Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur N. Bronsard |
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Cervicalgie commune et névralgies cervicobrachiales / C.H. Roux in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 2 (Avril 2016)
[article]
Titre : Cervicalgie commune et névralgies cervicobrachiales Type de document : texte imprimé Auteurs : C.H. Roux ; N. Bronsard Année de publication : 2016 Article en page(s) : 15-831-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Cervicalgie commune Névralgie cervicobrachiale (NCB) Torticolis Névralgie d'Arnold Arthrose cervicale Coup de fouet cervical Hernie discale cervicale Conflit radiculaire Traitement médical des cervicalgies communes Traitement médical des NCB Traitement chirurgical de la NCB Résumé : Dans les cervicalgies communes, aucune cause ou lésion avérée ne peut généralement être retenue. Très fréquentes, elles ont des conséquences financières importantes. Les progrès de la physiopathologie ont permis une meilleure compréhension de la symptomatologie et des connexions avec des manifestations à distance, que ce soit des céphalées, des pseudovertiges, des manifestations ophtalmologiques ou oto-rhino-laryngologiques (ORL), des douleurs référées. Le torticolis de l'adulte ou de l'enfant est un cas particulier avec de nombreuses étiologies. Les formes symptomatiques sont nombreuses, parfois de réalité discutable. Se placent ici : la névralgie d'Arnold, le syndrome de l'angulaire de l'omoplate, l'arthrose cervicale (association plutôt que cause), les formes post-traumatiques, rarement graves, dont le coup de fouet cervical, et des formes inquiétantes : tumorales, infectieuses, vasculaires, rhumatismes inflammatoires, etc. ; ainsi que d'autres plus bénignes : syndrome d'Eagle, syndrome de l'os hyoïde, syndrome cervicolingual, parfois impressionnantes en cas de pathologie microcristalline. L'imagerie répond au désir d'éliminer une cause grave ; elle doit être envisagée avec modération. Les difficultés diagnostiques sont multiples avec des affections locales ou distantes. Une multitude de traitements ont été proposés empiriquement, la plupart efficaces. La névralgie cervicobrachiale (NCB) comporte une douleur cervicale et une douleur de topographie radiculaire dans l'un ou les deux membres supérieurs. Les causes les plus fréquentes de la NCB commune sont la hernie discale cervicale, et surtout le conflit radiculaire consécutif à un rétrécissement dégénératif du foramen intervertébral avec une composante mécanique et une composante inflammatoire. La douleur est associée à des troubles objectifs sensitifs, moteurs et réflexes. Des radiographies du rachis cervical sont licites, alors qu'imagerie par résonance magnétique (IRM) et tomodensitométrie (TDM) doivent être limitées aux cas non résolutifs ou dans l'optique d'un acte invasif. L'exploration électrique est une aide pour le diagnostic différentiel qui se fait surtout avec des plexopathies et des neuropathies tronculaires, parfois avec une myélopathie cervicarthrosique. Les NCB symptomatiques, peu nombreuses, sont souvent des formes potentiellement graves, d'origine rachidienne ou intrarachidienne : traumatiques, tumorales plus souvent malignes que bénignes, infectieuses, rhumatismes inflammatoires, etc. Le traitement des NCB communes est avant tout médical : maintien si possible de l'activité, collier cervical, tractions vertébrales, acupuncture, antalgiques, anti-inflammatoires non stéroïdiens, myorelaxants, physiothérapie, kinésithérapie, etc. Manipulations et injections sont déconseillées. Le traitement chirurgical ne se conçoit qu'après échec d'un traitement médical bien conduit ou bien en cas d'indication de chirurgie en urgence. Note de contenu : Introduction
Cervicalgie commune
Cervicalgie commune
Cervicalgies symptomatiques
Imagerie
Diagnostic différentiel
Traitement
Névralgies cervicobrachiales
Névralgies cervicobrachiales communes
Névralgies cervicobrachiales symptomatiques
TraitementPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43461
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 15-831-A-10 [Tome 7][article] Cervicalgie commune et névralgies cervicobrachiales [texte imprimé] / C.H. Roux ; N. Bronsard . - 2016 . - 15-831-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 15-831-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Cervicalgie commune Névralgie cervicobrachiale (NCB) Torticolis Névralgie d'Arnold Arthrose cervicale Coup de fouet cervical Hernie discale cervicale Conflit radiculaire Traitement médical des cervicalgies communes Traitement médical des NCB Traitement chirurgical de la NCB Résumé : Dans les cervicalgies communes, aucune cause ou lésion avérée ne peut généralement être retenue. Très fréquentes, elles ont des conséquences financières importantes. Les progrès de la physiopathologie ont permis une meilleure compréhension de la symptomatologie et des connexions avec des manifestations à distance, que ce soit des céphalées, des pseudovertiges, des manifestations ophtalmologiques ou oto-rhino-laryngologiques (ORL), des douleurs référées. Le torticolis de l'adulte ou de l'enfant est un cas particulier avec de nombreuses étiologies. Les formes symptomatiques sont nombreuses, parfois de réalité discutable. Se placent ici : la névralgie d'Arnold, le syndrome de l'angulaire de l'omoplate, l'arthrose cervicale (association plutôt que cause), les formes post-traumatiques, rarement graves, dont le coup de fouet cervical, et des formes inquiétantes : tumorales, infectieuses, vasculaires, rhumatismes inflammatoires, etc. ; ainsi que d'autres plus bénignes : syndrome d'Eagle, syndrome de l'os hyoïde, syndrome cervicolingual, parfois impressionnantes en cas de pathologie microcristalline. L'imagerie répond au désir d'éliminer une cause grave ; elle doit être envisagée avec modération. Les difficultés diagnostiques sont multiples avec des affections locales ou distantes. Une multitude de traitements ont été proposés empiriquement, la plupart efficaces. La névralgie cervicobrachiale (NCB) comporte une douleur cervicale et une douleur de topographie radiculaire dans l'un ou les deux membres supérieurs. Les causes les plus fréquentes de la NCB commune sont la hernie discale cervicale, et surtout le conflit radiculaire consécutif à un rétrécissement dégénératif du foramen intervertébral avec une composante mécanique et une composante inflammatoire. La douleur est associée à des troubles objectifs sensitifs, moteurs et réflexes. Des radiographies du rachis cervical sont licites, alors qu'imagerie par résonance magnétique (IRM) et tomodensitométrie (TDM) doivent être limitées aux cas non résolutifs ou dans l'optique d'un acte invasif. L'exploration électrique est une aide pour le diagnostic différentiel qui se fait surtout avec des plexopathies et des neuropathies tronculaires, parfois avec une myélopathie cervicarthrosique. Les NCB symptomatiques, peu nombreuses, sont souvent des formes potentiellement graves, d'origine rachidienne ou intrarachidienne : traumatiques, tumorales plus souvent malignes que bénignes, infectieuses, rhumatismes inflammatoires, etc. Le traitement des NCB communes est avant tout médical : maintien si possible de l'activité, collier cervical, tractions vertébrales, acupuncture, antalgiques, anti-inflammatoires non stéroïdiens, myorelaxants, physiothérapie, kinésithérapie, etc. Manipulations et injections sont déconseillées. Le traitement chirurgical ne se conçoit qu'après échec d'un traitement médical bien conduit ou bien en cas d'indication de chirurgie en urgence. Note de contenu : Introduction
Cervicalgie commune
Cervicalgie commune
Cervicalgies symptomatiques
Imagerie
Diagnostic différentiel
Traitement
Névralgies cervicobrachiales
Névralgies cervicobrachiales communes
Névralgies cervicobrachiales symptomatiques
TraitementPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43461 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Ruptures extracotyloïdiennes de l'anneau pelvien chez l'adulte / R. Bernard de Dompsure in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 3 (Juillet 2016)
[article]
Titre : Ruptures extracotyloïdiennes de l'anneau pelvien chez l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Bernard de Dompsure ; B. Bugnas ; N. Bronsard Année de publication : 2016 Article en page(s) : 14-072-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Anneau pelvien Os coxal Sacrum Pubis Articulation sacro-iliaque Hémorragie Résumé : stables et bénignes jusqu'aux lésions instables menaçant la survie du patient. La bonne connaissance des rapports anatomiques de l'anneau pelvien ostéoligamentaire permet le bilan complet des lésions associées pour établir des priorités de prise en charge. L'utilisation de classifications impose une analyse lésionnelle fondée sur la stabilité et/ou le mécanisme de survenue. Pour les patients hémodynamiquement instables avec fracture pelvienne, le bilan et le traitement sont menés de front : stabilisation première du bassin par un moyen de contention non invasif couplé au remplissage agressif et à la recherche d'une autre cause de saignement. L'instabilité persistante justifie le recours à l'artériographie avec embolisation, au tamponnement extrapéritonéal, ou la combinaison des deux. Les fractures pelviennes ouvertes avec plaie de la région périnéale doivent bénéficier d'une colostomie de dérivation précoce. La prise en charge multidisciplinaire (réanimateur, chirurgien, radiologue interventionnel) est indispensable à l'optimisation thérapeutique. Une fois le traumatisé pelvien réanimé et stabilisé, le but de la prise en charge définitive chirurgicale est la restauration anatomique de l'anneau pelvien pour réduire les complications et éviter les déformations résiduelles. L'amélioration du pronostic vital et fonctionnel de ces dernières années est liée à la mise en œuvre de différentes techniques de prise en charge précoces, ainsi qu'à l'utilisation de méthodes de fixation définitives moins invasives, effectuées secondairement lorsque l'état du patient le permet. Même avec une réduction anatomique pelvienne, les résultats à long terme après rupture complexe de l'anneau pelvien sont modestes. Les problèmes les plus souvent récurrents sont la douleur et les séquelles neurologiques et urogénitales. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44383
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 3 (Juillet 2016) . - 14-072-A-10 [Tome 3][article] Ruptures extracotyloïdiennes de l'anneau pelvien chez l'adulte [texte imprimé] / R. Bernard de Dompsure ; B. Bugnas ; N. Bronsard . - 2016 . - 14-072-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 3 (Juillet 2016) . - 14-072-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Anneau pelvien Os coxal Sacrum Pubis Articulation sacro-iliaque Hémorragie Résumé : stables et bénignes jusqu'aux lésions instables menaçant la survie du patient. La bonne connaissance des rapports anatomiques de l'anneau pelvien ostéoligamentaire permet le bilan complet des lésions associées pour établir des priorités de prise en charge. L'utilisation de classifications impose une analyse lésionnelle fondée sur la stabilité et/ou le mécanisme de survenue. Pour les patients hémodynamiquement instables avec fracture pelvienne, le bilan et le traitement sont menés de front : stabilisation première du bassin par un moyen de contention non invasif couplé au remplissage agressif et à la recherche d'une autre cause de saignement. L'instabilité persistante justifie le recours à l'artériographie avec embolisation, au tamponnement extrapéritonéal, ou la combinaison des deux. Les fractures pelviennes ouvertes avec plaie de la région périnéale doivent bénéficier d'une colostomie de dérivation précoce. La prise en charge multidisciplinaire (réanimateur, chirurgien, radiologue interventionnel) est indispensable à l'optimisation thérapeutique. Une fois le traumatisé pelvien réanimé et stabilisé, le but de la prise en charge définitive chirurgicale est la restauration anatomique de l'anneau pelvien pour réduire les complications et éviter les déformations résiduelles. L'amélioration du pronostic vital et fonctionnel de ces dernières années est liée à la mise en œuvre de différentes techniques de prise en charge précoces, ainsi qu'à l'utilisation de méthodes de fixation définitives moins invasives, effectuées secondairement lorsque l'état du patient le permet. Même avec une réduction anatomique pelvienne, les résultats à long terme après rupture complexe de l'anneau pelvien sont modestes. Les problèmes les plus souvent récurrents sont la douleur et les séquelles neurologiques et urogénitales. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44383 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire