Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur V. Leroy-Malherbe |
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Arguments pour dynamiser l’émergence de l’imagerie mentale auprès d’enfants porteurs de pathologies neurologiques centrales (2) / V. Leroy-Malherbe in Motricité cérébrale, Vol.38, n°2 (Juin 2017)
[article]
Titre : Arguments pour dynamiser l’émergence de l’imagerie mentale auprès d’enfants porteurs de pathologies neurologiques centrales (2) Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Leroy-Malherbe Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 41-49 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rééducation cognitive Imagerie mentale Plurihandicap Résumé : L’approche rééducative basée sur l’imagerie mentale ouvre un champ d’intervention ludique, dynamique et structurant pour les enfants, tout particulièrement s’ils sont porteurs d’une pathologie cognitive qui morcelle leur pensée. On évoquera comment orienter les perspectives rééducatives dans des problématiques où il faut constituer des représentations internes fiables pour l’enfant. L’épilepsie partielle ou la dyspraxie visuospatiale nous ont paru des situations où ces procédés ont de l’intérêt. Mais c’est dans le plurihandicap pour lequel les rééducations traditionnelles sont mises à mal que ce procédé d’intervention nous a paru une approche à faire connaître. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50076
in Motricité cérébrale > Vol.38, n°2 (Juin 2017) . - p. 41-49[article] Arguments pour dynamiser l’émergence de l’imagerie mentale auprès d’enfants porteurs de pathologies neurologiques centrales (2) [texte imprimé] / V. Leroy-Malherbe . - 2017 . - p. 41-49.
Langues : Français (fre)
in Motricité cérébrale > Vol.38, n°2 (Juin 2017) . - p. 41-49
Mots-clés : Rééducation cognitive Imagerie mentale Plurihandicap Résumé : L’approche rééducative basée sur l’imagerie mentale ouvre un champ d’intervention ludique, dynamique et structurant pour les enfants, tout particulièrement s’ils sont porteurs d’une pathologie cognitive qui morcelle leur pensée. On évoquera comment orienter les perspectives rééducatives dans des problématiques où il faut constituer des représentations internes fiables pour l’enfant. L’épilepsie partielle ou la dyspraxie visuospatiale nous ont paru des situations où ces procédés ont de l’intérêt. Mais c’est dans le plurihandicap pour lequel les rééducations traditionnelles sont mises à mal que ce procédé d’intervention nous a paru une approche à faire connaître. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50076 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLa déglutition chez le prématuré peut-elle être problématique ? / V. Leroy-Malherbe in Motricité cérébrale, Vol.35, n°4 (Décembre 2014)
[article]
Titre : La déglutition chez le prématuré peut-elle être problématique ? Titre original : Are there abnormalities in swallowing for premature babies? Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Leroy-Malherbe, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 103-117 Langues : Français (fre) Mots-clés : Déglutition Prématurité Réflexe physiologique d’inhibition respiratoire Résumé : In utero, la succion est l'un des premiers mouvements à apparaître et la déglutition est présente dès 15 semaines de grossesse (SG). Ce sont deux mouvements qui se déclenchent sous la dépendance du tronc cérébral et évoluent vers des coordinations motrices. La succion se mature entre 8–9 semaines et 14 semaines (mouvement consistant entre 22 et 24 SG) ; l’enchaînement succion-déglutition se mature entre 15 semaines et le terme (mouvement consistant entre 32 et 34 SG) ; ex utero, l’enchaînement succion-déglutition-respiration se mature entre 32 semaines et 6 mois post-natal (mouvement consistant vers 37 SG). La fonction succion-déglutition va continuer à se modifier de façon importante jusque trois ans, mettant en jeux un équipement musculaire fourni (26 muscles), un tronc cérébral et des commandes neurologiques précocement matures (dès 15 SG) et une interdépendance mère/enfant incontournable. Le prématuré n'a aucune raison de ne pas être équipé pour sucer ou déglutir dès lors qu'on respecte l’évolution naturelle de ces fonctions. Les différences physiologiques du prématuré d’avec le nouveau-né mature se situent essentiellement à deux niveaux : l’expertise motrice et « l’entraînement » nécessaires pour mouvoir la langue (17 muscles à coordonner !) et l'aspect particulier de la physiologie de la respiration du prématuré dans l'interaction avec la déglutition ou avec la coordination motrice des fonctions régulées par les noyaux du tronc cérébral en vue de l’ingurgitation des aliments. Le nouveau-né prématuré n'est pas à risque particulier de fausses routes ou de troubles de la déglutition et les recommandations actuelles sont de favoriser l’allaitement au sein dès que possible. Un trouble de la déglutition dans cette population fait rechercher trois types de circonstances.
Un non-respect de la physiologie du prématuré
Au terme du développement fœtal de la déglutition, l’étude de la physiologie du nouveau-né met en lumière trois grandes périodes clés qui sont incontournables et non transposables dans le temps sous peine de laisser des séquelles autour de l'alimentation : la période néonatale, la période de 4 mois, la période de 6 mois. En période néonatale, découverte radicale du milieu aérique chez un bébé dont la coordination succion/respiration n’est pas encore mature. La période de mise en place d'une physiologie particulière de la respiration en interaction avec l'alimentation s’instaure autour de 32 semaines de gestation et évolue jusqu’à 6 mois post-natal. La succion ne peut être efficace qu’à partir du moment où une certaine réciprocité avec la respiration s’établit, vers 32 semaines de gestation. C’est la date à partir de laquelle il est raisonnable d’essayer de nourrir le prématuré per os. L’expérience clinique situe cette période entre 34 semaines d’aménorrhée et 38 semaines d’aménorrhée. Le prématuré qui est alimenté per-os entre 30 semaines d’aménorrhée et 34 semaines d’aménorrhée, le fait en lapant à la tasse ou à la cuillère et non par succion nutritive. La période correspondant à un remaniement anatomique vers 4 mois, pendant lequel le carrefour aéro-digestif se constitue par la descente du larynx dans le pharynx ce qui instaure la découverte brutale du risque de fausses routes alors que tout se passait bien auparavant (dissociation automatico-volontaire avec aucun problème à l’âge des tétées et des fausses routes à l’âge du passage à la cuillère). Ce risque peut s’avérer majeur chez le bébé IMC qui souffre d'un mauvais contrôle des mouvements fins du péristaltisme lingual avec précipitation des aliments de façon incontrôlée vers l’arrière du pharynx. Si on s'en tient à l'analyse anatomique, avant 4 mois de vie extra-utérine, voie aérienne et voie alimentaire sont séparées et le bébé peut mécaniquement respirer et s'alimenter en même temps. Les interactions sont uniquement liées à des mécanismes physiologiques d'inhibition réciproque entre succion et respiration par les noyaux du bulbe, bien fonctionnels même à un âge de grande prématurité. À 6 mois, expérience incontournable de la variabilité des textures et des goûts pour une adaptation motrice optimisée. Les récepteurs au salé deviennent efficients. La boucle sensori-motrice sera définitivement désagrégée s'il y a des phénomènes douloureux à cette période de développement sensori-moteur optimal. La dysoralité en est la sanction avec retentissement sur le plaisir et l’harmonie autour de l’alimentation par réminiscence douloureuse très vive lorsqu’elle survient à cette période précise. Ce type de trouble est long et difficile à traiter.
Des malformations avec retentissement respiratoire
Une hernie diaphragmatique, même si elle est opérée précocement voire in utero, peut entraîner une dysoralité secondaire dont la physiopathologie n'est pas claire ; une fistule trachéo-œsophagienne se caractérise par une fausse route dès la première gorgée de liquide. La symptomatologie est présente dès la naissance. Elle peut malheureusement rester méconnue si le médecin n'est pas attiré par cette présentation pathognomonique. Elle peut n’être diagnostiquée que si le médecin se laisse guider par son opiniâtreté (test au bleu de méthylène avec endoscopie sous AG)
Des circonstances générales
La fatigue est pourvoyeuse de fausses routes, la coordination bucco-pharyngée nécessitant un minimum de vigilance ; une atteinte cardiaque peut retentir par le biais de la fatigue ou du fait de l'interaction entre la commande du rythme cardiaque et celle de la succion par les noyaux du tronc cérébral.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=36058
in Motricité cérébrale > Vol.35, n°4 (Décembre 2014) . - p. 103-117[article] La déglutition chez le prématuré peut-elle être problématique ? = Are there abnormalities in swallowing for premature babies? [texte imprimé] / V. Leroy-Malherbe, Auteur . - 2014 . - p. 103-117.
