Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
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Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Journal de traumatologie du sport . vol. 20/1Mention de date : 2003 Paru le : 01/03/2003 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierÀ propos d'un cas clinique de déchirure de l'insertion cubitale du carré pronateur chez une jeune joueuse de tennis de 15 ans : une lésion méconnue ? / BOULESTREAU V. in Journal de traumatologie du sport, vol. 20/1 (2003)
[article]
Titre : À propos d'un cas clinique de déchirure de l'insertion cubitale du carré pronateur chez une jeune joueuse de tennis de 15 ans : une lésion méconnue ? Type de document : texte imprimé Auteurs : BOULESTREAU V. Année de publication : 2003 Article en page(s) : P. 36-38 Résumé : L'auteur décrit un cas de déchirure de l'insertion cubitale du carré pronateur chez une jeune joueuse de tennis de 15 ans. Cette lésion semble rarement diagnostiquée, soit parce qu'elle est peu fréquente, soit parce qu'elle n'est peut-être pas assez recherchée.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14270
in Journal de traumatologie du sport > vol. 20/1 (2003) . - P. 36-38[article] À propos d'un cas clinique de déchirure de l'insertion cubitale du carré pronateur chez une jeune joueuse de tennis de 15 ans : une lésion méconnue ? [texte imprimé] / BOULESTREAU V. . - 2003 . - P. 36-38.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 20/1 (2003) . - P. 36-38
Résumé : L'auteur décrit un cas de déchirure de l'insertion cubitale du carré pronateur chez une jeune joueuse de tennis de 15 ans. Cette lésion semble rarement diagnostiquée, soit parce qu'elle est peu fréquente, soit parce qu'elle n'est peut-être pas assez recherchée.
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Exclu du prêtL'arthro-scanner dans l'exploration de l'épaule / CISSE A. M. in Journal de traumatologie du sport, vol. 20/1 (2003)
[article]
Titre : L'arthro-scanner dans l'exploration de l'épaule Type de document : texte imprimé Auteurs : CISSE A. M. ; FAHOUME K. ; HAMMANI L. ; IMANI F. ; OUAHMANE A. ; ATMANE E. Année de publication : 2003 Article en page(s) : P. 26-30 Résumé : L'arthro-TDM, malgré son caractère invasif, est d'un apport de grande valeur dans le diagnostic des ruptures et perforations de la coiffe des rotateurs et dans le bilan des instabilités antérieures quand elle est indiquée. L'avènement du mode spiralé et la possibilité de reconstruction qu'il offre ont conforté la place de l'arthro-TDM en attendant que l'IRM soit plus disponible et puisse trancher sur sa supériorité sans avoir recours à l'injection intra-articulaire.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14425
in Journal de traumatologie du sport > vol. 20/1 (2003) . - P. 26-30[article] L'arthro-scanner dans l'exploration de l'épaule [texte imprimé] / CISSE A. M. ; FAHOUME K. ; HAMMANI L. ; IMANI F. ; OUAHMANE A. ; ATMANE E. . - 2003 . - P. 26-30.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 20/1 (2003) . - P. 26-30
Résumé : L'arthro-TDM, malgré son caractère invasif, est d'un apport de grande valeur dans le diagnostic des ruptures et perforations de la coiffe des rotateurs et dans le bilan des instabilités antérieures quand elle est indiquée. L'avènement du mode spiralé et la possibilité de reconstruction qu'il offre ont conforté la place de l'arthro-TDM en attendant que l'IRM soit plus disponible et puisse trancher sur sa supériorité sans avoir recours à l'injection intra-articulaire.
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Exclu du prêtL'infarctus du myocarde post-traumatique au cours du sport : Une entité originale ? : à propos d'un cas clinique et d'une revue de la littérature / Sébastien Guerard in Journal de traumatologie du sport, vol. 20/1 (2003)
[article]
Titre : L'infarctus du myocarde post-traumatique au cours du sport : Une entité originale ? : à propos d'un cas clinique et d'une revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Guerard ; CAIGNAULT J. R. ; GODON P. ; MACHECOURT J ; PREBOLIN F. ; VAN DE WALLE J. P. ; BRION R. Année de publication : 2003 Article en page(s) : P. 39-46 Résumé : Nous rapportons l'observation d'un infarctus du myocarde inaugural survenu au décours d'un choc thoracique pendant un exercice sportif chez un homme de 23 ans. La localisation de l'IDM est antérieure et en rapport avec une lésion asymptomatique de 1'IVA. Il n'existe aucun facteur de risque cardiovasculaire chez ce sportif très entraîné mais les examens coronarographiques successifs et l'échographie endocoronaire confirment la présence d'une plaque d'athérome au niveau de la partie proximale de 1'IVA. La séquence des événements fait évoquer le rôle du traumatisme thoracique, même mineur, dans le mécanisme de la nécrose. L'hypothèse d'un infarctus d'effort favorisé par le choc est donc envisagée. L'exercice physique peut classiquement créer des conditions favorables à un infarctus du myocarde (stimulation catécholergique, modifications de l'agrégabilité plaquettaire...). La survenue d'un traumatisme même léger pourrait provoquer la rupture d'une plaque d'athérome et le contexte favoriserait son évolution vers l'infarctus. On peut également évoquer le rôle d'un spasme coronaire déclenchant ou associé à la rupture de la plaque. Ce spasme aurait pu être favorisé par un contact soudain en plein effort avec la neige, notamment au niveau du visage.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14436
in Journal de traumatologie du sport > vol. 20/1 (2003) . - P. 39-46[article] L'infarctus du myocarde post-traumatique au cours du sport : Une entité originale ? : à propos d'un cas clinique et d'une revue de la littérature [texte imprimé] / Sébastien Guerard ; CAIGNAULT J. R. ; GODON P. ; MACHECOURT J ; PREBOLIN F. ; VAN DE WALLE J. P. ; BRION R. . - 2003 . - P. 39-46.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 20/1 (2003) . - P. 39-46
Résumé : Nous rapportons l'observation d'un infarctus du myocarde inaugural survenu au décours d'un choc thoracique pendant un exercice sportif chez un homme de 23 ans. La localisation de l'IDM est antérieure et en rapport avec une lésion asymptomatique de 1'IVA. Il n'existe aucun facteur de risque cardiovasculaire chez ce sportif très entraîné mais les examens coronarographiques successifs et l'échographie endocoronaire confirment la présence d'une plaque d'athérome au niveau de la partie proximale de 1'IVA. La séquence des événements fait évoquer le rôle du traumatisme thoracique, même mineur, dans le mécanisme de la nécrose. L'hypothèse d'un infarctus d'effort favorisé par le choc est donc envisagée. L'exercice physique peut classiquement créer des conditions favorables à un infarctus du myocarde (stimulation catécholergique, modifications de l'agrégabilité plaquettaire...). La survenue d'un traumatisme même léger pourrait provoquer la rupture d'une plaque d'athérome et le contexte favoriserait son évolution vers l'infarctus. On peut également évoquer le rôle d'un spasme coronaire déclenchant ou associé à la rupture de la plaque. Ce spasme aurait pu être favorisé par un contact soudain en plein effort avec la neige, notamment au niveau du visage.
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Exclu du prêtLes douleurs de l'appareil extenseur après ligamentoplastie : utilisation des ondes de choc radiales pour le traitement des tendinopathies rotuliennes chroniques / SAVALLI L in Journal de traumatologie du sport, vol. 20/1 (2003)
[article]
Titre : Les douleurs de l'appareil extenseur après ligamentoplastie : utilisation des ondes de choc radiales pour le traitement des tendinopathies rotuliennes chroniques Type de document : texte imprimé Auteurs : SAVALLI L ; P. TROUVE ; PUIG P. Année de publication : 2003 Article en page(s) : P. 10-18 Résumé : Les douleurs de l'appareil extenseur sont particulièrement fréquentes dans le cadre des ligamentoplasties du LCA aux dépens de celui-ci, mais peuvent également se rencontrer après ligamentoplastie au droit interne-demi-tendineux (DIDT). Les auteurs ont évalué, de façon rétrospective, l'intérêt du traitement par ondes de choc radiales (OCR) pour le traitement des tendinopathies rotuliennes chroniques après reconstruction du LCA. Trente six sportifs, tous compétiteurs ont été traités par OCR pour tendinopathie rotulienne. Les dossiers ont été sélectionnés sur ce critère. La tendinopathie s'intègre dans le cadre d'une ligamentoplastie aux dépens de l'appareil extenseur dans 35 cas et aux dépens du droit interne-demi-tendineux dans un cas. Le pourcentage de patients de sexe féminin est de 47 % dans cette étude et contraste avec celui de notre population habituelle au CERS, nettement plus bas habituellement (20 %). Le traitement par OCR est intervenu en moyenne à 222 jours + -112 de l'intervention. Les patients ont reçu entre 1 à 3 séances à une semaine d'intervalle. Ils ont été interrogés à distance par questionnaire à J 555 + -225. Le taux de réponse au questionnaire est de 21 36. Le niveau douloureux moyen, mesuré sur échelle visuelle analogique (EVA) avant la première séance d'OCR est de 5,44 + -1,56. Il est évalué à 3,43 + -1,97 sur l'EVA une semaine après la première séance. L'amélioration obtenue est significative (p <0,0001). Au-delà de la première séance, le bénéfice n'augmente pas significativement. À distance, l'EVA moyen est de 3,40 + -2,6. Concernant l'efficacité du traitement par ondes de choc, 6 sujets (28,5 % ) estiment avoir été complètement et durablement améliorés par les OCR, 8 (38 %) de façon partielle mais durable, 7 (33,5 %) n'estiment pas avoir été améliorés de façon durable par le traitement. En somme, l'amélioration qu'elle soit partielle ou complète concerne durablement 2 3 des patients. Cette étude met en exergue le caractère iatrogène de la technique KJ sur l'appareil extenseur, et en particulier pour le sexe féminin surreprésenté dans notre population. L'utilisation des ondes de choc pour le traitement des tendinopathies chroniques semble constituer une technique prometteuse dont l'intérêt mérite d'être confirmé par des études contrôlées.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14535
in Journal de traumatologie du sport > vol. 20/1 (2003) . - P. 10-18[article] Les douleurs de l'appareil extenseur après ligamentoplastie : utilisation des ondes de choc radiales pour le traitement des tendinopathies rotuliennes chroniques [texte imprimé] / SAVALLI L ; P. TROUVE ; PUIG P. . - 2003 . - P. 10-18.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 20/1 (2003) . - P. 10-18
Résumé : Les douleurs de l'appareil extenseur sont particulièrement fréquentes dans le cadre des ligamentoplasties du LCA aux dépens de celui-ci, mais peuvent également se rencontrer après ligamentoplastie au droit interne-demi-tendineux (DIDT). Les auteurs ont évalué, de façon rétrospective, l'intérêt du traitement par ondes de choc radiales (OCR) pour le traitement des tendinopathies rotuliennes chroniques après reconstruction du LCA. Trente six sportifs, tous compétiteurs ont été traités par OCR pour tendinopathie rotulienne. Les dossiers ont été sélectionnés sur ce critère. La tendinopathie s'intègre dans le cadre d'une ligamentoplastie aux dépens de l'appareil extenseur dans 35 cas et aux dépens du droit interne-demi-tendineux dans un cas. Le pourcentage de patients de sexe féminin est de 47 % dans cette étude et contraste avec celui de notre population habituelle au CERS, nettement plus bas habituellement (20 %). Le traitement par OCR est intervenu en moyenne à 222 jours + -112 de l'intervention. Les patients ont reçu entre 1 à 3 séances à une semaine d'intervalle. Ils ont été interrogés à distance par questionnaire à J 555 + -225. Le taux de réponse au questionnaire est de 21 36. Le niveau douloureux moyen, mesuré sur échelle visuelle analogique (EVA) avant la première séance d'OCR est de 5,44 + -1,56. Il est évalué à 3,43 + -1,97 sur l'EVA une semaine après la première séance. L'amélioration obtenue est significative (p <0,0001). Au-delà de la première séance, le bénéfice n'augmente pas significativement. À distance, l'EVA moyen est de 3,40 + -2,6. Concernant l'efficacité du traitement par ondes de choc, 6 sujets (28,5 % ) estiment avoir été complètement et durablement améliorés par les OCR, 8 (38 %) de façon partielle mais durable, 7 (33,5 %) n'estiment pas avoir été améliorés de façon durable par le traitement. En somme, l'amélioration qu'elle soit partielle ou complète concerne durablement 2 3 des patients. Cette étude met en exergue le caractère iatrogène de la technique KJ sur l'appareil extenseur, et en particulier pour le sexe féminin surreprésenté dans notre population. L'utilisation des ondes de choc pour le traitement des tendinopathies chroniques semble constituer une technique prometteuse dont l'intérêt mérite d'être confirmé par des études contrôlées.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLes séquelles des fractures de l'apophyse latérale du talus / J.-F. Kouvalchouk in Journal de traumatologie du sport, vol. 20/1 (2003)
[article]
Titre : Les séquelles des fractures de l'apophyse latérale du talus Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-F. Kouvalchouk ; HADDOUN A. R. ; COLLIN Ph. Année de publication : 2003 Article en page(s) : P. 4-9 Résumé : Les auteurs rapportent les observations de 6 patients présentant des séquelles de fracture de l'apophyse latérale du talus et vus dans un délai de 2 ans en moyenne. La symptomatologie était dominée par des douleurs dit compartiment latéral de la cheville et par une limitation des amplitudes de la subtalienne, responsables d'une gêne fonctionnelle sévère. Dans 4 cas, il s'agissait d'un cal vicieux et dans 2 cas d'une pseudarthrose. Le traitement a été chirurgical dans 5 cas (excision 4 fois et ostéosynthèse d'une pseudarthrose 1 fois). Un patient a refusé l'intervention. Le résultat a toujours été bon, mais jamais excellent dans la mesure où indolence totale et récupération des amplitudes articulaires n'ont jamais été obtenues pour un même patient. La fracture relève de deux mécanismes, impaction ou inversion forcée. Le tableau clinique est toujours sévère et impose des radiographies dont la lecture attentive doit permettre d'évoquer le diagnostic que, seul, le scanner confirme et autorise analyse et classification. De celle-ci découle le traitement: orthopédique ou chirurgical selon la taille du fragment, son déplacement et son caractère comminutif ou non. Les résultats d'un traitement adapté sont très bons. Non traitée, la fracture laisse des séquelles du fait, notamment, de la désorganisation de la subtalienne et des remaniements arthrosiques qui s'en suivent. À ce stade, le traitement ne peut être que chirurgical, devant aller parfois jusqu'à l'arthrodèse de la subtalienne. Il n'y a jamais de résultats qui puissent être véritablement qualifiés d'excellents. Il faut donc insister sur la nécessité d'un diagnostic précoce et d'un traitement initial adapté.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14574
in Journal de traumatologie du sport > vol. 20/1 (2003) . - P. 4-9[article] Les séquelles des fractures de l'apophyse latérale du talus [texte imprimé] / J.-F. Kouvalchouk ; HADDOUN A. R. ; COLLIN Ph. . - 2003 . - P. 4-9.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 20/1 (2003) . - P. 4-9
Résumé : Les auteurs rapportent les observations de 6 patients présentant des séquelles de fracture de l'apophyse latérale du talus et vus dans un délai de 2 ans en moyenne. La symptomatologie était dominée par des douleurs dit compartiment latéral de la cheville et par une limitation des amplitudes de la subtalienne, responsables d'une gêne fonctionnelle sévère. Dans 4 cas, il s'agissait d'un cal vicieux et dans 2 cas d'une pseudarthrose. Le traitement a été chirurgical dans 5 cas (excision 4 fois et ostéosynthèse d'une pseudarthrose 1 fois). Un patient a refusé l'intervention. Le résultat a toujours été bon, mais jamais excellent dans la mesure où indolence totale et récupération des amplitudes articulaires n'ont jamais été obtenues pour un même patient. La fracture relève de deux mécanismes, impaction ou inversion forcée. Le tableau clinique est toujours sévère et impose des radiographies dont la lecture attentive doit permettre d'évoquer le diagnostic que, seul, le scanner confirme et autorise analyse et classification. De celle-ci découle le traitement: orthopédique ou chirurgical selon la taille du fragment, son déplacement et son caractère comminutif ou non. Les résultats d'un traitement adapté sont très bons. Non traitée, la fracture laisse des séquelles du fait, notamment, de la désorganisation de la subtalienne et des remaniements arthrosiques qui s'en suivent. À ce stade, le traitement ne peut être que chirurgical, devant aller parfois jusqu'à l'arthrodèse de la subtalienne. Il n'y a jamais de résultats qui puissent être véritablement qualifiés d'excellents. Il faut donc insister sur la nécessité d'un diagnostic précoce et d'un traitement initial adapté.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14574 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtTraitement chirurgical de la tendinopathie rotulienne chez le sportif / CHERIF M. R. in Journal de traumatologie du sport, vol. 20/1 (2003)
[article]
Titre : Traitement chirurgical de la tendinopathie rotulienne chez le sportif Type de document : texte imprimé Auteurs : CHERIF M. R. ; BELHARETH S. ; HASSINE H. B. ; M'BAREK M. ; SADDAM H. ; TRABELSI M. ; ANNABI H. Année de publication : 2003 Article en page(s) : P. 19-25 Résumé : Les auteurs rapportent l'expérience de 13 sportifs de haut niveau âgés de 18 à 36 ans opérés pour une tendinopathie rotulienne chronique. La radiographie, l'échographie et l'IRM ont étudié les tendons pathologiques en mettant en évidence avec précision des lésions intratendineuses (calcifications, nodules ou kystes). Ainsi 4 des patients souffraient d'une tendinopathie d'insertion, les 9 autres d'une tendinopathie du corps du tendon rotulien. Six patients avaient un conflit fémoro-patellaire associé qui a bien été objectivé par l'arthroscanner. L'indication chirurgicale a été posée devant un handicap sportif total (Stade III-bis de Blazina) après échec du traitement fonctionnel. Le traitement chirurgical a consisté en un peignage systématique du tendon avec résection des lésions dégénératives. Les 4 patients porteurs d'une tendinopathie d'insertion ont bénéficié d'une résection de la pointe de la rotule. Les 6 patients qui avaient un conflit fémoro-patellaire ont eu une libération externe associée dans un cas plus sévère à une translation avancement de la tubérosité tibiale antérieure. Les résultats ont été jugés bons dans 5 cas et très bons dans 8 cas avec un recul moyen actuel à 24 mois. La place de l'échographie, premier et souvent seul examen à demander dans une tendinopathie rotulienne chronique, est indéniable dans le diagnostic et le suivi postopératoire. L'IRM doit être gardée pour les cas chirurgicaux ou posant un problème diagnostique. Les bénéfices du traitement chirurgical ne sont plus à démontrer quand initialement l'indication a bien été posée. Il nous paraît logique et nécessaire de traiter au même temps opératoire le conflit fémoro-patellaire. Un bon résultat ne peut se concevoir sans une rééducation sérieuse et des sportifs très motivés.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14712
in Journal de traumatologie du sport > vol. 20/1 (2003) . - P. 19-25[article] Traitement chirurgical de la tendinopathie rotulienne chez le sportif [texte imprimé] / CHERIF M. R. ; BELHARETH S. ; HASSINE H. B. ; M'BAREK M. ; SADDAM H. ; TRABELSI M. ; ANNABI H. . - 2003 . - P. 19-25.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 20/1 (2003) . - P. 19-25
Résumé : Les auteurs rapportent l'expérience de 13 sportifs de haut niveau âgés de 18 à 36 ans opérés pour une tendinopathie rotulienne chronique. La radiographie, l'échographie et l'IRM ont étudié les tendons pathologiques en mettant en évidence avec précision des lésions intratendineuses (calcifications, nodules ou kystes). Ainsi 4 des patients souffraient d'une tendinopathie d'insertion, les 9 autres d'une tendinopathie du corps du tendon rotulien. Six patients avaient un conflit fémoro-patellaire associé qui a bien été objectivé par l'arthroscanner. L'indication chirurgicale a été posée devant un handicap sportif total (Stade III-bis de Blazina) après échec du traitement fonctionnel. Le traitement chirurgical a consisté en un peignage systématique du tendon avec résection des lésions dégénératives. Les 4 patients porteurs d'une tendinopathie d'insertion ont bénéficié d'une résection de la pointe de la rotule. Les 6 patients qui avaient un conflit fémoro-patellaire ont eu une libération externe associée dans un cas plus sévère à une translation avancement de la tubérosité tibiale antérieure. Les résultats ont été jugés bons dans 5 cas et très bons dans 8 cas avec un recul moyen actuel à 24 mois. La place de l'échographie, premier et souvent seul examen à demander dans une tendinopathie rotulienne chronique, est indéniable dans le diagnostic et le suivi postopératoire. L'IRM doit être gardée pour les cas chirurgicaux ou posant un problème diagnostique. Les bénéfices du traitement chirurgical ne sont plus à démontrer quand initialement l'indication a bien été posée. Il nous paraît logique et nécessaire de traiter au même temps opératoire le conflit fémoro-patellaire. Un bon résultat ne peut se concevoir sans une rééducation sérieuse et des sportifs très motivés.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtVision et risque traumatique / CORBE Ch. in Journal de traumatologie du sport, vol. 20/1 (2003)
[article]
Titre : Vision et risque traumatique Type de document : texte imprimé Auteurs : CORBE Ch. Année de publication : 2003 Article en page(s) : P. 31-35 Résumé : La vision est un élément sensoriel majeur dans la pratique du football, quelque soit le niveau, bien qu'en fonction du poste elle ne soit pas univoque. La vision est sous-tendue par un capteur, l'oeil est un système sensoriel qui permet aux messages lumineux arrivant sur la rétine d'être intégrés cérébralement en vue d'une réaction adaptée au stimulus. Dans ce trajet, les mécanismes de filtration ou d'amplification, les mécanismes multisensoriels, les mécanismes cognitifs, les mécanismes de mémorisation joueront un rôle essentiel. Cependant, cette architectorrie si parfaite mais complexe peut être facilement déréglée dans chacun des paramètres énoncés, si le capteur est lésé. Or, la pratique du terrain expose à des traumatismes souvent dommageables. Les contusions oculaires par choc direct ou indirect peuvent provoquer des séquelles secondaires sous forme de glaucome, de cataracte ou de lésion rétinienne. Les traumatismes se produiront préférentiellement sur la cornée par la pénétration de petits corps étrangers ou par des lésions dues aux lentilles précornéennes mal adaptées. Les effets secondaires se mesureront en terme de baisse de l'acuité visuelle. La chirurgie rétractive si riche en rétablissement de vision déficitaire pourra fragiliser le globe oculaire. Les paupières, par coup d'ongle, sont soumises à des déchirures facteurs de ptose palpébrale. Une attitude préventive est à développer pour évaluer les facteurs de risque et les rapporter à l'ensemble du support neurosensoriel visuel.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14766
in Journal de traumatologie du sport > vol. 20/1 (2003) . - P. 31-35[article] Vision et risque traumatique [texte imprimé] / CORBE Ch. . - 2003 . - P. 31-35.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 20/1 (2003) . - P. 31-35
Résumé : La vision est un élément sensoriel majeur dans la pratique du football, quelque soit le niveau, bien qu'en fonction du poste elle ne soit pas univoque. La vision est sous-tendue par un capteur, l'oeil est un système sensoriel qui permet aux messages lumineux arrivant sur la rétine d'être intégrés cérébralement en vue d'une réaction adaptée au stimulus. Dans ce trajet, les mécanismes de filtration ou d'amplification, les mécanismes multisensoriels, les mécanismes cognitifs, les mécanismes de mémorisation joueront un rôle essentiel. Cependant, cette architectorrie si parfaite mais complexe peut être facilement déréglée dans chacun des paramètres énoncés, si le capteur est lésé. Or, la pratique du terrain expose à des traumatismes souvent dommageables. Les contusions oculaires par choc direct ou indirect peuvent provoquer des séquelles secondaires sous forme de glaucome, de cataracte ou de lésion rétinienne. Les traumatismes se produiront préférentiellement sur la cornée par la pénétration de petits corps étrangers ou par des lésions dues aux lentilles précornéennes mal adaptées. Les effets secondaires se mesureront en terme de baisse de l'acuité visuelle. La chirurgie rétractive si riche en rétablissement de vision déficitaire pourra fragiliser le globe oculaire. Les paupières, par coup d'ongle, sont soumises à des déchirures facteurs de ptose palpébrale. Une attitude préventive est à développer pour évaluer les facteurs de risque et les rapporter à l'ensemble du support neurosensoriel visuel.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
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