Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Marc Lamande |
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BCGite après traitement endovésical d’un cancer de la vessie : une complication plus grave en gériatrie / Héliette Ripault-Cesbron in La revue de gériatrie, vol. 48, 1 (Janvier 2023)
[article]
Titre : BCGite après traitement endovésical d’un cancer de la vessie : une complication plus grave en gériatrie Type de document : texte imprimé Auteurs : Héliette Ripault-Cesbron ; Véronique Dardaine-Giraud ; Julie Biogeau ; Marc Lamande ; Philippe Lanotte ; Yann Venel ; Calyssa TREZY Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 47-52 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeurs de la vessie urinaire Tumeurs de la vessie urinaire / thérapie Résumé : Nous rapportons le cas d’un patient de 81 ans, hospitalisé pour altération de l’état général et fièvre. Dans ses antécédents, on note un carcinome urothélial de vessie non infiltrant la musculeuse, traité dix mois auparavant par résection transurétrale suivie de neuf instillations endovésicales de BCG. Une hémoculture et l’étude bactériologique des crachats sur milieu spécifique étaient positives à Mycobacterium bovis-BCG. La tomographie par émission de positons couplée à un scanner (TEP-scanner) a montré des foyers hypermétaboliques pulmonaire droit, ganglionnaires médiastinaux et abdomino-pelviens. Un traitement antituberculeux avait été mis en place, associé à une corticothérapie par voie orale devant une fièvre persistante. L’évolution a été favorable, avec récupération de l’autonomie antérieure. La BCGite est une complication rare, mais grave de la thérapie par le bacille de Calmette et Guérin (BCG). Elle doit être systématiquement recherchée devant une altération de l’état général, même tardive après la dernière instillation. Elle peut être localisée, le plus souvent à l’appareil urogénital, aux os ou aux vaisseaux, ou bien disséminée, fréquemment aux niveaux hépatique et pulmonaire. Les facteurs favorisants sont une infection urinaire et un cathétérisme traumatique lors du geste endoscopique. Le diagnostic repose sur la mise en évidence de la mycobactérie sur les principaux prélèvements bactériologiques ou sur l’existence d’un granulome sur un tissu atteint. Le traite ment comprend une trithérapie antituberculeuse pouvant être associée à une corticothérapie en cas de symptomatologie bruyante initiale. La chirurgie est parfois indiquée dans des formes localisées vasculaires ou osseuses. Le pronostic de l’infection est bon dans la majorité des cas, mais l’âge avancé, le caractère disséminé de l’infection et l’existence de localisations vasculaires sont des éléments péjoratifs. L’arrêt de la BCG-thérapie que la BCGite implique peut également être un élément pronostique défavorable en favorisant la progression tumorale vésicale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109367
in La revue de gériatrie > vol. 48, 1 (Janvier 2023) . - p. 47-52[article] BCGite après traitement endovésical d’un cancer de la vessie : une complication plus grave en gériatrie [texte imprimé] / Héliette Ripault-Cesbron ; Véronique Dardaine-Giraud ; Julie Biogeau ; Marc Lamande ; Philippe Lanotte ; Yann Venel ; Calyssa TREZY . - 2023 . - p. 47-52.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > vol. 48, 1 (Janvier 2023) . - p. 47-52
Mots-clés : Tumeurs de la vessie urinaire Tumeurs de la vessie urinaire / thérapie Résumé : Nous rapportons le cas d’un patient de 81 ans, hospitalisé pour altération de l’état général et fièvre. Dans ses antécédents, on note un carcinome urothélial de vessie non infiltrant la musculeuse, traité dix mois auparavant par résection transurétrale suivie de neuf instillations endovésicales de BCG. Une hémoculture et l’étude bactériologique des crachats sur milieu spécifique étaient positives à Mycobacterium bovis-BCG. La tomographie par émission de positons couplée à un scanner (TEP-scanner) a montré des foyers hypermétaboliques pulmonaire droit, ganglionnaires médiastinaux et abdomino-pelviens. Un traitement antituberculeux avait été mis en place, associé à une corticothérapie par voie orale devant une fièvre persistante. L’évolution a été favorable, avec récupération de l’autonomie antérieure. La BCGite est une complication rare, mais grave de la thérapie par le bacille de Calmette et Guérin (BCG). Elle doit être systématiquement recherchée devant une altération de l’état général, même tardive après la dernière instillation. Elle peut être localisée, le plus souvent à l’appareil urogénital, aux os ou aux vaisseaux, ou bien disséminée, fréquemment aux niveaux hépatique et pulmonaire. Les facteurs favorisants sont une infection urinaire et un cathétérisme traumatique lors du geste endoscopique. Le diagnostic repose sur la mise en évidence de la mycobactérie sur les principaux prélèvements bactériologiques ou sur l’existence d’un granulome sur un tissu atteint. Le traite ment comprend une trithérapie antituberculeuse pouvant être associée à une corticothérapie en cas de symptomatologie bruyante initiale. La chirurgie est parfois indiquée dans des formes localisées vasculaires ou osseuses. Le pronostic de l’infection est bon dans la majorité des cas, mais l’âge avancé, le caractère disséminé de l’infection et l’existence de localisations vasculaires sont des éléments péjoratifs. L’arrêt de la BCG-thérapie que la BCGite implique peut également être un élément pronostique défavorable en favorisant la progression tumorale vésicale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109367 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtUne lésion ombilicale à connaître : le nodule de Soeur Marie Joseph / Julie Biogeau in La revue de gériatrie, Tome 41 - N°5 (Mai 2016)
[article]
Titre : Une lésion ombilicale à connaître : le nodule de Soeur Marie Joseph Type de document : texte imprimé Auteurs : Julie Biogeau ; Marc Lamande Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 301-303 Langues : Français (fre) Mots-clés : Nodule de Soeur Marie-Joseph Métastase tumorale Adénocarcinome Ombilical Résumé : Nous rapportons le cas d?un nodule de S?ur Marie Joseph chez une patiente de 90 ans. Cette lésion correspond
à une métastase cutanée ombilicale de tumeurs abdominopelviennes, le plus souvent adénocarcinomateuses
d?origine digestive ou gynécologique. Révélant un cancer ou traduisant l?évolution d?un cancer connu, elle traduit un mauvais pronostic avec une survie moyenne au moment du diagnostic de 11 mois. Cette observation rappelle l?importance d?un examen clinique minutieux quel que soit l?âge, et la nécessité d?évoquer ce diagnostic devant toute lésion ombilicale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=45025
in La revue de gériatrie > Tome 41 - N°5 (Mai 2016) . - p. 301-303[article] Une lésion ombilicale à connaître : le nodule de Soeur Marie Joseph [texte imprimé] / Julie Biogeau ; Marc Lamande . - 2016 . - p. 301-303.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 41 - N°5 (Mai 2016) . - p. 301-303
Mots-clés : Nodule de Soeur Marie-Joseph Métastase tumorale Adénocarcinome Ombilical Résumé : Nous rapportons le cas d?un nodule de S?ur Marie Joseph chez une patiente de 90 ans. Cette lésion correspond
à une métastase cutanée ombilicale de tumeurs abdominopelviennes, le plus souvent adénocarcinomateuses
d?origine digestive ou gynécologique. Révélant un cancer ou traduisant l?évolution d?un cancer connu, elle traduit un mauvais pronostic avec une survie moyenne au moment du diagnostic de 11 mois. Cette observation rappelle l?importance d?un examen clinique minutieux quel que soit l?âge, et la nécessité d?évoquer ce diagnostic devant toute lésion ombilicale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=45025 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtRupture bilatérale spontanée des tendons quadricipitaux chez une patiente de 85 ans sous hydrocortisone au long cours / H. Ripault in La revue de gériatrie, Tome 44 - n°3 (Mars 2019)
[article]
Titre : Rupture bilatérale spontanée des tendons quadricipitaux chez une patiente de 85 ans sous hydrocortisone au long cours Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Ripault ; Camille Debacq ; Fanny Hennekine ; Marc Lamande ; Céline Lengelle ; Irène Léger Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 181-184 Langues : Français (fre) Résumé : RÉSUMÉ
Nous rapportons le cas de Mme D., 85 ans, hospitalisée dans les suites de deux chutes de sa hauteur à quinze jours d’intervalle, par dérobement des genoux. Cette patiente totalement autonome a comme principal antécédent un syndrome de Sheehan depuis plus de 40 ans.
Son traitement habituel associe lévothyroxine (50
#956;g/j), fludrocortisone (25 μg/j), hydrocortisone (20 mg/j), calcium
et vitamine D. À son arrivée aux urgences, le diagnostic de rupture bilatérale des tendons quadricipitaux est posé. La patiente bénéficie d’une prise en charge chirurgicale avec réinsertion bilatérale du tendon quadricipital.
Elle est immobilisée 3 mois, a pu reprendre une marche autonome au décours et regagner son domicile.
Les lésions du tendon quadricipital sont des affections rares du système extenseur du genou. Elles peuvent être
traumatiques, le plus souvent unilatérales, liées à la pratique de certains sports chez des sujets jeunes. Elles sont
parfois spontanées et bilatérales et surviennent généralement chez des patients plus âgés dans un contexte de
pathologies associées (diabète, obésité, polyarthrite rhumatoïde, lupus érythémateux disséminé, hyperparathyroïdie,
insuffisance rénale chronique, goutte, ostéomalacie) ou de iatrogénie (corticothérapie au long cours, infiltrations répétées de corticoïdes, quinolones, statines).
De façon exceptionnelle, aucune cause favorisante n’est authentifiée.
Le diagnostic est essentiellement clinique à la phase initiale, mais peut nécessiter le recours à l’échographie ou à l’Imagerie par résonnance magnétique (IRM) dans des cas plus complexes.
Le traitement est exclusivement chirurgical et peut donner d’excellents résultats fonctionnels, y compris chez la
personne âgée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78764
in La revue de gériatrie > Tome 44 - n°3 (Mars 2019) . - p. 181-184[article] Rupture bilatérale spontanée des tendons quadricipitaux chez une patiente de 85 ans sous hydrocortisone au long cours [texte imprimé] / H. Ripault ; Camille Debacq ; Fanny Hennekine ; Marc Lamande ; Céline Lengelle ; Irène Léger . - 2019 . - p. 181-184.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 44 - n°3 (Mars 2019) . - p. 181-184
Résumé : RÉSUMÉ
Nous rapportons le cas de Mme D., 85 ans, hospitalisée dans les suites de deux chutes de sa hauteur à quinze jours d’intervalle, par dérobement des genoux. Cette patiente totalement autonome a comme principal antécédent un syndrome de Sheehan depuis plus de 40 ans.
Son traitement habituel associe lévothyroxine (50
#956;g/j), fludrocortisone (25 μg/j), hydrocortisone (20 mg/j), calcium
et vitamine D. À son arrivée aux urgences, le diagnostic de rupture bilatérale des tendons quadricipitaux est posé. La patiente bénéficie d’une prise en charge chirurgicale avec réinsertion bilatérale du tendon quadricipital.
Elle est immobilisée 3 mois, a pu reprendre une marche autonome au décours et regagner son domicile.
Les lésions du tendon quadricipital sont des affections rares du système extenseur du genou. Elles peuvent être
traumatiques, le plus souvent unilatérales, liées à la pratique de certains sports chez des sujets jeunes. Elles sont
parfois spontanées et bilatérales et surviennent généralement chez des patients plus âgés dans un contexte de
pathologies associées (diabète, obésité, polyarthrite rhumatoïde, lupus érythémateux disséminé, hyperparathyroïdie,
insuffisance rénale chronique, goutte, ostéomalacie) ou de iatrogénie (corticothérapie au long cours, infiltrations répétées de corticoïdes, quinolones, statines).
De façon exceptionnelle, aucune cause favorisante n’est authentifiée.
Le diagnostic est essentiellement clinique à la phase initiale, mais peut nécessiter le recours à l’échographie ou à l’Imagerie par résonnance magnétique (IRM) dans des cas plus complexes.
Le traitement est exclusivement chirurgical et peut donner d’excellents résultats fonctionnels, y compris chez la
personne âgée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78764 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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