Centre de Documentation Campus Montignies
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Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Annals of physical and rehabilitation medicine . Vol. 45, n°9Paru le : 01/11/2002 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierConférence de consensus : Prévention et traitement des escarres de l'adulte et du sujet âgé: 3e partie : Paraostéoarthropathies neurogènes et traumatisme crânien sévère / FLIN C. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 45, n°9 (novembre 2002)
[article]
Titre : Conférence de consensus : Prévention et traitement des escarres de l'adulte et du sujet âgé: 3e partie : Paraostéoarthropathies neurogènes et traumatisme crânien sévère Type de document : texte imprimé Auteurs : FLIN C. ; CURALUCCI H. ; DUVOCELLE A. ; J.-M. Viton Année de publication : 2002 Article en page(s) : p. 517-520 Mots-clés : Spasticité Risque Traumatisme crânien Résumé : Objectif : Les auteurs se sont donnés pour objectif d'évaluer l'incidence et les facteurs de risque de survenue de paraostéoarthropathies neurogènes (POA) dans une population de traumatisés crâniens (TC) graves. Matériel et méthodes : Il s'agit de patients hospitalisés dans une structure d'éveil pour TC au cours d'une période de 2 ans. C'est une étude rétrospective sur un échantillon de 86 patients. Les calculs statistiques ont été réalisés à l'aide des tests X et Fischer. Résultats, discussion: Quarante-neuf POA ont été répertoriées chez 24 patients (soit une incidence de 28,57 %, correspondant à 2,04 POA patient). Elles étaient localisées à la hanche, au coude et au genou pour la majorité d'entre elles. Il n'a pas été retrouvé de lien significatif entre la présence de POA et l'âge, le sexe, la gravité clinique initiale, la présence d'un déficit moteur, la spasticité, et la présence de phénomènes neurovégétatifs. Par contre, une fracture de membre et surtout son traitement chirurgical sont corrélés à une plus grande incidence de POA. Conclusion : Certains facteurs de risque retrouvés dans notre étude sont en adéquation avec ceux de la littérature. Ce travail permet de souligner l'importance de ce type de complications chez ces grands polytraumatisés, et la difficulté à mettre en oeuvre des mesures préventives.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°9 (novembre 2002) . - p. 517-520[article] Conférence de consensus : Prévention et traitement des escarres de l'adulte et du sujet âgé: 3e partie : Paraostéoarthropathies neurogènes et traumatisme crânien sévère [texte imprimé] / FLIN C. ; CURALUCCI H. ; DUVOCELLE A. ; J.-M. Viton . - 2002 . - p. 517-520.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°9 (novembre 2002) . - p. 517-520
Mots-clés : Spasticité Risque Traumatisme crânien Résumé : Objectif : Les auteurs se sont donnés pour objectif d'évaluer l'incidence et les facteurs de risque de survenue de paraostéoarthropathies neurogènes (POA) dans une population de traumatisés crâniens (TC) graves. Matériel et méthodes : Il s'agit de patients hospitalisés dans une structure d'éveil pour TC au cours d'une période de 2 ans. C'est une étude rétrospective sur un échantillon de 86 patients. Les calculs statistiques ont été réalisés à l'aide des tests X et Fischer. Résultats, discussion: Quarante-neuf POA ont été répertoriées chez 24 patients (soit une incidence de 28,57 %, correspondant à 2,04 POA patient). Elles étaient localisées à la hanche, au coude et au genou pour la majorité d'entre elles. Il n'a pas été retrouvé de lien significatif entre la présence de POA et l'âge, le sexe, la gravité clinique initiale, la présence d'un déficit moteur, la spasticité, et la présence de phénomènes neurovégétatifs. Par contre, une fracture de membre et surtout son traitement chirurgical sont corrélés à une plus grande incidence de POA. Conclusion : Certains facteurs de risque retrouvés dans notre étude sont en adéquation avec ceux de la littérature. Ce travail permet de souligner l'importance de ce type de complications chez ces grands polytraumatisés, et la difficulté à mettre en oeuvre des mesures préventives.
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Exclu du prêtÉvaluation de la mesure de la spasticité par le pendulum test / P. Le Cavorzin in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 45, n°9 (novembre 2002)
[article]
Titre : Évaluation de la mesure de la spasticité par le pendulum test Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Le Cavorzin ; H. ALLAIN ; BARTIER O. ; CARRAULT G. ; CHAGNEAU F. ; P. Gallien ; HERNOT X. ; Pierre Rochcongar Année de publication : 2002 Article en page(s) : p. 510-516 Mots-clés : Spasticité Evaluation Résumé : Objectif : Identifier des mesures valides de la spasticité dérivées du pendulum test, dans une population représentative de patients spastiques. Matériel et méthodes : Le pendulum test (pendulaire) a été réalisé chez 15 patients spastiques et 10 sujets témoins sains appariés. Un modèle mathématique a été utilisé pour calculer le couple musculaire réflexe évoqué dans le quadriceps fémoral, ainsi que les paramètres mécaniques musculaires (élasticité, viscosité). La corrélation avec les deux principales mesures issues du pendulum test proposées dans la littérature (l'Index de Relaxation et l'aire sous la courbe angulaire) a été calculée afin de sélectionner la mesure la plus valide. Résultats, discussion : Parmi les paramètres mécaniques, seule la viscosité musculaire était significativement plus élevée dans le groupe spastique. Le couple réflexe calculé était plus élevé chez les sujets spastiques. Une relation log-linéaire a été retrouvée entre la cotation clinique selon l'échelle d'Ashworth et le couple réflexe calculé, soulignant le caractère non linéaire de cette échelle. Parmi les mesures instrumentales, l'Index de Relaxation varie avec le couple réflexe calculé selon une courbe en U, peu appropriée aux applications cliniques. Par contre, l'aire sous la courbe angulaire présente une relation linéaire avec le couple musculaire réflexe, mieux adaptée à un usage en routine. Conclusion : Le pendulum test constitue une technique simple d'évaluation de la spasticité musculaire. La mesure généralement utilisée dans la littérature (l'Index de Relaxation) présente cependant des limites et gagnerait à être remplacée par des mesures plus valides, comme l'aire sous la courbe angulaire, en particulier dans les études cliniques.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°9 (novembre 2002) . - p. 510-516[article] Évaluation de la mesure de la spasticité par le pendulum test [texte imprimé] / P. Le Cavorzin ; H. ALLAIN ; BARTIER O. ; CARRAULT G. ; CHAGNEAU F. ; P. Gallien ; HERNOT X. ; Pierre Rochcongar . - 2002 . - p. 510-516.
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Mots-clés : Spasticité Evaluation Résumé : Objectif : Identifier des mesures valides de la spasticité dérivées du pendulum test, dans une population représentative de patients spastiques. Matériel et méthodes : Le pendulum test (pendulaire) a été réalisé chez 15 patients spastiques et 10 sujets témoins sains appariés. Un modèle mathématique a été utilisé pour calculer le couple musculaire réflexe évoqué dans le quadriceps fémoral, ainsi que les paramètres mécaniques musculaires (élasticité, viscosité). La corrélation avec les deux principales mesures issues du pendulum test proposées dans la littérature (l'Index de Relaxation et l'aire sous la courbe angulaire) a été calculée afin de sélectionner la mesure la plus valide. Résultats, discussion : Parmi les paramètres mécaniques, seule la viscosité musculaire était significativement plus élevée dans le groupe spastique. Le couple réflexe calculé était plus élevé chez les sujets spastiques. Une relation log-linéaire a été retrouvée entre la cotation clinique selon l'échelle d'Ashworth et le couple réflexe calculé, soulignant le caractère non linéaire de cette échelle. Parmi les mesures instrumentales, l'Index de Relaxation varie avec le couple réflexe calculé selon une courbe en U, peu appropriée aux applications cliniques. Par contre, l'aire sous la courbe angulaire présente une relation linéaire avec le couple musculaire réflexe, mieux adaptée à un usage en routine. Conclusion : Le pendulum test constitue une technique simple d'évaluation de la spasticité musculaire. La mesure généralement utilisée dans la littérature (l'Index de Relaxation) présente cependant des limites et gagnerait à être remplacée par des mesures plus valides, comme l'aire sous la courbe angulaire, en particulier dans les études cliniques.
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Exclu du prêtFacteurs cliniques associés à la subluxation de l'épaule chez l'hémiplégique vasculaire / Jean-Christophe Daviet in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 45, n°9 (novembre 2002)
[article]
Titre : Facteurs cliniques associés à la subluxation de l'épaule chez l'hémiplégique vasculaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Christophe Daviet ; BORIE M. J. ; P.J. Dudognon ; M. Munoz ; REBEYROTTE I. ; Jean-Yves Salle Année de publication : 2002 Article en page(s) : p. 505-509 Mots-clés : Hémiplégie Douleur Résumé : Objectifs : Déterminer les facteurs cliniques liés à la présence d'une subluxation de l'épaule dans une population d'hémiplégiques vasculaires. Matériel et méthode : Étude prospective portant sur 57 hémiplégiques vasculaires. L'évaluation clinique a été réalisée à l'entrée dans le service soit en moyenne 15 jours après l'accident vasculaire cérébral. La subluxation a été dépistée systématiquement par radiographie et quantifiée selon le score de de Bats. Le bilan clinique complet du membre supérieur évaluait la commande (index moteur), la spasticité des adducteurs d'épaule et du biceps (Ashworth), la sensibilité superficielle et profonde, l'héminégligence, la dépression (échelle MADRS). L'âge, l'hémisphère lésé et l'étiologie étaient également notés. Nous avons évalué la présence de ces différents facteurs en fonction de la présence d'une subluxation d'épaule. Les comparaisons ont été réalisées par le test U de Mann-Whitney et le test de X. Les coefficients de corrélation ont été estimés entre deux variables quantitatives. Une analyse multivariée par régression multiple pas à pas descendant a été effectuée en incluant l'ensemble des paramètres significatifs en univarié, la variable dépendante étant la SIGH. Résultats : Une subluxation était observée chez 32 % des hémiplégiques. Sa présence était liée à la gravité du déficit moteur (p < 0,0001), à la spasticité des adducteurs d'épaule (p = 0.028) et à l'âge (p = 0,036). Ces trois variables permettaient de prévoir l'existence d'une subluxation dans 78 % des cas et son absence dans 90 %. Statistiquement, le risque de subluxation était divisé par 1,62 (1.07-2.43) lorsque l'âge augmentait de 5 ans et par deux (1.33-2.94) lorsque l'index moteur augmentait de dix points. La sensibilité superficielle était à la limite de la significativité (p = 0,06). Conclusion : À côté des facteurs de risque classiques de subluxation qui sont l'importance du déficit moteur et la spasticité, cette étude montre que l'âge pourrait jouer un rôle indépendant. La perte d'élasticité des structures périarticulaires rencontrée au cours du vieillissement pourrait améliorer la coaptation passive de l'épaule.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13197
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°9 (novembre 2002) . - p. 505-509[article] Facteurs cliniques associés à la subluxation de l'épaule chez l'hémiplégique vasculaire [texte imprimé] / Jean-Christophe Daviet ; BORIE M. J. ; P.J. Dudognon ; M. Munoz ; REBEYROTTE I. ; Jean-Yves Salle . - 2002 . - p. 505-509.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°9 (novembre 2002) . - p. 505-509
Mots-clés : Hémiplégie Douleur Résumé : Objectifs : Déterminer les facteurs cliniques liés à la présence d'une subluxation de l'épaule dans une population d'hémiplégiques vasculaires. Matériel et méthode : Étude prospective portant sur 57 hémiplégiques vasculaires. L'évaluation clinique a été réalisée à l'entrée dans le service soit en moyenne 15 jours après l'accident vasculaire cérébral. La subluxation a été dépistée systématiquement par radiographie et quantifiée selon le score de de Bats. Le bilan clinique complet du membre supérieur évaluait la commande (index moteur), la spasticité des adducteurs d'épaule et du biceps (Ashworth), la sensibilité superficielle et profonde, l'héminégligence, la dépression (échelle MADRS). L'âge, l'hémisphère lésé et l'étiologie étaient également notés. Nous avons évalué la présence de ces différents facteurs en fonction de la présence d'une subluxation d'épaule. Les comparaisons ont été réalisées par le test U de Mann-Whitney et le test de X. Les coefficients de corrélation ont été estimés entre deux variables quantitatives. Une analyse multivariée par régression multiple pas à pas descendant a été effectuée en incluant l'ensemble des paramètres significatifs en univarié, la variable dépendante étant la SIGH. Résultats : Une subluxation était observée chez 32 % des hémiplégiques. Sa présence était liée à la gravité du déficit moteur (p < 0,0001), à la spasticité des adducteurs d'épaule (p = 0.028) et à l'âge (p = 0,036). Ces trois variables permettaient de prévoir l'existence d'une subluxation dans 78 % des cas et son absence dans 90 %. Statistiquement, le risque de subluxation était divisé par 1,62 (1.07-2.43) lorsque l'âge augmentait de 5 ans et par deux (1.33-2.94) lorsque l'index moteur augmentait de dix points. La sensibilité superficielle était à la limite de la significativité (p = 0,06). Conclusion : À côté des facteurs de risque classiques de subluxation qui sont l'importance du déficit moteur et la spasticité, cette étude montre que l'âge pourrait jouer un rôle indépendant. La perte d'élasticité des structures périarticulaires rencontrée au cours du vieillissement pourrait améliorer la coaptation passive de l'épaule.
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Exclu du prêtImpact d'un programme de prévention multidisciplinaire de la chute chez le sujet âgé autonome vivant à domicile, avec analyse avant-après des performances physiques / CORNILLON E. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 45, n°9 (novembre 2002)
[article]
Titre : Impact d'un programme de prévention multidisciplinaire de la chute chez le sujet âgé autonome vivant à domicile, avec analyse avant-après des performances physiques Type de document : texte imprimé Auteurs : CORNILLON E. ; BEAUCHET O. ; BLANC P. ; BLANCHON M. A. ; BRAIZE C. ; DUBOST V. ; GONTHIER R. ; RAMBOATSISETRAINA P. Année de publication : 2002 Article en page(s) : p. 493-504 Mots-clés : Soins domicile Soutien domicile Travail pluridisciplinaire Personne âgée Vertige Résumé : Objectifs : Les moyens à mettre en oeuvre chez le sujet âgé vivant de manière autonome en milieu communautaire pour prévenir les chutes ne font pas l'objet de consensus. La place respective de l'information, de l'éducation vis-à-vis des gestes à risque et l'apprentissage de stratégie pour entretenir l'équilibre, sont diversement appréciés en prévention primaire et secondaire. Matériel et méthodes : Nous avons évalué les capacités d'équilibre et les performances statiques et dynamiques, de manière prospective, d'un groupe de 150 volontaires pour participer à une activité de prévention des chutes, constitués par tirage au sort. La prise en charge a consisté en une information sur le risque de chute, une visite médicale et dix séances d'activité physique standardisées centrées sur la stabilité posturale, le renforcement musculaire et la coordination des mouvements. Ces volontaires ont été comparés à 150 patients témoins n'ayant eu qu'une visite médicale avant-après. Résultats : Les caractéristiques biocliniques des deux groupes étaient similaires avec un âge moyen de 71 ans, 83 % de femmes, autonomes pour les actes de la vie quotidienne. Toutefois les participants présentaient des facteurs de risque de chutes : 38 % ne pouvaient maintenir la station unipodale plus de 5 s, 29 % avaient chuté dans l'année précédant l'étude. La comparaison des performances des sujets du groupe " Intervention ", entre la première et la dernière séance de tests a mis en évidence des progrès significatifs (p < 0,001) pour tous les exercices en particulier pour la station unipodale et les épreuves yeux fermés. À un an, le taux d'incidence des chutes était plus bas dans le groupe " Intervention " sans être statistiquement significatif par rapport au groupe " Témoin " (p = 0,32 ) mais les chutes survenaient plus tardivement dans le groupe " Intervention " (différence d'incidence significative p = 0.02). Conclusion : Les dix séances d'activité physique ont modifié la performance des sujets sur un certain nombre d'items qui étaient non ou mal réalisés auparavant. Cela laisse espérer une efficacité de la prévention des chutes chez des sujets encore actifs, grâce à des ateliers collectifs et réguliers.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°9 (novembre 2002) . - p. 493-504[article] Impact d'un programme de prévention multidisciplinaire de la chute chez le sujet âgé autonome vivant à domicile, avec analyse avant-après des performances physiques [texte imprimé] / CORNILLON E. ; BEAUCHET O. ; BLANC P. ; BLANCHON M. A. ; BRAIZE C. ; DUBOST V. ; GONTHIER R. ; RAMBOATSISETRAINA P. . - 2002 . - p. 493-504.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°9 (novembre 2002) . - p. 493-504
Mots-clés : Soins domicile Soutien domicile Travail pluridisciplinaire Personne âgée Vertige Résumé : Objectifs : Les moyens à mettre en oeuvre chez le sujet âgé vivant de manière autonome en milieu communautaire pour prévenir les chutes ne font pas l'objet de consensus. La place respective de l'information, de l'éducation vis-à-vis des gestes à risque et l'apprentissage de stratégie pour entretenir l'équilibre, sont diversement appréciés en prévention primaire et secondaire. Matériel et méthodes : Nous avons évalué les capacités d'équilibre et les performances statiques et dynamiques, de manière prospective, d'un groupe de 150 volontaires pour participer à une activité de prévention des chutes, constitués par tirage au sort. La prise en charge a consisté en une information sur le risque de chute, une visite médicale et dix séances d'activité physique standardisées centrées sur la stabilité posturale, le renforcement musculaire et la coordination des mouvements. Ces volontaires ont été comparés à 150 patients témoins n'ayant eu qu'une visite médicale avant-après. Résultats : Les caractéristiques biocliniques des deux groupes étaient similaires avec un âge moyen de 71 ans, 83 % de femmes, autonomes pour les actes de la vie quotidienne. Toutefois les participants présentaient des facteurs de risque de chutes : 38 % ne pouvaient maintenir la station unipodale plus de 5 s, 29 % avaient chuté dans l'année précédant l'étude. La comparaison des performances des sujets du groupe " Intervention ", entre la première et la dernière séance de tests a mis en évidence des progrès significatifs (p < 0,001) pour tous les exercices en particulier pour la station unipodale et les épreuves yeux fermés. À un an, le taux d'incidence des chutes était plus bas dans le groupe " Intervention " sans être statistiquement significatif par rapport au groupe " Témoin " (p = 0,32 ) mais les chutes survenaient plus tardivement dans le groupe " Intervention " (différence d'incidence significative p = 0.02). Conclusion : Les dix séances d'activité physique ont modifié la performance des sujets sur un certain nombre d'items qui étaient non ou mal réalisés auparavant. Cela laisse espérer une efficacité de la prévention des chutes chez des sujets encore actifs, grâce à des ateliers collectifs et réguliers.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtStratégies posturales et chutes chez la personne âgée et le sujet parkinsonien / G. Kemoun in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 45, n°9 (novembre 2002)
[article]
Titre : Stratégies posturales et chutes chez la personne âgée et le sujet parkinsonien Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Kemoun ; E. Watelain ; GUIEU J. D. ; DESTEE A. ; DEFEBVRE L. Année de publication : 2002 Article en page(s) : p. 485-492 Langues : Français (fre) Mots-clés : Chute Personne âgée Maladie Parkinson Vertige Résumé : Objectif : Utiliser une analyse posturographique afin de mettre en évidence l'évolution des stratégies posturales en rapport avec la chute. Matériel et méthode : Il s'agit d'une étude prospective sur deux groupes appariés de 16 personnes de plus de 60 ans. Un groupe concerne 16 patients parkinsoniens en condition off drug d'incapacité fonctionnelle minime, un groupe concerne 16 témoins en bonne santé. Toutes les personnes ont bénéficié d'un enregistrement de la posture au moyen d'une plate-forme de force et ont été suivies pendant un an. Résultats : Il a été mis en évidence trois groupes de personnes correspondant à trois stratégies posturales, indépendamment de la présence ou non de la maladie de Parkinson. Un groupe (n = 18) ne comportait pas de chuteurs, le deuxième (n = 10) comportait 20 % de chuteurs, le troisième (n = 4) comportait 100 % de chuteurs. Les différences entre les groupes furent identifiées sur 16 paramètres posturographiques. Discussion: Un groupe possède une bonne valeur fonctionnelle posturale et on ne relève aucune chute. Ses caractéristiques, qui correspondent à une catégorie de personnes qui compensent bien les phénomènes de vieillissement, sont retrouvées dans la littérature. Un groupe possède une valeur fonctionnelle intermédiaire et déplore 20 % de chuteurs. Le profil cinétique révèle une tendance à la rigidification de la posture et à l'hypervigilance dans l'équilibre dynamique. Ce groupe va mettre en oeuvre plutôt des stratégies de cheville. Un groupe possède une valeur fonctionnelle médiocre et déplore 100 % de chuteurs. Le profil cinétique apparaît perturbé et ne pas pouvoir s'adapter de façon satisfaisante à la situation autrement que par des réactions neuromotrices stéréotypées. Ce groupe va mettre en œuvre systématiquement des stratégies de hanche beaucoup moins stabilisantes. Conclusion : Il existe bien un déterminisme proche entre vieillissement neuromoteur physiologique et maladie de Parkinson. Nous avons mis en évidence avec un suivi prospectif, la survenue de chute et montré l'évolution des stratégies posturales en rapport avec la chute. Il apparaît ainsi que l'évolution se fait principalement en trois étapes conduisant d'une stratégie posturale à faible risque de chute à une stratégie posturale à risque majeur de chute. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13444
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°9 (novembre 2002) . - p. 485-492[article] Stratégies posturales et chutes chez la personne âgée et le sujet parkinsonien [texte imprimé] / G. Kemoun ; E. Watelain ; GUIEU J. D. ; DESTEE A. ; DEFEBVRE L. . - 2002 . - p. 485-492.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°9 (novembre 2002) . - p. 485-492
Mots-clés : Chute Personne âgée Maladie Parkinson Vertige Résumé : Objectif : Utiliser une analyse posturographique afin de mettre en évidence l'évolution des stratégies posturales en rapport avec la chute. Matériel et méthode : Il s'agit d'une étude prospective sur deux groupes appariés de 16 personnes de plus de 60 ans. Un groupe concerne 16 patients parkinsoniens en condition off drug d'incapacité fonctionnelle minime, un groupe concerne 16 témoins en bonne santé. Toutes les personnes ont bénéficié d'un enregistrement de la posture au moyen d'une plate-forme de force et ont été suivies pendant un an. Résultats : Il a été mis en évidence trois groupes de personnes correspondant à trois stratégies posturales, indépendamment de la présence ou non de la maladie de Parkinson. Un groupe (n = 18) ne comportait pas de chuteurs, le deuxième (n = 10) comportait 20 % de chuteurs, le troisième (n = 4) comportait 100 % de chuteurs. Les différences entre les groupes furent identifiées sur 16 paramètres posturographiques. Discussion: Un groupe possède une bonne valeur fonctionnelle posturale et on ne relève aucune chute. Ses caractéristiques, qui correspondent à une catégorie de personnes qui compensent bien les phénomènes de vieillissement, sont retrouvées dans la littérature. Un groupe possède une valeur fonctionnelle intermédiaire et déplore 20 % de chuteurs. Le profil cinétique révèle une tendance à la rigidification de la posture et à l'hypervigilance dans l'équilibre dynamique. Ce groupe va mettre en oeuvre plutôt des stratégies de cheville. Un groupe possède une valeur fonctionnelle médiocre et déplore 100 % de chuteurs. Le profil cinétique apparaît perturbé et ne pas pouvoir s'adapter de façon satisfaisante à la situation autrement que par des réactions neuromotrices stéréotypées. Ce groupe va mettre en œuvre systématiquement des stratégies de hanche beaucoup moins stabilisantes. Conclusion : Il existe bien un déterminisme proche entre vieillissement neuromoteur physiologique et maladie de Parkinson. Nous avons mis en évidence avec un suivi prospectif, la survenue de chute et montré l'évolution des stratégies posturales en rapport avec la chute. Il apparaît ainsi que l'évolution se fait principalement en trois étapes conduisant d'une stratégie posturale à faible risque de chute à une stratégie posturale à risque majeur de chute. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13444 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
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