Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur J.-P. Delagoutte |
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Fractures et luxations du tarse antérieur, des métatarsiens et des phalanges / J.-P. Delagoutte in EMC : Appareil locomoteur, (Novembre 2007)
[article]
Titre : Fractures et luxations du tarse antérieur, des métatarsiens et des phalanges Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-P. Delagoutte Année de publication : 2007 Article en page(s) : 14-099-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture Os naviculaire Métatarsien Phalange Orteils Résumé : Les lésions traumatiques du tarse antérieur et de l'avant-pied font souvent, plus encore que les traumatismes de l'arrière-pied, figure de parent pauvre de la pathologie en général et de la traumatologie en particulier. Elles nécessitent pourtant une attention particulière car elles peuvent laisser de graves séquelles, en particulier douloureuses non seulement pour la marche mais aussi pour le chaussage et même pour la simple station debout. Leur diagnostic est souvent difficile car les radiographies simples sont le siège de superpositions qui peuvent les rendre difficilement interprétables ; en particulier, une lésion même déplacée de l'articulation de Lisfranc peut être occultée et passer inaperçue ; la tomodensitométrie, à l'ère où cette radiographie est proposée comme premier examen en urgence pour tout polytraumatisme, devrait s'imposer en cas de simples contusions du pied. Le traitement primaire est en effet le garant d'un résultat fonctionnel tardif correct ; il consiste en la réduction précise de ces fractures en sachant que l'arthrodèse en bonne position, en particulier pour les fractures du naviculaire et les fractures luxations de l'interligne de Lisfranc, est parfois la solution de choix qui peut être pratiquée même en urgence. Note de contenu : Introduction
Fracture de l'os naviculaire
Étiopathogénie
Classification
Éléments de diagnostic
Traitement
Fracture du cuboïde
Mécanisme
Anatomie pathologique
Symptomatologie
Traitement
Fractures des cunéiformes
Mécanisme
Anatomie pathologique
Symptomatologie et traitement
Fractures des métatarsiens
Topographie
Diagnostic et traitement
Fractures des phalanges
Mécanisme
Anatomie pathologique
Symptomatologie clinique et principes thérapeutiques
Fractures des os sésamoïdes
Rappel anatomique et physiopathologique
Diagnostic et évolution
Conclusion
Luxations du complexe métatarso-sésamoïdo-phalangien
Fractures luxations de l'articulation tarsométatarsienne
Étude radioclinique
Classification
Conséquences thérapeutiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43952
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2007) . - 14-099-A-10 [Tome 3][article] Fractures et luxations du tarse antérieur, des métatarsiens et des phalanges [texte imprimé] / J.-P. Delagoutte . - 2007 . - 14-099-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2007) . - 14-099-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Fracture Os naviculaire Métatarsien Phalange Orteils Résumé : Les lésions traumatiques du tarse antérieur et de l'avant-pied font souvent, plus encore que les traumatismes de l'arrière-pied, figure de parent pauvre de la pathologie en général et de la traumatologie en particulier. Elles nécessitent pourtant une attention particulière car elles peuvent laisser de graves séquelles, en particulier douloureuses non seulement pour la marche mais aussi pour le chaussage et même pour la simple station debout. Leur diagnostic est souvent difficile car les radiographies simples sont le siège de superpositions qui peuvent les rendre difficilement interprétables ; en particulier, une lésion même déplacée de l'articulation de Lisfranc peut être occultée et passer inaperçue ; la tomodensitométrie, à l'ère où cette radiographie est proposée comme premier examen en urgence pour tout polytraumatisme, devrait s'imposer en cas de simples contusions du pied. Le traitement primaire est en effet le garant d'un résultat fonctionnel tardif correct ; il consiste en la réduction précise de ces fractures en sachant que l'arthrodèse en bonne position, en particulier pour les fractures du naviculaire et les fractures luxations de l'interligne de Lisfranc, est parfois la solution de choix qui peut être pratiquée même en urgence. Note de contenu : Introduction
Fracture de l'os naviculaire
Étiopathogénie
Classification
Éléments de diagnostic
Traitement
Fracture du cuboïde
Mécanisme
Anatomie pathologique
Symptomatologie
Traitement
Fractures des cunéiformes
Mécanisme
Anatomie pathologique
Symptomatologie et traitement
Fractures des métatarsiens
Topographie
Diagnostic et traitement
Fractures des phalanges
Mécanisme
Anatomie pathologique
Symptomatologie clinique et principes thérapeutiques
Fractures des os sésamoïdes
Rappel anatomique et physiopathologique
Diagnostic et évolution
Conclusion
Luxations du complexe métatarso-sésamoïdo-phalangien
Fractures luxations de l'articulation tarsométatarsienne
Étude radioclinique
Classification
Conséquences thérapeutiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43952 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Métatarsalgie de Morton / J.-P. Delagoutte in EMC : Appareil locomoteur, (Avril 2008)
[article]
Titre : Métatarsalgie de Morton Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-P. Delagoutte ; B. Michel Année de publication : 2008 Article en page(s) : 14-118-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Nerf métatarsien Douleur plantaire Névrome de Morton Résumé : La métatarsalgie de Morton est la traduction d'une formation pseudotumorale située à la bifurcation d'un nerf métatarsien, le 3e le plus souvent. Le diagnostic clinique est facile par l'intensité de la douleur plantaire qui est très localisée et disparaît lors du déchaussage ; cette douleur est provoquée par la pression verticale de l'espace intéressé et la compression latérale horizontale des têtes métatarsiennes. Le diagnostic peut être aidé par des examens complémentaires, en particulier l'échographie qui se révèle très fiable. Le traitement fait appel soit à l'exérèse du « névrome », soit à la libération de l'espace par section du ligament transverse intermétatarsien selon la théorie du syndrome canalaire ; la neurectomie paraît préférable et ses résultats paraissent plus fiables, sans entraîner de conséquences fonctionnelles. Note de contenu : Introduction
Rappel anatomique
Physiopathologie et étude microscopique
Rappel clinique
Traitement
Principes
Discussion
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43956
in EMC : Appareil locomoteur > (Avril 2008) . - 14-118-A-10 [Tome 4][article] Métatarsalgie de Morton [texte imprimé] / J.-P. Delagoutte ; B. Michel . - 2008 . - 14-118-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Avril 2008) . - 14-118-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Nerf métatarsien Douleur plantaire Névrome de Morton Résumé : La métatarsalgie de Morton est la traduction d'une formation pseudotumorale située à la bifurcation d'un nerf métatarsien, le 3e le plus souvent. Le diagnostic clinique est facile par l'intensité de la douleur plantaire qui est très localisée et disparaît lors du déchaussage ; cette douleur est provoquée par la pression verticale de l'espace intéressé et la compression latérale horizontale des têtes métatarsiennes. Le diagnostic peut être aidé par des examens complémentaires, en particulier l'échographie qui se révèle très fiable. Le traitement fait appel soit à l'exérèse du « névrome », soit à la libération de l'espace par section du ligament transverse intermétatarsien selon la théorie du syndrome canalaire ; la neurectomie paraît préférable et ses résultats paraissent plus fiables, sans entraîner de conséquences fonctionnelles. Note de contenu : Introduction
Rappel anatomique
Physiopathologie et étude microscopique
Rappel clinique
Traitement
Principes
Discussion
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43956 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pathologie du tendon calcanéen / J.-P. Delagoutte in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2010)
[article]
Titre : Pathologie du tendon calcanéen Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-P. Delagoutte ; A. Gervaise Année de publication : 2010 Article en page(s) : 15-180-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tendon calcanéen Rupture du tendon Tendinopathie Péritendinopathie Résumé : La pathologie du tendon calcanéen comprend les lésions fraîches représentées essentiellement par les ruptures (les plaies étant exceptionnelles) et les atteintes anciennes d'origine dégénérative. Ces deux types de pathologie ont pour étiologie essentielle la pratique du sport aussi bien chez les compétiteurs que chez les amateurs ; la rupture est toujours un accident dans le cursus d'un sportif. Le diagnostic des ruptures est essentiellement clinique, les examens complémentaires n'étant pas indispensables ; l'échographie, en raison de son caractère dynamique est parfois intéressante pour vérifier l'efficacité du traitement conservateur. Le traitement est surtout fonction de la demande du patient, le traitement fonctionnel étant à privilégier chez les sportifs de loisir et la réparation chirurgicale, surtout percutanée, se discutant chez le sportif avéré. Les tendinopathies comprennent plusieurs formes cliniques en fonction de leur localisation sur le tendon (corps, jonction myotendineuse, insertion) et de l'aspect histologique que l'imagerie par résonance magnétique (IRM) permet d'appréhender. Cette dernière permet également de discuter du traitement, la chirurgie étant réservée à certaines formes ayant résisté au traitement médical, en particulier les formes nodulaires ou certaines localisations distales (maladie de Haglund). Note de contenu : Introduction
Lésions récentes
Plaies
Ruptures
Ruptures anciennes
Tendinopathies
Étiologie
Pathogénie
Classification
Étude clinique et thérapeutique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44074
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2010) . - 15-180-A-10 [Tome 6][article] Pathologie du tendon calcanéen [texte imprimé] / J.-P. Delagoutte ; A. Gervaise . - 2010 . - 15-180-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2010) . - 15-180-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Tendon calcanéen Rupture du tendon Tendinopathie Péritendinopathie Résumé : La pathologie du tendon calcanéen comprend les lésions fraîches représentées essentiellement par les ruptures (les plaies étant exceptionnelles) et les atteintes anciennes d'origine dégénérative. Ces deux types de pathologie ont pour étiologie essentielle la pratique du sport aussi bien chez les compétiteurs que chez les amateurs ; la rupture est toujours un accident dans le cursus d'un sportif. Le diagnostic des ruptures est essentiellement clinique, les examens complémentaires n'étant pas indispensables ; l'échographie, en raison de son caractère dynamique est parfois intéressante pour vérifier l'efficacité du traitement conservateur. Le traitement est surtout fonction de la demande du patient, le traitement fonctionnel étant à privilégier chez les sportifs de loisir et la réparation chirurgicale, surtout percutanée, se discutant chez le sportif avéré. Les tendinopathies comprennent plusieurs formes cliniques en fonction de leur localisation sur le tendon (corps, jonction myotendineuse, insertion) et de l'aspect histologique que l'imagerie par résonance magnétique (IRM) permet d'appréhender. Cette dernière permet également de discuter du traitement, la chirurgie étant réservée à certaines formes ayant résisté au traitement médical, en particulier les formes nodulaires ou certaines localisations distales (maladie de Haglund). Note de contenu : Introduction
Lésions récentes
Plaies
Ruptures
Ruptures anciennes
Tendinopathies
Étiologie
Pathogénie
Classification
Étude clinique et thérapeutique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44074 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pieds creux, étiopathogénie et approche thérapeutique / J.-P. Delagoutte in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 2 (Avril 2014)
[article]
Titre : Pieds creux, étiopathogénie et approche thérapeutique Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-P. Delagoutte Année de publication : 2014 Article en page(s) : 14-112-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Pied creux Cavus du pied Empreinte plantaire Maladie hérédodégénérative Ostéotomie tarsienne Ostéotomie métatarsienne Résumé : Le pied creux, plus fréquent que le pied plat, est une déformation souvent bien tolérée mais qui doit être diagnostiquée précocement car elle peut être le premier signe d'une affection neurologique de la maladie de Charcot-Marie-Tooth. Cette étiologie neurologique doit être recherchée par tous les moyens de diagnostic cliniques et paracliniques. Le diagnostic d'un pied creux est facile par la présence d'une « bosse » sur le dos du pied qui intrigue et gêne le patient ; elle est en rapport avec la verticalisation du calcanéus et des métatarsiens par aggravation de la courbure longitudinale de la gouttière ostéoarticulaire inférieure du pied ; s'y associe souvent une déviation horizontale de l'avant-pied en pronation. La confirmation est assurée par la prise des empreintes podoscopiques en charge qui permettent de préciser le degré de gravité et par les radiographies dont il existe plusieurs incidences et repères. Le traitement médical par appareillages chez l'enfant et par orthèses plantaires chez l'adolescent et l'adulte est le plus souvent suffisant ; il doit être surveillé régulièrement. La chirurgie est parfois indiquée, mais doit être décidée au cas par cas, corrigeant la partie du pied douloureuse (orteils, métatarsiens talon, etc.) ; il ne faut pas effectuer des interventions trop extensives dont l'évolution n'est pas toujours favorable et qui n'empêchent pas l'évolutivité, ni les complications de la déformation. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42924
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 2 (Avril 2014) . - 14-112-A-10[article] Pieds creux, étiopathogénie et approche thérapeutique [texte imprimé] / J.-P. Delagoutte . - 2014 . - 14-112-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 2 (Avril 2014) . - 14-112-A-10
Mots-clés : Pied creux Cavus du pied Empreinte plantaire Maladie hérédodégénérative Ostéotomie tarsienne Ostéotomie métatarsienne Résumé : Le pied creux, plus fréquent que le pied plat, est une déformation souvent bien tolérée mais qui doit être diagnostiquée précocement car elle peut être le premier signe d'une affection neurologique de la maladie de Charcot-Marie-Tooth. Cette étiologie neurologique doit être recherchée par tous les moyens de diagnostic cliniques et paracliniques. Le diagnostic d'un pied creux est facile par la présence d'une « bosse » sur le dos du pied qui intrigue et gêne le patient ; elle est en rapport avec la verticalisation du calcanéus et des métatarsiens par aggravation de la courbure longitudinale de la gouttière ostéoarticulaire inférieure du pied ; s'y associe souvent une déviation horizontale de l'avant-pied en pronation. La confirmation est assurée par la prise des empreintes podoscopiques en charge qui permettent de préciser le degré de gravité et par les radiographies dont il existe plusieurs incidences et repères. Le traitement médical par appareillages chez l'enfant et par orthèses plantaires chez l'adolescent et l'adulte est le plus souvent suffisant ; il doit être surveillé régulièrement. La chirurgie est parfois indiquée, mais doit être décidée au cas par cas, corrigeant la partie du pied douloureuse (orteils, métatarsiens talon, etc.) ; il ne faut pas effectuer des interventions trop extensives dont l'évolution n'est pas toujours favorable et qui n'empêchent pas l'évolutivité, ni les complications de la déformation. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42924 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire