Centre de Documentation Campus Montignies
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Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Annals of physical and rehabilitation medicine . Vol. 46, n°6Paru le : 01/07/2003 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierApport de l'EMG dans l'utilisation de la toxine botulique in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Apport de l'EMG dans l'utilisation de la toxine botulique Type de document : texte imprimé Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 380-385 Résumé : Introduction.-Le but de ce travail est de procéder à une mise au point concernant l'apport de l'EMG dans l'utilisation thérapeutique de la toxine botulique. Matériel et méthode.-Une revue de la littérature sur la base des données informatiques Pub Med, complétée par la lecture de chapitres d'ouvrages nous ont permis de sélectionner les publications les plus synthétiques et nous paraissant les plus pertinentes en fonction de notre expérience personnelle. Résultats.-Il n'y a pas d'attitude consensuelle, mais une majorité d'auteurs mettent en exergue l'intérêt de l'EMG aux différentes phases d'un traitement par la toxine botulique dans ses indications reconnues, que ce soit avant la réalisation des injections, au moment de l'injection, enfin au cours du suivi, après l'injection initiale au décours des injections itératives nécessitées par l'efficacité transitoire du produit. Discussion.-Moyen thérapeutique symptomatique récemment reconnu des dystonies et de la spasticité focales, la toxine botulique est injectée localement dans les muscles à traiter. L'EMG est susceptible d'être un recours pour : au stade de pré-injection, être parfois utile à l'évaluation physiopathologique mais surtout participer à l'élaboration du diagnostic et instituer un bilan pré-interventionnel précis ; au moment de l'injection, guider le geste afin d'obtenir un maximum de sélectivité et une efficacité maximale avec des doses réduites donc moins coûteuses. Elle permet aussi de limiter les risques de diffusion du produit susceptible d'être à la base d'effets secondaires iatrogènes et ou de phénomènes d'auto-immunisation responsables de résistances à la toxine ; au cours du suivi, permettre de comprendre une situation d'échec, rechercher les modifications d'un pattern dystonique soutenant des réévaluations objectives et des réinjections adaptées. Bien que délaissée par certains, la logistique électrologique nous paraît, comme à beaucoup de médecins injecteurs, d'un appoint considérablement sécurisant, particulièrement dans la phase de ciblage du corps musculaire à traiter au moment de l'injection.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13032
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 380-385[article] Apport de l'EMG dans l'utilisation de la toxine botulique [texte imprimé] . - 2003 . - p. 380-385.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 380-385
Résumé : Introduction.-Le but de ce travail est de procéder à une mise au point concernant l'apport de l'EMG dans l'utilisation thérapeutique de la toxine botulique. Matériel et méthode.-Une revue de la littérature sur la base des données informatiques Pub Med, complétée par la lecture de chapitres d'ouvrages nous ont permis de sélectionner les publications les plus synthétiques et nous paraissant les plus pertinentes en fonction de notre expérience personnelle. Résultats.-Il n'y a pas d'attitude consensuelle, mais une majorité d'auteurs mettent en exergue l'intérêt de l'EMG aux différentes phases d'un traitement par la toxine botulique dans ses indications reconnues, que ce soit avant la réalisation des injections, au moment de l'injection, enfin au cours du suivi, après l'injection initiale au décours des injections itératives nécessitées par l'efficacité transitoire du produit. Discussion.-Moyen thérapeutique symptomatique récemment reconnu des dystonies et de la spasticité focales, la toxine botulique est injectée localement dans les muscles à traiter. L'EMG est susceptible d'être un recours pour : au stade de pré-injection, être parfois utile à l'évaluation physiopathologique mais surtout participer à l'élaboration du diagnostic et instituer un bilan pré-interventionnel précis ; au moment de l'injection, guider le geste afin d'obtenir un maximum de sélectivité et une efficacité maximale avec des doses réduites donc moins coûteuses. Elle permet aussi de limiter les risques de diffusion du produit susceptible d'être à la base d'effets secondaires iatrogènes et ou de phénomènes d'auto-immunisation responsables de résistances à la toxine ; au cours du suivi, permettre de comprendre une situation d'échec, rechercher les modifications d'un pattern dystonique soutenant des réévaluations objectives et des réinjections adaptées. Bien que délaissée par certains, la logistique électrologique nous paraît, comme à beaucoup de médecins injecteurs, d'un appoint considérablement sécurisant, particulièrement dans la phase de ciblage du corps musculaire à traiter au moment de l'injection.
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Exclu du prêtBruxisme, syndrome algodysfonctionnel des articulations temporo-mandibulaires et toxine botulique / CHIKHANI L. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Bruxisme, syndrome algodysfonctionnel des articulations temporo-mandibulaires et toxine botulique Type de document : texte imprimé Auteurs : CHIKHANI L. ; DICHAMP J. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 333-337 Résumé : Le bruxisme excentré (grincements de dents) ou centré (serrements de dents) est une praxie le plus souvent involontaire et nocturne, qui aboutit à une hypertrophie des muscles élévateurs de la mandibule (masséters et temporaux) avec un déséquilibre entre les muscles abaisseurs et les muscles élévateurs de la mandibule, à l'origine d'une altération de la cinétique des condyles mandibulaires et d'une hyperpression au niveau des articulations temporo-mandibulaires, ce qui peut être générateur d'importantes douleurs. Les injections intramusculaires de toxine botulique permettent en rétablissant l'équilibre entre les muscles abaisseurs et élévateurs, de soulager les douleurs, de corriger l'hypertrophie massétérine avec amélioration des contours du visage et de rétablir d'une cinétique normale des articulations temporo-mandibulaires. De plus, la toxine botulique permet un déconditionnement des praxies de bruxisme et une seule séance d'injection suffit chez deux tiers des patients. Il n'est pas observé d'effets secondaires en dehors d'une diffusion aux muscles superficiels de la face chez 7 % des patients, à l'origine d'un sourire figé pendant environ 6 à 8 semaines. Les injections intramusculaires de toxine botulique dans les muscles élévateurs sont ainsi un traitement efficace, sans effet secondaire et peu onéreux (par rapport aux traitements conventionnels) du bruxisme et des syndromes algodysfonctionnels des articulations temporo-mandibulaires.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 333-337[article] Bruxisme, syndrome algodysfonctionnel des articulations temporo-mandibulaires et toxine botulique [texte imprimé] / CHIKHANI L. ; DICHAMP J. . - 2003 . - p. 333-337.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 333-337
Résumé : Le bruxisme excentré (grincements de dents) ou centré (serrements de dents) est une praxie le plus souvent involontaire et nocturne, qui aboutit à une hypertrophie des muscles élévateurs de la mandibule (masséters et temporaux) avec un déséquilibre entre les muscles abaisseurs et les muscles élévateurs de la mandibule, à l'origine d'une altération de la cinétique des condyles mandibulaires et d'une hyperpression au niveau des articulations temporo-mandibulaires, ce qui peut être générateur d'importantes douleurs. Les injections intramusculaires de toxine botulique permettent en rétablissant l'équilibre entre les muscles abaisseurs et élévateurs, de soulager les douleurs, de corriger l'hypertrophie massétérine avec amélioration des contours du visage et de rétablir d'une cinétique normale des articulations temporo-mandibulaires. De plus, la toxine botulique permet un déconditionnement des praxies de bruxisme et une seule séance d'injection suffit chez deux tiers des patients. Il n'est pas observé d'effets secondaires en dehors d'une diffusion aux muscles superficiels de la face chez 7 % des patients, à l'origine d'un sourire figé pendant environ 6 à 8 semaines. Les injections intramusculaires de toxine botulique dans les muscles élévateurs sont ainsi un traitement efficace, sans effet secondaire et peu onéreux (par rapport aux traitements conventionnels) du bruxisme et des syndromes algodysfonctionnels des articulations temporo-mandibulaires.
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Exclu du prêtDyssynergie vésico-sphinctérienne et toxine botulique / PARRATTE B. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Dyssynergie vésico-sphinctérienne et toxine botulique Type de document : texte imprimé Auteurs : PARRATTE B. ; BONNIAUD V. ; COSSON A. ; METTON G. ; MICHEL F. ; MONNIER G. ; TATU L. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 319-325 Résumé : Introduction.-Les injections de toxine botulique (TB) dans le sphincter strié urétral représentent un traitement en expansion de la dyssynergie vésico-sphinctérienne (DVS), mais il reste pourtant mal codifié. Méthodologie.-Une revue de la littérature par recherche informatique PubMed, complétée par une recherche dans les Annales de réadaptation et de médecine physique et dans les compte-rendus de la Société internationale francophone d'urodynamique et de l'International Continence Society a permis de sélectionner 12 références avec PubMed, deux articles dans les Annales et deux rapports de congrès. Notre analyse s'est focalisée sur les indications, les protocoles d'utilisation et d'évaluation de TB. Résultats.-Utilisées pour la première fois en 1988 chez des patients blessés médullaires afin de lever un obstacle fonctionnel secondaire à une DSV, les injections de TB ont été dès lors une alternative thérapeutique efficace dans la prise en charge des troubles urinaires avec DSV. Elles ont été proposées chez des patients neurologiques incapables de réaliser des sondages intermittents, après échec des traitements médicamenteux et avant d'envisager une intervention chirurgicale. Les critères d'évaluation sont cliniques (augmentation de l'intervalle intermictionnel, diminution des résidus post-mictionnels), urodynamiques (amélioration de la vidange vésicale, augmentation de la capacité vésicale fonctionnelle et diminution des pressions urétrales) et électromyographiques (dénervation du sphincter strié urétral). Type, doses et méthodologie d'utilisation de TB restent cependant très hétérogènes. La durée d'action diffère de 2 à 12 mois selon les protocoles utilisés. Les injections transurétrales, réalisés sous cystoscopie ou transpérinéales, sous contrôle EMG, sont équivalentes en terme d'efficacité. Conclusion.-Devant des effets indésirables négligeables et des résultats satisfaisants, à moyen terme, nous encourageons l'utilisation de la TB comme un traitement de la DVS. Nous proposons une méthodologie pratique d'utilisation.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 319-325[article] Dyssynergie vésico-sphinctérienne et toxine botulique [texte imprimé] / PARRATTE B. ; BONNIAUD V. ; COSSON A. ; METTON G. ; MICHEL F. ; MONNIER G. ; TATU L. . - 2003 . - p. 319-325.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 319-325
Résumé : Introduction.-Les injections de toxine botulique (TB) dans le sphincter strié urétral représentent un traitement en expansion de la dyssynergie vésico-sphinctérienne (DVS), mais il reste pourtant mal codifié. Méthodologie.-Une revue de la littérature par recherche informatique PubMed, complétée par une recherche dans les Annales de réadaptation et de médecine physique et dans les compte-rendus de la Société internationale francophone d'urodynamique et de l'International Continence Society a permis de sélectionner 12 références avec PubMed, deux articles dans les Annales et deux rapports de congrès. Notre analyse s'est focalisée sur les indications, les protocoles d'utilisation et d'évaluation de TB. Résultats.-Utilisées pour la première fois en 1988 chez des patients blessés médullaires afin de lever un obstacle fonctionnel secondaire à une DSV, les injections de TB ont été dès lors une alternative thérapeutique efficace dans la prise en charge des troubles urinaires avec DSV. Elles ont été proposées chez des patients neurologiques incapables de réaliser des sondages intermittents, après échec des traitements médicamenteux et avant d'envisager une intervention chirurgicale. Les critères d'évaluation sont cliniques (augmentation de l'intervalle intermictionnel, diminution des résidus post-mictionnels), urodynamiques (amélioration de la vidange vésicale, augmentation de la capacité vésicale fonctionnelle et diminution des pressions urétrales) et électromyographiques (dénervation du sphincter strié urétral). Type, doses et méthodologie d'utilisation de TB restent cependant très hétérogènes. La durée d'action diffère de 2 à 12 mois selon les protocoles utilisés. Les injections transurétrales, réalisés sous cystoscopie ou transpérinéales, sous contrôle EMG, sont équivalentes en terme d'efficacité. Conclusion.-Devant des effets indésirables négligeables et des résultats satisfaisants, à moyen terme, nous encourageons l'utilisation de la TB comme un traitement de la DVS. Nous proposons une méthodologie pratique d'utilisation.
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Exclu du prêtEffet de la toxine botulique A intradétrusorienne pour le traitement de l'hyperactivité vésicale d'origine neurologique / P. DENYS in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Effet de la toxine botulique A intradétrusorienne pour le traitement de l'hyperactivité vésicale d'origine neurologique Type de document : texte imprimé Auteurs : P. DENYS ; AYOUB N. ; BEN SMAIL D. ; CHARTIER-KASTLER E. ; ESCUDIE I. Thiry ; EVEN-SCHNEIDER A. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 326-328 Résumé : Objectif.-L'objectif de cet article est de déterminer la place de la toxine botulique dans l'arsenal thérapeutique des hyperactivités du détrusor neurologique. Méthode.-Il a été effectué une analyse de la littérature internationale à partire des banques de données PubMed et Medline. Résultat.-Huit articles ont été retenus traitant soit de l'utilisation de la toxine botulique A dans le traitement de l'hyperactivité neurologique sur des populations variées, soit de son utilisation dans un autre muscle lisse qui est le sphincter inférieur de l'oesophage. Discussion.-Les traitements habituels de l'hyperactivité de vessie d'origine neurologique font appel aux anticholinergiques par voie orale ou bien en cas d'inefficacité ou d'intolérance aux interventions chirurgicales de type entérocystoplastie. La toxine botulique intradétrusorienne à la dose de 300 unités semble permettre chez des patients candidats à une intervention chirurgicale une efficacité excellente sur les paramètres cliniques et urodynamiques tant en termes de capacité vésicale que de pression intradétrusorienne. En revanche, aucune étude contre placebo n'est à ce jour publiée, de même que des données sur les mécanismes d'action de la toxine sur le détrusor permettant d'envisager des modifications techniques telles que dose, dilution, nombre de points d'injection. Enfin la littérature ne permet pas de statuer sur la tolérance et l'efficacité à long terme de ce nouveau traitement pourtant extrêmement prometteur dans cette indication. Conclusion.-La toxine botulique injectée sous contrôle endoscopique permet une nette diminution de l'hyperactivité de vessie à court terme chez des patients résistants aux parasympathicolytiques. Les mécanismes d'action de la toxine ainsi que son efficacité à long terme ne sont pas actuellement rapportés.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13098
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 326-328[article] Effet de la toxine botulique A intradétrusorienne pour le traitement de l'hyperactivité vésicale d'origine neurologique [texte imprimé] / P. DENYS ; AYOUB N. ; BEN SMAIL D. ; CHARTIER-KASTLER E. ; ESCUDIE I. Thiry ; EVEN-SCHNEIDER A. . - 2003 . - p. 326-328.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 326-328
Résumé : Objectif.-L'objectif de cet article est de déterminer la place de la toxine botulique dans l'arsenal thérapeutique des hyperactivités du détrusor neurologique. Méthode.-Il a été effectué une analyse de la littérature internationale à partire des banques de données PubMed et Medline. Résultat.-Huit articles ont été retenus traitant soit de l'utilisation de la toxine botulique A dans le traitement de l'hyperactivité neurologique sur des populations variées, soit de son utilisation dans un autre muscle lisse qui est le sphincter inférieur de l'oesophage. Discussion.-Les traitements habituels de l'hyperactivité de vessie d'origine neurologique font appel aux anticholinergiques par voie orale ou bien en cas d'inefficacité ou d'intolérance aux interventions chirurgicales de type entérocystoplastie. La toxine botulique intradétrusorienne à la dose de 300 unités semble permettre chez des patients candidats à une intervention chirurgicale une efficacité excellente sur les paramètres cliniques et urodynamiques tant en termes de capacité vésicale que de pression intradétrusorienne. En revanche, aucune étude contre placebo n'est à ce jour publiée, de même que des données sur les mécanismes d'action de la toxine sur le détrusor permettant d'envisager des modifications techniques telles que dose, dilution, nombre de points d'injection. Enfin la littérature ne permet pas de statuer sur la tolérance et l'efficacité à long terme de ce nouveau traitement pourtant extrêmement prometteur dans cette indication. Conclusion.-La toxine botulique injectée sous contrôle endoscopique permet une nette diminution de l'hyperactivité de vessie à court terme chez des patients résistants aux parasympathicolytiques. Les mécanismes d'action de la toxine ainsi que son efficacité à long terme ne sont pas actuellement rapportés.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtHémiplégie vasculaire : intérêt de l'injection de toxine botulique au membre supérieur / M. ROUSSEAUX in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Hémiplégie vasculaire : intérêt de l'injection de toxine botulique au membre supérieur Type de document : texte imprimé Auteurs : M. ROUSSEAUX ; KOZLOWSKI O. ; LAUNAY M. J. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 286-295 Résumé : Objectifs.-Présenter les données sur l'effet de l'injection de toxine botulique sur le membre supérieur des patients AVC. Méthodes.-Nous avons utilisé la banque de données Medline. L'analyse a tenu compte de la classification internationale du fonctionnement et du handicap. Certains points techniques ou pratiques importants ont été analysés séparément. Résultats.-La toxine botulinique réduit la spasticité des muscles injectés, avec un gain moyen proche de 1 point sur l'échelle d'Ashworth dans les 4 à 6 semaines post-injection, mais avec une grande variabilité. Ceci est associé à une augmentation de l'amplitude des mouvements passifs, notamment du poignet et parfois à une facilitation des mouvements actifs, lorsqu'ils sont possibles. Une amélioration dans les tests fonctionnels est observée quand persiste une bonne motricité proximale et distale. Une réduction de la dépendance dans les activités de la vie quotidienne n'est pas montrée par les études de groupes. Certains patients ont une augmentation de l'utilisation de la main dans le blocage et le transport d'objets, essentiellement dans une position de facilitation (pronation, flexion partielle du poignet). Le confort du patient et des proches est amélioré de façon plus régulière. Les résultats sont partiellement prédictibles, l'amélioration fonctionnelle concerne les patients qui ont la meilleure motricité distale (extension) et une spasticité plus faible, l'amélioration du confort concerne ceux qui ont une spasticité plus sévère et une motricité réduite. Conclusion.-D'autres travaux sont indispensables, d'une part pour mieux apprécier l'amélioration fonctionnelle distale, d'autre part à des stades plus précoces de la maladie.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13208
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 286-295[article] Hémiplégie vasculaire : intérêt de l'injection de toxine botulique au membre supérieur [texte imprimé] / M. ROUSSEAUX ; KOZLOWSKI O. ; LAUNAY M. J. . - 2003 . - p. 286-295.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 286-295
Résumé : Objectifs.-Présenter les données sur l'effet de l'injection de toxine botulique sur le membre supérieur des patients AVC. Méthodes.-Nous avons utilisé la banque de données Medline. L'analyse a tenu compte de la classification internationale du fonctionnement et du handicap. Certains points techniques ou pratiques importants ont été analysés séparément. Résultats.-La toxine botulinique réduit la spasticité des muscles injectés, avec un gain moyen proche de 1 point sur l'échelle d'Ashworth dans les 4 à 6 semaines post-injection, mais avec une grande variabilité. Ceci est associé à une augmentation de l'amplitude des mouvements passifs, notamment du poignet et parfois à une facilitation des mouvements actifs, lorsqu'ils sont possibles. Une amélioration dans les tests fonctionnels est observée quand persiste une bonne motricité proximale et distale. Une réduction de la dépendance dans les activités de la vie quotidienne n'est pas montrée par les études de groupes. Certains patients ont une augmentation de l'utilisation de la main dans le blocage et le transport d'objets, essentiellement dans une position de facilitation (pronation, flexion partielle du poignet). Le confort du patient et des proches est amélioré de façon plus régulière. Les résultats sont partiellement prédictibles, l'amélioration fonctionnelle concerne les patients qui ont la meilleure motricité distale (extension) et une spasticité plus faible, l'amélioration du confort concerne ceux qui ont une spasticité plus sévère et une motricité réduite. Conclusion.-D'autres travaux sont indispensables, d'une part pour mieux apprécier l'amélioration fonctionnelle distale, d'autre part à des stades plus précoces de la maladie.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13208 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtHémiplégie vasculaire : membre inférieur et toxine botulique / Alain P. Yelnik in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Hémiplégie vasculaire : membre inférieur et toxine botulique Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain P. Yelnik ; Isabelle V. Bonan Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 281-285 Résumé : Objectif.-Faire le point des connaissances sur l'utilisation de la toxine botulique dans les troubles spastiques du membre inférieur après AVC : indications, muscles traités, doses, durée d'efficacité. Méthode.-Analyse de la littérature à partir des bases de données Medline et Reedoc. Résultats.-Sept études contrôlées dont principalement 2 études vs placébo et une étude vs phénol, 7 études ouvertes ou séries de cas consacrées à ce sujet et 4 études ouvertes non exclusives de ce sujet ont été analysées. L'intérêt de la toxine botulique A dans le traitement de l'équinovarus y est montré ; les principaux muscles à traiter sont le soléaire, les gastrocnémiens, et le tibialis posterior. Le traitement de la griffe des orteils est proposé par injection des flexor digitorum longus et flexor hallucis longus, celui de l'hyperextension du gros orteil par injection de l'extensor hallucis longus. Le traitement du quadriceps, du tibialis anterior ou des ischiojambiers n'a été proposé que ponctuellement. Lorsque le traitement est efficace, sa durée dépasse souvent 6 mois. Discussion.-Peu d'études contrôlées attestent de l'efficacité de la toxine botulique dans la spasticité du membre inférieur après AVC. Néanmoins toutes les études vont dans le sens d'une certaine efficacité. Les doses proposées sont probablement insuffisantes pour certains symptômes. Conclusion.-La toxine botulique compte parmi les traitements locaux efficaces de la spasticité après AVC, mais ses modalités précises d'emploi notamment de dose ainsi que sa place parmi les autres traitements restent à préciser.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13209
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 281-285[article] Hémiplégie vasculaire : membre inférieur et toxine botulique [texte imprimé] / Alain P. Yelnik ; Isabelle V. Bonan . - 2003 . - p. 281-285.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 281-285
Résumé : Objectif.-Faire le point des connaissances sur l'utilisation de la toxine botulique dans les troubles spastiques du membre inférieur après AVC : indications, muscles traités, doses, durée d'efficacité. Méthode.-Analyse de la littérature à partir des bases de données Medline et Reedoc. Résultats.-Sept études contrôlées dont principalement 2 études vs placébo et une étude vs phénol, 7 études ouvertes ou séries de cas consacrées à ce sujet et 4 études ouvertes non exclusives de ce sujet ont été analysées. L'intérêt de la toxine botulique A dans le traitement de l'équinovarus y est montré ; les principaux muscles à traiter sont le soléaire, les gastrocnémiens, et le tibialis posterior. Le traitement de la griffe des orteils est proposé par injection des flexor digitorum longus et flexor hallucis longus, celui de l'hyperextension du gros orteil par injection de l'extensor hallucis longus. Le traitement du quadriceps, du tibialis anterior ou des ischiojambiers n'a été proposé que ponctuellement. Lorsque le traitement est efficace, sa durée dépasse souvent 6 mois. Discussion.-Peu d'études contrôlées attestent de l'efficacité de la toxine botulique dans la spasticité du membre inférieur après AVC. Néanmoins toutes les études vont dans le sens d'une certaine efficacité. Les doses proposées sont probablement insuffisantes pour certains symptômes. Conclusion.-La toxine botulique compte parmi les traitements locaux efficaces de la spasticité après AVC, mais ses modalités précises d'emploi notamment de dose ainsi que sa place parmi les autres traitements restent à préciser.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13209 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtHypersialorrhée, hypersudation et toxine botulique / MONNIER G. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Hypersialorrhée, hypersudation et toxine botulique Type de document : texte imprimé Auteurs : MONNIER G. ; COSSON A. ; METTON G. ; MICHEL F. ; PARRATTE B. ; TATU L. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 338-345 Résumé : Objectif-Les premières études cliniques font penser que la toxine botulique est efficace dans le traitement de l'hypersudation et de l'hypersialorrhée. Le but de ce travail est de faire le point sur l'évaluation actuelle d'une telle utilisation. Méthode.-Une revue de la littérature a été effectuée sur la base de données informatique Pub Med, complétée par la lecture de chapitres d'ouvrages. Les articles nous paraissant les plus attractifs en fonction de notre expérience personnelle, ont été sélectionnés. Résultats.-Malgré l'introduction récente de la toxine botulique dans le traitement de l'hyperhidrose focale, les parutions sont déjà nombreuses à ce sujet depuis 1997. Néanmoins les régions injectées ne sont pas recensées avec la même fréquence. L'hyperhidrose axillaire est le sujet le plus abondamment traité ; c'est aussi dans ce cadre et dans le syndrome de Frey que les meilleurs résultats sont obtenus. Les publications consacrées à l'hyperhidrose palmaire et surtout plantaire sont beaucoup plus rares, voire anecdotiques. L'efficacité des injections de toxine botulique y est moins affirmée. La littérature consacrée à l'hypersialorrhée est encore balbutiante. La réduction de la production de salive consécutive à l'injection intraparenchymateuse de toxine dans les glandes parotide et ou submandibulaire, raréfiant du même coup les phénomènes de bavage, a toutefois été démontrée. Dans l'une et l'autre indications, les techniques d'injection comme les doses optimales restent à préciser. Discussion.-Dans la mesure où la toxine botulique bloque toute transmission cholinergique, y compris du système nerveux autonome, il était plausible d'attendre un effet réducteur de la sudation et de la salivation provoqué par l'injection locale du produit. De fait, les premières publications ont démontré une telle efficacité sans effets secondaires graves. Pour l'hyperhidrose, l'attitude presque consensuelle qui se dégage, consiste à pratiquer des infiltrations strictement intra-épidermiques. Des injections réalisées au niveau des régions axillaires, des paumes de main, des soles plantaires, de la face ou d'autres territoires cutanés, c'est certainement l'hyperhidrose palmoplantaire qui est la moins accessible, en tout cas qui pose le plus de problèmes techniques en raison des difficultés à obtenir une bonne analgésie. Contre la sialorrhée et les phénomènes de bavage qui accompagnent certaines maladies neurologiques chroniques, la toxine botulique paraît avoir des effets très prometteurs. Toutefois l'objectif précis n'a pas encore été déterminé entre la glande parotide, la glande submandibulaire, ou les deux ? Les moyens de ciblage nécessaires et suffisants sont encore imprécis. Le nombre de sites par glande et les doses à injecter restent aussi à déterminer.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 338-345[article] Hypersialorrhée, hypersudation et toxine botulique [texte imprimé] / MONNIER G. ; COSSON A. ; METTON G. ; MICHEL F. ; PARRATTE B. ; TATU L. . - 2003 . - p. 338-345.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 338-345
Résumé : Objectif-Les premières études cliniques font penser que la toxine botulique est efficace dans le traitement de l'hypersudation et de l'hypersialorrhée. Le but de ce travail est de faire le point sur l'évaluation actuelle d'une telle utilisation. Méthode.-Une revue de la littérature a été effectuée sur la base de données informatique Pub Med, complétée par la lecture de chapitres d'ouvrages. Les articles nous paraissant les plus attractifs en fonction de notre expérience personnelle, ont été sélectionnés. Résultats.-Malgré l'introduction récente de la toxine botulique dans le traitement de l'hyperhidrose focale, les parutions sont déjà nombreuses à ce sujet depuis 1997. Néanmoins les régions injectées ne sont pas recensées avec la même fréquence. L'hyperhidrose axillaire est le sujet le plus abondamment traité ; c'est aussi dans ce cadre et dans le syndrome de Frey que les meilleurs résultats sont obtenus. Les publications consacrées à l'hyperhidrose palmaire et surtout plantaire sont beaucoup plus rares, voire anecdotiques. L'efficacité des injections de toxine botulique y est moins affirmée. La littérature consacrée à l'hypersialorrhée est encore balbutiante. La réduction de la production de salive consécutive à l'injection intraparenchymateuse de toxine dans les glandes parotide et ou submandibulaire, raréfiant du même coup les phénomènes de bavage, a toutefois été démontrée. Dans l'une et l'autre indications, les techniques d'injection comme les doses optimales restent à préciser. Discussion.-Dans la mesure où la toxine botulique bloque toute transmission cholinergique, y compris du système nerveux autonome, il était plausible d'attendre un effet réducteur de la sudation et de la salivation provoqué par l'injection locale du produit. De fait, les premières publications ont démontré une telle efficacité sans effets secondaires graves. Pour l'hyperhidrose, l'attitude presque consensuelle qui se dégage, consiste à pratiquer des infiltrations strictement intra-épidermiques. Des injections réalisées au niveau des régions axillaires, des paumes de main, des soles plantaires, de la face ou d'autres territoires cutanés, c'est certainement l'hyperhidrose palmoplantaire qui est la moins accessible, en tout cas qui pose le plus de problèmes techniques en raison des difficultés à obtenir une bonne analgésie. Contre la sialorrhée et les phénomènes de bavage qui accompagnent certaines maladies neurologiques chroniques, la toxine botulique paraît avoir des effets très prometteurs. Toutefois l'objectif précis n'a pas encore été déterminé entre la glande parotide, la glande submandibulaire, ou les deux ? Les moyens de ciblage nécessaires et suffisants sont encore imprécis. Le nombre de sites par glande et les doses à injecter restent aussi à déterminer.
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Exclu du prêtIndications de la neurotoxine botulique A en neuro-ORL / PERIE S. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Indications de la neurotoxine botulique A en neuro-ORL Type de document : texte imprimé Auteurs : PERIE S. ; LACAU ST GUILY J. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 375-379 Résumé : Les dystonies sont des manifestations d'une activité anormale de muscles pouvant provoquer un déséquilibre entre l'action de muscles agonistes et antagonistes. Leur expression au niveau du larynx et des muscles masticateurs est privilégiée, une synchronisation entre les différents groupes musculaires étant indispensable pour permettre une ouverture ou une fermeture de l'organe ; les perturbations de cet équilibre provoquent une altération des fonctions spécialisées. Les manifestations dystoniques focalisées au niveau laryngé provoquent ainsi à des degrés variables une atteinte de la phonation, de la respiration et ou de la déglutition, dont le diagnostic peut être difficile. En ORL, les applications thérapeutiques de la toxine botulique s'inscrivent dans le traitement de dystonies focales, représentées principalement par les dystonies laryngées, en particulier les dysphonies spasmodiques et les dystonies oromandibulaires. Les injections sont faites en intramusculaire, sous contrôle électrornyographique. À côté de ces indications, les injections cutanées de toxine botulique sont proposées dans le syndrome de Frey, pour lutter contre la sécrétion excessive des glandes sudoripares lors d'une stimulation gustative; les injections dans le sphincter supérieur de l'oesophage (SSO) ont été proposées dans certaines formes de dysphagie mais cette indication semble majoritairement controversée.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 375-379[article] Indications de la neurotoxine botulique A en neuro-ORL [texte imprimé] / PERIE S. ; LACAU ST GUILY J. . - 2003 . - p. 375-379.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 375-379
Résumé : Les dystonies sont des manifestations d'une activité anormale de muscles pouvant provoquer un déséquilibre entre l'action de muscles agonistes et antagonistes. Leur expression au niveau du larynx et des muscles masticateurs est privilégiée, une synchronisation entre les différents groupes musculaires étant indispensable pour permettre une ouverture ou une fermeture de l'organe ; les perturbations de cet équilibre provoquent une altération des fonctions spécialisées. Les manifestations dystoniques focalisées au niveau laryngé provoquent ainsi à des degrés variables une atteinte de la phonation, de la respiration et ou de la déglutition, dont le diagnostic peut être difficile. En ORL, les applications thérapeutiques de la toxine botulique s'inscrivent dans le traitement de dystonies focales, représentées principalement par les dystonies laryngées, en particulier les dysphonies spasmodiques et les dystonies oromandibulaires. Les injections sont faites en intramusculaire, sous contrôle électrornyographique. À côté de ces indications, les injections cutanées de toxine botulique sont proposées dans le syndrome de Frey, pour lutter contre la sécrétion excessive des glandes sudoripares lors d'une stimulation gustative; les injections dans le sphincter supérieur de l'oesophage (SSO) ont été proposées dans certaines formes de dysphagie mais cette indication semble majoritairement controversée.
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Exclu du prêtLe mode d'action des neurotoxines botuliques : aspects pathologiques, cellulaires et moléculaires / POULAIN B. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Le mode d'action des neurotoxines botuliques : aspects pathologiques, cellulaires et moléculaires Type de document : texte imprimé Auteurs : POULAIN B. ; HUMEAU Y. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 265-275 Résumé : Les neurotoxines botuliques (BoNTs, 7 sérotypes, A-G) sont des protéines produites par des bactéries du genre Clostridium. Les BoNTs sont associées à des protéines non toxiques et forment un complexe appelé toxine botulique (BoTx). C'est ce complexe qui est utilisé en clinique pour un but thérapeutique. L'intoxination avec la BoNT cause le botulisme qui comprend une dysautonomie et une paralysie qui sont provoquées par l'inhibition de la libération d'acétylcholine en périphérie. Après leur liaison à des récepteurs neuronaux comprenant des gangliosides et peut-être la synaptotagmine, les BoNTs sont internalisées dans les terminaisons nerveuses par endocytose. L'acidification de la vésicule de capture entraîne la translocation de la chaîne légère de BoNT dans le cytoplasme neuronal. La chaîne légère de BoNT est une métalloprotéase à zinc qui, selon le toxinotype, clivent une ou deux des protéines VAMP synaptobrévine, SNAP25 ou syntaxine. Comme ces trois protéines interviennent dans le processus de fusion des vésicules synaptiques avec la membrane plasmique, leur clivage provoque l'inhibition de l'exocytose d'acétylcholine. La durée du blocage de la neurotransmission cholinergique dépend de la rémanence des neurotoxines dansles neurones, de la vitesse de remplacement des protéines qu'elles ont altérées et de la mise en place temporaire de nouvelles terminaisons nerveuses qui sont rétractées après que la plaque motrice originelle a retrouvé sa pleine fonctionnalité.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 265-275[article] Le mode d'action des neurotoxines botuliques : aspects pathologiques, cellulaires et moléculaires [texte imprimé] / POULAIN B. ; HUMEAU Y. . - 2003 . - p. 265-275.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 265-275
Résumé : Les neurotoxines botuliques (BoNTs, 7 sérotypes, A-G) sont des protéines produites par des bactéries du genre Clostridium. Les BoNTs sont associées à des protéines non toxiques et forment un complexe appelé toxine botulique (BoTx). C'est ce complexe qui est utilisé en clinique pour un but thérapeutique. L'intoxination avec la BoNT cause le botulisme qui comprend une dysautonomie et une paralysie qui sont provoquées par l'inhibition de la libération d'acétylcholine en périphérie. Après leur liaison à des récepteurs neuronaux comprenant des gangliosides et peut-être la synaptotagmine, les BoNTs sont internalisées dans les terminaisons nerveuses par endocytose. L'acidification de la vésicule de capture entraîne la translocation de la chaîne légère de BoNT dans le cytoplasme neuronal. La chaîne légère de BoNT est une métalloprotéase à zinc qui, selon le toxinotype, clivent une ou deux des protéines VAMP synaptobrévine, SNAP25 ou syntaxine. Comme ces trois protéines interviennent dans le processus de fusion des vésicules synaptiques avec la membrane plasmique, leur clivage provoque l'inhibition de l'exocytose d'acétylcholine. La durée du blocage de la neurotransmission cholinergique dépend de la rémanence des neurotoxines dansles neurones, de la vitesse de remplacement des protéines qu'elles ont altérées et de la mise en place temporaire de nouvelles terminaisons nerveuses qui sont rétractées après que la plaque motrice originelle a retrouvé sa pleine fonctionnalité.
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Exclu du prêtMouvements anormaux et toxine botulique en neurologie / S. Sangla in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Mouvements anormaux et toxine botulique en neurologie Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Sangla ; BOURDAIN F. ; GALLOUEDEC G. ; TROCELLO J. M. ; VIDAILHET M. ; VIDAL J. S. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 307-311 Résumé : Introduction.-La toxine botulique n'est utilisée en thérapeutique que depuis une vingtaine d'années, mais ses indications se sont développées au fil du temps. Nous rapportons les indications neurologiques du produit. Méthode.-Nous avons procédé à une analyse de la littérature internationale entre 1973 et 2002 en interrogeant Medline. Résultat.-Nous avons sélectionné les articles les plus pertinents pour illustrer notre propos, les indications de la toxine botulique dans les mouvements anormaux. Discussion.-Nous avons passé en revue les différentes indications neurologiques de la toxine botulique en précisant celles dans le cadre de l'AMM, celles couramment pratiquées et nous rapportons les résultats obtenus dans les différentes séries à la lumière de notre expérience. Conclusion.-La toxine botulique est un traitement symptomatique qui a montré son efficacité dans de nombreuses pathologies et en particulier la dystonie focale de l'adulte dont elle est le traitement de première intention. Elle est également un bon complément thérapeutique dans d'autres pathologies neurologiques comme le spasme hémifacial et les tremblements.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 307-311[article] Mouvements anormaux et toxine botulique en neurologie [texte imprimé] / S. Sangla ; BOURDAIN F. ; GALLOUEDEC G. ; TROCELLO J. M. ; VIDAILHET M. ; VIDAL J. S. . - 2003 . - p. 307-311.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 307-311
Résumé : Introduction.-La toxine botulique n'est utilisée en thérapeutique que depuis une vingtaine d'années, mais ses indications se sont développées au fil du temps. Nous rapportons les indications neurologiques du produit. Méthode.-Nous avons procédé à une analyse de la littérature internationale entre 1973 et 2002 en interrogeant Medline. Résultat.-Nous avons sélectionné les articles les plus pertinents pour illustrer notre propos, les indications de la toxine botulique dans les mouvements anormaux. Discussion.-Nous avons passé en revue les différentes indications neurologiques de la toxine botulique en précisant celles dans le cadre de l'AMM, celles couramment pratiquées et nous rapportons les résultats obtenus dans les différentes séries à la lumière de notre expérience. Conclusion.-La toxine botulique est un traitement symptomatique qui a montré son efficacité dans de nombreuses pathologies et en particulier la dystonie focale de l'adulte dont elle est le traitement de première intention. Elle est également un bon complément thérapeutique dans d'autres pathologies neurologiques comme le spasme hémifacial et les tremblements.
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Exclu du prêtPeau, rides et toxine botulique / NICOLAU P. J. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Peau, rides et toxine botulique Type de document : texte imprimé Auteurs : NICOLAU P. J. ; CHAOUAT M. ; MIMOUN M Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 361-374 Résumé : Objectif.-Présenter une mise au point sur l'utilisation de la toxine botulique dans le traitement des plis et des rides du visage. Méthode.-Une revue de la littérature a été menée pour sélectionner les publications les plus récentes et les plus pertinentes. Les bases de donnée consultées ont été Medline. Résultats.-Sur 583 articles retrouvés, 90 ont été retenus pour cette étude. Discussion.-La validité de l'usage de la toxine est montrée, avec les contre-indications et les méthodes d'objectivation des résultats. Les différents types de toxine botulique disponibles, A et B, sont présentés et comparés. Les modes de préparation, d'utilisation, de conservation et d'élimination des déchets sont détaillés. Les bases anatomiques des équilibres musculaires en jeu sont revues, le mode d'utilisation, zone par zone, mais aussi selon les associations thérapeutiques, sont détaillés. Les complications sont précisées et analysées. La plupart des complications peuvent être évitées : par la connaissance parfaite de l'anatomie locale; par l'utilisation de faibles volumes; par l'orientation du biseau de l'aiguille vers le corps musculaire, par une injection en plein corps musculaire lorsqu'il est volumineux, très superficielle lorsqu'il est plat; par l'application de glace sur la peau en pré- et en post-injection. L'addition d'adrénaline ou la dilution à la xylocaïne adrénalinée n'est pas très employée. Les meilleurs résultats sont obtenus sur les muscles de la partie haute de la face. Ceux de la partie basse, responsables de rides dynamiques, animent la bouche et les joues. Leur paralysie, même partielle, a un retentissement beaucoup plus important sur le confort et sur les mouvements. Ces injections sont en général beaucoup moins bien tolérées que celles agissant uniquement sur les expressions faciales. Conclusion.-La toxine botulique s'est imposée comme un des éléments majeurs de l'arsenal thérapeutique. Son efficacité dans le vieillissement facial l'a rendue rapidement très populaire, mais son utilisation obéit à des règles strictes et doit être réservée à des praticiens parfaitement formés.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 361-374[article] Peau, rides et toxine botulique [texte imprimé] / NICOLAU P. J. ; CHAOUAT M. ; MIMOUN M . - 2003 . - p. 361-374.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 361-374
Résumé : Objectif.-Présenter une mise au point sur l'utilisation de la toxine botulique dans le traitement des plis et des rides du visage. Méthode.-Une revue de la littérature a été menée pour sélectionner les publications les plus récentes et les plus pertinentes. Les bases de donnée consultées ont été Medline. Résultats.-Sur 583 articles retrouvés, 90 ont été retenus pour cette étude. Discussion.-La validité de l'usage de la toxine est montrée, avec les contre-indications et les méthodes d'objectivation des résultats. Les différents types de toxine botulique disponibles, A et B, sont présentés et comparés. Les modes de préparation, d'utilisation, de conservation et d'élimination des déchets sont détaillés. Les bases anatomiques des équilibres musculaires en jeu sont revues, le mode d'utilisation, zone par zone, mais aussi selon les associations thérapeutiques, sont détaillés. Les complications sont précisées et analysées. La plupart des complications peuvent être évitées : par la connaissance parfaite de l'anatomie locale; par l'utilisation de faibles volumes; par l'orientation du biseau de l'aiguille vers le corps musculaire, par une injection en plein corps musculaire lorsqu'il est volumineux, très superficielle lorsqu'il est plat; par l'application de glace sur la peau en pré- et en post-injection. L'addition d'adrénaline ou la dilution à la xylocaïne adrénalinée n'est pas très employée. Les meilleurs résultats sont obtenus sur les muscles de la partie haute de la face. Ceux de la partie basse, responsables de rides dynamiques, animent la bouche et les joues. Leur paralysie, même partielle, a un retentissement beaucoup plus important sur le confort et sur les mouvements. Ces injections sont en général beaucoup moins bien tolérées que celles agissant uniquement sur les expressions faciales. Conclusion.-La toxine botulique s'est imposée comme un des éléments majeurs de l'arsenal thérapeutique. Son efficacité dans le vieillissement facial l'a rendue rapidement très populaire, mais son utilisation obéit à des règles strictes et doit être réservée à des praticiens parfaitement formés.
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Exclu du prêtSclérose en plaques et toxine / LAMOTTE D. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Sclérose en plaques et toxine Type de document : texte imprimé Auteurs : LAMOTTE D. ; Philippe Thoumie Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 299-302 Résumé : Introduction.-L'objectif du travail était de procéder à une revue de la littérature pour déterminer les indications de la toxine botulique chez des patients atteints de sclérose en plaques. Méthode.-Nous avons procédé à une analyse de la littérature grâce à la base de données Medline au cours des 20 dernières années. Les articles présentant des études contrôlées en double aveugle ont été principalement retenus. Les mots clés étaient Multiple sclerosis, botulinum toxin, spasticity. Resultats.-Trente-sept articles ont été répertoriés, 6 articles ont été retenus selon nos critères. Les articles sélectionnés montrent principalement une utilisation de la toxine botulique dans la spasticité. Les critères d'évaluation principaux étaient le tonus musculaire, les spasmes, la douleur, l'amplitude active ou passive de l'articulation. Deux articles relatent l'efficacité de la toxine dans le nystagmus acquis et dans la paralysie d'une corde vocale. Discussion.-Cette revue montre que l'indication principale de la toxine dans la sclérose en plaques est la spasticité avec une bonne efficacité du traitement. Cependant les études contrôlées chez ces patients sont encore peu nombreuses. Les effets secondaires sont rares mais parfois on retrouve l'apparition d'une faiblesse musculaire faisant toujours discuter l'existence d'une poussée. Il faut tenir compte de ces effets et de leurs conséquences avant de proposer ce traitement. Conclusion.- La toxine botulique a une indication dans le traitement de la spasticité de ces patients. Cependant il faudrait plus d'études contrôlées incluant de nouveaux sites d'injections pour permettre de poser de bonnes indications thérapeutiques.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 299-302[article] Sclérose en plaques et toxine [texte imprimé] / LAMOTTE D. ; Philippe Thoumie . - 2003 . - p. 299-302.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 299-302
Résumé : Introduction.-L'objectif du travail était de procéder à une revue de la littérature pour déterminer les indications de la toxine botulique chez des patients atteints de sclérose en plaques. Méthode.-Nous avons procédé à une analyse de la littérature grâce à la base de données Medline au cours des 20 dernières années. Les articles présentant des études contrôlées en double aveugle ont été principalement retenus. Les mots clés étaient Multiple sclerosis, botulinum toxin, spasticity. Resultats.-Trente-sept articles ont été répertoriés, 6 articles ont été retenus selon nos critères. Les articles sélectionnés montrent principalement une utilisation de la toxine botulique dans la spasticité. Les critères d'évaluation principaux étaient le tonus musculaire, les spasmes, la douleur, l'amplitude active ou passive de l'articulation. Deux articles relatent l'efficacité de la toxine dans le nystagmus acquis et dans la paralysie d'une corde vocale. Discussion.-Cette revue montre que l'indication principale de la toxine dans la sclérose en plaques est la spasticité avec une bonne efficacité du traitement. Cependant les études contrôlées chez ces patients sont encore peu nombreuses. Les effets secondaires sont rares mais parfois on retrouve l'apparition d'une faiblesse musculaire faisant toujours discuter l'existence d'une poussée. Il faut tenir compte de ces effets et de leurs conséquences avant de proposer ce traitement. Conclusion.- La toxine botulique a une indication dans le traitement de la spasticité de ces patients. Cependant il faudrait plus d'études contrôlées incluant de nouveaux sites d'injections pour permettre de poser de bonnes indications thérapeutiques.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtSynapse neuromusculaire : mécanismes moléculaires de la libération vésiculaire de l'acétylcholine / GUIHENEUC P. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Synapse neuromusculaire : mécanismes moléculaires de la libération vésiculaire de l'acétylcholine Type de document : texte imprimé Auteurs : GUIHENEUC P. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 276-280 Résumé : La transmission du message d'excitation des neurones moteurs jusqu'aux fibres musculaires se fait par libération d'acétylcholine. Celle-ci est stockée dans la terminaison des motoneurones à l'intérieur de vésicules grâce à un transport dépendant d'une pompe à protons. L'augmentation de concentration du calcium intracellulaire entraîne la mobilisation d'une partie du stock de vésicules et leur arrimage à la paroi du motoneurone grâce à la formation d'un complexe Snare entre protéines de la membrane vésiculaire et protéines de la membrane plasmique. L'énergie et la régulation de ces phases sont assurées par de nombreuses enzymes et molécules chaperonnes. L'arrivée d'un potentiel d'action provoque l'ouverture de canaux calciques. L'étape ultime, directement liée à l'intrusion de calcium, est réalisée par la fusion des membranes vésiculaire et plasmique qui entraîne immédiatement l'expulsion de l'acétylcholine.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 276-280[article] Synapse neuromusculaire : mécanismes moléculaires de la libération vésiculaire de l'acétylcholine [texte imprimé] / GUIHENEUC P. . - 2003 . - p. 276-280.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 276-280
Résumé : La transmission du message d'excitation des neurones moteurs jusqu'aux fibres musculaires se fait par libération d'acétylcholine. Celle-ci est stockée dans la terminaison des motoneurones à l'intérieur de vésicules grâce à un transport dépendant d'une pompe à protons. L'augmentation de concentration du calcium intracellulaire entraîne la mobilisation d'une partie du stock de vésicules et leur arrimage à la paroi du motoneurone grâce à la formation d'un complexe Snare entre protéines de la membrane vésiculaire et protéines de la membrane plasmique. L'énergie et la régulation de ces phases sont assurées par de nombreuses enzymes et molécules chaperonnes. L'arrivée d'un potentiel d'action provoque l'ouverture de canaux calciques. L'étape ultime, directement liée à l'intrusion de calcium, est réalisée par la fusion des membranes vésiculaire et plasmique qui entraîne immédiatement l'expulsion de l'acétylcholine.
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Exclu du prêtToxine botulinique type A chez l'enfant : évaluation des indications à partir d'une revue de la littérature / BERTRAND H. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Toxine botulinique type A chez l'enfant : évaluation des indications à partir d'une revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : BERTRAND H. ; V. Forin Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 346-352 Résumé : Introduction.-L'objectif de ce travail est de procéder à une revue de la littérature pour déterminer les indications des injections de toxine botulique type A chez l'enfant. Méthode.-Nous avons procédé à une analyse de la littérature internationale portant sur les années 1990-2002 en interrogeant la banque de données Pubmed avec pour mots clés children, botulinum toxin. Résultats.-Deux cent quarante-huit articles ont été sélectionnés et 64 retenus. L'analyse de ces articles révèle plusieurs interrogations: quelle est la dose optimale, à quelle périodicité pratiquer les injections, à quel âge traiter pour obtenir une efficacité prolongée. Le critère principal de jugement est l'amélioration fonctionnelle. Les effets secondaires notables sont inexistants. L'utilisation principale de la toxine est rapportée dans le traitement de la spasticité du membre inférieur des infirmités motrices cérébrales. Discussion.-Cette revue de la littérature permet de préciser les intérêts et les limites de l'utilisation de la toxine botulique chez l'enfant. Son efficacité au membre supérieur n'est pas prouvée. Les autres indications restent à étudier de manière plus précise. Conclusion.-Ce travail rapporte l'existence de nombreuses études concernant les indications de la toxine botulinique. L'indication essentielle rapportée concerne le membre inférieur de l'enfant infirme moteur cérébral sans pour autant exclure les autres possibilités thérapeutiques. Des études prospectives, en double aveugle avec des cohortes suffisamment importantes restent à mener.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 346-352[article] Toxine botulinique type A chez l'enfant : évaluation des indications à partir d'une revue de la littérature [texte imprimé] / BERTRAND H. ; V. Forin . - 2003 . - p. 346-352.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 346-352
Résumé : Introduction.-L'objectif de ce travail est de procéder à une revue de la littérature pour déterminer les indications des injections de toxine botulique type A chez l'enfant. Méthode.-Nous avons procédé à une analyse de la littérature internationale portant sur les années 1990-2002 en interrogeant la banque de données Pubmed avec pour mots clés children, botulinum toxin. Résultats.-Deux cent quarante-huit articles ont été sélectionnés et 64 retenus. L'analyse de ces articles révèle plusieurs interrogations: quelle est la dose optimale, à quelle périodicité pratiquer les injections, à quel âge traiter pour obtenir une efficacité prolongée. Le critère principal de jugement est l'amélioration fonctionnelle. Les effets secondaires notables sont inexistants. L'utilisation principale de la toxine est rapportée dans le traitement de la spasticité du membre inférieur des infirmités motrices cérébrales. Discussion.-Cette revue de la littérature permet de préciser les intérêts et les limites de l'utilisation de la toxine botulique chez l'enfant. Son efficacité au membre supérieur n'est pas prouvée. Les autres indications restent à étudier de manière plus précise. Conclusion.-Ce travail rapporte l'existence de nombreuses études concernant les indications de la toxine botulinique. L'indication essentielle rapportée concerne le membre inférieur de l'enfant infirme moteur cérébral sans pour autant exclure les autres possibilités thérapeutiques. Des études prospectives, en double aveugle avec des cohortes suffisamment importantes restent à mener.
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Exclu du prêtToxine botulique A et douleurs musculosquelettiques / BARAT M. ; DEHAIL P. ; Pierre-Alain Joseph ; B. Lavignolle ; J. M. MAZAUX ; Mathieu de Sèze in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Toxine botulique A et douleurs musculosquelettiques Type de document : texte imprimé Auteurs : BARAT M. ; DEHAIL P. ; Pierre-Alain Joseph ; B. Lavignolle ; J. M. MAZAUX ; Mathieu de Sèze Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 329-332 Résumé : Les propriétés myorelaxantes de la toxine botulique A (TBA), corroborées par les résultats encourageants des premiers travaux témoignant de l'action antalgique des injections topiques de TBA chez des patients souffrant de dystonie ou de spasticité focale, ont suggéré la pertinence du recours aux injections de TBA dans l'arsenal thérapeutique des douleurs musculosquelettiques. L'objectif de cet article est de faire une mise au point sur les différentes indications antalgiques des injections de TBA proposées dans le domaine des maladies musculosquelettiques. Méthode.-Nous avons procédé à une analyse de la littérature internationale en interrogeant la banque de données Medline avec pour mots clés toxine et douleur. Seuls les essais cliniques ont été retenus. Résultats.-Trois cent dix-sept articles ont ainsi été sélectionnés, comprenant 12 essais cliniques sur le traitement des douleurs musculosquelettiques. Ils sont consacrés à 4 indications thérapeutiques de pathologies chroniques, cervicalgie, syndrome du piriforme, épicondylite et lombalgie. Les résultats des 6 études portant sur les cervicalgies chroniques sont contradictoires et soulignent la difficulté de mettre en évidence une action antalgique satisfaisante de la TBA dans cette pathologie. Les résultats des essais cliniques concernant les autres indications (épicondylite, syndrome du Piriforme et lombalgie) semblent positifs et cliniquement pertinents. Discussion.-L'effet antalgique de la TBA semble conditionné par la participation d'un surmenage tendineux ou d'un dysfonctionnement musculaire à l'origine de la douleur chronique. Conclusion.-Les premières données concernant l'utilisation de la TBA dans les douleurs musculosquelettiques sont encore pauvres et contradictoires et méritent d'être précisées.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 329-332[article] Toxine botulique A et douleurs musculosquelettiques [texte imprimé] / BARAT M. ; DEHAIL P. ; Pierre-Alain Joseph ; B. Lavignolle ; J. M. MAZAUX ; Mathieu de Sèze . - 2003 . - p. 329-332.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 329-332
Résumé : Les propriétés myorelaxantes de la toxine botulique A (TBA), corroborées par les résultats encourageants des premiers travaux témoignant de l'action antalgique des injections topiques de TBA chez des patients souffrant de dystonie ou de spasticité focale, ont suggéré la pertinence du recours aux injections de TBA dans l'arsenal thérapeutique des douleurs musculosquelettiques. L'objectif de cet article est de faire une mise au point sur les différentes indications antalgiques des injections de TBA proposées dans le domaine des maladies musculosquelettiques. Méthode.-Nous avons procédé à une analyse de la littérature internationale en interrogeant la banque de données Medline avec pour mots clés toxine et douleur. Seuls les essais cliniques ont été retenus. Résultats.-Trois cent dix-sept articles ont ainsi été sélectionnés, comprenant 12 essais cliniques sur le traitement des douleurs musculosquelettiques. Ils sont consacrés à 4 indications thérapeutiques de pathologies chroniques, cervicalgie, syndrome du piriforme, épicondylite et lombalgie. Les résultats des 6 études portant sur les cervicalgies chroniques sont contradictoires et soulignent la difficulté de mettre en évidence une action antalgique satisfaisante de la TBA dans cette pathologie. Les résultats des essais cliniques concernant les autres indications (épicondylite, syndrome du Piriforme et lombalgie) semblent positifs et cliniquement pertinents. Discussion.-L'effet antalgique de la TBA semble conditionné par la participation d'un surmenage tendineux ou d'un dysfonctionnement musculaire à l'origine de la douleur chronique. Conclusion.-Les premières données concernant l'utilisation de la TBA dans les douleurs musculosquelettiques sont encore pauvres et contradictoires et méritent d'être précisées.
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Exclu du prêtToxine botulique et céphalées / O. SIMON in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Toxine botulique et céphalées Type de document : texte imprimé Auteurs : O. SIMON ; G. AMARENCO ; FAUCHER M. ; RAIBAUT P. ; SHEIK-ISMAEL S. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 312-318 Résumé : L'utilisation de la toxine botulique dans les céphalées est une technique récente. De plus en plus d'études lui sont consacrées. Cependant, malgré le nombre important d'études publiées, les résultats restent contradictoires. Il est en effet difficile de conclure à l'efficacité ou l'absence d'efficacité de cette technique actuellement étant donnée la disparité des études cliniques. Malgré tout, certains résultats sont encourageants et des études portant sur de grandes séries de patients doivent être entreprise. Dans cette revue, nous ferons un point sur les données physiopathologiques concernant l'effet que peut avoir la toxine botulique sur les douleurs. Nous ferons ensuite une revue des essais cliniques disponibles dans la littérature.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 312-318[article] Toxine botulique et céphalées [texte imprimé] / O. SIMON ; G. AMARENCO ; FAUCHER M. ; RAIBAUT P. ; SHEIK-ISMAEL S. . - 2003 . - p. 312-318.
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Résumé : L'utilisation de la toxine botulique dans les céphalées est une technique récente. De plus en plus d'études lui sont consacrées. Cependant, malgré le nombre important d'études publiées, les résultats restent contradictoires. Il est en effet difficile de conclure à l'efficacité ou l'absence d'efficacité de cette technique actuellement étant donnée la disparité des études cliniques. Malgré tout, certains résultats sont encourageants et des études portant sur de grandes séries de patients doivent être entreprise. Dans cette revue, nous ferons un point sur les données physiopathologiques concernant l'effet que peut avoir la toxine botulique sur les douleurs. Nous ferons ensuite une revue des essais cliniques disponibles dans la littérature.
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Exclu du prêtToxine botulique et paraplégie / BEN SMALL D. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Toxine botulique et paraplégie Type de document : texte imprimé Auteurs : BEN SMALL D. ; BUSSEL B. ; P. DENYS Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 296-298 Résumé : Objectif.-Réaliser une mise au point sur l'intérêt de la toxine botulique dans la prise en charge de la spasticité chez le blessé médullaire. Méthode.-Interrogation de la banque de donnée Medline (croisement des items spinal cord injure et botulinum toxin) et analyse des données obtenues à l'hôpital R. Poincaré à Garches au cours de l'année 2001. Résultats.-Seules trois (sur 25) références obtenues avaient pour objet l'effet de la toxine sur les muscles des membres chez les blessés médullaires et l'utilisation de cette thérapeutique chez ces patients est peu fréquente à Garches. Discussion.-Les indications de la toxine botulique sont moins rares lors de para- ou tétraplégies incomplètes (Asia C ou D) lorsque la spasticité provoque une gêne fonctionnelle focalisée que lors des atteintes complètes ou habituellement la spasticité et la gêne fonctionnelle qu'elle entraîne est plus diffuse. Les publications concernent exclusivement des observations uniques ou de très faibles séries.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 296-298[article] Toxine botulique et paraplégie [texte imprimé] / BEN SMALL D. ; BUSSEL B. ; P. DENYS . - 2003 . - p. 296-298.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 296-298
Résumé : Objectif.-Réaliser une mise au point sur l'intérêt de la toxine botulique dans la prise en charge de la spasticité chez le blessé médullaire. Méthode.-Interrogation de la banque de donnée Medline (croisement des items spinal cord injure et botulinum toxin) et analyse des données obtenues à l'hôpital R. Poincaré à Garches au cours de l'année 2001. Résultats.-Seules trois (sur 25) références obtenues avaient pour objet l'effet de la toxine sur les muscles des membres chez les blessés médullaires et l'utilisation de cette thérapeutique chez ces patients est peu fréquente à Garches. Discussion.-Les indications de la toxine botulique sont moins rares lors de para- ou tétraplégies incomplètes (Asia C ou D) lorsque la spasticité provoque une gêne fonctionnelle focalisée que lors des atteintes complètes ou habituellement la spasticité et la gêne fonctionnelle qu'elle entraîne est plus diffuse. Les publications concernent exclusivement des observations uniques ou de très faibles séries.
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Exclu du prêtToxine botulique et traumatisme crânien / DUPREY E. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Toxine botulique et traumatisme crânien Type de document : texte imprimé Auteurs : DUPREY E. ; ARNE P. ; BARAT M. ; CUNY E. ; DEHAIL P. ; Barbara Fernandez ; Pierre-Alain Joseph ; J. M. MAZAUX Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 303-306 Résumé : La toxine botulique est une thérapeutique de la spasticité focalisée en plein essor. Cet article a pour objet d'étudier les données de la littérature concernant son utilisation chez les patients traumatisés crâniens, dont les troubles de la motricité et du tonus sont caractérisés par un important polymorphisme tant sur le plan de l'expression clinique que sur le plan évolutif. Malgré la rareté des études portant spécifiquement sur cette indication et l'absence d'étude contrôlée, la toxine botulique semble avoir, comme dans d'autres indications, sa place dans le traitement de la spasticité focalisée chez les traumatisés crâniens. Elle peut avoir une influence favorable sur les capacités fonctionnelles et le confort de ces patients.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 303-306[article] Toxine botulique et traumatisme crânien [texte imprimé] / DUPREY E. ; ARNE P. ; BARAT M. ; CUNY E. ; DEHAIL P. ; Barbara Fernandez ; Pierre-Alain Joseph ; J. M. MAZAUX . - 2003 . - p. 303-306.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 303-306
Résumé : La toxine botulique est une thérapeutique de la spasticité focalisée en plein essor. Cet article a pour objet d'étudier les données de la littérature concernant son utilisation chez les patients traumatisés crâniens, dont les troubles de la motricité et du tonus sont caractérisés par un important polymorphisme tant sur le plan de l'expression clinique que sur le plan évolutif. Malgré la rareté des études portant spécifiquement sur cette indication et l'absence d'étude contrôlée, la toxine botulique semble avoir, comme dans d'autres indications, sa place dans le traitement de la spasticité focalisée chez les traumatisés crâniens. Elle peut avoir une influence favorable sur les capacités fonctionnelles et le confort de ces patients.
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Exclu du prêtToxines botuliques : utilisation pratique / DURAND A in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Toxines botuliques : utilisation pratique Type de document : texte imprimé Auteurs : DURAND A ; SERMENT G. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 386-388 Résumé : Les toxines botuliques sont des neurotoxines bactériennes ayant une action paralysante. Elles sont produites par différentes espèces de Clostridium, bactéries anaérobies strictes et sporulées. La toxine se fixe sur des récepteurs spécifiques situés sur les terminaisons nerveuses de nerfs moteurs. Après sa libération, elle provoque un blocage de la libération du neuromédiateur, l'acétylcholine. La toxine botulique A est utilisée pour traiter l'oculomotricité, le blépharospasme, l'hémispasme facial et le torticolis spasmodique, et la toxine botulique B, le torticolis. De nombreuses autres indications thérapeutiques sont proposées. La toxine botulique A est commercialisée sous les noms de Botox et Dysport et la toxine botulique B sous le nom de Neurobloc.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 386-388[article] Toxines botuliques : utilisation pratique [texte imprimé] / DURAND A ; SERMENT G. . - 2003 . - p. 386-388.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 386-388
Résumé : Les toxines botuliques sont des neurotoxines bactériennes ayant une action paralysante. Elles sont produites par différentes espèces de Clostridium, bactéries anaérobies strictes et sporulées. La toxine se fixe sur des récepteurs spécifiques situés sur les terminaisons nerveuses de nerfs moteurs. Après sa libération, elle provoque un blocage de la libération du neuromédiateur, l'acétylcholine. La toxine botulique A est utilisée pour traiter l'oculomotricité, le blépharospasme, l'hémispasme facial et le torticolis spasmodique, et la toxine botulique B, le torticolis. De nombreuses autres indications thérapeutiques sont proposées. La toxine botulique A est commercialisée sous les noms de Botox et Dysport et la toxine botulique B sous le nom de Neurobloc.
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Exclu du prêtTube digestif et toxine botulique / GAUDRIC M. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Tube digestif et toxine botulique Type de document : texte imprimé Auteurs : GAUDRIC M. ; CHAUSSADE S. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 353-360 Résumé : Introduction.-l'objectif de ce travail a été de faire la revue de la littérature concernant le traitement des dystonies digestives par la toxine botulique et de préciser les indications actuelles de ce traitement en s'appuyant sur les essais thérapeutiques contrôlés publiés. Méthode.-la sélection des articles a été faite en interrogeant la base de données Medline. Résultats.-soixante-douze articles en anglais ou en français et une revue générale de 2003 ont été retenus pour la rédaction de cette mise au point. Les essais thérapeutiques contrôlés ne concernent que l'achalasie et la fissure anale. Pour le traitement des autres maladies motrices de l'oesophage, des gastroparésies, des hypertonies du sphincter d'Oddi ou de l'anisme, les seules études sont des essais ouverts avec des critères de jugement cliniques. Discussion.-cette revue de la littérature montre l'efficacité et la très bonne tolérance de la toxine botulique pour le traitement de l'achalasie et de la fissure anale. La courte durée d'action est le principal inconvénient. Les études concernant les autres dystonies digestives reposent sur une physiopathologie incertaine et nécessitent d'être validées par des essais contrôlés. Conclusion.-la toxine botulique représente une voie thérapeutique intéressante dans les dystonies digestives. Son intérêt n'a toutefois été prouvé que dans deux indications: l'achalasie où elle a une place dans le traitement palliatif et les fissures anales dont elle peut permettre la guérison.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 353-360[article] Tube digestif et toxine botulique [texte imprimé] / GAUDRIC M. ; CHAUSSADE S. . - 2003 . - p. 353-360.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 353-360
Résumé : Introduction.-l'objectif de ce travail a été de faire la revue de la littérature concernant le traitement des dystonies digestives par la toxine botulique et de préciser les indications actuelles de ce traitement en s'appuyant sur les essais thérapeutiques contrôlés publiés. Méthode.-la sélection des articles a été faite en interrogeant la base de données Medline. Résultats.-soixante-douze articles en anglais ou en français et une revue générale de 2003 ont été retenus pour la rédaction de cette mise au point. Les essais thérapeutiques contrôlés ne concernent que l'achalasie et la fissure anale. Pour le traitement des autres maladies motrices de l'oesophage, des gastroparésies, des hypertonies du sphincter d'Oddi ou de l'anisme, les seules études sont des essais ouverts avec des critères de jugement cliniques. Discussion.-cette revue de la littérature montre l'efficacité et la très bonne tolérance de la toxine botulique pour le traitement de l'achalasie et de la fissure anale. La courte durée d'action est le principal inconvénient. Les études concernant les autres dystonies digestives reposent sur une physiopathologie incertaine et nécessitent d'être validées par des essais contrôlés. Conclusion.-la toxine botulique représente une voie thérapeutique intéressante dans les dystonies digestives. Son intérêt n'a toutefois été prouvé que dans deux indications: l'achalasie où elle a une place dans le traitement palliatif et les fissures anales dont elle peut permettre la guérison.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
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