Langues : Français (fre)
in Motricité cérébrale > Vol.35, n°4 (Décembre 2014) . - p. 103-117
Mots-clés : Déglutition Prématurité Réflexe physiologique d’inhibition respiratoire Résumé : In utero, la succion est l'un des premiers mouvements à apparaître et la déglutition est présente dès 15 semaines de grossesse (SG). Ce sont deux mouvements qui se déclenchent sous la dépendance du tronc cérébral et évoluent vers des coordinations motrices. La succion se mature entre 8–9 semaines et 14 semaines (mouvement consistant entre 22 et 24 SG) ; l’enchaînement succion-déglutition se mature entre 15 semaines et le terme (mouvement consistant entre 32 et 34 SG) ; ex utero, l’enchaînement succion-déglutition-respiration se mature entre 32 semaines et 6 mois post-natal (mouvement consistant vers 37 SG). La fonction succion-déglutition va continuer à se modifier de façon importante jusque trois ans, mettant en jeux un équipement musculaire fourni (26 muscles), un tronc cérébral et des commandes neurologiques précocement matures (dès 15 SG) et une interdépendance mère/enfant incontournable. Le prématuré n'a aucune raison de ne pas être équipé pour sucer ou déglutir dès lors qu'on respecte l’évolution naturelle de ces fonctions. Les différences physiologiques du prématuré d’avec le nouveau-né mature se situent essentiellement à deux niveaux : l’expertise motrice et « l’entraînement » nécessaires pour mouvoir la langue (17 muscles à coordonner !) et l'aspect particulier de la physiologie de la respiration du prématuré dans l'interaction avec la déglutition ou avec la coordination motrice des fonctions régulées par les noyaux du tronc cérébral en vue de l’ingurgitation des aliments. Le nouveau-né prématuré n'est pas à risque particulier de fausses routes ou de troubles de la déglutition et les recommandations actuelles sont de favoriser l’allaitement au sein dès que possible. Un trouble de la déglutition dans cette population fait rechercher trois types de circonstances.
Un non-respect de la physiologie du prématuré
Au terme du développement fœtal de la déglutition, l’étude de la physiologie du nouveau-né met en lumière trois grandes périodes clés qui sont incontournables et non transposables dans le temps sous peine de laisser des séquelles autour de l'alimentation : la période néonatale, la période de 4 mois, la période de 6 mois. En période néonatale, découverte radicale du milieu aérique chez un bébé dont la coordination succion/respiration n’est pas encore mature. La période de mise en place d'une physiologie particulière de la respiration en interaction avec l'alimentation s’instaure autour de 32 semaines de gestation et évolue jusqu’à 6 mois post-natal. La succion ne peut être efficace qu’à partir du moment où une certaine réciprocité avec la respiration s’établit, vers 32 semaines de gestation. C’est la date à partir de laquelle il est raisonnable d’essayer de nourrir le prématuré per os. L’expérience clinique situe cette période entre 34 semaines d’aménorrhée et 38 semaines d’aménorrhée. Le prématuré qui est alimenté per-os entre 30 semaines d’aménorrhée et 34 semaines d’aménorrhée, le fait en lapant à la tasse ou à la cuillère et non par succion nutritive. La période correspondant à un remaniement anatomique vers 4 mois, pendant lequel le carrefour aéro-digestif se constitue par la descente du larynx dans le pharynx ce qui instaure la découverte brutale du risque de fausses routes alors que tout se passait bien auparavant (dissociation automatico-volontaire avec aucun problème à l’âge des tétées et des fausses routes à l’âge du passage à la cuillère). Ce risque peut s’avérer majeur chez le bébé IMC qui souffre d'un mauvais contrôle des mouvements fins du péristaltisme lingual avec précipitation des aliments de façon incontrôlée vers l’arrière du pharynx. Si on s'en tient à l'analyse anatomique, avant 4 mois de vie extra-utérine, voie aérienne et voie alimentaire sont séparées et le bébé peut mécaniquement respirer et s'alimenter en même temps. Les interactions sont uniquement liées à des mécanismes physiologiques d'inhibition réciproque entre succion et respiration par les noyaux du bulbe, bien fonctionnels même à un âge de grande prématurité. À 6 mois, expérience incontournable de la variabilité des textures et des goûts pour une adaptation motrice optimisée. Les récepteurs au salé deviennent efficients. La boucle sensori-motrice sera définitivement désagrégée s'il y a des phénomènes douloureux à cette période de développement sensori-moteur optimal. La dysoralité en est la sanction avec retentissement sur le plaisir et l’harmonie autour de l’alimentation par réminiscence douloureuse très vive lorsqu’elle survient à cette période précise. Ce type de trouble est long et difficile à traiter.
