Centre de Documentation Campus Montignies
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Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Annals of physical and rehabilitation medicine . Vol. 48, n°4Paru le : 01/05/2005 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierBarobiofeedback et rééducation de la marche de l'hémiplégique / HELLER F. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 48, n°4 (mai 2005)
[article]
Titre : Barobiofeedback et rééducation de la marche de l'hémiplégique Type de document : texte imprimé Auteurs : HELLER F. ; J. Weber ; BEURET-BLANQUART F. Année de publication : 2005 Article en page(s) : p. 187-195 Langues : Français (fre) Mots-clés : Biofeedback Rééducation fonctionnelle Locomotion Hémiplégie démarche Résumé : Objectifs.-Comparer l'efficacité sur la qualité de la marche de la rééducation classique seule ou associée au barobiofeedback chez des hémiplégiques sévères d'origine vasculaire. Patients.-Vingt-six sujets ont été randomisés, présentant un AVC de moins de trois mois, avec une majorité d'hémiplégiques gauches dans les deux groupes. Le groupe expérimental était significativement plus âgé que le groupe témoin. Méthode.-Treize hémiplégiques (groupe témoin) recevaient une rééducation classique associée pour les 13 autres (groupe expérimental) à une rééducation par barobiofeedback (BPM Monitor(r)). Une 1 évaluation clinique était réalisée à l'entrée (JO) puis renouvelée et complétée par la mesure des variables spatiotemporelles de la marche par le système d'analyse du mouvement Vicon(r) dès la reprise de la marche (JM) puis 30 jours après (JM + 30). Résultats.-Quelle que soit la méthode de rééducation, les scores cliniques s'amélioraient entre JO et JM + 30 hormis pour la spasticité. Le délai de reprise de la marche par rapport à la date de l'accident vasculaire n'était pas différent entre les deux groupes. La vitesse de marche augmentait significativement pour les deux groupes entre JM et JM + 30 sans différence entre les groupes. Le schéma de marche était amélioré pour les groupes avec une augmentation significative du temps d'appui monopodal sur le membre parétique. Le groupe expérimental a significativement amélioré le temps de double appui de réception du côté hémiplégique à JM et JM + 30, par rapport au groupe témoin (p = 0,03). Conclusion.-Tous les patients ont démontré une amélioration des variables spatiotemporelles de la marche après rééducation dans un centre spécialisé. Le bénéfice du barobiofeedback suggère une amélioration particulière de l'anticipation du pas suivant. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13043
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°4 (mai 2005) . - p. 187-195[article] Barobiofeedback et rééducation de la marche de l'hémiplégique [texte imprimé] / HELLER F. ; J. Weber ; BEURET-BLANQUART F. . - 2005 . - p. 187-195.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°4 (mai 2005) . - p. 187-195
Mots-clés : Biofeedback Rééducation fonctionnelle Locomotion Hémiplégie démarche Résumé : Objectifs.-Comparer l'efficacité sur la qualité de la marche de la rééducation classique seule ou associée au barobiofeedback chez des hémiplégiques sévères d'origine vasculaire. Patients.-Vingt-six sujets ont été randomisés, présentant un AVC de moins de trois mois, avec une majorité d'hémiplégiques gauches dans les deux groupes. Le groupe expérimental était significativement plus âgé que le groupe témoin. Méthode.-Treize hémiplégiques (groupe témoin) recevaient une rééducation classique associée pour les 13 autres (groupe expérimental) à une rééducation par barobiofeedback (BPM Monitor(r)). Une 1 évaluation clinique était réalisée à l'entrée (JO) puis renouvelée et complétée par la mesure des variables spatiotemporelles de la marche par le système d'analyse du mouvement Vicon(r) dès la reprise de la marche (JM) puis 30 jours après (JM + 30). Résultats.-Quelle que soit la méthode de rééducation, les scores cliniques s'amélioraient entre JO et JM + 30 hormis pour la spasticité. Le délai de reprise de la marche par rapport à la date de l'accident vasculaire n'était pas différent entre les deux groupes. La vitesse de marche augmentait significativement pour les deux groupes entre JM et JM + 30 sans différence entre les groupes. Le schéma de marche était amélioré pour les groupes avec une augmentation significative du temps d'appui monopodal sur le membre parétique. Le groupe expérimental a significativement amélioré le temps de double appui de réception du côté hémiplégique à JM et JM + 30, par rapport au groupe témoin (p = 0,03). Conclusion.-Tous les patients ont démontré une amélioration des variables spatiotemporelles de la marche après rééducation dans un centre spécialisé. Le bénéfice du barobiofeedback suggère une amélioration particulière de l'anticipation du pas suivant. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13043 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtÉvaluation posturale à domicile chez la personne âgée / AUFAUVRE V. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 48, n°4 (mai 2005)
[article]
Titre : Évaluation posturale à domicile chez la personne âgée : comparaison chuteurs-non chuteurs Type de document : texte imprimé Auteurs : AUFAUVRE V. ; G. Kemoun ; P. Carette ; BERGEAL E. Année de publication : 2005 Article en page(s) : p. 165-171 Langues : Français (fre) Mots-clés : Domicile Chute Equilibration Personne âgée Posturographie Résumé : Objectifs.-Cette étude a pour buts de déterminer les principaux facteurs cliniques et posturographiques corrélés à la chute chez la personne âgée et de préciser la place de la posturographie statique dans ce bilan. Matériel et méthode.-Étude cas témoins sur 38 personnes vivant en foyer logement, de 88 ans d'âge moyen, autonomes à la marche et dont le Mini Mental Test est supérieur ou égal à 24. Les chuteurs (n = 15) ont présenté une chute datant de moins d'un mois, et les non chuteurs (n = 23) n'ont pas chuté depuis au moins un an. L'évaluation, effectuée au domicile, comprend un interrogatoire, un bilan clinique complet, des tests spécifiques validés par ailleurs et une analyse posturographique statique les yeux ouverts puis fermés. Résultats.-Sur le plan clinique, la pathologie rachidienne et le Functional Reach Test présentent une différence significative entre les chuteurs et les non chuteurs. En posturographie statique, les chuteurs ont un équilibre plus précaire que les non chuteurs les yeux fermés : différence significative sur la surface, la longueur de X, et la FFT globale. La comparaison yeux ouverts et yeux fermés chez les chuteurs retrouve une forte tendance à la rétropulsion en absence de participation visuelle : différence significative sur la longueur totale, la longueur de Y, le Y minimum et la FFT Y (0,5-2 Hz). Conclusion.-En complément d'un examen clinique bien conduit, la posturographie statique permet une évaluation rapide de l'équilibre et de la posture. Ce bilan réalisé sur le lieu de vie de la personne constitue un élément original et pragmatique. Cette stratégie d'évaluation semble pouvoir donner des informations non négligeables dans le bilan de chute chez les personnes âgées, permettant en particulier d'ajuster la stratégie rééducative ou compensatrice. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13178
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°4 (mai 2005) . - p. 165-171[article] Évaluation posturale à domicile chez la personne âgée : comparaison chuteurs-non chuteurs [texte imprimé] / AUFAUVRE V. ; G. Kemoun ; P. Carette ; BERGEAL E. . - 2005 . - p. 165-171.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°4 (mai 2005) . - p. 165-171
Mots-clés : Domicile Chute Equilibration Personne âgée Posturographie Résumé : Objectifs.-Cette étude a pour buts de déterminer les principaux facteurs cliniques et posturographiques corrélés à la chute chez la personne âgée et de préciser la place de la posturographie statique dans ce bilan. Matériel et méthode.-Étude cas témoins sur 38 personnes vivant en foyer logement, de 88 ans d'âge moyen, autonomes à la marche et dont le Mini Mental Test est supérieur ou égal à 24. Les chuteurs (n = 15) ont présenté une chute datant de moins d'un mois, et les non chuteurs (n = 23) n'ont pas chuté depuis au moins un an. L'évaluation, effectuée au domicile, comprend un interrogatoire, un bilan clinique complet, des tests spécifiques validés par ailleurs et une analyse posturographique statique les yeux ouverts puis fermés. Résultats.-Sur le plan clinique, la pathologie rachidienne et le Functional Reach Test présentent une différence significative entre les chuteurs et les non chuteurs. En posturographie statique, les chuteurs ont un équilibre plus précaire que les non chuteurs les yeux fermés : différence significative sur la surface, la longueur de X, et la FFT globale. La comparaison yeux ouverts et yeux fermés chez les chuteurs retrouve une forte tendance à la rétropulsion en absence de participation visuelle : différence significative sur la longueur totale, la longueur de Y, le Y minimum et la FFT Y (0,5-2 Hz). Conclusion.-En complément d'un examen clinique bien conduit, la posturographie statique permet une évaluation rapide de l'équilibre et de la posture. Ce bilan réalisé sur le lieu de vie de la personne constitue un élément original et pragmatique. Cette stratégie d'évaluation semble pouvoir donner des informations non négligeables dans le bilan de chute chez les personnes âgées, permettant en particulier d'ajuster la stratégie rééducative ou compensatrice. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13178 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtHémiplégie et tour du mont blanc / P. CALMELS in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 48, n°4 (mai 2005)
[article]
Titre : Hémiplégie et tour du mont blanc : de l'espoir à la réalité Type de document : texte imprimé Auteurs : P. CALMELS ; ROCHE F. ; CONDEMINE A. ; COURBON A. ; DEGACHE A. ; Francis Degache ; DEVILLARD X. ; FAYOLLE-MINON I ; Vincent Gautheron ; GIRARDIN N. ; RAMAS J. ; RICHARD R Année de publication : 2005 Article en page(s) : p. 180-186 Mots-clés : Activité physique Hémiplégie Accident cérébrovasculaire Réadaptation à l'effort Résumé : Introduction.-À l'issue d'un programme de réentraînement à l'effort nous avons proposé à des patients hémiplégiques d'organiser une randonnée pédestre comme objectif ultime de ce réentraînement, à savoir une partie du Tour du Mont Blanc (TMB). Nous n'avons pas retrouvé de document sur une telle expérience et aucune donnée de la littérature ne permet de déterminer les critères de tolérance à l'effort dans ces conditions, en particulier les relations entre le niveau de capacité à l'effort, le niveau de déficience et le niveau fonctionnel de marche par exemple. Objectifs du projet.- Effectuer une partie du TMB avec un groupe de sujets adultes, présentant une hémiplégie et une aphasie acquises d'origine vasculaire. Populations.-Sept sujets hémiplégiques aphasiques ont été sélectionnés sur les données des épreuves d'effort et de marche au sein d'un échantillon de 20 sujets, et après deux épreuves de marche sur terrain en moyenne montagne. Les caractéristiques de cette population étaient: une moyenne d'âge de 51,71 + 7,13 ans, un VO moyen de 19,76 + 3,46 ml.kg.mm, une P moyenne de 90 + 22,68 et une vitesse de marche de 3,60 + 1,30 km heure. Mise en place.-La mise en place de cette randonnée a exigé:-le choix et l'organisation de l'itinéraire;-la mise en place des moyens de sécurité (9 accompagnateurs en permanence);-aucune adaptation des refuges et de l'accessibilité;-aucun matériel particulier si ce n'est un bâton de marche classique, aucun fauteuil roulant, ni goélette. Résultats.-Cette randonnée a permis de mettre en évidence certaines possibilités fonctionnelles et physiques des sujets: importance des dénivelés effectués (jusqu'à 1500 m par jour); importance des temps de marche cumulés (de 5 à 9 heures de marche dans la journée). Discussion.-Cette expérience a permis une riche réflexion tant sur le plan médical, que fonctionnel et psychologique, aussi bien de la part de l'ensemble des accompagnateurs que des patients eux-mêmes. En l'absence d'expérience similaire, il nous a semblé utile de rapporter ici nos remarques et sentiments sur ce défi,ainsi que le vécu des patients, six mois après cette randonnée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13207
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°4 (mai 2005) . - p. 180-186[article] Hémiplégie et tour du mont blanc : de l'espoir à la réalité [texte imprimé] / P. CALMELS ; ROCHE F. ; CONDEMINE A. ; COURBON A. ; DEGACHE A. ; Francis Degache ; DEVILLARD X. ; FAYOLLE-MINON I ; Vincent Gautheron ; GIRARDIN N. ; RAMAS J. ; RICHARD R . - 2005 . - p. 180-186.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°4 (mai 2005) . - p. 180-186
Mots-clés : Activité physique Hémiplégie Accident cérébrovasculaire Réadaptation à l'effort Résumé : Introduction.-À l'issue d'un programme de réentraînement à l'effort nous avons proposé à des patients hémiplégiques d'organiser une randonnée pédestre comme objectif ultime de ce réentraînement, à savoir une partie du Tour du Mont Blanc (TMB). Nous n'avons pas retrouvé de document sur une telle expérience et aucune donnée de la littérature ne permet de déterminer les critères de tolérance à l'effort dans ces conditions, en particulier les relations entre le niveau de capacité à l'effort, le niveau de déficience et le niveau fonctionnel de marche par exemple. Objectifs du projet.- Effectuer une partie du TMB avec un groupe de sujets adultes, présentant une hémiplégie et une aphasie acquises d'origine vasculaire. Populations.-Sept sujets hémiplégiques aphasiques ont été sélectionnés sur les données des épreuves d'effort et de marche au sein d'un échantillon de 20 sujets, et après deux épreuves de marche sur terrain en moyenne montagne. Les caractéristiques de cette population étaient: une moyenne d'âge de 51,71 + 7,13 ans, un VO moyen de 19,76 + 3,46 ml.kg.mm, une P moyenne de 90 + 22,68 et une vitesse de marche de 3,60 + 1,30 km heure. Mise en place.-La mise en place de cette randonnée a exigé:-le choix et l'organisation de l'itinéraire;-la mise en place des moyens de sécurité (9 accompagnateurs en permanence);-aucune adaptation des refuges et de l'accessibilité;-aucun matériel particulier si ce n'est un bâton de marche classique, aucun fauteuil roulant, ni goélette. Résultats.-Cette randonnée a permis de mettre en évidence certaines possibilités fonctionnelles et physiques des sujets: importance des dénivelés effectués (jusqu'à 1500 m par jour); importance des temps de marche cumulés (de 5 à 9 heures de marche dans la journée). Discussion.-Cette expérience a permis une riche réflexion tant sur le plan médical, que fonctionnel et psychologique, aussi bien de la part de l'ensemble des accompagnateurs que des patients eux-mêmes. En l'absence d'expérience similaire, il nous a semblé utile de rapporter ici nos remarques et sentiments sur ce défi,ainsi que le vécu des patients, six mois après cette randonnée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13207 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtMembres supérieurs fonctionnels hypertoniques et toxine botulique. Quels résultats fonctionnels ? / FERRAPIE A.-L. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 48, n°4 (mai 2005)
[article]
Titre : Membres supérieurs fonctionnels hypertoniques et toxine botulique. Quels résultats fonctionnels ? Type de document : texte imprimé Auteurs : FERRAPIE A.-L. ; VIEILLART A. ; SAINT-CAST Y. ; I. Richard ; MENEI P. Année de publication : 2005 Article en page(s) : p. 172-179 Mots-clés : Botulisme Evaluation Spasticité Raideur Préhension Résumé : Objectifs.-Évaluer l'efficacité de la toxine botulique dans le traitement de membres supérieurs fonctionnels hypertoniques chez des patients ayant une motricité résiduelle permettant une utilisation de la main. Matériel et méthodes.-Les patients ont été suivis entre février 2000 et novembre 2002 avant et après injection de toxine botulique pour une hypertonie du membre supérieur secondaire à une lésion neurologique centrale. Tous présentaient une activité motrice sur les muscles extenseurs du poignet et des doigts. Les déficiences (amplitudes articulaires, spasticité), la douleur, la préhension (bilan 400 points) et la satisfaction des patients ont été analysées. Deux à trois objectifs personnalisés étaient prédéfinis. Les injections étaient réalisées après repérage par un neurostimulateur dans l'objectif d'une amélioration fonctionnelle. Résultats.-Huit patients ont été inclus. La douleur a diminué de 3,4 points sur une échelle analogique. La spasticité a été réduite d'un point sur le score d'Ashworth. La préhension a été améliorée (bilan 400 points) et l'amélioration portait surtout sur les fonctions bimanuelles. Soixante-quinze pour cent des objectifs fonctionnels ont été atteints. L'efficacité optimale a nécessité des injections répétées avec modification des cibles musculaires et des doses. Conclusion.-Efficace sur les déficiences, la toxine botulique améliore aussi la douleur et la préhension, même si la main lésée reste une main d'appoint. L'importance de la motricité des antagonistes est capitale pour les résultats fonctionnels et l'évaluation doit comporter des tâches bimanuelles. Il est primordial d'injecter les muscles intrinsèques en complément des muscles extrinsèques et d'utiliser un neurostimulateur pour les muscles de l'avant-bras. Des études comparatives avec la chirurgie sont nécessaires pour préciser la place de ce traitement.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13333
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°4 (mai 2005) . - p. 172-179[article] Membres supérieurs fonctionnels hypertoniques et toxine botulique. Quels résultats fonctionnels ? [texte imprimé] / FERRAPIE A.-L. ; VIEILLART A. ; SAINT-CAST Y. ; I. Richard ; MENEI P. . - 2005 . - p. 172-179.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°4 (mai 2005) . - p. 172-179
Mots-clés : Botulisme Evaluation Spasticité Raideur Préhension Résumé : Objectifs.-Évaluer l'efficacité de la toxine botulique dans le traitement de membres supérieurs fonctionnels hypertoniques chez des patients ayant une motricité résiduelle permettant une utilisation de la main. Matériel et méthodes.-Les patients ont été suivis entre février 2000 et novembre 2002 avant et après injection de toxine botulique pour une hypertonie du membre supérieur secondaire à une lésion neurologique centrale. Tous présentaient une activité motrice sur les muscles extenseurs du poignet et des doigts. Les déficiences (amplitudes articulaires, spasticité), la douleur, la préhension (bilan 400 points) et la satisfaction des patients ont été analysées. Deux à trois objectifs personnalisés étaient prédéfinis. Les injections étaient réalisées après repérage par un neurostimulateur dans l'objectif d'une amélioration fonctionnelle. Résultats.-Huit patients ont été inclus. La douleur a diminué de 3,4 points sur une échelle analogique. La spasticité a été réduite d'un point sur le score d'Ashworth. La préhension a été améliorée (bilan 400 points) et l'amélioration portait surtout sur les fonctions bimanuelles. Soixante-quinze pour cent des objectifs fonctionnels ont été atteints. L'efficacité optimale a nécessité des injections répétées avec modification des cibles musculaires et des doses. Conclusion.-Efficace sur les déficiences, la toxine botulique améliore aussi la douleur et la préhension, même si la main lésée reste une main d'appoint. L'importance de la motricité des antagonistes est capitale pour les résultats fonctionnels et l'évaluation doit comporter des tâches bimanuelles. Il est primordial d'injecter les muscles intrinsèques en complément des muscles extrinsèques et d'utiliser un neurostimulateur pour les muscles de l'avant-bras. Des études comparatives avec la chirurgie sont nécessaires pour préciser la place de ce traitement.
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Exclu du prêtTête tombante fixée : efficacité d'une rééducation intensive / MACE Y. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 48, n°4 (mai 2005)
[article]
Titre : Tête tombante fixée : efficacité d'une rééducation intensive Type de document : texte imprimé Auteurs : MACE Y. ; Marie-Madeleine Lefevre-Colau ; S. Poiraudeau ; F. Rannou ; Michel Revel ; YAHIA M. Année de publication : 2005 Article en page(s) : p. 207-211 Mots-clés : Rachis Tête Rachis cervical Traction thérapeutique Résumé : Objectifs.-Rappeler le contexte diagnostique et étiologique de la tête tombante et montrer la place de la rééducation dans sa prise en charge thérapeutique. Méthodes.-Description d'une observation de tête tombante idiopathique atypique et très grave ainsi que les résultats du traitement associant des mesures orthopédiques et de rééducation intensive. Résultats.-Patiente de 68 ans chez qui l'axe cervicocéphalique s'est mis en flexion progressive et totale en deux ans. La tête était finalement fixée en position fléchie avec contact permanent du menton et du sternum ayant déterminé deux escarres et empêchant l'alimentation normale. Les radiographies ne montraient que des lésions d'arthrose évoluée. Le bilan général, neurologique et biologique était sans particularité. Le diagnostic retenu a été celui de tête tombante idiopathique, atypique par le caractère fixé et la douleur aux tentatives de redressement. La rééducation a comporté la mise en place d'une traction permanente avec halo pendant huit semaines associée à une rééducation des muscles cervicopostérieurs, un travail de proprioception puis la mise en place d'un collier cervical après guérison des escarres. Le rachis cervical a pu être ramené en position verticale après dix semaines de traitement et à plus de deux ans d'évolution, les résultats étaient stables. Discussion.-De nombreuses pathologies comportant un déficit musculaire cervical postérieur peuvent entraîner une tête tombante. Le plus souvent, on conclut à une tête tombante idiopathique après avoir constaté l'absence d'étiologie précise. Notre patiente avait un important déficit musculaire clinique et objectivé par les coupes tomodensitométriques. Le tableau était cependant atypique par l'installation de la raideur et la douleur aux tentatives de redressement passif. Ni l'arthrose découverte chez la patiente, ni aucune autre pathologie ostéoarticulaire ne peut cependant entraîner à elle seule une telle attitude caractéristique de tête tombante. Il s'agissait donc de l'intrication entre une tête tombante idiopathique et des lésions d'arthrose cervicale. La mise en place d'un programme orthopédique et de rééducation intensive a eu un effet spectaculaire. La prise en charge de ces patients devrait toujours comporter ce volet thérapeutique.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13453
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°4 (mai 2005) . - p. 207-211[article] Tête tombante fixée : efficacité d'une rééducation intensive [texte imprimé] / MACE Y. ; Marie-Madeleine Lefevre-Colau ; S. Poiraudeau ; F. Rannou ; Michel Revel ; YAHIA M. . - 2005 . - p. 207-211.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°4 (mai 2005) . - p. 207-211
Mots-clés : Rachis Tête Rachis cervical Traction thérapeutique Résumé : Objectifs.-Rappeler le contexte diagnostique et étiologique de la tête tombante et montrer la place de la rééducation dans sa prise en charge thérapeutique. Méthodes.-Description d'une observation de tête tombante idiopathique atypique et très grave ainsi que les résultats du traitement associant des mesures orthopédiques et de rééducation intensive. Résultats.-Patiente de 68 ans chez qui l'axe cervicocéphalique s'est mis en flexion progressive et totale en deux ans. La tête était finalement fixée en position fléchie avec contact permanent du menton et du sternum ayant déterminé deux escarres et empêchant l'alimentation normale. Les radiographies ne montraient que des lésions d'arthrose évoluée. Le bilan général, neurologique et biologique était sans particularité. Le diagnostic retenu a été celui de tête tombante idiopathique, atypique par le caractère fixé et la douleur aux tentatives de redressement. La rééducation a comporté la mise en place d'une traction permanente avec halo pendant huit semaines associée à une rééducation des muscles cervicopostérieurs, un travail de proprioception puis la mise en place d'un collier cervical après guérison des escarres. Le rachis cervical a pu être ramené en position verticale après dix semaines de traitement et à plus de deux ans d'évolution, les résultats étaient stables. Discussion.-De nombreuses pathologies comportant un déficit musculaire cervical postérieur peuvent entraîner une tête tombante. Le plus souvent, on conclut à une tête tombante idiopathique après avoir constaté l'absence d'étiologie précise. Notre patiente avait un important déficit musculaire clinique et objectivé par les coupes tomodensitométriques. Le tableau était cependant atypique par l'installation de la raideur et la douleur aux tentatives de redressement passif. Ni l'arthrose découverte chez la patiente, ni aucune autre pathologie ostéoarticulaire ne peut cependant entraîner à elle seule une telle attitude caractéristique de tête tombante. Il s'agissait donc de l'intrication entre une tête tombante idiopathique et des lésions d'arthrose cervicale. La mise en place d'un programme orthopédique et de rééducation intensive a eu un effet spectaculaire. La prise en charge de ces patients devrait toujours comporter ce volet thérapeutique.
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Exclu du prêtVers une meilleure compréhension et une évaluation quantifiée du " pushing ", un comportement postural dû à certains AVC / Dominic Pérennou in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 48, n°4 (mai 2005)
[article]
Titre : Vers une meilleure compréhension et une évaluation quantifiée du " pushing ", un comportement postural dû à certains AVC Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominic Pérennou Année de publication : 2005 Article en page(s) : p. 198-206 Langues : Français (fre) Mots-clés : Accident cérébrovasculaire Posture Perception Verticalisation Résumé : Objectifs.- Revue critique de la littérature concernant le pushing, l'un des comportements posturaux les plus spectaculaires et intrigants, mais aussi à ce jour l'un des moins bien compris et évalué. Méthode.- Analyse de la littérature à partir de la base de données Medline et des chapitres de livres concernant le pushing. Résultats.-L'absence de quantification objective du pushing explique en grande partie les divergences sur la prévalence et la physiopathologie du pushing. Les échelles d'évaluation directe de la latéropulsion ou de la résistance opposée par le patient à l'examinateur qui le pousse latéralement du côté de sa lésion sont des échelles ad hoc dont les principales qualités psychométriques n'ont pas été analysées. Conclusion.- On peut se demander si nous ne faisons pas fausse route en tentant de proposer des interprétations scientifiques à un comportement clinique trop souvent évalué subjectivement. Devant ces difficultés, la mesure objective, fiable et reproductible de toutes les modalités de la verticale biologique paraît une approche alternative rationnelle. Nous préconisons d'utiliser ces mesures comme support à la validation de programmes de rééducation du sens de verticalité. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13497
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°4 (mai 2005) . - p. 198-206[article] Vers une meilleure compréhension et une évaluation quantifiée du " pushing ", un comportement postural dû à certains AVC [texte imprimé] / Dominic Pérennou . - 2005 . - p. 198-206.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°4 (mai 2005) . - p. 198-206
Mots-clés : Accident cérébrovasculaire Posture Perception Verticalisation Résumé : Objectifs.- Revue critique de la littérature concernant le pushing, l'un des comportements posturaux les plus spectaculaires et intrigants, mais aussi à ce jour l'un des moins bien compris et évalué. Méthode.- Analyse de la littérature à partir de la base de données Medline et des chapitres de livres concernant le pushing. Résultats.-L'absence de quantification objective du pushing explique en grande partie les divergences sur la prévalence et la physiopathologie du pushing. Les échelles d'évaluation directe de la latéropulsion ou de la résistance opposée par le patient à l'examinateur qui le pousse latéralement du côté de sa lésion sont des échelles ad hoc dont les principales qualités psychométriques n'ont pas été analysées. Conclusion.- On peut se demander si nous ne faisons pas fausse route en tentant de proposer des interprétations scientifiques à un comportement clinique trop souvent évalué subjectivement. Devant ces difficultés, la mesure objective, fiable et reproductible de toutes les modalités de la verticale biologique paraît une approche alternative rationnelle. Nous préconisons d'utiliser ces mesures comme support à la validation de programmes de rééducation du sens de verticalité. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13497 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
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