Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur M. Challali |
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Traumatismes du rachis cervical supérieur / F. de Peretti in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2012)
[article]
Titre : Traumatismes du rachis cervical supérieur Type de document : texte imprimé Auteurs : F. de Peretti ; M. Challali Année de publication : 2012 Article en page(s) : 15-825-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture Luxation Axis Atlas Odontoïde Résumé : Les fractures, luxations, entorses du rachis cervical supérieur ont la particularité, soit d'entraîner le décès immédiat du patient, soit d'être rencontrées chez des patients en général indemnes de troubles neurologiques. Ces lésions se rencontrent essentiellement chez les sujets âgés et la plus fréquente est la fracture de l'odontoïde. Ces lésions engagent le pronostic vital à cause du risque neurologique, des complications de décubitus chez les sujets âgés et des complications du traitement, qu'il soit orthopédique ou chirurgical. Il n'y a pas de consensus concernant la prise en charge de ces patients. Les fractures des arcs antérieur et postérieur de C1, des masses latérales de C1, les fractures isolées de l'arc postérieur de C1 et C2, les fractures verticales du corps de C2 sont en général traitées orthopédiquement. Les entorses du ligament transverse de C1, les rarissimes luxations occipitocervicales sur blessé vivant sont en général opérées. Les autres lésions, en particulier les fractures de l'odontoïde et des isthmes de C2, peuvent bénéficier d'un traitement chirurgical ou orthopédique. L'indication chirurgicale est en général retenue si la lésion paraît instable et que le sujet peut supporter l'intervention, si l'on veut instaurer un nursing précoce chez un polytraumatisé, etc. Chez les sujets âgés qui sont les plus fréquents, le dilemme est : doit-on opérer le patient pour éviter un traitement orthopédique contraignant ? Doit-on traiter orthopédiquement pour éviter le risque opératoire ? Le bon sens, l'expérience et les conditions locales vont orienter soit vers le traitement chirurgical, soit vers le traitement orthopédique. Pour ces raisons, il est nécessaire d'adresser ces patients dans un centre spécialisé. Note de contenu : Définition
Différentes lésions du rachis cervical supérieur
Lésions ligamentaires : entorse et luxation du rachis cervical supérieur
Fractures du rachis cervical supérieur
Lésions et traumatismes associés du rachis cervical supérieur
Prise en charge du blessé
Blessés conscients
Blessés confus
Imagerie par résonance magnétique
Données générales sur le traitement orthopédique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44091
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2012) . - 15-825-A-10 [Tome 6][article] Traumatismes du rachis cervical supérieur [texte imprimé] / F. de Peretti ; M. Challali . - 2012 . - 15-825-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2012) . - 15-825-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Fracture Luxation Axis Atlas Odontoïde Résumé : Les fractures, luxations, entorses du rachis cervical supérieur ont la particularité, soit d'entraîner le décès immédiat du patient, soit d'être rencontrées chez des patients en général indemnes de troubles neurologiques. Ces lésions se rencontrent essentiellement chez les sujets âgés et la plus fréquente est la fracture de l'odontoïde. Ces lésions engagent le pronostic vital à cause du risque neurologique, des complications de décubitus chez les sujets âgés et des complications du traitement, qu'il soit orthopédique ou chirurgical. Il n'y a pas de consensus concernant la prise en charge de ces patients. Les fractures des arcs antérieur et postérieur de C1, des masses latérales de C1, les fractures isolées de l'arc postérieur de C1 et C2, les fractures verticales du corps de C2 sont en général traitées orthopédiquement. Les entorses du ligament transverse de C1, les rarissimes luxations occipitocervicales sur blessé vivant sont en général opérées. Les autres lésions, en particulier les fractures de l'odontoïde et des isthmes de C2, peuvent bénéficier d'un traitement chirurgical ou orthopédique. L'indication chirurgicale est en général retenue si la lésion paraît instable et que le sujet peut supporter l'intervention, si l'on veut instaurer un nursing précoce chez un polytraumatisé, etc. Chez les sujets âgés qui sont les plus fréquents, le dilemme est : doit-on opérer le patient pour éviter un traitement orthopédique contraignant ? Doit-on traiter orthopédiquement pour éviter le risque opératoire ? Le bon sens, l'expérience et les conditions locales vont orienter soit vers le traitement chirurgical, soit vers le traitement orthopédique. Pour ces raisons, il est nécessaire d'adresser ces patients dans un centre spécialisé. Note de contenu : Définition
Différentes lésions du rachis cervical supérieur
Lésions ligamentaires : entorse et luxation du rachis cervical supérieur
