Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur M. Soubeyrand |
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Fractures des os du carpe (sauf scaphoïde) / C. Dumontier in EMC : Appareil locomoteur, (Juin 2013)
[article]
Titre : Fractures des os du carpe (sauf scaphoïde) Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Dumontier ; M. Soubeyrand ; S. Carmès Année de publication : 2013 Article en page(s) : 14-046-F-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture des os du carpe Imagerie scanner Triquetrum Hamatum Hamulus ossi hamatum Résumé : Les fractures isolées des os du carpe sont rares et de diagnostic difficile. Le scanner et/ou l'imagerie par résonance magnétique sont les examens complémentaires indispensables pour les dépister. Il faut se méfier des associations lésionnelles, et rechercher tout particulièrement les lésions carpométacarpiennes souvent méconnues lors des fractures des os de la deuxième rangée et les luxations intracarpiennes spontanément réduites. Le triquetrum est l'os du carpe le plus souvent fracturé (après le scaphoïde). Il s'agit en général d'une lésion par compression détachant un fragment postérieur. La fracture de l'hamulus est souvent méconnue, elle fait suite à un traumatisme souvent peu spectaculaire (traumatisme sportif avec un manche d'objet) et elle est souvent découverte au stade de pseudarthrose par des complications. Isolées, les fractures des os du carpe sont souvent non déplacées et leur traitement est volontiers orthopédique. Associées à d'autres lésions, le traitement est alors plus volontiers chirurgical. Note de contenu : Introduction
Fracture du lunatum
Fracture du triquetrum
Fracture du pisiforme
Fracture du trapèze
Fracture du trapézoïde
Fracture du capitatum
Fracture de l'hamatumPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43922
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2013) . - 14-046-F-10 [Tome 3][article] Fractures des os du carpe (sauf scaphoïde) [texte imprimé] / C. Dumontier ; M. Soubeyrand ; S. Carmès . - 2013 . - 14-046-F-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2013) . - 14-046-F-10 [Tome 3]
Mots-clés : Fracture des os du carpe Imagerie scanner Triquetrum Hamatum Hamulus ossi hamatum Résumé : Les fractures isolées des os du carpe sont rares et de diagnostic difficile. Le scanner et/ou l'imagerie par résonance magnétique sont les examens complémentaires indispensables pour les dépister. Il faut se méfier des associations lésionnelles, et rechercher tout particulièrement les lésions carpométacarpiennes souvent méconnues lors des fractures des os de la deuxième rangée et les luxations intracarpiennes spontanément réduites. Le triquetrum est l'os du carpe le plus souvent fracturé (après le scaphoïde). Il s'agit en général d'une lésion par compression détachant un fragment postérieur. La fracture de l'hamulus est souvent méconnue, elle fait suite à un traumatisme souvent peu spectaculaire (traumatisme sportif avec un manche d'objet) et elle est souvent découverte au stade de pseudarthrose par des complications. Isolées, les fractures des os du carpe sont souvent non déplacées et leur traitement est volontiers orthopédique. Associées à d'autres lésions, le traitement est alors plus volontiers chirurgical. Note de contenu : Introduction
Fracture du lunatum
Fracture du triquetrum
Fracture du pisiforme
Fracture du trapèze
Fracture du trapézoïde
Fracture du capitatum
Fracture de l'hamatumPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43922 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fractures des os du carpe (sauf scaphoïde) / C. Dumontier in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35 n°4 (Novembre 2021)
[article]
Titre : Fractures des os du carpe (sauf scaphoïde) Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Dumontier ; M. Soubeyrand ; S. Carmès Année de publication : 2021 Article en page(s) : 14-046F-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture des os du carpe Imagerie scanner Triquetrum Hamatum Hamulus ossi hamatum Résumé : Les fractures isolées des os du carpe, en dehors du scaphoïde, sont rares et de diagnostic difficile. Le scanner et/ou l'imagerie par résonance magnétique sont les examens complémentaires indispensables pour les dépister. Il faut se méfier des associations lésionnelles, et rechercher tout particulièrement les lésions carpométacarpiennes souvent méconnues lors des fractures des os de la deuxième rangée et les luxations intracarpiennes spontanément réduites dans les fractures des os de la première rangée. Le triquetrum est l'os du carpe le plus souvent fracturé (après le scaphoïde). Il s'agit en général d'une lésion par compression détachant un fragment postérieur. La fracture de l'hamulus est souvent méconnue, elle fait suite à un traumatisme souvent peu spectaculaire (traumatisme sportif avec un manche d'objet) et elle est découverte au stade de pseudarthrose par des complications tendineuses ou nerveuses. Isolées, les fractures des os du carpe sont souvent non déplacées et leur traitement est volontiers orthopédique. Lorsqu'elles sont associées à d'autres lésions, leur traitement est alors plus volontiers chirurgical. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98216
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35 n°4 (Novembre 2021) . - 14-046F-10 [Tome 3][article] Fractures des os du carpe (sauf scaphoïde) [texte imprimé] / C. Dumontier ; M. Soubeyrand ; S. Carmès . - 2021 . - 14-046F-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35 n°4 (Novembre 2021) . - 14-046F-10 [Tome 3]
Mots-clés : Fracture des os du carpe Imagerie scanner Triquetrum Hamatum Hamulus ossi hamatum Résumé : Les fractures isolées des os du carpe, en dehors du scaphoïde, sont rares et de diagnostic difficile. Le scanner et/ou l'imagerie par résonance magnétique sont les examens complémentaires indispensables pour les dépister. Il faut se méfier des associations lésionnelles, et rechercher tout particulièrement les lésions carpométacarpiennes souvent méconnues lors des fractures des os de la deuxième rangée et les luxations intracarpiennes spontanément réduites dans les fractures des os de la première rangée. Le triquetrum est l'os du carpe le plus souvent fracturé (après le scaphoïde). Il s'agit en général d'une lésion par compression détachant un fragment postérieur. La fracture de l'hamulus est souvent méconnue, elle fait suite à un traumatisme souvent peu spectaculaire (traumatisme sportif avec un manche d'objet) et elle est découverte au stade de pseudarthrose par des complications tendineuses ou nerveuses. Isolées, les fractures des os du carpe sont souvent non déplacées et leur traitement est volontiers orthopédique. Lorsqu'elles sont associées à d'autres lésions, leur traitement est alors plus volontiers chirurgical. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98216 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Luxations carpométacarpiennes / M. Ebelin in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2010)
[article]
Titre : Luxations carpométacarpiennes Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Ebelin ; M. Soubeyrand ; R. Idrissi Année de publication : 2010 Article en page(s) : 14-046-D-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Luxations carpométacarpiennes Luxation trapézométacarpienne Résumé : Les luxations carpométacarpiennes sont rares, notamment aux quatre doigts longs, et font suite à des traumatismes en règle violents du sujet jeune. Elles engagent le pronostic fonctionnel de la main, surtout pour la colonne du pouce où la mobilité carpométacarpienne est sollicitée quelle que soit la prise. La luxation traumatique trapézométacarpienne est le plus souvent postéroexterne. Son diagnostic, évoqué devant le type de traumatisme, l'impotence et la déformation du pouce, est confirmé par l'examen radiologique. À l'origine d'instabilité de la première colonne, elle est potentiellement génératrice de rhizarthrose. Le traitement d'une luxation fraîche est controversé entre le traitement orthopédique, la réparation chirurgicale et la Iigamentoplastie d'emblée, qui devient à terme incontournable dans les instabilités anciennes non arthrosiques. Pour les quatre doigts longs, on distingue les luxations spatulaires isolées, partielles et complètes où les lésions associées de type fracture-arrachement sont fréquentes. Dans les formes récentes, le diagnostic est le plus souvent radiographique et le traitement en urgence vise à réduire la luxation et à la stabiliser, au besoin par voie sanglante. Dans les formes anciennes symptomatiques, l'arthrodèse carpométacarpienne est la seule solution, sauf pour le cinquième rayon où des interventions de résection arthroplastique ou d'arthroplastie stabilisée ont été proposées pour préserver sa mobilité. Note de contenu : Introduction
Luxation trapézométacarpienne
Anatomie
Physiopathologie et classification
Formes récentes
Formes anciennes
Luxations carpométacarpiennes des doigts longs
Anatomie
Physiopathologie et classification
Formes récentes
Formes anciennes
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43921
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 14-046-D-10 [Tome 3][article] Luxations carpométacarpiennes [texte imprimé] / M. Ebelin ; M. Soubeyrand ; R. Idrissi . - 2010 . - 14-046-D-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 14-046-D-10 [Tome 3]
Mots-clés : Luxations carpométacarpiennes Luxation trapézométacarpienne Résumé : Les luxations carpométacarpiennes sont rares, notamment aux quatre doigts longs, et font suite à des traumatismes en règle violents du sujet jeune. Elles engagent le pronostic fonctionnel de la main, surtout pour la colonne du pouce où la mobilité carpométacarpienne est sollicitée quelle que soit la prise. La luxation traumatique trapézométacarpienne est le plus souvent postéroexterne. Son diagnostic, évoqué devant le type de traumatisme, l'impotence et la déformation du pouce, est confirmé par l'examen radiologique. À l'origine d'instabilité de la première colonne, elle est potentiellement génératrice de rhizarthrose. Le traitement d'une luxation fraîche est controversé entre le traitement orthopédique, la réparation chirurgicale et la Iigamentoplastie d'emblée, qui devient à terme incontournable dans les instabilités anciennes non arthrosiques. Pour les quatre doigts longs, on distingue les luxations spatulaires isolées, partielles et complètes où les lésions associées de type fracture-arrachement sont fréquentes. Dans les formes récentes, le diagnostic est le plus souvent radiographique et le traitement en urgence vise à réduire la luxation et à la stabiliser, au besoin par voie sanglante. Dans les formes anciennes symptomatiques, l'arthrodèse carpométacarpienne est la seule solution, sauf pour le cinquième rayon où des interventions de résection arthroplastique ou d'arthroplastie stabilisée ont été proposées pour préserver sa mobilité. Note de contenu : Introduction
Luxation trapézométacarpienne
Anatomie
Physiopathologie et classification
Formes récentes
Formes anciennes
Luxations carpométacarpiennes des doigts longs
Anatomie
Physiopathologie et classification
Formes récentes
Formes anciennes
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43921 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Luxations carpométacarpiennes / M. Soubeyrand in EMC : Appareil locomoteur, Vol.14, n°2 (Avril 2019)
[article]
Titre : Luxations carpométacarpiennes Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Soubeyrand ; T. Apard ; M. Crézé Année de publication : 2019 Article en page(s) : 14-046-D-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Luxation carpométacarpienne Luxation trapézométacarpienne Pouce Résumé : On distingue deux grands types de luxations carpométacarpiennes (CMC) : celles qui touchent les rayons des doigts longs (l'ensemble des doigts longs forme la spatule) et celles qui concernent la colonne du pouce. Ces lésions sont généralement la conséquence d'un traumatisme à haute énergie et il faut se méfier des lésions associées. La luxation peut être complète ou incomplète (subluxation). Ces lésions sont caractérisées par leur difficulté diagnostique et le risque de les méconnaître. En effet, la présentation clinique est dominée par un œdème très important tandis que les radiographies standards sont difficiles à analyser du fait de la complexité géométrique des interlignes CMC. C'est pourquoi il faut demander un examen tomodensitométrique (TDM) au moindre doute. Le traitement des formes aiguës est presque toujours chirurgical. Il associe une réduction et une fixation des rayons instables. La réduction se fait idéalement à ciel ouvert afin de s'assurer de la bonne qualité de réduction et de ne pas laisser persister une subluxation. La fixation se fait principalement par brochage transarticulaire (arthrorise) et/ou intermétacarpien selon un montage adapté à la configuration des lésions. Une arthrodèse peut être réalisée d'emblée en cas de destruction des surfaces articulaires. Le résultat fonctionnel des lésions prises en charge à temps et correctement est généralement très bon. Les luxations ou subluxations découvertes tardivement ne sont pas rares et nécessitent une prise en charge chirurgicale avec réduction et stabilisation. Au niveau de l'articulation trapézométacarpienne (ATM), qui est une articulation extrêmement mobile, il peut s'installer une instabilité chronique nécessitant une stabilisation par ligamentoplastie à condition que les surfaces articulaires restent correctes. Le risque évolutif des lésions trapézométacarpiennes est le développement d'une rhizarthrose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81915
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°2 (Avril 2019) . - 14-046-D-10 [Tome 3][article] Luxations carpométacarpiennes [texte imprimé] / M. Soubeyrand ; T. Apard ; M. Crézé . - 2019 . - 14-046-D-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.14, n°2 (Avril 2019) . - 14-046-D-10 [Tome 3]
Mots-clés : Luxation carpométacarpienne Luxation trapézométacarpienne Pouce Résumé : On distingue deux grands types de luxations carpométacarpiennes (CMC) : celles qui touchent les rayons des doigts longs (l'ensemble des doigts longs forme la spatule) et celles qui concernent la colonne du pouce. Ces lésions sont généralement la conséquence d'un traumatisme à haute énergie et il faut se méfier des lésions associées. La luxation peut être complète ou incomplète (subluxation). Ces lésions sont caractérisées par leur difficulté diagnostique et le risque de les méconnaître. En effet, la présentation clinique est dominée par un œdème très important tandis que les radiographies standards sont difficiles à analyser du fait de la complexité géométrique des interlignes CMC. C'est pourquoi il faut demander un examen tomodensitométrique (TDM) au moindre doute. Le traitement des formes aiguës est presque toujours chirurgical. Il associe une réduction et une fixation des rayons instables. La réduction se fait idéalement à ciel ouvert afin de s'assurer de la bonne qualité de réduction et de ne pas laisser persister une subluxation. La fixation se fait principalement par brochage transarticulaire (arthrorise) et/ou intermétacarpien selon un montage adapté à la configuration des lésions. Une arthrodèse peut être réalisée d'emblée en cas de destruction des surfaces articulaires. Le résultat fonctionnel des lésions prises en charge à temps et correctement est généralement très bon. Les luxations ou subluxations découvertes tardivement ne sont pas rares et nécessitent une prise en charge chirurgicale avec réduction et stabilisation. Au niveau de l'articulation trapézométacarpienne (ATM), qui est une articulation extrêmement mobile, il peut s'installer une instabilité chronique nécessitant une stabilisation par ligamentoplastie à condition que les surfaces articulaires restent correctes. Le risque évolutif des lésions trapézométacarpiennes est le développement d'une rhizarthrose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81915 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pathologie de la sternoclaviculaire / C. Dumontier in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2012)
[article]
Titre : Pathologie de la sternoclaviculaire Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Dumontier, Auteur ; M. Soubeyrand, Auteur ; S. Carmès, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-345-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Sternoclaviculaire Luxation Décollement épiphysaire Arthrose SAPHO Résumé : La sternoclaviculaire est la seule vraie articulation entre le tronc et le membre supérieur, et elle est à l'origine de la mobilité de la ceinture scapulaire. Bien que de petite taille, elle est très stable grâce à des ligaments puissants l'unissant également à la première côte. L'arthrose y est fréquente de même que l'atteinte rhumatoïde. Les infections y sont rares, cependant c'est une localisation particulière de la tuberculose. Certaines maladies encore mal connues (syndrome synovite, acné, pustulose palmoplantaire, hyperostose et ostéite [SAPHO], hyperostose, etc.) touchent plus particulièrement la sternoclaviculaire. Néanmoins, son atteinte reste dominée par les lésions traumatiques, notamment les luxations et les décollements épiphysaires qui peuvent se voir même tardivement, la physe ne fusionnant pas avant l'âge de 20 à 23 ans. Les luxations postérieures sont rares, mais leur taux de complications est élevé en raison de la proximité d'éléments anatomiques issus du thorax. Elles doivent être réduites et sont habituellement stables. A contrario, les luxations antérieures, plus fréquentes et présentant moins de complications, sont souvent instables après réduction. Quand elles sont mal tolérées, les luxations sont traitées chirurgicalement. Plusieurs techniques de ligamentoplastie ont été décrites pour lutter contre les contraintes mécaniques majeures de cette articulation. Note de contenu : Introduction
Rappel anatomique et physiologique
Anatomie
Physiologie
Dangers anatomiques
Imagerie
Pathologies non traumatiques de la sternoclaviculaire
Arthrose
Arthrite rhumatoïde
Arthrite septique
Subluxation antérieure atraumatique
Spondylarthropathies séronégatives
Hyperostose sternoclaviculaire
Ostéite condensante
Autres lésions
Lésions traumatiques de la sternoclaviculaire
Épidémiologie
Mécanisme lésionnel
Entorses sternoclaviculaires
Luxations sternoclaviculaires vues en urgence
Traitement
Traitement en urgence des luxations postérieures
Traitement en urgence des luxations antérieures
Luxations sternoclaviculaires vues secondairement
Clavicules flottantes
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44030
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2012) . - 14-345-A-10 [Tome 5][article] Pathologie de la sternoclaviculaire [texte imprimé] / C. Dumontier, Auteur ; M. Soubeyrand, Auteur ; S. Carmès, Auteur . - 2012 . - 14-345-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2012) . - 14-345-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Sternoclaviculaire Luxation Décollement épiphysaire Arthrose SAPHO Résumé : La sternoclaviculaire est la seule vraie articulation entre le tronc et le membre supérieur, et elle est à l'origine de la mobilité de la ceinture scapulaire. Bien que de petite taille, elle est très stable grâce à des ligaments puissants l'unissant également à la première côte. L'arthrose y est fréquente de même que l'atteinte rhumatoïde. Les infections y sont rares, cependant c'est une localisation particulière de la tuberculose. Certaines maladies encore mal connues (syndrome synovite, acné, pustulose palmoplantaire, hyperostose et ostéite [SAPHO], hyperostose, etc.) touchent plus particulièrement la sternoclaviculaire. Néanmoins, son atteinte reste dominée par les lésions traumatiques, notamment les luxations et les décollements épiphysaires qui peuvent se voir même tardivement, la physe ne fusionnant pas avant l'âge de 20 à 23 ans. Les luxations postérieures sont rares, mais leur taux de complications est élevé en raison de la proximité d'éléments anatomiques issus du thorax. Elles doivent être réduites et sont habituellement stables. A contrario, les luxations antérieures, plus fréquentes et présentant moins de complications, sont souvent instables après réduction. Quand elles sont mal tolérées, les luxations sont traitées chirurgicalement. Plusieurs techniques de ligamentoplastie ont été décrites pour lutter contre les contraintes mécaniques majeures de cette articulation. Note de contenu : Introduction
Rappel anatomique et physiologique
Anatomie
Physiologie
Dangers anatomiques
Imagerie
Pathologies non traumatiques de la sternoclaviculaire
Arthrose
Arthrite rhumatoïde
Arthrite septique
Subluxation antérieure atraumatique
Spondylarthropathies séronégatives
Hyperostose sternoclaviculaire
Ostéite condensante
Autres lésions
Lésions traumatiques de la sternoclaviculaire
Épidémiologie
Mécanisme lésionnel
Entorses sternoclaviculaires
Luxations sternoclaviculaires vues en urgence
Traitement
Traitement en urgence des luxations postérieures
Traitement en urgence des luxations antérieures
Luxations sternoclaviculaires vues secondairement
Clavicules flottantes
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44030 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire