Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur E. Pertuiset |
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Rhumatisme articulaire aigu et rhumatisme poststreptococcique / E. Pertuiset in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2007)
[article]
Titre : Rhumatisme articulaire aigu et rhumatisme poststreptococcique Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Pertuiset Année de publication : 2007 Article en page(s) : 14-201-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Rhumatisme articulaire aigu Rhumatisme poststreptococcique Streptocoque Polyarthrite Cardite Chorée Résumé : Le rhumatisme articulaire aigu (RAA) est une maladie de type auto-immun atteignant avec prédilection l'enfant. Elle est la conséquence retardée d'une infection pharyngée par un streptocoque du groupe A, non ou insuffisamment traitée. Elle est probablement liée à un mimétisme moléculaire entre certaines protéines bactériennes et les tissus cibles. Les signes apparaissent 2 à 3 semaines après la pharyngite : fièvre, atteinte inflammatoire oligoarticulaire ou polyarticulaire migratrice des grosses articulations, atteinte cardiaque (cardite) dominée par l'endocardite aseptique valvulaire. La cardite est actuellement évaluée par échocardiographie. Le diagnostic repose sur les critères de Jones (modifiés en 1992), ce qui nécessite la preuve d'une infection streptococcique récente apportée le plus souvent par le dosage des anticorps antistreptococciques. Celle-ci peut être absente dans la chorée de Sydenham qui est une manifestation plus tardive. Le pronostic du RAA repose sur la cardite qui peut évoluer de manière chronique vers une cardiopathie rhumatismale faite d'une atteinte mitrale et/ou aortique, et peut être à l'origine d'une insuffisance cardiaque et du décès. Ce risque est augmenté par la survenue d'une rechute à l'occasion d'une nouvelle infection streptococcique. La prophylaxie secondaire, reposant sur une antibiothérapie prolongée par la pénicilline, est primordiale pour diminuer la morbidité et la mortalité liée à l'atteinte cardiaque. Le rhumatisme poststreptococcique (RPS) est un syndrome articulaire proche du RAA, pouvant survenir chez l'enfant ou l'adulte, mais ne répondant pas aux critères diagnostiques du RAA. Il comporte un faible risque de cardite. Sa fréquence et sa signification sont diversement appréciées. Le RAA reste un des grands problèmes de santé publique de notre planète, atteignant principalement les pays pauvres. Note de contenu : Introduction
Épidémiologie du rhumatisme articulaire aigu
Pathogénie
Aspects généraux
Facteurs liés au streptocoque A
Facteurs liés à l'hôte
Mécanismes immunologiques
Relations entre rhumatisme articulaire aigu et rhumatisme poststreptococcique
Rhumatisme articulaire aigu
Aspects cliniques
Examens complémentaires
Diagnostic
Évolution
Rhumatisme poststreptococcique
Définition du rhumatisme poststreptococcique
Rhumatisme poststreptococcique de l'adulte
Traitement
Traitement curatif
Traitement prophylactique secondaire
Traitement prophylactique primaire
Traitement du rhumatisme poststreptococcique
La question de la vaccination
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43963
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2007) . - 14-201-A-10 [Tome 4][article] Rhumatisme articulaire aigu et rhumatisme poststreptococcique [texte imprimé] / E. Pertuiset . - 2007 . - 14-201-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2007) . - 14-201-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Rhumatisme articulaire aigu Rhumatisme poststreptococcique Streptocoque Polyarthrite Cardite Chorée Résumé : Le rhumatisme articulaire aigu (RAA) est une maladie de type auto-immun atteignant avec prédilection l'enfant. Elle est la conséquence retardée d'une infection pharyngée par un streptocoque du groupe A, non ou insuffisamment traitée. Elle est probablement liée à un mimétisme moléculaire entre certaines protéines bactériennes et les tissus cibles. Les signes apparaissent 2 à 3 semaines après la pharyngite : fièvre, atteinte inflammatoire oligoarticulaire ou polyarticulaire migratrice des grosses articulations, atteinte cardiaque (cardite) dominée par l'endocardite aseptique valvulaire. La cardite est actuellement évaluée par échocardiographie. Le diagnostic repose sur les critères de Jones (modifiés en 1992), ce qui nécessite la preuve d'une infection streptococcique récente apportée le plus souvent par le dosage des anticorps antistreptococciques. Celle-ci peut être absente dans la chorée de Sydenham qui est une manifestation plus tardive. Le pronostic du RAA repose sur la cardite qui peut évoluer de manière chronique vers une cardiopathie rhumatismale faite d'une atteinte mitrale et/ou aortique, et peut être à l'origine d'une insuffisance cardiaque et du décès. Ce risque est augmenté par la survenue d'une rechute à l'occasion d'une nouvelle infection streptococcique. La prophylaxie secondaire, reposant sur une antibiothérapie prolongée par la pénicilline, est primordiale pour diminuer la morbidité et la mortalité liée à l'atteinte cardiaque. Le rhumatisme poststreptococcique (RPS) est un syndrome articulaire proche du RAA, pouvant survenir chez l'enfant ou l'adulte, mais ne répondant pas aux critères diagnostiques du RAA. Il comporte un faible risque de cardite. Sa fréquence et sa signification sont diversement appréciées. Le RAA reste un des grands problèmes de santé publique de notre planète, atteignant principalement les pays pauvres. Note de contenu : Introduction
Épidémiologie du rhumatisme articulaire aigu
Pathogénie
Aspects généraux
Facteurs liés au streptocoque A
Facteurs liés à l'hôte
Mécanismes immunologiques
Relations entre rhumatisme articulaire aigu et rhumatisme poststreptococcique
Rhumatisme articulaire aigu
Aspects cliniques
Examens complémentaires
Diagnostic
Évolution
Rhumatisme poststreptococcique
Définition du rhumatisme poststreptococcique
Rhumatisme poststreptococcique de l'adulte
Traitement
Traitement curatif
Traitement prophylactique secondaire
Traitement prophylactique primaire
Traitement du rhumatisme poststreptococcique
La question de la vaccination
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43963 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Tuberculose osseuse et articulaire des membres / E. Pertuiset in EMC : Appareil locomoteur, Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015)
[article]
Titre : Tuberculose osseuse et articulaire des membres Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Pertuiset, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.1-12 [14-185-A-10] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tuberculose Arthrite Ostéite Tuberculose ostéoarticulaire Résumé : Les localisations extravertébrales représentent la moitié des tuberculoses ostéoarticulaires. Cette pathologie reste fréquente dans les zones d'endémie tuberculeuse et n'est pas exceptionnelle dans les pays développés chez l'immigrant ou le sujet immunodéprimé. Il s'agit d'une tuberculose paucibacillaire, le plus souvent due à la réactivation de bacilles de Kock (BK) latents. On distingue les arthrites ou ostéoarthrites et les ostéomyélites. Toutes les localisations sont possibles. Les principales caractéristiques sont: tableau clinique subaigu ou chronique, caractère inconstant des signes généraux et du syndrome inflammatoire, radiologie souvent évocatrice, abcès froid, voire fistule. La tuberculose articulaire entraîne une atteinte progressivement destructrice. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) est un examen performant pour le bilan local. Le diagnostic peut être porté devant la mise en évidence d'une tuberculose viscérale ou ganglionnaire associée. Dans la majorité des cas, il repose sur un prélèvement local avec preuve bactériologique et/ou anatomopathologique. La valeur diagnostique de la polymerase chain reaction (PCR) nécessite d'être mieux évaluée. Le pronostic dépend de la précocité du diagnostic, de la bonne observance thérapeutique et du terrain. La majorité des experts recommandent une durée d'antibiothérapie antituberculeuse de 9 à 12 mois. La chirurgie, devenue plus rare, peut être précoce ou tardive. La mise en place d'une prothèse de hanche ou de genou doit être encadrée par une antibiothérapie antituberculeuse mais peut être réalisée si nécessaire à un stade précoce. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41046
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015) . - p.1-12 [14-185-A-10][article] Tuberculose osseuse et articulaire des membres [texte imprimé] / E. Pertuiset, Auteur . - 2015 . - p.1-12 [14-185-A-10].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 10 numéro 3 (Juillet 2015) . - p.1-12 [14-185-A-10]
Mots-clés : Tuberculose Arthrite Ostéite Tuberculose ostéoarticulaire Résumé : Les localisations extravertébrales représentent la moitié des tuberculoses ostéoarticulaires. Cette pathologie reste fréquente dans les zones d'endémie tuberculeuse et n'est pas exceptionnelle dans les pays développés chez l'immigrant ou le sujet immunodéprimé. Il s'agit d'une tuberculose paucibacillaire, le plus souvent due à la réactivation de bacilles de Kock (BK) latents. On distingue les arthrites ou ostéoarthrites et les ostéomyélites. Toutes les localisations sont possibles. Les principales caractéristiques sont: tableau clinique subaigu ou chronique, caractère inconstant des signes généraux et du syndrome inflammatoire, radiologie souvent évocatrice, abcès froid, voire fistule. La tuberculose articulaire entraîne une atteinte progressivement destructrice. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) est un examen performant pour le bilan local. Le diagnostic peut être porté devant la mise en évidence d'une tuberculose viscérale ou ganglionnaire associée. Dans la majorité des cas, il repose sur un prélèvement local avec preuve bactériologique et/ou anatomopathologique. La valeur diagnostique de la polymerase chain reaction (PCR) nécessite d'être mieux évaluée. Le pronostic dépend de la précocité du diagnostic, de la bonne observance thérapeutique et du terrain. La majorité des experts recommandent une durée d'antibiothérapie antituberculeuse de 9 à 12 mois. La chirurgie, devenue plus rare, peut être précoce ou tardive. La mise en place d'une prothèse de hanche ou de genou doit être encadrée par une antibiothérapie antituberculeuse mais peut être réalisée si nécessaire à un stade précoce. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41046 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Tuberculose vertébrale de l'adulte / E. Pertuiset in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2010)
[article]
Titre : Tuberculose vertébrale de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Pertuiset Année de publication : 2010 Article en page(s) : 15-852-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tuberculose ostéoarticulaire Spondylodiscite tuberculeuse Spondylite tuberculeuse Mal de Pott Antituberculeux Compression médullaire Épidurite Résumé : La tuberculose vertébrale représente 50 % des tuberculoses ostéoarticulaires et environ 20 % des infections vertébrales. Dans des pays européens comme la France ou la Grande-Bretagne, elle survient soit chez des sujets âgés ayant souvent des facteurs de risque, soit chez des sujets immigrants en provenance de zones d'endémie tuberculeuse. Le plus souvent, elle est la conséquence de la réactivation d'une tuberculose latente et réalise une tuberculose paucibacillaire. Si elle prend le plus souvent l'aspect classique d'une spondylodiscite, elle peut se traduire par une spondylite respectant le disque intervertébral et atteignant le corps vertébral et/ou l'arc postérieur. Elle se manifeste par des rachialgies d'évolution subaiguë ou chronique, des signes généraux inconstants et des signes de compression neurologique dans environ 50 % des cas, dont 10 % à 25 % de formes sévères. Si les radiographies sont le plus souvent anormales, l'imagerie par résonance magnétique (IRM) est l'examen clé pour porter le diagnostic d'infection vertébrale et montrer les abcès paravertébraux quasi constants, la fréquente extension épidurale et les compressions médullaires. La preuve de la nature tuberculeuse peut être obtenue soit à partir d'une localisation pulmonaire ou ganglionnaire associée, soit par ponction d'un abcès paravertébral, soit par biopsie discovertébrale le plus souvent percutanée. Le traitement repose avant tout sur une antibiothérapie antituberculeuse prolongée, d'une durée minimale de 12 mois. Les principales indications du traitement chirurgical sont les compressions médullaires d'emblée sévères ou évolutives sous traitement médical, et les ostéolyses massives responsables d'instabilité vertébrale et/ou d'une cyphose importante. La lenteur de la régression des images IRM ne doit pas induire en erreur le clinicien. Note de contenu : Définition
Épidémiologie
Historique
Fréquence
Terrain de survenue
Facteurs favorisants
Localisation
Formes anatomiques
Localisations rachidiennes
Physiopathologie
Caractéristiques de la tuberculose ostéoarticulaire
Mode de dissémination
Mode d'extension
Physiopathologie de la cyphose
Physiopathologie des compressions médullaires
Signes cliniques et biologiques
Imagerie
Radiographie standard
Imagerie par résonance magnétique
Tomodensitométrie
Scintigraphie osseuse
Diagnostic positif
Preuve formelle de l'infection tuberculeuse
Diagnostic positif de la tuberculose vertébrale
Rentabilité diagnostique des biopsies vertébrales percutanées et chirurgicales
Diagnostic différentiel
Diagnostic différentiel des spondylodiscites tuberculeuses
Diagnostic différentiel des spondylites tuberculeuses
Pronostic
Pronostic infectieux
Pronostic fonctionnel
Traitement
Historique et principes généraux
Traitement antibiotique
Physiothérapie
Ponction d'abcès
Traitement chirurgical
Conduite à tenir devant une compression médullaire précoce
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44101
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 15-852-A-10 [Tome 7][article] Tuberculose vertébrale de l'adulte [texte imprimé] / E. Pertuiset . - 2010 . - 15-852-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 15-852-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Tuberculose ostéoarticulaire Spondylodiscite tuberculeuse Spondylite tuberculeuse Mal de Pott Antituberculeux Compression médullaire Épidurite Résumé : La tuberculose vertébrale représente 50 % des tuberculoses ostéoarticulaires et environ 20 % des infections vertébrales. Dans des pays européens comme la France ou la Grande-Bretagne, elle survient soit chez des sujets âgés ayant souvent des facteurs de risque, soit chez des sujets immigrants en provenance de zones d'endémie tuberculeuse. Le plus souvent, elle est la conséquence de la réactivation d'une tuberculose latente et réalise une tuberculose paucibacillaire. Si elle prend le plus souvent l'aspect classique d'une spondylodiscite, elle peut se traduire par une spondylite respectant le disque intervertébral et atteignant le corps vertébral et/ou l'arc postérieur. Elle se manifeste par des rachialgies d'évolution subaiguë ou chronique, des signes généraux inconstants et des signes de compression neurologique dans environ 50 % des cas, dont 10 % à 25 % de formes sévères. Si les radiographies sont le plus souvent anormales, l'imagerie par résonance magnétique (IRM) est l'examen clé pour porter le diagnostic d'infection vertébrale et montrer les abcès paravertébraux quasi constants, la fréquente extension épidurale et les compressions médullaires. La preuve de la nature tuberculeuse peut être obtenue soit à partir d'une localisation pulmonaire ou ganglionnaire associée, soit par ponction d'un abcès paravertébral, soit par biopsie discovertébrale le plus souvent percutanée. Le traitement repose avant tout sur une antibiothérapie antituberculeuse prolongée, d'une durée minimale de 12 mois. Les principales indications du traitement chirurgical sont les compressions médullaires d'emblée sévères ou évolutives sous traitement médical, et les ostéolyses massives responsables d'instabilité vertébrale et/ou d'une cyphose importante. La lenteur de la régression des images IRM ne doit pas induire en erreur le clinicien. Note de contenu : Définition
Épidémiologie
Historique
Fréquence
Terrain de survenue
Facteurs favorisants
Localisation
Formes anatomiques
Localisations rachidiennes
Physiopathologie
Caractéristiques de la tuberculose ostéoarticulaire
Mode de dissémination
Mode d'extension
Physiopathologie de la cyphose
Physiopathologie des compressions médullaires
Signes cliniques et biologiques
Imagerie
Radiographie standard
Imagerie par résonance magnétique
Tomodensitométrie
Scintigraphie osseuse
Diagnostic positif
Preuve formelle de l'infection tuberculeuse
Diagnostic positif de la tuberculose vertébrale
Rentabilité diagnostique des biopsies vertébrales percutanées et chirurgicales
Diagnostic différentiel
Diagnostic différentiel des spondylodiscites tuberculeuses
Diagnostic différentiel des spondylites tuberculeuses
Pronostic
Pronostic infectieux
Pronostic fonctionnel
Traitement
Historique et principes généraux
Traitement antibiotique
Physiothérapie
Ponction d'abcès
Traitement chirurgical
Conduite à tenir devant une compression médullaire précoce
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44101 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire