Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur P. Adam |
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Approche psychosomatique des affections rhumatologiques / P. Adam in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2010)
[article]
Titre : Approche psychosomatique des affections rhumatologiques Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Adam ; A. Le Tyrant ; Michel Lejoyeux Année de publication : 2010 Article en page(s) : 15-914-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Maladies ostéoarticulaires Polyarthrite rhumatoïde Lupus érythémateux disséminé Fibromyalgie Lombalgies Douleurs Médecine psychosomatique Résumé : Les relations entre maladies ostéoarticulaires et manifestations psychologiques ou psychiatriques sont complexes et font intervenir des phénomènes de différentes natures. Des événements de vie stressants et des caractéristiques psychologiques peuvent favoriser l'apparition et le maintien de certaines affections. Les maladies chroniques s'accompagnent habituellement de réactions psychologiques, mais peuvent se compliquer de véritables pathologies psychiatriques. Enfin, certains troubles rhumatologiques posent des questions diagnostiques et thérapeutiques. La polyarthrite rhumatoïde notamment est un modèle « classique » de maladie psychosomatique dont la survenue et l'évolution peuvent être influencées par des facteurs psychologiques ou des événements de vie. La douleur constitue le motif majeur de consultation en rhumatologie et, par son caractère subjectif, constitue un bon exemple d'intrication somatopsychique. Enfin, la spécificité clinique de la fibromyalgie et son lien avec les troubles psychiatriques font encore l'objet de discussion. Ces différents troubles illustrent les difficultés auxquelles le praticien peut être confronté et permettent de souligner l'importance d'une prise en charge globale du patient. Ces troubles et leurs relations avec les manifestations psychologiques sont abordés du point de vue de la comorbidité, de la compréhension psychosomatique et de l'attitude thérapeutique recommandée. Note de contenu : Introduction
Principes de l'approche psychosomatique
Signification du symptôme
Facteurs psychologiques généraux ou spécifiques
Notion de « coping » ou « stratégies d'ajustement »
Maladies ostéoarticulaires et troubles psychiatriques
Polyarthrite rhumatoïde
Douleurs rhumatologiques chroniques
Fibromyalgie
Évaluation psychiatrique et prise en charge psychothérapeutique des affections rhumatologiques
Évaluation psychiatrique des troubles rhumatologiques
Prise en charge psychothérapeutique des pathologies rhumatologiques
Prise en charge psychothérapeutique des douleurs chroniques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44120
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 15-914-A-10 [Tome 7][article] Approche psychosomatique des affections rhumatologiques [texte imprimé] / P. Adam ; A. Le Tyrant ; Michel Lejoyeux . - 2010 . - 15-914-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 15-914-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Maladies ostéoarticulaires Polyarthrite rhumatoïde Lupus érythémateux disséminé Fibromyalgie Lombalgies Douleurs Médecine psychosomatique Résumé : Les relations entre maladies ostéoarticulaires et manifestations psychologiques ou psychiatriques sont complexes et font intervenir des phénomènes de différentes natures. Des événements de vie stressants et des caractéristiques psychologiques peuvent favoriser l'apparition et le maintien de certaines affections. Les maladies chroniques s'accompagnent habituellement de réactions psychologiques, mais peuvent se compliquer de véritables pathologies psychiatriques. Enfin, certains troubles rhumatologiques posent des questions diagnostiques et thérapeutiques. La polyarthrite rhumatoïde notamment est un modèle « classique » de maladie psychosomatique dont la survenue et l'évolution peuvent être influencées par des facteurs psychologiques ou des événements de vie. La douleur constitue le motif majeur de consultation en rhumatologie et, par son caractère subjectif, constitue un bon exemple d'intrication somatopsychique. Enfin, la spécificité clinique de la fibromyalgie et son lien avec les troubles psychiatriques font encore l'objet de discussion. Ces différents troubles illustrent les difficultés auxquelles le praticien peut être confronté et permettent de souligner l'importance d'une prise en charge globale du patient. Ces troubles et leurs relations avec les manifestations psychologiques sont abordés du point de vue de la comorbidité, de la compréhension psychosomatique et de l'attitude thérapeutique recommandée. Note de contenu : Introduction
Principes de l'approche psychosomatique
Signification du symptôme
Facteurs psychologiques généraux ou spécifiques
Notion de « coping » ou « stratégies d'ajustement »
Maladies ostéoarticulaires et troubles psychiatriques
Polyarthrite rhumatoïde
Douleurs rhumatologiques chroniques
Fibromyalgie
Évaluation psychiatrique et prise en charge psychothérapeutique des affections rhumatologiques
Évaluation psychiatrique des troubles rhumatologiques
Prise en charge psychothérapeutique des pathologies rhumatologiques
Prise en charge psychothérapeutique des douleurs chroniques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44120 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fracture de l'extrémité inférieure du fémur de l'adulte / Mathieu Ehlinger in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 3 (Juillet 2016)
[article]
Titre : Fracture de l'extrémité inférieure du fémur de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu Ehlinger ; P. Adam ; D. Brinkert Année de publication : 2016 Article en page(s) : 14-080-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fémur distal Fracture sus- et intercondylienne Épidémiologie des fractures du fémur distal Classification des fractures du fémur distal Résumé : Les fractures du fémur distal sont des fractures rares et graves avec un pronostic sombre chez la personne âgée. Leur fréquence est estimée à 0,4 % de l'ensemble des fractures. La classique répartition bimodale persiste, avec un pic de fréquence chez l'homme jeune et un pic chez la femme âgée. Le contexte reste habituel avec un traumatisme à haute énergie chez le patient jeune et un accident domestique chez la personne âgée. Le sex-ratio s'est modifié avec une prédominance actuelle féminine et un vieillissement de la population. Il existe une corrélation entre « type de fracture » et « patient » : les fractures complexes articulaires sont généralement l'apanage des patients jeunes et sont souvent ouvertes, les fractures extra-articulaires simples sont rencontrées chez la personne âgée et sont classiquement non compliquées. Il apparaît une entité particulière de plus en plus fréquente, les fractures sur implants (ostéosynthèse et prothétique) dont le traitement peut s'avérer délicat avec un taux d'échec parfois important. Le mécanisme causal est le plus souvent un traumatisme indirect sur un genou en flexion. Plus rarement il s'agit d'un traumatisme direct par écrasement. Le déplacement est classique et secondaire à la traction musculaire : raccourcissement et flexion du fragment distal. L'anatomie du fémur distal explique les trois grands types de fracture observés : fracture supracondylienne, fracture unicondylienne, fracture sus- et intercondylienne. Seul un traitement chirurgical peut permettre une stabilisation suffisante pour s'opposer aux forces locales statiques et dynamiques. À ce jour aucun type d'implant n'a montré une supériorité sur un autre. Les résultats restent modestes, inférieurs à ceux des prothèses de genou de première intention. Le traitement orthopédique doit rester exceptionnel et l'indication posée devant des patients grabataires et/ou des fractures non ou peu déplacées chez des patients à l'état d'autonomie extrêmement réduit. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44384
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 3 (Juillet 2016) . - 14-080-A-10 [Tome 3][article] Fracture de l'extrémité inférieure du fémur de l'adulte [texte imprimé] / Mathieu Ehlinger ; P. Adam ; D. Brinkert . - 2016 . - 14-080-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 3 (Juillet 2016) . - 14-080-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Fémur distal Fracture sus- et intercondylienne Épidémiologie des fractures du fémur distal Classification des fractures du fémur distal Résumé : Les fractures du fémur distal sont des fractures rares et graves avec un pronostic sombre chez la personne âgée. Leur fréquence est estimée à 0,4 % de l'ensemble des fractures. La classique répartition bimodale persiste, avec un pic de fréquence chez l'homme jeune et un pic chez la femme âgée. Le contexte reste habituel avec un traumatisme à haute énergie chez le patient jeune et un accident domestique chez la personne âgée. Le sex-ratio s'est modifié avec une prédominance actuelle féminine et un vieillissement de la population. Il existe une corrélation entre « type de fracture » et « patient » : les fractures complexes articulaires sont généralement l'apanage des patients jeunes et sont souvent ouvertes, les fractures extra-articulaires simples sont rencontrées chez la personne âgée et sont classiquement non compliquées. Il apparaît une entité particulière de plus en plus fréquente, les fractures sur implants (ostéosynthèse et prothétique) dont le traitement peut s'avérer délicat avec un taux d'échec parfois important. Le mécanisme causal est le plus souvent un traumatisme indirect sur un genou en flexion. Plus rarement il s'agit d'un traumatisme direct par écrasement. Le déplacement est classique et secondaire à la traction musculaire : raccourcissement et flexion du fragment distal. L'anatomie du fémur distal explique les trois grands types de fracture observés : fracture supracondylienne, fracture unicondylienne, fracture sus- et intercondylienne. Seul un traitement chirurgical peut permettre une stabilisation suffisante pour s'opposer aux forces locales statiques et dynamiques. À ce jour aucun type d'implant n'a montré une supériorité sur un autre. Les résultats restent modestes, inférieurs à ceux des prothèses de genou de première intention. Le traitement orthopédique doit rester exceptionnel et l'indication posée devant des patients grabataires et/ou des fractures non ou peu déplacées chez des patients à l'état d'autonomie extrêmement réduit. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44384 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fracture de l'extrémité supérieure du fémur de l'adulte / Mathieu Ehlinger in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 2 (Avril 2014)
[article]
Titre : Fracture de l'extrémité supérieure du fémur de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu Ehlinger ; P. Adam ; F. Bonnomet Année de publication : 2014 Article en page(s) : 14-075-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fémur proximal Fracture du col Fracture du massif trochantérien Prothèse Ostéosynthèse Épidémiologie Résumé : Les fractures du fémur proximal représentent l'une des fractures les plus fréquemment rencontrées en traumatologie courante. Elles occupent le troisième rang, avec un pourcentage de 11,5 % et une prédominance féminine. Il s'agit classiquement d'une fracture de la personne âgée puisque la moyenne d'âge est de 80 ans et que 97 % et 75 % ont respectivement plus de 50 et 79 ans. Elles sont considérées comme un marqueur de l'ostéoporose maladie. Les fractures de l'extrémité supérieure du fémur engagent le pronostic vital de la personne âgée et les fractures cervicales engagent le pronostic fonctionnel de la personne jeune avec le risque de survenue d'une ostéonécrose aseptique céphalique. Anatomiquement, le fémur proximal comprend la tête et le col fémoral ainsi que le massif trochantérien descendant par définition jusqu'à 2,5 cm sous le petit trochanter. Cet article est centré sur les fractures traumatiques récentes des trois zones anatomiques, en excluant les fractures pathologiques et les fractures sur implant. Les fractures du petit trochanter et du grand trochanter seront évoquées ainsi que les fractures de stress. La suspicion d'une fracture du fémur proximal est clinique avec une symptomatologie classique : douleur, déformation et impotence fonctionnelle. Le diagnostic doit être confirmé par un bilan radiologique. Le bassin de face est systématique chez le patient inconscient et la fracture de la diaphyse fémorale. Le traitement est adapté à l'âge et au type de fracture. Il va du traitement fonctionnel à la prothèse totale de hanche. Après une analyse épidémiologique de ces fractures, nous rappellerons la démarche diagnostique. Les différentes classifications de ces fractures seront exposées et discutées. Enfin, la prise en charge thérapeutique sera détaillée et discutée en fonction du site anatomique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42922
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 2 (Avril 2014) . - 14-075-A-10[article] Fracture de l'extrémité supérieure du fémur de l'adulte [texte imprimé] / Mathieu Ehlinger ; P. Adam ; F. Bonnomet . - 2014 . - 14-075-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 2 (Avril 2014) . - 14-075-A-10
Mots-clés : Fémur proximal Fracture du col Fracture du massif trochantérien Prothèse Ostéosynthèse Épidémiologie Résumé : Les fractures du fémur proximal représentent l'une des fractures les plus fréquemment rencontrées en traumatologie courante. Elles occupent le troisième rang, avec un pourcentage de 11,5 % et une prédominance féminine. Il s'agit classiquement d'une fracture de la personne âgée puisque la moyenne d'âge est de 80 ans et que 97 % et 75 % ont respectivement plus de 50 et 79 ans. Elles sont considérées comme un marqueur de l'ostéoporose maladie. Les fractures de l'extrémité supérieure du fémur engagent le pronostic vital de la personne âgée et les fractures cervicales engagent le pronostic fonctionnel de la personne jeune avec le risque de survenue d'une ostéonécrose aseptique céphalique. Anatomiquement, le fémur proximal comprend la tête et le col fémoral ainsi que le massif trochantérien descendant par définition jusqu'à 2,5 cm sous le petit trochanter. Cet article est centré sur les fractures traumatiques récentes des trois zones anatomiques, en excluant les fractures pathologiques et les fractures sur implant. Les fractures du petit trochanter et du grand trochanter seront évoquées ainsi que les fractures de stress. La suspicion d'une fracture du fémur proximal est clinique avec une symptomatologie classique : douleur, déformation et impotence fonctionnelle. Le diagnostic doit être confirmé par un bilan radiologique. Le bassin de face est systématique chez le patient inconscient et la fracture de la diaphyse fémorale. Le traitement est adapté à l'âge et au type de fracture. Il va du traitement fonctionnel à la prothèse totale de hanche. Après une analyse épidémiologique de ces fractures, nous rappellerons la démarche diagnostique. Les différentes classifications de ces fractures seront exposées et discutées. Enfin, la prise en charge thérapeutique sera détaillée et discutée en fonction du site anatomique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42922 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire