Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
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Bulletin N°vol. 17/4 Mention de date : 2000
Paru le : 01/12/2000
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
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[article]
Titre : |
À propos d'une série de 20 cas d'entorses graves de la métacarpophalangienne du pouce |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
BOUSSELMAME N. ; BENCHEBBA D. ; BOUABID S. ; BOUSSOUGA M. ; KADI S. ; MOULAY I. ; TAOBANE H. |
Année de publication : |
2000 |
Article en page(s) : |
P. 187-192 |
Résumé : |
Les auteurs rapportent l'analyse rétrospective d'une série de 20 entorses graves de la métacarpophalangienne du pouce dont 16 cubitales et 4 radiales. Le traitement chirurgical était retenu devant un arrachement osseux déplacé ou un excès de mobilité de plus de 30° par rapport au côté opposé sur les radiographies en stress. Avec un recul moyen de deux ans et demi, il y avait 75 % de bons et très bons résultats après traitement des entorses graves cubitales et 50 % après traitement des lésions radiales. À la lumière de notre expérience et d'une revue de la littérature, les aspects diagnostiques et thérapeutiques de cette pathologie sont passés en revue.
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=14278 |
in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/4 (2000) . - P. 187-192
[article] À propos d'une série de 20 cas d'entorses graves de la métacarpophalangienne du pouce [texte imprimé] / BOUSSELMAME N. ; BENCHEBBA D. ; BOUABID S. ; BOUSSOUGA M. ; KADI S. ; MOULAY I. ; TAOBANE H. . - 2000 . - P. 187-192. in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/4 (2000) . - P. 187-192
Résumé : |
Les auteurs rapportent l'analyse rétrospective d'une série de 20 entorses graves de la métacarpophalangienne du pouce dont 16 cubitales et 4 radiales. Le traitement chirurgical était retenu devant un arrachement osseux déplacé ou un excès de mobilité de plus de 30° par rapport au côté opposé sur les radiographies en stress. Avec un recul moyen de deux ans et demi, il y avait 75 % de bons et très bons résultats après traitement des entorses graves cubitales et 50 % après traitement des lésions radiales. À la lumière de notre expérience et d'une revue de la littérature, les aspects diagnostiques et thérapeutiques de cette pathologie sont passés en revue.
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./index.php?lvl=notice_display&id=14278 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Étude radiologique de la hauteur rotulienne dans la maladie d'Osgood-Schlatter |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
A. ALDEMIR ; CHAVRIER Y ; J. Cottalorda ; S. BOURELLE |
Année de publication : |
2000 |
Article en page(s) : |
P. 203-207 |
Résumé : |
La maladie d'Osgood-Schlatter est très fréquente chez l'enfant sportif. De nombreuses méthodes ont été décrites dans la littérature pour mesurer la hauteur rotulienne dans la maladie d'Osgood-Schlatter avec des résultats contradictoires. Nous avons utilisé deux techniques différentes pour la mesurer sur 34 genoux : la technique décrite par Blackburne et Peel et celle utilisée par Caton-Deschamps. Nous n'avons retrouvé aucune rotule haute selon la méthode de Blackburne et Peel et seulement six selon la méthode de Caton-Deschamps, ce qui correspond à la normale dans une population témoin. Nous n'avons jamais noté de rotule basse. Il ne semble donc pas exister de relation évidente entre patella alta et Osgood-Schlatter chez les enfants sportifs.
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=14354 |
in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/4 (2000) . - P. 203-207
[article] Étude radiologique de la hauteur rotulienne dans la maladie d'Osgood-Schlatter [texte imprimé] / A. ALDEMIR ; CHAVRIER Y ; J. Cottalorda ; S. BOURELLE . - 2000 . - P. 203-207. in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/4 (2000) . - P. 203-207
Résumé : |
La maladie d'Osgood-Schlatter est très fréquente chez l'enfant sportif. De nombreuses méthodes ont été décrites dans la littérature pour mesurer la hauteur rotulienne dans la maladie d'Osgood-Schlatter avec des résultats contradictoires. Nous avons utilisé deux techniques différentes pour la mesurer sur 34 genoux : la technique décrite par Blackburne et Peel et celle utilisée par Caton-Deschamps. Nous n'avons retrouvé aucune rotule haute selon la méthode de Blackburne et Peel et seulement six selon la méthode de Caton-Deschamps, ce qui correspond à la normale dans une population témoin. Nous n'avons jamais noté de rotule basse. Il ne semble donc pas exister de relation évidente entre patella alta et Osgood-Schlatter chez les enfants sportifs.
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=14354 |
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[article]
Titre : |
Les fractures de fatigue de la malléole médiale |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
H. de Labareyre ; Jacques Rodineau |
Année de publication : |
2000 |
Article en page(s) : |
P. 193-202 |
Résumé : |
La fracture de fatigue de la malléole médiale est une localisation tibiale rare mais dont la reconnaissance est importante à cause du risque réel de déplacement. Une mise au point est effectuée à partir d'une revue de la littérature à laquelle sont ajoutées quatre observations. Au début le plus souvent progressif, le tableau clinique est stéréotypé, avec au premier plan une douleur mécanique malléolaire médiale. Le varus de l'arrière-pied est un élément favorisant fréquent. Parfois, un traumatisme initial peut rendre difficile la différenciation entre une authentique fracture de fatigue et une fracture traumatique. La radiographie permet très souvent de faire le diagnostic et montre toujours le même type d'image. Le trait part de l'angle formé par le plafond de la mortaise tibiale et monte en haut et en dedans : si le trait atteint la corticale médiale, le risque de déplacement se majore. La tomodensitométrie permet une meilleure appréciation spatiale de la lésion. Les moyens thérapeutiques sont variés, depuis le traitement fonctionnel jusqu'à l'ostéosynthèse. Le choix se fait en fonction de l'importance de la lésion sur l'imagerie. Chez le sportif de bon ou haut niveau, l'option chirurgicale paraît plus sécurisante.
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=14545 |
in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/4 (2000) . - P. 193-202
[article] Les fractures de fatigue de la malléole médiale [texte imprimé] / H. de Labareyre ; Jacques Rodineau . - 2000 . - P. 193-202. in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/4 (2000) . - P. 193-202
Résumé : |
La fracture de fatigue de la malléole médiale est une localisation tibiale rare mais dont la reconnaissance est importante à cause du risque réel de déplacement. Une mise au point est effectuée à partir d'une revue de la littérature à laquelle sont ajoutées quatre observations. Au début le plus souvent progressif, le tableau clinique est stéréotypé, avec au premier plan une douleur mécanique malléolaire médiale. Le varus de l'arrière-pied est un élément favorisant fréquent. Parfois, un traumatisme initial peut rendre difficile la différenciation entre une authentique fracture de fatigue et une fracture traumatique. La radiographie permet très souvent de faire le diagnostic et montre toujours le même type d'image. Le trait part de l'angle formé par le plafond de la mortaise tibiale et monte en haut et en dedans : si le trait atteint la corticale médiale, le risque de déplacement se majore. La tomodensitométrie permet une meilleure appréciation spatiale de la lésion. Les moyens thérapeutiques sont variés, depuis le traitement fonctionnel jusqu'à l'ostéosynthèse. Le choix se fait en fonction de l'importance de la lésion sur l'imagerie. Chez le sportif de bon ou haut niveau, l'option chirurgicale paraît plus sécurisante.
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=14545 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
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[article]
Titre : |
Une étiologie rare de paralysie du nerf sciatique poplité externe l'entorse de la cheville : à propos de 6 cas |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
BACCARI S. ; ENNOURI K. H. ; TARHOUNI L. ; TURKI M. ; ZINELABIDINE M. ; BAHRI H. |
Année de publication : |
2000 |
Article en page(s) : |
P. 208-212 |
Résumé : |
La paralysie du nerf sciatique poplité externe (SPE) au genou peut survenir dans des circonstances variables dominées par les causes traumatiques directes. Les paralysies survenant au décours de plaies ou de traumatismes graves du genou sont les causes les plus fréquentes. Les paralysies du SPE après une entorse de la cheville sont rares et sont souvent en rapport avec une compression du nerf par l'arcade des péroniers, parfois par un hématome compressif provenant de la rupture des vasa nervorum au niveau du col du péroné. Les auteurs rapportent une série de 6 cas de paralysie du SPE compliquant une entorse de la cheville, colligés au service de chirurgie réparatrice de l'institut MT Kassab. Le tableau clinique est assez stéréotypé, il s'agit presque toujours d'hommes jeunes (5 hommes, âge moyen 26 ans) qui, à la suite d'une inversion forcée de la cheville développent une paralysie du SPE après un délai qui varie de 0 à 3 jours. Les patients ont été traités par neurolyse du SPE avec un délai préopératoire moyen de 56 jours. Les résultats au recul moyen de deux ans montrent 4 très bons résultats, 1 assez bon et 1 mauvais.
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=14759 |
in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/4 (2000) . - P. 208-212
[article] Une étiologie rare de paralysie du nerf sciatique poplité externe l'entorse de la cheville : à propos de 6 cas [texte imprimé] / BACCARI S. ; ENNOURI K. H. ; TARHOUNI L. ; TURKI M. ; ZINELABIDINE M. ; BAHRI H. . - 2000 . - P. 208-212. in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/4 (2000) . - P. 208-212
Résumé : |
La paralysie du nerf sciatique poplité externe (SPE) au genou peut survenir dans des circonstances variables dominées par les causes traumatiques directes. Les paralysies survenant au décours de plaies ou de traumatismes graves du genou sont les causes les plus fréquentes. Les paralysies du SPE après une entorse de la cheville sont rares et sont souvent en rapport avec une compression du nerf par l'arcade des péroniers, parfois par un hématome compressif provenant de la rupture des vasa nervorum au niveau du col du péroné. Les auteurs rapportent une série de 6 cas de paralysie du SPE compliquant une entorse de la cheville, colligés au service de chirurgie réparatrice de l'institut MT Kassab. Le tableau clinique est assez stéréotypé, il s'agit presque toujours d'hommes jeunes (5 hommes, âge moyen 26 ans) qui, à la suite d'une inversion forcée de la cheville développent une paralysie du SPE après un délai qui varie de 0 à 3 jours. Les patients ont été traités par neurolyse du SPE avec un délai préopératoire moyen de 56 jours. Les résultats au recul moyen de deux ans montrent 4 très bons résultats, 1 assez bon et 1 mauvais.
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