Des malformations avec retentissement respiratoire
Une hernie diaphragmatique, même si elle est opérée précocement voire in utero, peut entraîner une dysoralité secondaire dont la physiopathologie n'est pas claire ; une fistule trachéo-œsophagienne se caractérise par une fausse route dès la première gorgée de liquide. La symptomatologie est présente dès la naissance. Elle peut malheureusement rester méconnue si le médecin n'est pas attiré par cette présentation pathognomonique. Elle peut n’être diagnostiquée que si le médecin se laisse guider par son opiniâtreté (test au bleu de méthylène avec endoscopie sous AG)
Des circonstances générales
La fatigue est pourvoyeuse de fausses routes, la coordination bucco-pharyngée nécessitant un minimum de vigilance ; une atteinte cardiaque peut retentir par le biais de la fatigue ou du fait de l'interaction entre la commande du rythme cardiaque et celle de la succion par les noyaux du tronc cérébral.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=36058 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtL’enrichissement de l’imagerie mentale comme invitation au développement de la cognition / V. Leroy-Malherbe in Motricité cérébrale, Vol.38, n°1 (Mars 2017)
[article]
Titre : L’enrichissement de l’imagerie mentale comme invitation au développement de la cognition Titre original : Enrichment of mental imagery as invitation to the development of cognition Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Leroy-Malherbe Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 1-12 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rééducation neurocognitive Imagerie mentale Intégration sensorielle Symbolisme Résumé : L’imagerie mentale est une fonction cognitive qui intègre l’ensemble des informations sensorielles pour en dégager une représentation archétypale, universellement partagée, sous forme d’imagerie motrice ou bien d’imagerie visuelle. Elle est stimulée lors des activités d’imitation, de catégorisation, mais aussi d’utilisation de l’objet avec verbalisation des activités ainsi accomplies ou avec énonciation de l’organisation de l’action et surtout du but de l’acte. Elle se construit par la mise en lien des particularités sensorielles qui décrivent l’objet (mouvement, tact, bruit, position dans l’espace, relation au corps…). Cette activité cognitive est à la base d’une représentation créatrice, ancrée dans le réel et exprimée par le symbolisme. Elle relie de façon concordante perception et action, constituant un repère organisateur dans des pathologies qui déstructurent la continuité temporelle ou spatiale de l’action ou qui engendrent un hiatus entre le sujet et son environnement (épilepsie, dyspraxie visuo-spatiale, trouble de l’intégration sensorielle, dégradation pluri-sensorielle, stress majeur, par exemple). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=48262
in Motricité cérébrale > Vol.38, n°1 (Mars 2017) . - p. 1-12[article] L’enrichissement de l’imagerie mentale comme invitation au développement de la cognition = Enrichment of mental imagery as invitation to the development of cognition [texte imprimé] / V. Leroy-Malherbe . - 2017 . - p. 1-12.
Langues : Français (fre)
in Motricité cérébrale > Vol.38, n°1 (Mars 2017) . - p. 1-12
Mots-clés : Rééducation neurocognitive Imagerie mentale Intégration sensorielle Symbolisme Résumé : L’imagerie mentale est une fonction cognitive qui intègre l’ensemble des informations sensorielles pour en dégager une représentation archétypale, universellement partagée, sous forme d’imagerie motrice ou bien d’imagerie visuelle. Elle est stimulée lors des activités d’imitation, de catégorisation, mais aussi d’utilisation de l’objet avec verbalisation des activités ainsi accomplies ou avec énonciation de l’organisation de l’action et surtout du but de l’acte. Elle se construit par la mise en lien des particularités sensorielles qui décrivent l’objet (mouvement, tact, bruit, position dans l’espace, relation au corps…). Cette activité cognitive est à la base d’une représentation créatrice, ancrée dans le réel et exprimée par le symbolisme. Elle relie de façon concordante perception et action, constituant un repère organisateur dans des pathologies qui déstructurent la continuité temporelle ou spatiale de l’action ou qui engendrent un hiatus entre le sujet et son environnement (épilepsie, dyspraxie visuo-spatiale, trouble de l’intégration sensorielle, dégradation pluri-sensorielle, stress majeur, par exemple). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=48262 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtL’imagerie mentale : faits culturels dans l’écriture, la peinture et la poésie (3) / V. Leroy-Malherbe in Motricité cérébrale, Vol.38, n°3 (Septembre 2017)
[article]
Titre : L’imagerie mentale : faits culturels dans l’écriture, la peinture et la poésie (3) Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Leroy-Malherbe Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 87-97 Langues : Français (fre) Mots-clés : Culture Imagerie mentale Résumé : Au travers de l’histoire de l’écriture, de l’évolution de la peinture entre le Moyen-Âge et la Renaissance ou du choix de poèmes à forte composante multisensorielle, nous laissons le lecteur élargir des ressources culturelles à notre disposition pour développer l’imagerie mentale chez les enfants. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50081
in Motricité cérébrale > Vol.38, n°3 (Septembre 2017) . - p. 87-97[article] L’imagerie mentale : faits culturels dans l’écriture, la peinture et la poésie (3) [texte imprimé] / V. Leroy-Malherbe . - 2017 . - p. 87-97.
Langues : Français (fre)
in Motricité cérébrale > Vol.38, n°3 (Septembre 2017) . - p. 87-97
Mots-clés : Culture Imagerie mentale Résumé : Au travers de l’histoire de l’écriture, de l’évolution de la peinture entre le Moyen-Âge et la Renaissance ou du choix de poèmes à forte composante multisensorielle, nous laissons le lecteur élargir des ressources culturelles à notre disposition pour développer l’imagerie mentale chez les enfants. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50081 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPosture, équilibre et mouvement : rôle de la proprioception dans la verticalité / V. Leroy-Malherbe in Motricité cérébrale, Vol.39, n°1 (Mars 2018)
[article]
Titre : Posture, équilibre et mouvement : rôle de la proprioception dans la verticalité Titre original : Posture, balance and movement: The role of proprioception Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Leroy-Malherbe Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 4-12 Langues : Français (fre) Mots-clés : Bipédie Angle d’incidence Réflexe d’étirement Résumé : La position debout est le fruit d’adaptations anatomiques (tel l’angle d’incidence) et neurophysiologiques (tel le réflexe d’étirement). Ces faits de l’évolution des humanoïdes, comment les intégrons-nous dans nos décisions thérapeutiques pour le sujet paralysé cérébral ? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=57788
in Motricité cérébrale > Vol.39, n°1 (Mars 2018) . - p. 4-12[article] Posture, équilibre et mouvement : rôle de la proprioception dans la verticalité = Posture, balance and movement: The role of proprioception [texte imprimé] / V. Leroy-Malherbe . - 2018 . - p. 4-12.
Langues : Français (fre)
in Motricité cérébrale > Vol.39, n°1 (Mars 2018) . - p. 4-12
Mots-clés : Bipédie Angle d’incidence Réflexe d’étirement Résumé : La position debout est le fruit d’adaptations anatomiques (tel l’angle d’incidence) et neurophysiologiques (tel le réflexe d’étirement). Ces faits de l’évolution des humanoïdes, comment les intégrons-nous dans nos décisions thérapeutiques pour le sujet paralysé cérébral ? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=57788 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtÀ propos des troubles du développement du geste et dyspraxies de l’enfant / V. Leroy-Malherbe in Motricité cérébrale, vol. 32/3 (septembre 2011)
Permalink