Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur C. Kajetanek |
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Influence de la pente tibiale sur les ruptures itératives du LCA / C. Kajetanek in Journal de traumatologie du sport, Vol. 34, n°1 (Mars 2017)
[article]
Titre : Influence de la pente tibiale sur les ruptures itératives du LCA Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Kajetanek ; et al. Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 37-43 Langues : Français (fre) Mots-clés : Reconstruction du ligament croisé antérieur Ligament croisé antérieur Résumé : Introduction
La rupture du ligament croisé antérieur (LCA) est une pathologie fréquente. Parmi les facteurs de risque, une pente tibiale importante a été mise en avant. Le but de cette étude était de vérifier si cette relation était observée dans les ruptures itératives du LCA. Notre hypothèse était qu?une forte pente tibiale était un facteur de risque de re-rupture.
Matériels et méthodes
Entre 2000 et 2012, 386 ligamentoplasties aux ischio-jambiers ont été revues à 2 ans de recul. Au sein de ce groupe, 20 re-ruptures ont été identifiées (5,2 %). Ces patients, de 21±6,3 ans d?âge moyen, ont eu une goniométrie EOS 3D pour mesurer la pente tibiale médiale et latérale. Ces mesures ont été faites chez un groupe témoin comparatif de 22 patients opérés sans rupture itérative, au dernier recul (33,4 mois ; 28?37).
Résultats
La pente tibiale médiale (PTM) moyenne était significativement inférieure dans le groupe re-rupture (10,5°±3,3° vs 12,8°±2,7° ; p=0,02). Ceci entraînait une asymétrie de pente tibiale avec une PTL moyenne supérieure à la PTM dans le groupe re-rupture (delta=?0,52 vs +0,83). La pente tibiale latérale (PTL) moyenne ne présentait pas de différence entre les groupes (11°±3,4° vs 12°±3,4° ; p=0,30).
Conclusion
Cette étude a mis en évidence qu?une asymétrie de pente tibiale, liée à une PTM inférieure à la PTL, pouvait être facteur de risque de rupture itérative du LCA.
Étude cas-témoin
Niveau III.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=48159
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°1 (Mars 2017) . - p. 37-43[article] Influence de la pente tibiale sur les ruptures itératives du LCA [texte imprimé] / C. Kajetanek ; et al. . - 2017 . - p. 37-43.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°1 (Mars 2017) . - p. 37-43
Mots-clés : Reconstruction du ligament croisé antérieur Ligament croisé antérieur Résumé : Introduction
La rupture du ligament croisé antérieur (LCA) est une pathologie fréquente. Parmi les facteurs de risque, une pente tibiale importante a été mise en avant. Le but de cette étude était de vérifier si cette relation était observée dans les ruptures itératives du LCA. Notre hypothèse était qu?une forte pente tibiale était un facteur de risque de re-rupture.
Matériels et méthodes
Entre 2000 et 2012, 386 ligamentoplasties aux ischio-jambiers ont été revues à 2 ans de recul. Au sein de ce groupe, 20 re-ruptures ont été identifiées (5,2 %). Ces patients, de 21±6,3 ans d?âge moyen, ont eu une goniométrie EOS 3D pour mesurer la pente tibiale médiale et latérale. Ces mesures ont été faites chez un groupe témoin comparatif de 22 patients opérés sans rupture itérative, au dernier recul (33,4 mois ; 28?37).
Résultats
La pente tibiale médiale (PTM) moyenne était significativement inférieure dans le groupe re-rupture (10,5°±3,3° vs 12,8°±2,7° ; p=0,02). Ceci entraînait une asymétrie de pente tibiale avec une PTL moyenne supérieure à la PTM dans le groupe re-rupture (delta=?0,52 vs +0,83). La pente tibiale latérale (PTL) moyenne ne présentait pas de différence entre les groupes (11°±3,4° vs 12°±3,4° ; p=0,30).
Conclusion
Cette étude a mis en évidence qu?une asymétrie de pente tibiale, liée à une PTM inférieure à la PTL, pouvait être facteur de risque de rupture itérative du LCA.
Étude cas-témoin
Niveau III.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=48159 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPubalgie du sportif / M. Bouvard in EMC : Appareil locomoteur, Vol.34, n°2 (Avril 2020)
[article]
Titre : Pubalgie du sportif Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Bouvard ; C. Kajetanek ; O. Bonnefoy Année de publication : 2020 Article en page(s) : 14-323-A-10 [Tome 5] Note générale : Doi : 10.1016/S0246-0521(20)42144-8 Langues : Français (fre) Mots-clés : Pubalgie Adducteur Canal inguinal Symphyse pubienne Sport Résumé : La pubalgie du sportif est une maladie touchant toutes les structures locomotrices de la partie antérieure de la ceinture pelvienne. Sa distribution est universelle, presque exclusivement masculine. Il n'existe pas encore de consensus sur la nosologie et la prise en charge thérapeutique de la pubalgie. La maladie évolue le plus souvent sur un mode chronique d'installation progressive, mais il existe des formes aiguës, traumatiques. Le diagnostic de pubalgie du sportif n'est retenu qu'après élimination des nombreux diagnostics différentiels. Quatre formes anatomocliniques de pubalgie sont régulièrement intriquées : l'atteinte de la symphyse pubienne et de ses annexes ; les lésions de la partie basse des droits de l'abdomen, proche de leur insertion ; les lésions du corps et de l'insertion des adducteurs qui peuvent se compliquer d'un syndrome canalaire du nerf obturateur ; l'atteinte du canal inguinal par défaut de paroi et souffrance neurologique ilio-inguinale et ilio-hypogastrique. Deux examens cliniques dont un au décours d'une période d'effort débutent la stratégie diagnostique avant un bilan radiographique conventionnel. Le traitement initial est en règle générale médical, sur trois mois. Il débute par la prise en charge de la douleur puis par un programme personnalisé de rééducation compensant les points faibles du couple force-souplesse de la ceinture pelvienne et de la hanche. Dans un deuxième temps, le travail des qualités neurophysiologiques précède le réentraînement physique puis spécifique. Sous traitement, une évolution défavorable à trois mois doit remettre en cause le diagnostic. La topographie des lésions est précisée par la réalisation d'un examen en imagerie par résonance magnétique (IRM). L'indication chirurgicale est portée si le canal inguinal est atteint avec ou sans participation d'un des secteurs tendineux. Dans les cas difficiles, la réalisation d'un bloc anesthésique contribue très utilement au diagnostic. Cinquante (forme canalaire isolée) à 150 jours (forme associée) sont en moyenne nécessaires au retour à la compétition après chirurgie. La prévention primaire et secondaire influence le pronostic à long terme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93080
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°2 (Avril 2020) . - 14-323-A-10 [Tome 5][article] Pubalgie du sportif [texte imprimé] / M. Bouvard ; C. Kajetanek ; O. Bonnefoy . - 2020 . - 14-323-A-10 [Tome 5].
Doi : 10.1016/S0246-0521(20)42144-8
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°2 (Avril 2020) . - 14-323-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Pubalgie Adducteur Canal inguinal Symphyse pubienne Sport Résumé : La pubalgie du sportif est une maladie touchant toutes les structures locomotrices de la partie antérieure de la ceinture pelvienne. Sa distribution est universelle, presque exclusivement masculine. Il n'existe pas encore de consensus sur la nosologie et la prise en charge thérapeutique de la pubalgie. La maladie évolue le plus souvent sur un mode chronique d'installation progressive, mais il existe des formes aiguës, traumatiques. Le diagnostic de pubalgie du sportif n'est retenu qu'après élimination des nombreux diagnostics différentiels. Quatre formes anatomocliniques de pubalgie sont régulièrement intriquées : l'atteinte de la symphyse pubienne et de ses annexes ; les lésions de la partie basse des droits de l'abdomen, proche de leur insertion ; les lésions du corps et de l'insertion des adducteurs qui peuvent se compliquer d'un syndrome canalaire du nerf obturateur ; l'atteinte du canal inguinal par défaut de paroi et souffrance neurologique ilio-inguinale et ilio-hypogastrique. Deux examens cliniques dont un au décours d'une période d'effort débutent la stratégie diagnostique avant un bilan radiographique conventionnel. Le traitement initial est en règle générale médical, sur trois mois. Il débute par la prise en charge de la douleur puis par un programme personnalisé de rééducation compensant les points faibles du couple force-souplesse de la ceinture pelvienne et de la hanche. Dans un deuxième temps, le travail des qualités neurophysiologiques précède le réentraînement physique puis spécifique. Sous traitement, une évolution défavorable à trois mois doit remettre en cause le diagnostic. La topographie des lésions est précisée par la réalisation d'un examen en imagerie par résonance magnétique (IRM). L'indication chirurgicale est portée si le canal inguinal est atteint avec ou sans participation d'un des secteurs tendineux. Dans les cas difficiles, la réalisation d'un bloc anesthésique contribue très utilement au diagnostic. Cinquante (forme canalaire isolée) à 150 jours (forme associée) sont en moyenne nécessaires au retour à la compétition après chirurgie. La prévention primaire et secondaire influence le pronostic à long terme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93080 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire