Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur D. Baron |
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Kystes synoviaux / D. Baron in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2008)
[article]
Titre : Kystes synoviaux Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Baron ; P. Le Goff Année de publication : 2008 Article en page(s) : 15-154-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : kystes synoviaux kystes mucoïdes kystes intraosseux Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44073
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2008) . - 15-154-A-10 [Tome 6][article] Kystes synoviaux [texte imprimé] / D. Baron ; P. Le Goff . - 2008 . - 15-154-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2008) . - 15-154-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : kystes synoviaux kystes mucoïdes kystes intraosseux Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44073 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Kystes synoviaux / D. Baron in EMC : Appareil locomoteur, vol.36 N°4 (Novembre 2022)
[article]
Titre : Kystes synoviaux Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Baron ; N. Issaadi Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 15-154-A-10 [Tome 6] Note générale : https://doi : 10.1016/S0246-0521(22)44707-3 Langues : Français (fre) Mots-clés : Kystes synoviaux Tumeurs bénignes Pseudokystes Résumé : Les kystes synoviaux sont d'une grande diversité. Schématiquement, ils appartiennent aux dystrophies et tumeurs bénignes de la synoviale. Ils forment un groupe de lésions disparates développées historiquement aux dépens du tissu synovial. Leur origine est discutée, l'évolution même du kyste peut voir disparaître les synoviocytes qui en sont la signature. Il est donc difficile de faire la différence, au sein des kystes juxta-articulaires, entre les kystes synoviaux purs et les autres sans synoviocytes, au premier rang desquels figurent les kystes mucoïdes. L'utilisation de techniques d'immunohistochimie a toutefois permis d'avancer dans ce domaine. La symptomatologie, habituellement bénigne, peut devenir plus grave dans certaines localisations, par compression vasculaire (en particulier veineuse au creux poplité) ou neurologique (au rachis, où il peut alors s'agir d'une compression radiculaire, à l'origine d'une éventuelle parésie). La compression de nerfs périphériques est aussi possible (nerf tibial postérieur en regard de l'articulation fibulotibiale supérieure). Le diagnostic, le plus souvent suspecté cliniquement, bénéficie des progrès de l'imagerie moderne permettant un diagnostic plus précoce, avec découverte de formations kystiques auparavant non visibles, parfois même asymptomatiques, posant alors la question de leur prise en charge. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108110
in EMC : Appareil locomoteur > vol.36 N°4 (Novembre 2022) . - p. 15-154-A-10 [Tome 6][article] Kystes synoviaux [texte imprimé] / D. Baron ; N. Issaadi . - 2022 . - p. 15-154-A-10 [Tome 6].
https://doi : 10.1016/S0246-0521(22)44707-3
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > vol.36 N°4 (Novembre 2022) . - p. 15-154-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Kystes synoviaux Tumeurs bénignes Pseudokystes Résumé : Les kystes synoviaux sont d'une grande diversité. Schématiquement, ils appartiennent aux dystrophies et tumeurs bénignes de la synoviale. Ils forment un groupe de lésions disparates développées historiquement aux dépens du tissu synovial. Leur origine est discutée, l'évolution même du kyste peut voir disparaître les synoviocytes qui en sont la signature. Il est donc difficile de faire la différence, au sein des kystes juxta-articulaires, entre les kystes synoviaux purs et les autres sans synoviocytes, au premier rang desquels figurent les kystes mucoïdes. L'utilisation de techniques d'immunohistochimie a toutefois permis d'avancer dans ce domaine. La symptomatologie, habituellement bénigne, peut devenir plus grave dans certaines localisations, par compression vasculaire (en particulier veineuse au creux poplité) ou neurologique (au rachis, où il peut alors s'agir d'une compression radiculaire, à l'origine d'une éventuelle parésie). La compression de nerfs périphériques est aussi possible (nerf tibial postérieur en regard de l'articulation fibulotibiale supérieure). Le diagnostic, le plus souvent suspecté cliniquement, bénéficie des progrès de l'imagerie moderne permettant un diagnostic plus précoce, avec découverte de formations kystiques auparavant non visibles, parfois même asymptomatiques, posant alors la question de leur prise en charge. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108110 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Rhumatisme à apatite / D. Baron in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2012)
[article]
Titre : Rhumatisme à apatite Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Baron ; S. Alasanne Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-272-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Hydroxyapatite Apatite Rhumatisme microcristallin Calcification Résumé : Le rhumatisme à apatite est caractérisé par des dépôts de microcristaux d'hydroxyapatite, soit extra-articulaires, à l'origine de fréquentes pathologies périarticulaires sous forme de poussées très aiguës, soit intra-articulaires, moins fréquents et moins bien reconnus, pouvant se manifester par une arthrite aiguë ou une arthropathie dégénérative chronique. Les deux entités périarticulaire et articulaire de cette pathologie microcristalline affectent le plus souvent l'épaule, mais bien d'autres sites peuvent en être atteints. Les dépôts peuvent être idiopathiques ou apparaître dans des contextes particuliers, tels qu'une insuffisance rénale avec hémodialyse, un diabète, des désordres hormonaux. Des facteurs génétiques semblent être impliqués. Des problèmes pathologiques peuvent être engendrés par l'utilisation des apatites dans la pose des prothèses. Des signes radiologiques peuvent orienter le diagnostic, en particulier dans des sites inhabituels, en association à un test de dépistage rapide reposant sur la coloration au rouge d'alizarine, non spécifique. Leur identification certaine repose sur des techniques chères de microscopie électronique ou de diffraction aux rayons X. D'autres techniques sont en voie de développement. Il n'existe pas de traitement étiologique du rhumatisme à apatite, mais le traitement symptomatique des poussées aiguës périarticulaires associe à des degrés divers les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les antalgiques, les infiltrations de corticoïdes, la ponction-aspiration-lavage. Dans les formes à localisations multiples, le produit phosphocalcique doit être diminué. Les arthropathies sévères nécessitent le recours à la chirurgie, alors le plus souvent prothétique. Note de contenu : Généralités
Historique
Pathogénie
Le RhAP est-il une entité propre ?
Origine génétique du RhAP
Fréquence. Facteurs favorisants
Les microcristaux de PCB sont-ils arthrogènes ?
Critères diagnostiques
Diagnostic différentiel
Formes cliniques
Épaule
Coude
Poignet et main
Hanche
Genou
Cheville, pied et orteils
Rachis
Sacrum et sacro-iliaques
Autres formes cliniques
Examens complémentaires
Radiologie conventionnelle
Autres examens
Pathologie apatitique dans les prothèses
Traitement
Traitement médical
Traitement local
Traitement chirurgical
Prise en charge particulière de formes localisées abarticulaires
Localisation intra-articulaire : arthropathie apatitique
Formes à localisations multiplesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43999
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-272-A-10 [Tome 5][article] Rhumatisme à apatite [texte imprimé] / D. Baron ; S. Alasanne . - 2012 . - 14-272-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-272-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Hydroxyapatite Apatite Rhumatisme microcristallin Calcification Résumé : Le rhumatisme à apatite est caractérisé par des dépôts de microcristaux d'hydroxyapatite, soit extra-articulaires, à l'origine de fréquentes pathologies périarticulaires sous forme de poussées très aiguës, soit intra-articulaires, moins fréquents et moins bien reconnus, pouvant se manifester par une arthrite aiguë ou une arthropathie dégénérative chronique. Les deux entités périarticulaire et articulaire de cette pathologie microcristalline affectent le plus souvent l'épaule, mais bien d'autres sites peuvent en être atteints. Les dépôts peuvent être idiopathiques ou apparaître dans des contextes particuliers, tels qu'une insuffisance rénale avec hémodialyse, un diabète, des désordres hormonaux. Des facteurs génétiques semblent être impliqués. Des problèmes pathologiques peuvent être engendrés par l'utilisation des apatites dans la pose des prothèses. Des signes radiologiques peuvent orienter le diagnostic, en particulier dans des sites inhabituels, en association à un test de dépistage rapide reposant sur la coloration au rouge d'alizarine, non spécifique. Leur identification certaine repose sur des techniques chères de microscopie électronique ou de diffraction aux rayons X. D'autres techniques sont en voie de développement. Il n'existe pas de traitement étiologique du rhumatisme à apatite, mais le traitement symptomatique des poussées aiguës périarticulaires associe à des degrés divers les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les antalgiques, les infiltrations de corticoïdes, la ponction-aspiration-lavage. Dans les formes à localisations multiples, le produit phosphocalcique doit être diminué. Les arthropathies sévères nécessitent le recours à la chirurgie, alors le plus souvent prothétique. Note de contenu : Généralités
Historique
Pathogénie
Le RhAP est-il une entité propre ?
Origine génétique du RhAP
Fréquence. Facteurs favorisants
Les microcristaux de PCB sont-ils arthrogènes ?
Critères diagnostiques
Diagnostic différentiel
Formes cliniques
Épaule
Coude
Poignet et main
Hanche
Genou
Cheville, pied et orteils
Rachis
Sacrum et sacro-iliaques
Autres formes cliniques
Examens complémentaires
Radiologie conventionnelle
Autres examens
Pathologie apatitique dans les prothèses
Traitement
Traitement médical
Traitement local
Traitement chirurgical
Prise en charge particulière de formes localisées abarticulaires
Localisation intra-articulaire : arthropathie apatitique
Formes à localisations multiplesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43999 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Rhumatismes à apatite / D. Baron in EMC : Appareil locomoteur, Vol.34, n°4 (Octobre 2020)
[article]
Titre : Rhumatismes à apatite Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Baron ; N. Velmans Année de publication : 2020 Article en page(s) : 14-272-A-10 [Tome 5] Note générale : Doi : 10.1016/S0246-0521(20)41589-X Langues : Français (fre) Mots-clés : Apatite Rhumatisme microcristallin Calcification Résumé : Le phénomène de calcification tissulaire est physiologique dans les os, mais est pathologique dans les autres tissus. Le rhumatisme à apatite (RhAP) est caractérisé par des dépôts de microcristaux d'apatite dans les tissus tant périarticulaires (la capsule, les ligaments et les tendons) qu'intra-articulaires (cartilage hyalin et fibrocartilage, synoviale). Cliniquement, le RhAP est à l'origine de poussées douloureuses très aiguës pour les localisations périarticulaires, alors qu'en intra-articulaire, elles sont moins fréquentes, moins reconnues, pouvant se manifester soit par une arthrite aiguë, soit par une arthropathie dégénérative chronique. Les deux entités de ce rhumatisme, périarticulaire et articulaire, affectent le plus souvent l'épaule, mais bien d'autres sites peuvent être atteints. Les dépôts peuvent être idiopathiques ou apparaître dans des contextes particuliers, tels qu'une insuffisance rénale chronique hémodialysée, un diabète ou des désordres hormonaux. Des facteurs génétiques semblent être impliqués. Des problèmes pathologiques peuvent être engendrés par l'utilisation des apatites dans la pose des prothèses (nous ne ferons que les citer, cette entité n'étant pas à proprement parlé un RhAP). Des signes radiologiques peuvent orienter le diagnostic, en particulier dans des sites inhabituels, en association à un test de dépistage rapide reposant sur la coloration au rouge d'alizarine, non spécifique. L'identification certaine des cristaux d'apatite repose sur des techniques de microscopie électronique ou de diffraction aux rayons X, peu accessibles en pratique courante. D'autres techniques sont en voie de développement (spectroscopie infrarouge transformée de Fourier [FTIR], spectroscopie Raman, microscopie à force atomique). Il n'existe pas de traitement étiologique du RhAP, mais le traitement symptomatique des poussées aiguës périarticulaires associe à des degrés divers les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les antalgiques, les infiltrations de corticoïdes, la ponction-aspiration-lavage. De nouveaux traitements ont toutefois été proposés, à confirmer. Dans les formes à localisations multiples, le produit phosphocalcique doit être diminué, ce qui peut se faire dans la calcinose tumorale des hémodialysés, par un produit Ca × P < 70, sachant qu'il n'existe pas de traitement optimal. Les arthropathies sévères nécessitent le recours à la chirurgie, alors le plus souvent prothétique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93091
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°4 (Octobre 2020) . - 14-272-A-10 [Tome 5][article] Rhumatismes à apatite [texte imprimé] / D. Baron ; N. Velmans . - 2020 . - 14-272-A-10 [Tome 5].
Doi : 10.1016/S0246-0521(20)41589-X
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°4 (Octobre 2020) . - 14-272-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Apatite Rhumatisme microcristallin Calcification Résumé : Le phénomène de calcification tissulaire est physiologique dans les os, mais est pathologique dans les autres tissus. Le rhumatisme à apatite (RhAP) est caractérisé par des dépôts de microcristaux d'apatite dans les tissus tant périarticulaires (la capsule, les ligaments et les tendons) qu'intra-articulaires (cartilage hyalin et fibrocartilage, synoviale). Cliniquement, le RhAP est à l'origine de poussées douloureuses très aiguës pour les localisations périarticulaires, alors qu'en intra-articulaire, elles sont moins fréquentes, moins reconnues, pouvant se manifester soit par une arthrite aiguë, soit par une arthropathie dégénérative chronique. Les deux entités de ce rhumatisme, périarticulaire et articulaire, affectent le plus souvent l'épaule, mais bien d'autres sites peuvent être atteints. Les dépôts peuvent être idiopathiques ou apparaître dans des contextes particuliers, tels qu'une insuffisance rénale chronique hémodialysée, un diabète ou des désordres hormonaux. Des facteurs génétiques semblent être impliqués. Des problèmes pathologiques peuvent être engendrés par l'utilisation des apatites dans la pose des prothèses (nous ne ferons que les citer, cette entité n'étant pas à proprement parlé un RhAP). Des signes radiologiques peuvent orienter le diagnostic, en particulier dans des sites inhabituels, en association à un test de dépistage rapide reposant sur la coloration au rouge d'alizarine, non spécifique. L'identification certaine des cristaux d'apatite repose sur des techniques de microscopie électronique ou de diffraction aux rayons X, peu accessibles en pratique courante. D'autres techniques sont en voie de développement (spectroscopie infrarouge transformée de Fourier [FTIR], spectroscopie Raman, microscopie à force atomique). Il n'existe pas de traitement étiologique du RhAP, mais le traitement symptomatique des poussées aiguës périarticulaires associe à des degrés divers les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les antalgiques, les infiltrations de corticoïdes, la ponction-aspiration-lavage. De nouveaux traitements ont toutefois été proposés, à confirmer. Dans les formes à localisations multiples, le produit phosphocalcique doit être diminué, ce qui peut se faire dans la calcinose tumorale des hémodialysés, par un produit Ca × P < 70, sachant qu'il n'existe pas de traitement optimal. Les arthropathies sévères nécessitent le recours à la chirurgie, alors le plus souvent prothétique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93091 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire