La maladie d’Alzheimer / Jean-Pierre Aquino in L'aide-soignante, 189 (Août - Septembre 2017)

Public ISBD [article]  inL'aide-soignante > 189 (Août - Septembre 2017) . - p. 10-12 Titre : La maladie d’Alzheimer Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Aquino, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 10-12 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Préserver l'autonomie du patient atteint de la maladie d'Alzheimer" Langues : Français (fre) Mots-clés : Accompagnement  Aidant  Facteur de risque  Qualité de vie  Alzheimer (maladie) Résumé : La maladie d’Alzheimer est une pathologie neuro-dégénérative évolutive liée à l’âge. S’il n’existe pas de traitement curatif, différentes mesures permettent de retarder l’apparition des premiers symptômes, mais aussi d’améliorer la qualité de vie des personnes malades. Un accompagnement personnalisé, s’appuyant sur des stratégies psycho-sociales, concourt à préserver leur autonomie. Les avancées organisationnelles opérées ces dernières années contribuent aussi à un meilleur accompagnement des patients et des aidants. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=49922 [article] La maladie d’Alzheimer [texte imprimé] / Jean-Pierre Aquino, Auteur . - 2017 . - p. 10-12. Cet article fait partie du dossier "Préserver l'autonomie du patient atteint de la maladie d'Alzheimer" Langues : Français (fre) in L'aide-soignante > 189 (Août - Septembre 2017) . - p. 10-12 Mots-clés : Accompagnement  Aidant  Facteur de risque  Qualité de vie  Alzheimer (maladie) Résumé : La maladie d’Alzheimer est une pathologie neuro-dégénérative évolutive liée à l’âge. S’il n’existe pas de traitement curatif, différentes mesures permettent de retarder l’apparition des premiers symptômes, mais aussi d’améliorer la qualité de vie des personnes malades. Un accompagnement personnalisé, s’appuyant sur des stratégies psycho-sociales, concourt à préserver leur autonomie. Les avancées organisationnelles opérées ces dernières années contribuent aussi à un meilleur accompagnement des patients et des aidants. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=49922

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La maladie d’Alzheimer dans la cité, politiques et initiatives locales / Paul-Ariel KENIGSBERG in La revue de gériatrie, Tome 43 - N°3 (Mars 2018)

Public ISBD [article]  inLa revue de gériatrie > Tome 43 - N°3 (Mars 2018) . - p. 149-158 Titre : La maladie d’Alzheimer dans la cité, politiques et initiatives locales Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul-Ariel KENIGSBERG, Auteur ; Jean-Pierre Aquino, Auteur ; Marion VILLEZ, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 149-158 Langues : Français (fre) Résumé : Une ville amie des aînés vise à améliorer la qualité de vie des citoyens âgés, en optimisant leur santé, leur participation à la vie de la cité et leur sécurité. Cette démarche, qui part d’une méthodologie proposée par l’Organisation mondiale de la santé, se développe en France depuis 2010. À côté de cette mobilisation en direction des personnes âgées, mais de façon indépendante, un mouvement né du terrain, centré plus spécifiquement sur la place dans la cité des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, s’amplifie dans le monde entier. Trois grands objectifs sont visés : sensibiliser les professionnels et la société civile à la maladie, vivre et habiter ensemble, mettre en capacité et protéger les personnes malades. Aider celles-ci et leurs proches à vivre le mieux possible avec et malgré la maladie est l’affaire de chacun, et suppose, à l’échelle locale, un engagement partagé entre les acteurs sanitaires, sociaux ou médico-sociaux et les autres acteurs de la société civile. Le frein principal est psychologique : la peur de la maladie d’Alzheimer, qui conduit à la mise à l’écart de la personne malade. Un second frein, d’ordre pratique, concerne les restrictions de mobilité et la réalisation d’actions de la vie courante par la personne malade confrontée aux multiples obstacles de l’environnement urbain. Des initiatives locales variées, portées par les pouvoirs publics, des professionnels ou des bénévoles se sont développées pour que les personnes malades trouvent leur place dans la cité et puissent participer à la vie publique. De nouvelles formes d’habitat, fondées sur une représentation positive du vieillissement, proposent une approche « domicile » et une intégration sociale dans le milieu ordinaire. Mais l’accès aux services de la cité n’est pas possible sans la sensibilisation du grand public. Il s’agit de communiquer autrement sur la maladie et ses conséquences dans le quotidien de ceux qui la vivent, afin d’en promouvoir une image plus réaliste et juste. Les initiatives exemplaires primées par la Fondation Médéric Alzheimer et ses partenaires européens montrent que le succès de ces démarches visant à construire à l’échelle locale un environnement averti sur la démence est le résultat d’un effort de long terme. La mise en oeuvre de cette approche de manière durable, à contre-courant des représentations stigmatisantes de la maladie, reste aujourd’hui difficile. Une question centrale reste celle de la manière dont les personnes malades elles-mêmes sont et seront, effectivement, partie prenante de ces processus. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56873 [article] La maladie d’Alzheimer dans la cité, politiques et initiatives locales [texte imprimé] / Paul-Ariel KENIGSBERG, Auteur ; Jean-Pierre Aquino, Auteur ; Marion VILLEZ, Auteur . - 2018 . - p. 149-158. Langues : Français (fre) in La revue de gériatrie > Tome 43 - N°3 (Mars 2018) . - p. 149-158 Résumé : Une ville amie des aînés vise à améliorer la qualité de vie des citoyens âgés, en optimisant leur santé, leur participation à la vie de la cité et leur sécurité. Cette démarche, qui part d’une méthodologie proposée par l’Organisation mondiale de la santé, se développe en France depuis 2010. À côté de cette mobilisation en direction des personnes âgées, mais de façon indépendante, un mouvement né du terrain, centré plus spécifiquement sur la place dans la cité des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, s’amplifie dans le monde entier. Trois grands objectifs sont visés : sensibiliser les professionnels et la société civile à la maladie, vivre et habiter ensemble, mettre en capacité et protéger les personnes malades. Aider celles-ci et leurs proches à vivre le mieux possible avec et malgré la maladie est l’affaire de chacun, et suppose, à l’échelle locale, un engagement partagé entre les acteurs sanitaires, sociaux ou médico-sociaux et les autres acteurs de la société civile. Le frein principal est psychologique : la peur de la maladie d’Alzheimer, qui conduit à la mise à l’écart de la personne malade. Un second frein, d’ordre pratique, concerne les restrictions de mobilité et la réalisation d’actions de la vie courante par la personne malade confrontée aux multiples obstacles de l’environnement urbain. Des initiatives locales variées, portées par les pouvoirs publics, des professionnels ou des bénévoles se sont développées pour que les personnes malades trouvent leur place dans la cité et puissent participer à la vie publique. De nouvelles formes d’habitat, fondées sur une représentation positive du vieillissement, proposent une approche « domicile » et une intégration sociale dans le milieu ordinaire. Mais l’accès aux services de la cité n’est pas possible sans la sensibilisation du grand public. Il s’agit de communiquer autrement sur la maladie et ses conséquences dans le quotidien de ceux qui la vivent, afin d’en promouvoir une image plus réaliste et juste. Les initiatives exemplaires primées par la Fondation Médéric Alzheimer et ses partenaires européens montrent que le succès de ces démarches visant à construire à l’échelle locale un environnement averti sur la démence est le résultat d’un effort de long terme. La mise en oeuvre de cette approche de manière durable, à contre-courant des représentations stigmatisantes de la maladie, reste aujourd’hui difficile. Une question centrale reste celle de la manière dont les personnes malades elles-mêmes sont et seront, effectivement, partie prenante de ces processus. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56873

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Manifeste pour le Droit des Personnes Âgées / Sophie Moulias in La revue de gériatrie, Vol.46 N°3 (Mars 2021)

Public ISBD [article]  inLa revue de gériatrie > Vol.46 N°3 (Mars 2021) . - p. 133-143 Titre : Manifeste pour le Droit des Personnes Âgées Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie Moulias ; Gilles Berrut ; Nathalie Salles ; Jean-Pierre Aquino ; Olivier Guérin ; Robert Moulias ; Société Française de Gériatrie & Gérontologie (SFGG) Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 133-143 Langues : Français (fre) Mots-clés : sujet agé  Âgisme  Vieillissement  sociologie Résumé : La Société Française de Gériatrie et Gérontologie s’insurge contre l’âgisme et le combat sous toutes ses formes d’expression. La SFGG alerte sur la persistance de discriminations liées à l’âge et l’apparition de nouvelles formes d’âgismes à côté des stéréotypes traditionnels. La SFGG a pris position à l’occasion du 70ème anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme en décembre 2018. Elle alerte à nouveau, en septembre 2020, à l’occasion du 20ème anniversaire de l’inscription des Droits des personnes âgées dans la Charte Européenne. Elle organise une vaste campagne de communication contre l’âgisme, en y associant toutes les sociétés savantes de gériatrie et de gérontologie ainsi que toutes les grandes institutions internationales, qui défendent les droits des adultes âgés Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92771 [article] Manifeste pour le Droit des Personnes Âgées [texte imprimé] / Sophie Moulias ; Gilles Berrut ; Nathalie Salles ; Jean-Pierre Aquino ; Olivier Guérin ; Robert Moulias ; Société Française de Gériatrie & Gérontologie (SFGG) . - 2021 . - p. 133-143. Langues : Français (fre) in La revue de gériatrie > Vol.46 N°3 (Mars 2021) . - p. 133-143 Mots-clés : sujet agé  Âgisme  Vieillissement  sociologie Résumé : La Société Française de Gériatrie et Gérontologie s’insurge contre l’âgisme et le combat sous toutes ses formes d’expression. La SFGG alerte sur la persistance de discriminations liées à l’âge et l’apparition de nouvelles formes d’âgismes à côté des stéréotypes traditionnels. La SFGG a pris position à l’occasion du 70ème anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme en décembre 2018. Elle alerte à nouveau, en septembre 2020, à l’occasion du 20ème anniversaire de l’inscription des Droits des personnes âgées dans la Charte Européenne. Elle organise une vaste campagne de communication contre l’âgisme, en y associant toutes les sociétés savantes de gériatrie et de gérontologie ainsi que toutes les grandes institutions internationales, qui défendent les droits des adultes âgés Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92771

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