Fractures du rachis cervical supérieur
Lésions et traumatismes associés du rachis cervical supérieur
Prise en charge du blessé
Blessés conscients
Blessés confus
Imagerie par résonance magnétique
Données générales sur le traitement orthopédique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44091 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Traumatismes récents du rachis cervical inférieur chez l'adulte / F. de Peretti in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2012)
[article]
Titre : Traumatismes récents du rachis cervical inférieur chez l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : F. de Peretti ; M. Challali Année de publication : 2012 Article en page(s) : 15-826-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Traumatisme du rachis cervical inférieur Moelle Fracture du rachis cervical inférieur Luxation du rachis cervical inférieur Hernie du rachis cervical inférieur Résumé : Les lésions du rachis cervical inférieur (RCI) sont dues à des vecteurs traumatiques multiples : compression, flexion, extension et rotation. On peut individualiser et classer les lésions corporéales, de l'arc postérieur, des disques et des ligaments en plusieurs entités qui doivent être parfaitement connues par les médecins susceptibles de prendre en charge ces patients. Le but de l'étude des lésions est d'apprécier : le déplacement, la compression neurologique, l'instabilité osseuse immédiate mais qui peut s'amender après consolidation, l'instabilité discoligamentaire qui peut être définitive. Les lésions médullaires sont fréquentes et peuvent être définitives. L'exploration standard fait appel à trois clichés : face, profil et bouche ouverte. L'iconographie standard doit être renouvelée à distance pour dépister les entorses graves. La tomodensitométrie est un examen de « dépistage » chez les polytraumatisés, de nécessité en cas de doute ou pour affiner un diagnostic posé. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) est surtout indiquée en cas de lésion médullaire. La prise en charge doit être la plus précoce en cas de lésion médullaire afin au moins de réduire et d'immobiliser une lésion traumatique compressive. Les modalités chirurgicales sont nombreuses et leur mise en œuvre dépend de l'expérience et de la formation du chirurgien. Il n'y a pas de traitement univoque et l'on ne peut pas dire qu'une voie antérieure ou postérieure est toujours préférable dans telle ou telle indication. L'étude de la littérature ne permet pas de dire que les lésions médullaires secondaires à des fractures ou des luxations réduites sont des indications de chirurgie en extrême urgence si la compression a été levée par manœuvre orthopédique. Il est néanmoins recommandé d'opérer ces patients dès qu'on le peut dans les meilleures conditions après avoir stabilisé les fonctions vitales. Les lésions médullaires sur rachis rétréci sans lésion traumatique osseuse ou discoligamentaire sont de plus en plus fréquentes vu le vieillissement de la population. Elles sont généralement traitées par la méthode fonctionnelle mais peuvent entraîner des indications secondaires de décompression. En cas de lésion médullaire, la corticothérapie à fortes doses n'a pas fait la preuve de son efficacité et expose le patient aux risques connus de ce traitement. Les patients sans trouble neurologique ont en général un bon résultat après traitement adapté. Les blessés médullaires incomplets avec persistance de bastions moteur et sensitif ont toutes les chances de remarcher après traitement adapté. L'imputabilité d'une hernie discale diagnostiquée à distance d'un traumatisme cervical ne peut être retenue que s'il y a une continuité clinique entre le traumatisme et le diagnostic. Le syndrome subjectif des traumatisés du rachis cervical peuple les cabinets d'expertise et est reconnu par les barèmes des assurances. Son existence réelle et surtout la cause de la symptomatologie sont diversement appréciées par une partie de la littérature. Note de contenu : Introduction
Mécanisme, anatomie et classification des lésions du rachis cervical inférieur
Vecteurs
Lésions par vecteur traumatique dominant en compression ou lésion du type A d'Argenson
Lésions par vecteur traumatique dominant en flexion ou type B d'Argenson
Lésions par vecteur traumatique dominant en extension ou lésion du type C d'Argenson
Lésions par vecteur traumatique rotatoire dominant ou lésions du type D d'Argenson
Hernies discales isolées symptomatiques post-traumatiques aiguës ou lésions du type E du symposium 2001
Autres lésions
Classification alphanumérique de l'AO
Classifications : conclusion
Lésions sur rachis ankylosé
Prise en charge des patients et conduite à tenir lors de la réception des blessés
Sur les lieux de l'accident
Traitement
Données générales sur le traitement orthopédique
Généralités sur le traitement chirurgical
Indications thérapeutiques
Résultats et séquelles
Traumatismes sans lésion traumatique sur l'iconographie et sans trouble neurologique
Déformations post-traumatiques
Séquelles des lésions sans trouble neurologique et sans cal vicieux
Lésions avec troubles neurologiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44092
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2012) . - 15-826-A-10 [Tome 7][article] Traumatismes récents du rachis cervical inférieur chez l'adulte [texte imprimé] / F. de Peretti ; M. Challali . - 2012 . - 15-826-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2012) . - 15-826-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Traumatisme du rachis cervical inférieur Moelle Fracture du rachis cervical inférieur Luxation du rachis cervical inférieur Hernie du rachis cervical inférieur Résumé : Les lésions du rachis cervical inférieur (RCI) sont dues à des vecteurs traumatiques multiples : compression, flexion, extension et rotation. On peut individualiser et classer les lésions corporéales, de l'arc postérieur, des disques et des ligaments en plusieurs entités qui doivent être parfaitement connues par les médecins susceptibles de prendre en charge ces patients. Le but de l'étude des lésions est d'apprécier : le déplacement, la compression neurologique, l'instabilité osseuse immédiate mais qui peut s'amender après consolidation, l'instabilité discoligamentaire qui peut être définitive. Les lésions médullaires sont fréquentes et peuvent être définitives. L'exploration standard fait appel à trois clichés : face, profil et bouche ouverte. L'iconographie standard doit être renouvelée à distance pour dépister les entorses graves. La tomodensitométrie est un examen de « dépistage » chez les polytraumatisés, de nécessité en cas de doute ou pour affiner un diagnostic posé. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) est surtout indiquée en cas de lésion médullaire. La prise en charge doit être la plus précoce en cas de lésion médullaire afin au moins de réduire et d'immobiliser une lésion traumatique compressive. Les modalités chirurgicales sont nombreuses et leur mise en œuvre dépend de l'expérience et de la formation du chirurgien. Il n'y a pas de traitement univoque et l'on ne peut pas dire qu'une voie antérieure ou postérieure est toujours préférable dans telle ou telle indication. L'étude de la littérature ne permet pas de dire que les lésions médullaires secondaires à des fractures ou des luxations réduites sont des indications de chirurgie en extrême urgence si la compression a été levée par manœuvre orthopédique. Il est néanmoins recommandé d'opérer ces patients dès qu'on le peut dans les meilleures conditions après avoir stabilisé les fonctions vitales. Les lésions médullaires sur rachis rétréci sans lésion traumatique osseuse ou discoligamentaire sont de plus en plus fréquentes vu le vieillissement de la population. Elles sont généralement traitées par la méthode fonctionnelle mais peuvent entraîner des indications secondaires de décompression. En cas de lésion médullaire, la corticothérapie à fortes doses n'a pas fait la preuve de son efficacité et expose le patient aux risques connus de ce traitement. Les patients sans trouble neurologique ont en général un bon résultat après traitement adapté. Les blessés médullaires incomplets avec persistance de bastions moteur et sensitif ont toutes les chances de remarcher après traitement adapté. L'imputabilité d'une hernie discale diagnostiquée à distance d'un traumatisme cervical ne peut être retenue que s'il y a une continuité clinique entre le traumatisme et le diagnostic. Le syndrome subjectif des traumatisés du rachis cervical peuple les cabinets d'expertise et est reconnu par les barèmes des assurances. Son existence réelle et surtout la cause de la symptomatologie sont diversement appréciées par une partie de la littérature. Note de contenu : Introduction
Mécanisme, anatomie et classification des lésions du rachis cervical inférieur
Vecteurs
Lésions par vecteur traumatique dominant en compression ou lésion du type A d'Argenson
Lésions par vecteur traumatique dominant en flexion ou type B d'Argenson
Lésions par vecteur traumatique dominant en extension ou lésion du type C d'Argenson
Lésions par vecteur traumatique rotatoire dominant ou lésions du type D d'Argenson
Hernies discales isolées symptomatiques post-traumatiques aiguës ou lésions du type E du symposium 2001
Autres lésions
Classification alphanumérique de l'AO
Classifications : conclusion
Lésions sur rachis ankylosé
Prise en charge des patients et conduite à tenir lors de la réception des blessés
Sur les lieux de l'accident
Traitement
Données générales sur le traitement orthopédique
Généralités sur le traitement chirurgical
Indications thérapeutiques
Résultats et séquelles
Traumatismes sans lésion traumatique sur l'iconographie et sans trouble neurologique
Déformations post-traumatiques
Séquelles des lésions sans trouble neurologique et sans cal vicieux
Lésions avec troubles neurologiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44092 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire