Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Journal de traumatologie du sport . vol. 17/3Mention de date : 2000 Paru le : 01/10/2000 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierÀ propos d'une gonalgie chez un sportif : le chondroblastome / A. Frey in Journal de traumatologie du sport, vol. 17/3 (2000)
[article]
Titre : À propos d'une gonalgie chez un sportif : le chondroblastome Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Frey ; COUDERT X. ; LEPETIT A. ; LIMOT O. ; LOPEZ Y. ; MASSIN P. ; PAUTHIER F. Année de publication : 2000 Article en page(s) : P. 152-156 Résumé : Le chondroblastome est une tumeur osseuse bénigne rare du sujet jeune (moins de 3 % des tumeurs bénignes). Les auteurs rapportent l'observation d'un patient sportif de 24 ans ayant présenté une gonalgie droite d'effort qui s'est avérée être un chondroblastome. Ce patient a été traité chirurgicalement par curetage simple, la guérison a été complète en trois mois mais une surveillance est en cours car les récidives sont toujours possibles. Une revue de la littérature est présentée avec rappel anatomo-pathologique, clinique et traitement de cette pathologie.
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in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/3 (2000) . - P. 152-156[article] À propos d'une gonalgie chez un sportif : le chondroblastome [texte imprimé] / A. Frey ; COUDERT X. ; LEPETIT A. ; LIMOT O. ; LOPEZ Y. ; MASSIN P. ; PAUTHIER F. . - 2000 . - P. 152-156.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/3 (2000) . - P. 152-156
Résumé : Le chondroblastome est une tumeur osseuse bénigne rare du sujet jeune (moins de 3 % des tumeurs bénignes). Les auteurs rapportent l'observation d'un patient sportif de 24 ans ayant présenté une gonalgie droite d'effort qui s'est avérée être un chondroblastome. Ce patient a été traité chirurgicalement par curetage simple, la guérison a été complète en trois mois mais une surveillance est en cours car les récidives sont toujours possibles. Une revue de la littérature est présentée avec rappel anatomo-pathologique, clinique et traitement de cette pathologie.
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Exclu du prêtDouleurs d'origine tibiale chez le sportif / H. de Labareyre in Journal de traumatologie du sport, vol. 17/3 (2000)
[article]
Titre : Douleurs d'origine tibiale chez le sportif Type de document : texte imprimé Auteurs : H. de Labareyre ; ROGER B ; E. Rolland ; BOUVAT E Année de publication : 2000 Article en page(s) : P. 163-177 Résumé : Le tibia est fréquemment à l'origine de douleurs de jambe chez le sportif. Plusieurs entités différentes peuvent être distinguées. Elles possèdent chacune des spécificités cliniques et d'imagerie qui permettent de les différencier, bien que certaines zones d'incertitude persistent, en particulier en ce qui concerne les possibilités de passage d'une lésion à l'autre. La « périostite » relève probablement de phénomènes de souffrance, à la fois du périoste et des structures aponévrotiques qui s'insèrent sur le bord postéro-médial du tibia. Les sportifs de bon niveau « débutants» représentent la population la plus exposée. Le diagnostic clinique est fortement influencé par l'interrogatoire alors que l'examen retrouve essentiellement une douleur étendue sur 10 à 15 cm, le long du bord postéro-médial du tibia. L'imagerie n'aide que peu le diagnostic positif mais a un grand intérêt dans le diagnostic différentiel : la radiographie est normale, la scintigraphie peut montrer une hyperfixation modérée et étendue au temps osseux, la TDM et l'IRM sont rarement démonstratives. Le traitement est difficile avec une efficacité relative des orthèses plantaires et des massages périostés. La fracture de fatigue est une maladie d'adaptation de l'os à l'effort. Les contraintes actives musculaires sont à l'origine de phénomènes de tractions et de compressions, alors que la fatigue musculaire diminue la protection de l'os face aux ondes de choc. Il faut différencier les fractures de fatigue du bord postéro-médial du tibia, de bon pronostic, des fractures du bord antérieur, de mauvais pronostic. La douleur est proportionnelle à l'effort et l'examen retrouve une douleur très localisée sur le tibia, parfois un petit cal osseux. L'imagerie doit permettre de mettre en évidence la lésion. La radiographie n'est que rarement positive pour les fractures postéro-médiales mais est très démonstrative pour les fractures antérieures. La scintigraphie montre une hyperfixation intense et très localisée aux trois temps de l'examen. La TDM et l'IRM doivent permettre de visualiser les lésions non vues sur les radiographies. Le traitement des fractures postéro-médiales repose actuellement sur les orthèses jambières et l'évolution est favorable en quelques semaines, alors que les fractures antérieures peuvent conduire à la chirurgie chez les sportifs de bon niveau. Périostite et fracture de fatigue sont à considérer comme deux pathologies bien distinctes. Il existe fréquemment des phénomènes pré-fracturaires ou d'os hyperactif sans traduction clinique, avec des anomalies à l'imagerie. Il existe également des tableaux cliniques douloureux s'accompagnant d'anomalies atypiques à l'imagerie, qui ne rentrent ni dans le cadre des périostites, ni dans celui des fractures de fatigue : le terme d'hyperostose tibiale diffuse d'adaptation est proposé.
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in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/3 (2000) . - P. 163-177[article] Douleurs d'origine tibiale chez le sportif [texte imprimé] / H. de Labareyre ; ROGER B ; E. Rolland ; BOUVAT E . - 2000 . - P. 163-177.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/3 (2000) . - P. 163-177
Résumé : Le tibia est fréquemment à l'origine de douleurs de jambe chez le sportif. Plusieurs entités différentes peuvent être distinguées. Elles possèdent chacune des spécificités cliniques et d'imagerie qui permettent de les différencier, bien que certaines zones d'incertitude persistent, en particulier en ce qui concerne les possibilités de passage d'une lésion à l'autre. La « périostite » relève probablement de phénomènes de souffrance, à la fois du périoste et des structures aponévrotiques qui s'insèrent sur le bord postéro-médial du tibia. Les sportifs de bon niveau « débutants» représentent la population la plus exposée. Le diagnostic clinique est fortement influencé par l'interrogatoire alors que l'examen retrouve essentiellement une douleur étendue sur 10 à 15 cm, le long du bord postéro-médial du tibia. L'imagerie n'aide que peu le diagnostic positif mais a un grand intérêt dans le diagnostic différentiel : la radiographie est normale, la scintigraphie peut montrer une hyperfixation modérée et étendue au temps osseux, la TDM et l'IRM sont rarement démonstratives. Le traitement est difficile avec une efficacité relative des orthèses plantaires et des massages périostés. La fracture de fatigue est une maladie d'adaptation de l'os à l'effort. Les contraintes actives musculaires sont à l'origine de phénomènes de tractions et de compressions, alors que la fatigue musculaire diminue la protection de l'os face aux ondes de choc. Il faut différencier les fractures de fatigue du bord postéro-médial du tibia, de bon pronostic, des fractures du bord antérieur, de mauvais pronostic. La douleur est proportionnelle à l'effort et l'examen retrouve une douleur très localisée sur le tibia, parfois un petit cal osseux. L'imagerie doit permettre de mettre en évidence la lésion. La radiographie n'est que rarement positive pour les fractures postéro-médiales mais est très démonstrative pour les fractures antérieures. La scintigraphie montre une hyperfixation intense et très localisée aux trois temps de l'examen. La TDM et l'IRM doivent permettre de visualiser les lésions non vues sur les radiographies. Le traitement des fractures postéro-médiales repose actuellement sur les orthèses jambières et l'évolution est favorable en quelques semaines, alors que les fractures antérieures peuvent conduire à la chirurgie chez les sportifs de bon niveau. Périostite et fracture de fatigue sont à considérer comme deux pathologies bien distinctes. Il existe fréquemment des phénomènes pré-fracturaires ou d'os hyperactif sans traduction clinique, avec des anomalies à l'imagerie. Il existe également des tableaux cliniques douloureux s'accompagnant d'anomalies atypiques à l'imagerie, qui ne rentrent ni dans le cadre des périostites, ni dans celui des fractures de fatigue : le terme d'hyperostose tibiale diffuse d'adaptation est proposé.
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Exclu du prêtFacteurs de croissance, thérapie génique et os / ZERATH E. in Journal de traumatologie du sport, vol. 17/3 (2000)
[article]
Titre : Facteurs de croissance, thérapie génique et os Type de document : texte imprimé Auteurs : ZERATH E. Année de publication : 2000 Article en page(s) : P. 157-162 Résumé : Les récentes avancées de la recherche, tant fondamentale, qu'appliquée, ont permis de mieux définir l'intervention des facteurs de croissance dans la régulation du remodelage osseux et ouvrent ainsi des perspectives dans leurs applications cliniques potentielles. Les facteurs de croissance les plus connus en physiologie osseuse aujourd'hui, sont : les Insulin-like Growth Factors (IGFs), les Transforming Growth Factors- (TGF- s), et les Bone Morphogenetic Proteins (BMPs). En effet, grâce au génie génétique, la mise à disposition pour ces trois familles de molécules recombinantes humaines, de sondes moléculaires, ainsi que de techniques de dosages spécifiques par méthode radio-immunologique, ont permis d'approcher de très près leurs effets cellulaires. Aujourd'hui, l'influence clairement établie de ces facteurs de croissance sur un large éventail de processus cellulaires osseux, représente une importante voie de recherche dans la prise en compte thérapeutique de plusieurs problématiques cliniques, allant de l'ostéopénie (voire l'ostéoporose) à certaines affections orthopédiques. En outre, le clonage de la EMP humaine, et le très vif intérêt qu'elle suscite dans le cadre de la prise en charge des processus de réparation osseuse, ont stimulé la recherche dans le cadre du concept de la thérapie génique. En effet, cette technique pourrait permettre d'envisager la sécrétion de facteurs locaux sur un site anatomique précis, à l'aide de cellules pouvant servir de véhicule pour délivrer sur un site déterminé des facteurs de croissance en fonction de gènes qu'elles seraient susceptibles d'exprimer. Cependant, l'utilisation de cette technique en clinique humaine soulève des questions relatives au mode d'obtention, d'expansion, et de transformation génique des cellules et aux effets secondaires, encore mal cernés, dus à l'utilisation de certains facteurs de croissance.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14368
in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/3 (2000) . - P. 157-162[article] Facteurs de croissance, thérapie génique et os [texte imprimé] / ZERATH E. . - 2000 . - P. 157-162.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/3 (2000) . - P. 157-162
Résumé : Les récentes avancées de la recherche, tant fondamentale, qu'appliquée, ont permis de mieux définir l'intervention des facteurs de croissance dans la régulation du remodelage osseux et ouvrent ainsi des perspectives dans leurs applications cliniques potentielles. Les facteurs de croissance les plus connus en physiologie osseuse aujourd'hui, sont : les Insulin-like Growth Factors (IGFs), les Transforming Growth Factors- (TGF- s), et les Bone Morphogenetic Proteins (BMPs). En effet, grâce au génie génétique, la mise à disposition pour ces trois familles de molécules recombinantes humaines, de sondes moléculaires, ainsi que de techniques de dosages spécifiques par méthode radio-immunologique, ont permis d'approcher de très près leurs effets cellulaires. Aujourd'hui, l'influence clairement établie de ces facteurs de croissance sur un large éventail de processus cellulaires osseux, représente une importante voie de recherche dans la prise en compte thérapeutique de plusieurs problématiques cliniques, allant de l'ostéopénie (voire l'ostéoporose) à certaines affections orthopédiques. En outre, le clonage de la EMP humaine, et le très vif intérêt qu'elle suscite dans le cadre de la prise en charge des processus de réparation osseuse, ont stimulé la recherche dans le cadre du concept de la thérapie génique. En effet, cette technique pourrait permettre d'envisager la sécrétion de facteurs locaux sur un site anatomique précis, à l'aide de cellules pouvant servir de véhicule pour délivrer sur un site déterminé des facteurs de croissance en fonction de gènes qu'elles seraient susceptibles d'exprimer. Cependant, l'utilisation de cette technique en clinique humaine soulève des questions relatives au mode d'obtention, d'expansion, et de transformation génique des cellules et aux effets secondaires, encore mal cernés, dus à l'utilisation de certains facteurs de croissance.
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Exclu du prêtOs surnuméraires et traumatisme de la cheville : pièges diagnostiques / GUERMAZI M. in Journal de traumatologie du sport, vol. 17/3 (2000)
[article]
Titre : Os surnuméraires et traumatisme de la cheville : pièges diagnostiques Type de document : texte imprimé Auteurs : GUERMAZI M. ; ELLEUCH M. H. ; FRIKHA F. ; HADIJI N. ; MEZGHANNI M. ; BAKLOUTI S. Année de publication : 2000 Article en page(s) : P. 149-151 Résumé : À partir de deux observations de sportifs de haut niveau ayant présenté dans les suites d'un traumatisme de l'arrière pied un syndrome douloureux de la cheville, rebelle au traitement médical, mis à tort sur le compte d'une entorse de la cheville, et pour lesquels les investigations radiologiques concluent à un os surnuméraire du tarse; les auteurs donnent un bref rappel sur cette entité assez rare et incitent les praticiens de sport en particulier, à avoir ce diagnostic à l'esprit pour savoir pousser les investigations quand il le faut et prendre en charge plus correctement ces syndromes douloureux inexpliqués de la cheville.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14616
in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/3 (2000) . - P. 149-151[article] Os surnuméraires et traumatisme de la cheville : pièges diagnostiques [texte imprimé] / GUERMAZI M. ; ELLEUCH M. H. ; FRIKHA F. ; HADIJI N. ; MEZGHANNI M. ; BAKLOUTI S. . - 2000 . - P. 149-151.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/3 (2000) . - P. 149-151
Résumé : À partir de deux observations de sportifs de haut niveau ayant présenté dans les suites d'un traumatisme de l'arrière pied un syndrome douloureux de la cheville, rebelle au traitement médical, mis à tort sur le compte d'une entorse de la cheville, et pour lesquels les investigations radiologiques concluent à un os surnuméraire du tarse; les auteurs donnent un bref rappel sur cette entité assez rare et incitent les praticiens de sport en particulier, à avoir ce diagnostic à l'esprit pour savoir pousser les investigations quand il le faut et prendre en charge plus correctement ces syndromes douloureux inexpliqués de la cheville.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14616 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtTroubles de la commande neuro-musculaire dans les lésions du ligament croisé antérieur opérées par ligamento-plastie : intérêt du couplage isocinétisme-électromyographie / Jean-Marie Coudreuse in Journal de traumatologie du sport, vol. 17/3 (2000)
[article]
Titre : Troubles de la commande neuro-musculaire dans les lésions du ligament croisé antérieur opérées par ligamento-plastie : intérêt du couplage isocinétisme-électromyographie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marie Coudreuse ; A. Delarque ; FONDARAI J. ; GOUBY N. ; NICOL C. ; J.-M. Viton ; BRUNET C Année de publication : 2000 Article en page(s) : P. 132-148 Résumé : Après une ligamentoplastie pour rupture du ligament croisé antérieur, les critères actuels de reprise du sport sont insuffisants : délai, évaluation clinique, test isocinétique. Il nous est apparu intéressant d'essayer de quantifier l'activation musculaire des muscles de la cuisse. Hormis ses fonctions mécaniques, le LCA a un rôle proprioceptif avec la présence d'afférences qui entraînent une activation réflexe des muscles ischio-jambiers et une inhibition du quadriceps lors de l'extension active, ce qui limite le tiroir antérieur de la jambe par rapport à la cuisse. Chez 11 patients ayant subi une ligamentoplastie au tendon du demi-tendineux, nous avons enregistré de façon couplée la force musculaire avec un appareil isocinétique et l'activité électromyographique des muscles extenseurs et fléchisseurs du genou. Ce test a été réalisé dans un délai moyen de quatre mois et seize jours après l'intervention chirurgicale. Nous avons également effectué ce test chez 6 sujets ayant subi une plastie au tendon rotulien, ainsi que chez 11 sujets témoins. Nous avons mis en évidence que la baisse de la force musculaire aux vitesses lentes était liée à une baisse de l'activation des muscles extenseurs de la cuisse. En revanche, nous n'avons pas trouvé de phénomène de co-activation des muscles fléchisseurs de la cuisse lors de l'extension de façon plus fréquente chez les sujets opérés. Ces données isocinétiques et électromyographiques nous permettent d'orienter la rééducation.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14748
in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/3 (2000) . - P. 132-148[article] Troubles de la commande neuro-musculaire dans les lésions du ligament croisé antérieur opérées par ligamento-plastie : intérêt du couplage isocinétisme-électromyographie [texte imprimé] / Jean-Marie Coudreuse ; A. Delarque ; FONDARAI J. ; GOUBY N. ; NICOL C. ; J.-M. Viton ; BRUNET C . - 2000 . - P. 132-148.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/3 (2000) . - P. 132-148
Résumé : Après une ligamentoplastie pour rupture du ligament croisé antérieur, les critères actuels de reprise du sport sont insuffisants : délai, évaluation clinique, test isocinétique. Il nous est apparu intéressant d'essayer de quantifier l'activation musculaire des muscles de la cuisse. Hormis ses fonctions mécaniques, le LCA a un rôle proprioceptif avec la présence d'afférences qui entraînent une activation réflexe des muscles ischio-jambiers et une inhibition du quadriceps lors de l'extension active, ce qui limite le tiroir antérieur de la jambe par rapport à la cuisse. Chez 11 patients ayant subi une ligamentoplastie au tendon du demi-tendineux, nous avons enregistré de façon couplée la force musculaire avec un appareil isocinétique et l'activité électromyographique des muscles extenseurs et fléchisseurs du genou. Ce test a été réalisé dans un délai moyen de quatre mois et seize jours après l'intervention chirurgicale. Nous avons également effectué ce test chez 6 sujets ayant subi une plastie au tendon rotulien, ainsi que chez 11 sujets témoins. Nous avons mis en évidence que la baisse de la force musculaire aux vitesses lentes était liée à une baisse de l'activation des muscles extenseurs de la cuisse. En revanche, nous n'avons pas trouvé de phénomène de co-activation des muscles fléchisseurs de la cuisse lors de l'extension de façon plus fréquente chez les sujets opérés. Ces données isocinétiques et électromyographiques nous permettent d'orienter la rééducation.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14748 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt