Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur T. Odent |
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Épiphysiolyse fémorale supérieure / C. Klein in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 1 (Février 2016)
[article]
Titre : Épiphysiolyse fémorale supérieure Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Klein ; T. Odent ; C. Glorion Année de publication : 2016 Article en page(s) : 14-321-A-21 Langues : Français (fre) Mots-clés : Épiphysiolyse fémorale supérieure Nécrose avasculaire de la tête fémorale Chondrolyse Conflit fémoroacétabulaire Chirurgie de la hanche Résumé : L'épiphysiolyse fémorale supérieure (EFS) correspond à un glissement de l'épiphyse fémorale supérieure par rapport au col fémoral. La zone de croissance est le siège de ce glissement dont le déplacement se produit le plus souvent en arrière et en dedans, sous l'effet du poids du corps. Cette affection survient le plus fréquemment lors de la puberté. Certains facteurs de risques épidémiologiques et métaboliques ont été retrouvés, avec principalement le surpoids. Il faut insister sur le retard fréquent du diagnostic dans les formes chroniques. L'évolution spontanée est dominée par la majoration du glissement et le risque de survenue d'un glissement « aigu », qui sont responsables des complications précoces (chondrolyse, ostéonécrose, etc.) et à long terme (conflit fémoroacétabulaire, arthrose secondaire). Le traitement vise à stopper la progression du glissement pour éviter les complications dont la fréquence augmente avec l'importance du déplacement. Actuellement, la classification clinique et radiologique tenant compte de la stabilité de l'épiphyse est la plus utilisée pour guider les indications thérapeutiques et semble la mieux corrélée au pronostic. Dans les formes peu déplacées et stables, la fixation en place par une vis canulée est la méthode de choix et donne de bons résultats chez la majorité des patients. Dans les formes instables ou à grand déplacement, qui posent le plus de problèmes, les diverses options chirurgicales ainsi que le délai d'intervention restent des sujets controversés. Un diagnostic précoce demeure le meilleur facteur pronostique dans cette affection. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42943
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 1 (Février 2016) . - 14-321-A-21[article] Épiphysiolyse fémorale supérieure [texte imprimé] / C. Klein ; T. Odent ; C. Glorion . - 2016 . - 14-321-A-21.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 1 (Février 2016) . - 14-321-A-21
Mots-clés : Épiphysiolyse fémorale supérieure Nécrose avasculaire de la tête fémorale Chondrolyse Conflit fémoroacétabulaire Chirurgie de la hanche Résumé : L'épiphysiolyse fémorale supérieure (EFS) correspond à un glissement de l'épiphyse fémorale supérieure par rapport au col fémoral. La zone de croissance est le siège de ce glissement dont le déplacement se produit le plus souvent en arrière et en dedans, sous l'effet du poids du corps. Cette affection survient le plus fréquemment lors de la puberté. Certains facteurs de risques épidémiologiques et métaboliques ont été retrouvés, avec principalement le surpoids. Il faut insister sur le retard fréquent du diagnostic dans les formes chroniques. L'évolution spontanée est dominée par la majoration du glissement et le risque de survenue d'un glissement « aigu », qui sont responsables des complications précoces (chondrolyse, ostéonécrose, etc.) et à long terme (conflit fémoroacétabulaire, arthrose secondaire). Le traitement vise à stopper la progression du glissement pour éviter les complications dont la fréquence augmente avec l'importance du déplacement. Actuellement, la classification clinique et radiologique tenant compte de la stabilité de l'épiphyse est la plus utilisée pour guider les indications thérapeutiques et semble la mieux corrélée au pronostic. Dans les formes peu déplacées et stables, la fixation en place par une vis canulée est la méthode de choix et donne de bons résultats chez la majorité des patients. Dans les formes instables ou à grand déplacement, qui posent le plus de problèmes, les diverses options chirurgicales ainsi que le délai d'intervention restent des sujets controversés. Un diagnostic précoce demeure le meilleur facteur pronostique dans cette affection. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42943 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fracture du rachis chez l'enfant / T. Odent in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 2 (Avril 2014)
[article]
Titre : Fracture du rachis chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Odent ; C. Pfirmann ; C. Glorion Année de publication : 2014 Article en page(s) : 15-815-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Luxation rotatoire SCIWORA Burst fracture Tassement vertébral Cyphose Résumé : Les fractures du rachis sont rares chez l'enfant (1 à 10 % des lésions traumatiques selon les auteurs). Elles diffèrent des fractures de l'adulte par leurs causes, leurs localisations, l'anatomopathologie des lésions rencontrées, leur potentiel évolutif et leur traitement. Elles intéressent un squelette en croissance comprenant des zones cartilagineuses vertébrales non encore ossifiées, qui sont des zones de fragilité chez l'enfant et parfois difficilement analysables avec des clichés radiographiques. Ces particularités disparaissent au fur et à mesure que la maturation squelettique se produit, jusqu'à l'adolescence où les lésions sont superposables à celles de l'adulte. Il est important de connaître la sémiologie radiologique de ces lésions, notamment pour les lésions du rachis cervical supérieur. En complément des clichés radiologiques, les examens complémentaires comme l'imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRMN) ou la tomodensitométrie (TDM) sont indiqués en cas de fractures ou de lésions neurologiques associées. Ces examens seront les plus performants pour établir un bilan lésionnel précis des lésions osseuses, cartilagineuses et du contenu rachidien. Le traitement orthopédique reste la règle chez l'enfant en cas de lésion osseuse ou cartilagineuse sans lésion ligamentaire associée. Le traitement chirurgical a des indications certaines et doit être limité aux lésions pour éviter les troubles de croissance secondaires au geste chirurgical (laminectomie, dépériostage, etc.). La surveillance de ces lésions à long terme est indispensable compte tenu du risque de troubles de croissance à long terme. Les déformations post-traumatiques se rencontrent le plus souvent lorsque la gravité de la lésion initiale a été méconnue ou lorsque le traitement orthopédique ou chirurgical a été inadapté. La prévention de ces déformations nécessite donc une connaissance des éléments anatomiques responsables de la stabilité et de la croissance rachidienne. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42927
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 2 (Avril 2014) . - 15-815-A-10[article] Fracture du rachis chez l'enfant [texte imprimé] / T. Odent ; C. Pfirmann ; C. Glorion . - 2014 . - 15-815-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 2 (Avril 2014) . - 15-815-A-10
Mots-clés : Luxation rotatoire SCIWORA Burst fracture Tassement vertébral Cyphose Résumé : Les fractures du rachis sont rares chez l'enfant (1 à 10 % des lésions traumatiques selon les auteurs). Elles diffèrent des fractures de l'adulte par leurs causes, leurs localisations, l'anatomopathologie des lésions rencontrées, leur potentiel évolutif et leur traitement. Elles intéressent un squelette en croissance comprenant des zones cartilagineuses vertébrales non encore ossifiées, qui sont des zones de fragilité chez l'enfant et parfois difficilement analysables avec des clichés radiographiques. Ces particularités disparaissent au fur et à mesure que la maturation squelettique se produit, jusqu'à l'adolescence où les lésions sont superposables à celles de l'adulte. Il est important de connaître la sémiologie radiologique de ces lésions, notamment pour les lésions du rachis cervical supérieur. En complément des clichés radiologiques, les examens complémentaires comme l'imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRMN) ou la tomodensitométrie (TDM) sont indiqués en cas de fractures ou de lésions neurologiques associées. Ces examens seront les plus performants pour établir un bilan lésionnel précis des lésions osseuses, cartilagineuses et du contenu rachidien. Le traitement orthopédique reste la règle chez l'enfant en cas de lésion osseuse ou cartilagineuse sans lésion ligamentaire associée. Le traitement chirurgical a des indications certaines et doit être limité aux lésions pour éviter les troubles de croissance secondaires au geste chirurgical (laminectomie, dépériostage, etc.). La surveillance de ces lésions à long terme est indispensable compte tenu du risque de troubles de croissance à long terme. Les déformations post-traumatiques se rencontrent le plus souvent lorsque la gravité de la lésion initiale a été méconnue ou lorsque le traitement orthopédique ou chirurgical a été inadapté. La prévention de ces déformations nécessite donc une connaissance des éléments anatomiques responsables de la stabilité et de la croissance rachidienne. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42927 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fracture du rachis chez l'enfant / T. Odent in EMC : Appareil locomoteur, (Mars 2013)
[article]
Titre : Fracture du rachis chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Odent ; C. Pfirrmann ; C. Glorion Année de publication : 2013 Article en page(s) : 15-815-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Luxation rotatoire SCIWORA Burst fracture Tassement vertébral Cyphose Résumé : Les fractures du rachis sont rares chez l'enfant (1 à 10 % des lésions traumatiques selon les auteurs). Elles diffèrent des fractures de l'adulte par leurs causes, leurs localisations, l'anatomopathologie des lésions rencontrées, leur potentiel évolutif et leur traitement. Elles intéressent un squelette en croissance comprenant des zones cartilagineuses vertébrales non encore ossifiées, qui sont des zones de fragilité chez l'enfant et parfois difficilement analysables avec des clichés radiographiques. Ces particularités disparaissent au fur et à mesure que la maturation squelettique se produit, jusqu'à l'adolescence où les lésions sont superposables à celles de l'adulte. Il est important de connaître la sémiologie radiologique de ces lésions, notamment pour les lésions du rachis cervical supérieur. En complément des clichés radiologiques, les examens complémentaires comme l'imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRMN) ou la tomodensitométrie (TDM) sont indiqués en cas de fractures ou de lésions neurologiques associées. Ces examens seront les plus performants pour établir un bilan lésionnel précis des lésions osseuses, cartilagineuses et du contenu rachidien. Le traitement orthopédique reste la règle chez l'enfant en cas de lésion osseuse ou cartilagineuse sans lésion ligamentaire associée. Le traitement chirurgical a des indications certaines et doit être limité aux lésions pour éviter les troubles de croissance secondaires au geste chirurgical (laminectomie, dépériostage, etc.). La surveillance de ces lésions à long terme est indispensable compte tenu du risque de troubles de croissance à long terme. Les déformations post-traumatiques se rencontrent le plus souvent lorsque la gravité de la lésion initiale a été méconnue ou lorsque le traitement orthopédique ou chirurgical a été inadapté. La prévention de ces déformations nécessite donc une connaissance des éléments anatomiques responsables de la stabilité et de la croissance rachidienne. Note de contenu : Introduction
Généralités
Épidémiologie
Anatomie des vertèbres en croissance
Élément de stabilité rachidienne
Particularités biomécaniques
Bilan clinique et radiologique
Particularités des lésions traumatiques de l'enfant
Lésions médullaires sans lésion radiologique osseuse visible
Risque évolutif avec la croissance
Traumatisme du rachis cervical
Lésions du rachis cervical supérieur
Luxation occipitocervicale
Fracture de l'atlas
Luxation rotatoire C1-C2
Fracture de l'apophyse odontoïde
Fractures de l'arc postérieur de C2
Luxation C2-C3
Lésions du rachis cervical inférieur
Traumatisme du rachis thoracolombaire
Généralités
Classification
Traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44090
in EMC : Appareil locomoteur > (Mars 2013) . - 15-815-A-10 [Tome 7][article] Fracture du rachis chez l'enfant [texte imprimé] / T. Odent ; C. Pfirrmann ; C. Glorion . - 2013 . - 15-815-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Mars 2013) . - 15-815-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Luxation rotatoire SCIWORA Burst fracture Tassement vertébral Cyphose Résumé : Les fractures du rachis sont rares chez l'enfant (1 à 10 % des lésions traumatiques selon les auteurs). Elles diffèrent des fractures de l'adulte par leurs causes, leurs localisations, l'anatomopathologie des lésions rencontrées, leur potentiel évolutif et leur traitement. Elles intéressent un squelette en croissance comprenant des zones cartilagineuses vertébrales non encore ossifiées, qui sont des zones de fragilité chez l'enfant et parfois difficilement analysables avec des clichés radiographiques. Ces particularités disparaissent au fur et à mesure que la maturation squelettique se produit, jusqu'à l'adolescence où les lésions sont superposables à celles de l'adulte. Il est important de connaître la sémiologie radiologique de ces lésions, notamment pour les lésions du rachis cervical supérieur. En complément des clichés radiologiques, les examens complémentaires comme l'imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRMN) ou la tomodensitométrie (TDM) sont indiqués en cas de fractures ou de lésions neurologiques associées. Ces examens seront les plus performants pour établir un bilan lésionnel précis des lésions osseuses, cartilagineuses et du contenu rachidien. Le traitement orthopédique reste la règle chez l'enfant en cas de lésion osseuse ou cartilagineuse sans lésion ligamentaire associée. Le traitement chirurgical a des indications certaines et doit être limité aux lésions pour éviter les troubles de croissance secondaires au geste chirurgical (laminectomie, dépériostage, etc.). La surveillance de ces lésions à long terme est indispensable compte tenu du risque de troubles de croissance à long terme. Les déformations post-traumatiques se rencontrent le plus souvent lorsque la gravité de la lésion initiale a été méconnue ou lorsque le traitement orthopédique ou chirurgical a été inadapté. La prévention de ces déformations nécessite donc une connaissance des éléments anatomiques responsables de la stabilité et de la croissance rachidienne. Note de contenu : Introduction
Généralités
Épidémiologie
Anatomie des vertèbres en croissance
Élément de stabilité rachidienne
Particularités biomécaniques
Bilan clinique et radiologique
Particularités des lésions traumatiques de l'enfant
Lésions médullaires sans lésion radiologique osseuse visible
Risque évolutif avec la croissance
Traumatisme du rachis cervical
Lésions du rachis cervical supérieur
Luxation occipitocervicale
Fracture de l'atlas
Luxation rotatoire C1-C2
Fracture de l'apophyse odontoïde
Fractures de l'arc postérieur de C2
Luxation C2-C3
Lésions du rachis cervical inférieur
Traumatisme du rachis thoracolombaire
Généralités
Classification
Traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44090 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire