angle entre talus et calcaneus repéré par 2 broches. Après section des ligaments fibulo-calcanéen et talo-calcanéen latéral et interosseux, le bâillement talo-calcanéen en varus restait modéré, de 5° en moyenne, ce qui correspondait à une ouverture articulaire latérale d'environ 5 mm. Après section des ligaments talo- et calcanéo-naviculaire, ce bâillement était beaucoup plus important, pouvant conduire à une luxation subtalienne. L'amplitude des mouvements en rotation a été difficile à apprécier compte-tenu de l'association de mouvements de translation. Le terme d'instabilité subtalienne est apparu en 1962. De nombreux travaux y ont été consacrés depuis, mais une revue critique de la littérature permet de constater que la mise en évidence de cette instabilité est rarement réalisée, en raison de la complexité des mouvements subtaliens et d'une technique d'imagerie inadaptée. Les auteurs discutent la notion objective de laxité subtalienne, qui correspond à une mobilité anormale difficile à confirmer par les moyens radiographiques et dont l'amplitude est modérée en l'absence de lésion associée des ligaments talo- ou calcanéo-naviculaires, et la notion subjective d'instabilité subtalienne, dont les causes peuvent être mulmultiples en l'absence d'une laxité importante : laxité tibiolatienne méconnue,syndrome du sinus du tarse, lésion ostéochondrale subtalienne. Les indications de réfection ligamentaire subtalienne doivent donc être posées avec la plus grande prudence.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14416
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 33 - 37[article] Instabilité subtalienne : étude anatomique et revue de la littérature [texte imprimé] / BRESLER F. ; MOLE D. ; NICOLAY X. ; ROCHE O. ; SCHMITT D. ; BLUM A. . - 1998 . - p. 33 - 37.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 33 - 37
Résumé : Le terme d'instabilité subtalienne est souvent utilisé pour désigner les phénomènes d'instabilité résiduelle après entorse de la cheville sans laxité tibio-talienne. De nombreuses techniques chirurgicales ont été proposées pour traiter cette instabilité qui reste pourtant très difficile à objectiver par les moyens d'imagerie moderne. A partir d'une étude anatomique expérimentale, les auteurs redéfinissent les notions de laxité et d'instabilité subtalienne et tentent d'expliquer les insuffisances des moyens diagnostiques actuels. 4 pièces anatomiques fraîches indemnes de lésions ligamentaires ont été prélevées chez des sujets de moins de 70 ans. Après sections successives des ligaments fibulo-calcanéen, talo-calcanéen latéral, talo-calcanéen inter-osseux, talo- et calcanéo-naviculaire, ont été mesurées : - la laxité subtalienne en varus par mesure directe de l'ouverture externe de l'interligne talo-calcanéen ; - la mobilité subtalienne en rotation par la mesure de l'angle entre talus et calcaneus repéré par 2 broches. Après section des ligaments fibulo-calcanéen et talo-calcanéen latéral et interosseux, le bâillement talo-calcanéen en varus restait modéré, de 5° en moyenne, ce qui correspondait à une ouverture articulaire latérale d'environ 5 mm. Après section des ligaments talo- et calcanéo-naviculaire, ce bâillement était beaucoup plus important, pouvant conduire à une luxation subtalienne. L'amplitude des mouvements en rotation a été difficile à apprécier compte-tenu de l'association de mouvements de translation. Le terme d'instabilité subtalienne est apparu en 1962. De nombreux travaux y ont été consacrés depuis, mais une revue critique de la littérature permet de constater que la mise en évidence de cette instabilité est rarement réalisée, en raison de la complexité des mouvements subtaliens et d'une technique d'imagerie inadaptée. Les auteurs discutent la notion objective de laxité subtalienne, qui correspond à une mobilité anormale difficile à confirmer par les moyens radiographiques et dont l'amplitude est modérée en l'absence de lésion associée des ligaments talo- ou calcanéo-naviculaires, et la notion subjective d'instabilité subtalienne, dont les causes peuvent être mulmultiples en l'absence d'une laxité importante : laxité tibiolatienne méconnue,syndrome du sinus du tarse, lésion ostéochondrale subtalienne. Les indications de réfection ligamentaire subtalienne doivent donc être posées avec la plus grande prudence.
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Exclu du prêtLa luxation trapézo-métacarpienne : Intérêt et modalités d'un traitement chirurgical précoce / FONTES D in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/1 (avril 1998)
[article]
Titre : La luxation trapézo-métacarpienne : Intérêt et modalités d'un traitement chirurgical précoce Type de document : texte imprimé Auteurs : FONTES D Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 21 - 28 Résumé : La luxation de l'articulation trapézo-métacarpienne est trop souvent banalisée et confiée à un simple traitement orthopédique ou à un brochage intermétacarpien peu à même de contenir de façon fiable cette articulation peu emboitée responsable de la grande mobilité de la colonne du pouce. Seule une réparation chirurgicale ligamentaire sera le garant d'une restitution anatomique satisfaisante évitant ainsi l'évolution vers une instabilité chronique et une rhizarthrose post-traumatique. Elle interviendra au terme d'un bilan lésionnel précis (clinique, radiologique voire arthroscopique) permettant de déterminer les structures ligamentaires atteintes ainsi que les éventuelles associations pathologiques. Notre préférence s'est portée sur la réinsertion ligamentaire per primam au moyen d'ancreurs de suture miniaturisés. Devant les formes plus anciennes ou lorsque la réparation ligamentaire semble précaire, nous proposons une ligamentoplastie précoce dont le trajet reproduira au mieux celui des ligaments lésés. De 1990 à 1996, nous avons pris en charge, selon ce protocole, 22 luxations trapézo-métacarpiennes dont 19 ont retrouvé un pouce quasiment normal visà-vis des critères de douleur, de stabilité, de fonction, de force et de mobilité. Le retour aux activités sportives a généralement pu se faire vers le deuxième mois post-opératoire.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14462
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 21 - 28[article] La luxation trapézo-métacarpienne : Intérêt et modalités d'un traitement chirurgical précoce [texte imprimé] / FONTES D . - 1998 . - p. 21 - 28.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 21 - 28
Résumé : La luxation de l'articulation trapézo-métacarpienne est trop souvent banalisée et confiée à un simple traitement orthopédique ou à un brochage intermétacarpien peu à même de contenir de façon fiable cette articulation peu emboitée responsable de la grande mobilité de la colonne du pouce. Seule une réparation chirurgicale ligamentaire sera le garant d'une restitution anatomique satisfaisante évitant ainsi l'évolution vers une instabilité chronique et une rhizarthrose post-traumatique. Elle interviendra au terme d'un bilan lésionnel précis (clinique, radiologique voire arthroscopique) permettant de déterminer les structures ligamentaires atteintes ainsi que les éventuelles associations pathologiques. Notre préférence s'est portée sur la réinsertion ligamentaire per primam au moyen d'ancreurs de suture miniaturisés. Devant les formes plus anciennes ou lorsque la réparation ligamentaire semble précaire, nous proposons une ligamentoplastie précoce dont le trajet reproduira au mieux celui des ligaments lésés. De 1990 à 1996, nous avons pris en charge, selon ce protocole, 22 luxations trapézo-métacarpiennes dont 19 ont retrouvé un pouce quasiment normal visà-vis des critères de douleur, de stabilité, de fonction, de force et de mobilité. Le retour aux activités sportives a généralement pu se faire vers le deuxième mois post-opératoire.
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Exclu du prêtLes ostéochondroses du coude / Elisabeth Brunet-Guedj in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/1 (avril 1998)
[article]
Titre : Les ostéochondroses du coude Type de document : texte imprimé Auteurs : Elisabeth Brunet-Guedj Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 44 - 48 Résumé : Plusieurs formes sont possibles, de pronostic différent : L'ostéochondrose du condyle huméral, intra-articulaire, touche préférentiellement les gymnastes et les joueurs de tennis, des garçons en majorité, entre 12 et 15 ans. C'est une entité différente de la maladie de Panner, ostéochondrose plus précoce de la première décennie qui atteint le noyau condylien dans sa totalité. Sur le plan biomécanique, la particularité de l'articulation du coude est que le compartiment externe travaille en compression alors que le compartiment interne subit des contraintes en traction, du fait du valgus physiologique. Cliniquement, les sujets se plaignent de douleurs externes du coude, associées ou non à des phénomènes de blocages intermittents ou à un flexum permanent. L'examen révèle une douleur à la palpation de l'interligne huméro-radial, plus bas située que la douleur de l'épicondylite classique. Radiologiquement, après le bilan standard de débrouillage, l'arthroscanner est l'examen de référence, qui précise le diagnostic et les indications thérapeutiques.Le traitement, en l'absence de séquestre détaché est prioritairement orthopédique. Sinon, il faut recourir à l'ablation du fragment, sous arthroscopie de préférence. Les autres ostéochondroses, extra-articulaires, correspondent à des remaniements de noyaux d'ossification au cours de leur développement : olécrâne, épitrochlée, épicondyle. Ces modifications sont découvertes à l'occasion d'un bilan radiologique demandé devant un coude diffusément douloureux. Le repos et la progression naturelle de l'ossification du coude entraînent une cédation des douleurs en quelques mois.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14568
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 44 - 48[article] Les ostéochondroses du coude [texte imprimé] / Elisabeth Brunet-Guedj . - 1998 . - p. 44 - 48.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 44 - 48
Résumé : Plusieurs formes sont possibles, de pronostic différent : L'ostéochondrose du condyle huméral, intra-articulaire, touche préférentiellement les gymnastes et les joueurs de tennis, des garçons en majorité, entre 12 et 15 ans. C'est une entité différente de la maladie de Panner, ostéochondrose plus précoce de la première décennie qui atteint le noyau condylien dans sa totalité. Sur le plan biomécanique, la particularité de l'articulation du coude est que le compartiment externe travaille en compression alors que le compartiment interne subit des contraintes en traction, du fait du valgus physiologique. Cliniquement, les sujets se plaignent de douleurs externes du coude, associées ou non à des phénomènes de blocages intermittents ou à un flexum permanent. L'examen révèle une douleur à la palpation de l'interligne huméro-radial, plus bas située que la douleur de l'épicondylite classique. Radiologiquement, après le bilan standard de débrouillage, l'arthroscanner est l'examen de référence, qui précise le diagnostic et les indications thérapeutiques.Le traitement, en l'absence de séquestre détaché est prioritairement orthopédique. Sinon, il faut recourir à l'ablation du fragment, sous arthroscopie de préférence. Les autres ostéochondroses, extra-articulaires, correspondent à des remaniements de noyaux d'ossification au cours de leur développement : olécrâne, épitrochlée, épicondyle. Ces modifications sont découvertes à l'occasion d'un bilan radiologique demandé devant un coude diffusément douloureux. Le repos et la progression naturelle de l'ossification du coude entraînent une cédation des douleurs en quelques mois.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLésions du cubital postérieur au poignet / LE VIET D in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/1 (avril 1998)
[article]
Titre : Lésions du cubital postérieur au poignet Type de document : texte imprimé Auteurs : LE VIET D ; Jacques Parier ; MONTALVAN B. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 14 - 20 Résumé : Les lésions traumatiques du tendon cubital postérieur (extensor carpi ulnaris ECU) au poignet sont fréquentes dans la pratique du sport qu'il s'agisse de tendinites ou de luxations. La stabilité de la tête de cubitus (ulna) est sous la dépendance de plusieurs éléments, tout particulièrement celle du tendon cubital postérieur. Cette stabilisation est particulière car elle doit assurer la stabilité de la tête du cubitus dans tous les mouvements du poignet, en particulier lors de la prono-supination. Nous rapportons une série de 26 cas, 18 luxations et 8 tendinites opérées par l'un d'entre nous. En ce qui concerne les 8 tendinites, l'intervention a consisté 3 fois en une ouverture de la partie externe de la coulisse ostéofibreuse ; 5 fois la coulisse ostéofibreuse non rompue a pu être conservée avec synovectomie et peignage en place du cubital postérieur. Nous avons exclu de cette étude les luxations du cubital postérieur en rapport avec une polyarthrite rhumatoïde qui relèvent d'une étiologie non traumatique. Dans les 18 luxations, tous les patients ont subi une refixation du tendon du cubital postérieur dans sa gouttière ostéofibreuse la face postérieure de la tête du cubitus. Dans les 3 premiers cas, par un lambeau pédiculé prélevé au niveau du ligament annulaire dorsal (rétinaculum dorsal) et dans les 15 autres cas restants, par un lambeau libre de ligament annulaire dorsal fixé aux deux berges de la gouttière ostéofibreuse. Le traitement chirurgical est rapporté en fonction des lésions anatomiques rencontrées.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14584
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 14 - 20[article] Lésions du cubital postérieur au poignet [texte imprimé] / LE VIET D ; Jacques Parier ; MONTALVAN B. . - 1998 . - p. 14 - 20.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 14 - 20
Résumé : Les lésions traumatiques du tendon cubital postérieur (extensor carpi ulnaris ECU) au poignet sont fréquentes dans la pratique du sport qu'il s'agisse de tendinites ou de luxations. La stabilité de la tête de cubitus (ulna) est sous la dépendance de plusieurs éléments, tout particulièrement celle du tendon cubital postérieur. Cette stabilisation est particulière car elle doit assurer la stabilité de la tête du cubitus dans tous les mouvements du poignet, en particulier lors de la prono-supination. Nous rapportons une série de 26 cas, 18 luxations et 8 tendinites opérées par l'un d'entre nous. En ce qui concerne les 8 tendinites, l'intervention a consisté 3 fois en une ouverture de la partie externe de la coulisse ostéofibreuse ; 5 fois la coulisse ostéofibreuse non rompue a pu être conservée avec synovectomie et peignage en place du cubital postérieur. Nous avons exclu de cette étude les luxations du cubital postérieur en rapport avec une polyarthrite rhumatoïde qui relèvent d'une étiologie non traumatique. Dans les 18 luxations, tous les patients ont subi une refixation du tendon du cubital postérieur dans sa gouttière ostéofibreuse la face postérieure de la tête du cubitus. Dans les 3 premiers cas, par un lambeau pédiculé prélevé au niveau du ligament annulaire dorsal (rétinaculum dorsal) et dans les 15 autres cas restants, par un lambeau libre de ligament annulaire dorsal fixé aux deux berges de la gouttière ostéofibreuse. Le traitement chirurgical est rapporté en fonction des lésions anatomiques rencontrées.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14584 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtMaladie d'Osgood-Schlatter : Traitement par la calcitonine à propos de 28 cas / LAMBERT Y. in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/1 (avril 1998)
[article]
Titre : Maladie d'Osgood-Schlatter : Traitement par la calcitonine à propos de 28 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : LAMBERT Y. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 3 - 8 Résumé : Maladie de l'enfant sportif, la maladie d'Osgood-Schlatter est une ostéochondrose apophysaire de croissance. Son traitement repose sur le repos sportif, voire sur l'immobilisation plâtrée. En alternative à ce traitement, cette étude rapporte l'évolution constatée de 23 cas, suivis de nombreuses années, sur 28 cas traités entre 1991 et 1996, pratiquant différents sports, âgés de 12 à 15 ans, et tous traités par le repos sportif et par injections locales sous-cutanées de calcitonine, sur et autour de la tubérosité tibiale antérieure (TTA). Les résultats montrent que 21,7 % des sportifs ont pu poursuivre leurs compétitions sans repos sportif complet, et répondent très bien au traitement, et que 82,5 % au total sont considérés comme guéris après 3 mois de repos sportif. Ce traitement peut donc permettre de raccourcir les périodes de repos, et de suivre les jeunes sportifs de manière active, pendant cette période difficile pour eux.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14605
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 3 - 8[article] Maladie d'Osgood-Schlatter : Traitement par la calcitonine à propos de 28 cas [texte imprimé] / LAMBERT Y. . - 1998 . - p. 3 - 8.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 3 - 8
Résumé : Maladie de l'enfant sportif, la maladie d'Osgood-Schlatter est une ostéochondrose apophysaire de croissance. Son traitement repose sur le repos sportif, voire sur l'immobilisation plâtrée. En alternative à ce traitement, cette étude rapporte l'évolution constatée de 23 cas, suivis de nombreuses années, sur 28 cas traités entre 1991 et 1996, pratiquant différents sports, âgés de 12 à 15 ans, et tous traités par le repos sportif et par injections locales sous-cutanées de calcitonine, sur et autour de la tubérosité tibiale antérieure (TTA). Les résultats montrent que 21,7 % des sportifs ont pu poursuivre leurs compétitions sans repos sportif complet, et répondent très bien au traitement, et que 82,5 % au total sont considérés comme guéris après 3 mois de repos sportif. Ce traitement peut donc permettre de raccourcir les périodes de repos, et de suivre les jeunes sportifs de manière active, pendant cette période difficile pour eux.
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Exclu du prêtPériostite tibiale ou fracture de fatigue longitudinale du tibia : Intérêt de l'imagerie scanner 3D / MAZILI F. in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/1 (avril 1998)
[article]
Titre : Périostite tibiale ou fracture de fatigue longitudinale du tibia : Intérêt de l'imagerie scanner 3D Type de document : texte imprimé Auteurs : MAZILI F. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 9 - 13 Résumé : La périostite tibiale (PT) ou syndrome dit de shin splint est une affection fréquemment évoquée dans les milieux sportifs en particulier chez les marathoniens pour désigner un syndrome douloureux jambier lorsque la scintigraphie objective une hyperfixation étendue du tibia, alors que les radiographies sont normales ou mettent en évidence une apposition périostée de la diaphyse. L'originalité et la physiopathologie de cette affection ont été considérées jusqu'à présent avec scepticisme. Certaines observations tendent à démontrer que ces PT ne sont finalement qu'une manifestation satellite d'une fracture longitudinale du tibia. Nous avons eu l'occasion de le constater chez un patient de 25 ans, marathonien, qui a présenté successivement un syndrome douloureux des 2 tibias, mis initialement sur le compte d'une PT en raison d'une réaction périostée et une hyperfixation scintigraphique des tibias. L'exploration scanographique comportant des coupes millimétriques et une reconstitution tridimensionnelle permettent de visualiser une solution de continuité de la corticale postérieure. L'évolution a été favorable après la mise en décharge. Il est vraisemblable que ces PT ne sont qu'une manifestation visible d'une fracture de contrainte longitudinale qu'il convient de démasquer par une exploration scanographique millimétrique de la diaphyse tibiale.
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in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 9 - 13[article] Périostite tibiale ou fracture de fatigue longitudinale du tibia : Intérêt de l'imagerie scanner 3D [texte imprimé] / MAZILI F. . - 1998 . - p. 9 - 13.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 9 - 13
Résumé : La périostite tibiale (PT) ou syndrome dit de shin splint est une affection fréquemment évoquée dans les milieux sportifs en particulier chez les marathoniens pour désigner un syndrome douloureux jambier lorsque la scintigraphie objective une hyperfixation étendue du tibia, alors que les radiographies sont normales ou mettent en évidence une apposition périostée de la diaphyse. L'originalité et la physiopathologie de cette affection ont été considérées jusqu'à présent avec scepticisme. Certaines observations tendent à démontrer que ces PT ne sont finalement qu'une manifestation satellite d'une fracture longitudinale du tibia. Nous avons eu l'occasion de le constater chez un patient de 25 ans, marathonien, qui a présenté successivement un syndrome douloureux des 2 tibias, mis initialement sur le compte d'une PT en raison d'une réaction périostée et une hyperfixation scintigraphique des tibias. L'exploration scanographique comportant des coupes millimétriques et une reconstitution tridimensionnelle permettent de visualiser une solution de continuité de la corticale postérieure. L'évolution a été favorable après la mise en décharge. Il est vraisemblable que ces PT ne sont qu'une manifestation visible d'une fracture de contrainte longitudinale qu'il convient de démasquer par une exploration scanographique millimétrique de la diaphyse tibiale.
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Exclu du prêtRemise en tension capsulo-ligamentaire et plastie au ligament frondiforme dans le traitement des laxités chroniques de la cheville / Dominique Saragaglia in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/1 (avril 1998)
[article]
Titre : Remise en tension capsulo-ligamentaire et plastie au ligament frondiforme dans le traitement des laxités chroniques de la cheville Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Saragaglia ; MONTBARBON E. ; TOURNE Y. ; FONTANEL F. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 63 - 69 Résumé : L'objectif de ce travail est de présenter les résultats de 32 laxités chroniques de la cheville, opérées par remise en tension du plan capsulo-ligamentaire externe doublé par une plastie à l'aide du ligament frondiforme (rétinaculum inférieur des extenseurs). Tous les patients se plaignaient d'une instabilité rebelle à la rééducation proprioceptive et tous avaient des clichés radiologiques en stress positifs. Les résultats ont été évalués cliniquement (douleur, instabilité, reprise du sport, mobilité) et radiologiquement (clichés en stress sur appareil Télos). Ceci nous a conduit à établir une fiche d'évaluation basée sur 100 points. Nous avons obtenu un score moyen de 86,7 points (45-100 points) et les résultats subjectifs font état de 88 % de patients satisfaits.
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in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 63 - 69[article] Remise en tension capsulo-ligamentaire et plastie au ligament frondiforme dans le traitement des laxités chroniques de la cheville [texte imprimé] / Dominique Saragaglia ; MONTBARBON E. ; TOURNE Y. ; FONTANEL F. . - 1998 . - p. 63 - 69.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 63 - 69
Résumé : L'objectif de ce travail est de présenter les résultats de 32 laxités chroniques de la cheville, opérées par remise en tension du plan capsulo-ligamentaire externe doublé par une plastie à l'aide du ligament frondiforme (rétinaculum inférieur des extenseurs). Tous les patients se plaignaient d'une instabilité rebelle à la rééducation proprioceptive et tous avaient des clichés radiologiques en stress positifs. Les résultats ont été évalués cliniquement (douleur, instabilité, reprise du sport, mobilité) et radiologiquement (clichés en stress sur appareil Télos). Ceci nous a conduit à établir une fiche d'évaluation basée sur 100 points. Nous avons obtenu un score moyen de 86,7 points (45-100 points) et les résultats subjectifs font état de 88 % de patients satisfaits.
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Exclu du prêtUne nouvelle technique d'exploration de l'épaule : l'arthro-IRM / ROGER B in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/1 (avril 1998)
[article]
Titre : Une nouvelle technique d'exploration de l'épaule : l'arthro-IRM Type de document : texte imprimé Auteurs : ROGER B Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 54 - 62 Résumé : Les limites et les insuffisances de l'IRM dans l'exploration de l'épaule sont maintenant bien connues, comparées à l'apport de l'arthrographie et surtout de l'arthroscanner. C'est la raison pour laquelle d'autres modes d'exploration se développent, comme l'échographie et l'arthro-IRM. Ce travail fait une synthèse des résultats publiés dans la littérature internationale en arthro-IRM, concernant aussi bien l'anatomie normale que les différentes entités pathologiques de l'épaule. Nous présentons par ailleurs notre expérience et nos premiers résultats sont superposables à ceux déjà connus. Malgré les contraintes dues à la ponction articulaire d'une part et à la nécessité d'autre part d'utiliser comme produit de contraste intra-articulaire le Gadopentetate diméglumine très dilué (ne pouvant se faire que dans le cadre d'une évaluation bien précise et sous la responsabilité du radiologue), cette méthode pourrait bien s'imposer comme un examen de substitution.
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in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 54 - 62[article] Une nouvelle technique d'exploration de l'épaule : l'arthro-IRM [texte imprimé] / ROGER B . - 1998 . - p. 54 - 62.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/1 (avril 1998) . - p. 54 - 62
Résumé : Les limites et les insuffisances de l'IRM dans l'exploration de l'épaule sont maintenant bien connues, comparées à l'apport de l'arthrographie et surtout de l'arthroscanner. C'est la raison pour laquelle d'autres modes d'exploration se développent, comme l'échographie et l'arthro-IRM. Ce travail fait une synthèse des résultats publiés dans la littérature internationale en arthro-IRM, concernant aussi bien l'anatomie normale que les différentes entités pathologiques de l'épaule. Nous présentons par ailleurs notre expérience et nos premiers résultats sont superposables à ceux déjà connus. Malgré les contraintes dues à la ponction articulaire d'une part et à la nécessité d'autre part d'utiliser comme produit de contraste intra-articulaire le Gadopentetate diméglumine très dilué (ne pouvant se faire que dans le cadre d'une évaluation bien précise et sous la responsabilité du radiologue), cette méthode pourrait bien s'imposer comme un examen de substitution.
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