Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur J. Seneschal |
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Lupus érythémateux systémique / E. Lazaro in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014)
[article]
Titre : Lupus érythémateux systémique Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Lazaro, Auteur ; C. Richez, Auteur ; J. Seneschal, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 1-16 [14-244-A-10] Langues : Français (fre) Mots-clés : Antigènes d'origine nucléaire Polyarthrite Vespertilio Glomérulonéphrite proliférative Corticostéroïdes Immunosuppresseurs Résumé : Le lupus systémique est une maladie auto-immune systémique d'expression clinique très hétérogène. On distingue deux types de tableau clinique : des formes bénignes et fréquentes, cutanéoarticulaires, et des formes plus rares et sévères avec atteintes viscérales et/ou hématologiques. Sur le plan biologique, la pathologie se caractérise initialement par une hypergammaglobulinémie polyclonale, ainsi que par la présence d'autoanticorps dirigés contre des antigènes d'origine nucléaire. La mise en évidence d'anticorps antinucléaires à taux élevé, habituellement d'aspect homogène ou moucheté, et d'anticorps antiacide désoxyribonucléique (ADN) natif sont des arguments immunologiques importants pour le diagnostic. D'autres autoanticorps sont utiles bien que plus inconstants : anti-Sm, antiribosomes. Les anticorps antiphospholipides sont associés une fois sur trois à des complications thrombotiques artérielles ou veineuses ou à des accidents obstétricaux. La maladie évolue spontanément par poussées successives plus ou moins régressives. Le pronostic dépend de la gravité des séquelles viscérales après traitement adapté, avec une mortalité ramenée à 1 % par année d'ancienneté de la maladie. Le traitement repose sur les corticoïdes dont le dosage est adapté à la gravité des manifestations cliniques, les immunomodulateurs conventionnels (antimalariques de synthèse, méthotrexate, etc.), les immunosuppresseurs (cyclophosphamide, azathioprine, mycophénolate) pour les manifestations viscérales et les traitements des comorbidités (vaccinations, aspirine, antihypertenseurs, hypolipémiants, anticoagulants). Une biothérapie visant le lymphocyte B (le bélimumab) a récemment démontré son efficacité par rapport au placebo. D'autres sont en cours de développement. L'évolution des stratégies et l'optimisation des traitements sont au cœur des nouvelles problématiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41028
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - p. 1-16 [14-244-A-10][article] Lupus érythémateux systémique [texte imprimé] / E. Lazaro, Auteur ; C. Richez, Auteur ; J. Seneschal, Auteur . - 2014 . - p. 1-16 [14-244-A-10].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - p. 1-16 [14-244-A-10]
Mots-clés : Antigènes d'origine nucléaire Polyarthrite Vespertilio Glomérulonéphrite proliférative Corticostéroïdes Immunosuppresseurs Résumé : Le lupus systémique est une maladie auto-immune systémique d'expression clinique très hétérogène. On distingue deux types de tableau clinique : des formes bénignes et fréquentes, cutanéoarticulaires, et des formes plus rares et sévères avec atteintes viscérales et/ou hématologiques. Sur le plan biologique, la pathologie se caractérise initialement par une hypergammaglobulinémie polyclonale, ainsi que par la présence d'autoanticorps dirigés contre des antigènes d'origine nucléaire. La mise en évidence d'anticorps antinucléaires à taux élevé, habituellement d'aspect homogène ou moucheté, et d'anticorps antiacide désoxyribonucléique (ADN) natif sont des arguments immunologiques importants pour le diagnostic. D'autres autoanticorps sont utiles bien que plus inconstants : anti-Sm, antiribosomes. Les anticorps antiphospholipides sont associés une fois sur trois à des complications thrombotiques artérielles ou veineuses ou à des accidents obstétricaux. La maladie évolue spontanément par poussées successives plus ou moins régressives. Le pronostic dépend de la gravité des séquelles viscérales après traitement adapté, avec une mortalité ramenée à 1 % par année d'ancienneté de la maladie. Le traitement repose sur les corticoïdes dont le dosage est adapté à la gravité des manifestations cliniques, les immunomodulateurs conventionnels (antimalariques de synthèse, méthotrexate, etc.), les immunosuppresseurs (cyclophosphamide, azathioprine, mycophénolate) pour les manifestations viscérales et les traitements des comorbidités (vaccinations, aspirine, antihypertenseurs, hypolipémiants, anticoagulants). Une biothérapie visant le lymphocyte B (le bélimumab) a récemment démontré son efficacité par rapport au placebo. D'autres sont en cours de développement. L'évolution des stratégies et l'optimisation des traitements sont au cœur des nouvelles problématiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41028 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Lupus érythémateux systémique / C. Richez in EMC : Appareil locomoteur, Vol.38 N°1 (Février 2024)
[article]
Titre : Lupus érythémateux systémique Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Richez ; E. Lazaro ; J. Seneschal ; L. Couzi Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 14-244-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Antigènes d'origine nucléaire Polyarthralgie Vespertilio Glomérulonéphrite proliférative Hydroxychloroquine Immunosuppresseurs Corticostéroïdes Résumé : Le lupus systémique est une maladie auto-immune systémique d'expression clinique très hétérogène. On distingue grossièrement deux types de tableaux cliniques : des formes bénignes et fréquentes, cutanéoarticulaires, et des formes plus rares et sévères avec atteintes viscérales et/ou hématologiques. Sur le plan biologique, la pathologie se caractérise par la présence d'autoanticorps dirigés contre des antigènes d'origine nucléaire. La mise en évidence de ces autoanticorps à un taux élevé, habituellement d'aspect homogène ou moucheté, et d'anticorps antiacide désoxyribonucléique (ADN) natif sont en effet des arguments immunologiques importants pour le diagnostic. D'autres autoanticorps sont utiles, bien que plus inconstants : anti-Sm, anti-SSA, anti-RNP (antiribonucléoprotéines). Les anticorps antiphospholipides, responsables de complications thrombotiques ou obstétricales, sont associés une fois sur deux à un lupus systémique. La maladie évolue spontanément par poussées successives plus ou moins régressives. Le pronostic dépend de la gravité des séquelles viscérales après traitement adapté. Le traitement repose sur l'hydroxychloroquine, mais aussi sur d'autres immunomodulateurs conventionnels tels que le méthotrexate, les immunosuppresseurs (mycophénolate mofétil, azathioprine, cyclophosphamide) et des biothérapies. Les corticoïdes sont aussi utilisés en traitement d'appoint, notamment pour juguler certaines poussées, mais l'obtention de la dose la plus faible possible, voire leur arrêt, est désormais un objectif majeur. Le traitement des comorbidités reste indispensable (vaccinations, aspirine, anticoagulants, antihypertenseurs, hypolipémiants). L'optimisation des traitements, le développement de nouvelles cibles thérapeutiques et l'évolution des stratégies sont au cœur des nouvelles problématiques de prise en charge des patients. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116185
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°1 (Février 2024) . - p. 14-244-A-10 [Tome 4][article] Lupus érythémateux systémique [texte imprimé] / C. Richez ; E. Lazaro ; J. Seneschal ; L. Couzi . - 2024 . - p. 14-244-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°1 (Février 2024) . - p. 14-244-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Antigènes d'origine nucléaire Polyarthralgie Vespertilio Glomérulonéphrite proliférative Hydroxychloroquine Immunosuppresseurs Corticostéroïdes Résumé : Le lupus systémique est une maladie auto-immune systémique d'expression clinique très hétérogène. On distingue grossièrement deux types de tableaux cliniques : des formes bénignes et fréquentes, cutanéoarticulaires, et des formes plus rares et sévères avec atteintes viscérales et/ou hématologiques. Sur le plan biologique, la pathologie se caractérise par la présence d'autoanticorps dirigés contre des antigènes d'origine nucléaire. La mise en évidence de ces autoanticorps à un taux élevé, habituellement d'aspect homogène ou moucheté, et d'anticorps antiacide désoxyribonucléique (ADN) natif sont en effet des arguments immunologiques importants pour le diagnostic. D'autres autoanticorps sont utiles, bien que plus inconstants : anti-Sm, anti-SSA, anti-RNP (antiribonucléoprotéines). Les anticorps antiphospholipides, responsables de complications thrombotiques ou obstétricales, sont associés une fois sur deux à un lupus systémique. La maladie évolue spontanément par poussées successives plus ou moins régressives. Le pronostic dépend de la gravité des séquelles viscérales après traitement adapté. Le traitement repose sur l'hydroxychloroquine, mais aussi sur d'autres immunomodulateurs conventionnels tels que le méthotrexate, les immunosuppresseurs (mycophénolate mofétil, azathioprine, cyclophosphamide) et des biothérapies. Les corticoïdes sont aussi utilisés en traitement d'appoint, notamment pour juguler certaines poussées, mais l'obtention de la dose la plus faible possible, voire leur arrêt, est désormais un objectif majeur. Le traitement des comorbidités reste indispensable (vaccinations, aspirine, anticoagulants, antihypertenseurs, hypolipémiants). L'optimisation des traitements, le développement de nouvelles cibles thérapeutiques et l'évolution des stratégies sont au cœur des nouvelles problématiques de prise en charge des patients. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116185 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Lupus érythémateux systémique / C. Richez in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, Vol.38 N°1 (Février 2024)
[article]
Titre : Lupus érythémateux systémique Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Richez ; E. Lazaro ; J. Seneschal ; L. Couzi Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 14-244-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Antigènes d'origine nucléaire Polyarthralgie Vespertilio Glomérulonéphrite proliférative Hydroxychloroquine Immunosuppresseurs Corticostéroïdes Résumé : Le lupus systémique est une maladie auto-immune systémique d'expression clinique très hétérogène. On distingue grossièrement deux types de tableaux cliniques : des formes bénignes et fréquentes, cutanéoarticulaires, et des formes plus rares et sévères avec atteintes viscérales et/ou hématologiques. Sur le plan biologique, la pathologie se caractérise par la présence d'autoanticorps dirigés contre des antigènes d'origine nucléaire. La mise en évidence de ces autoanticorps à un taux élevé, habituellement d'aspect homogène ou moucheté, et d'anticorps antiacide désoxyribonucléique (ADN) natif sont en effet des arguments immunologiques importants pour le diagnostic. D'autres autoanticorps sont utiles, bien que plus inconstants : anti-Sm, anti-SSA, anti-RNP (antiribonucléoprotéines). Les anticorps antiphospholipides, responsables de complications thrombotiques ou obstétricales, sont associés une fois sur deux à un lupus systémique. La maladie évolue spontanément par poussées successives plus ou moins régressives. Le pronostic dépend de la gravité des séquelles viscérales après traitement adapté. Le traitement repose sur l'hydroxychloroquine, mais aussi sur d'autres immunomodulateurs conventionnels tels que le méthotrexate, les immunosuppresseurs (mycophénolate mofétil, azathioprine, cyclophosphamide) et des biothérapies. Les corticoïdes sont aussi utilisés en traitement d'appoint, notamment pour juguler certaines poussées, mais l'obtention de la dose la plus faible possible, voire leur arrêt, est désormais un objectif majeur. Le traitement des comorbidités reste indispensable (vaccinations, aspirine, anticoagulants, antihypertenseurs, hypolipémiants). L'optimisation des traitements, le développement de nouvelles cibles thérapeutiques et l'évolution des stratégies sont au cœur des nouvelles problématiques de prise en charge des patients. Note de contenu : Introduction
Définition et critères de classification
Épidémiologie
Aspects cliniques
Signes généraux
Manifestations dermatologiques
Manifestations rhumatologiques
Manifestations rénales
Manifestations cardiaques et vasculaires
Manifestations pleuropulmonaires
Manifestations neurologiques et psychiatriques
Manifestations hématologiques
Manifestations immunologiques
Surveillance biologique et pratique du lupus
Formes cliniques
Traitement
Critères d'activité
Mesures préventives
Traitements locaux dermatologiques
Traitements spécifiques ()
PronosticPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117309
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.38 N°1 (Février 2024) . - p. 14-244-A-10 [Tome 4][article] Lupus érythémateux systémique [texte imprimé] / C. Richez ; E. Lazaro ; J. Seneschal ; L. Couzi . - 2024 . - p. 14-244-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.38 N°1 (Février 2024) . - p. 14-244-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Antigènes d'origine nucléaire Polyarthralgie Vespertilio Glomérulonéphrite proliférative Hydroxychloroquine Immunosuppresseurs Corticostéroïdes Résumé : Le lupus systémique est une maladie auto-immune systémique d'expression clinique très hétérogène. On distingue grossièrement deux types de tableaux cliniques : des formes bénignes et fréquentes, cutanéoarticulaires, et des formes plus rares et sévères avec atteintes viscérales et/ou hématologiques. Sur le plan biologique, la pathologie se caractérise par la présence d'autoanticorps dirigés contre des antigènes d'origine nucléaire. La mise en évidence de ces autoanticorps à un taux élevé, habituellement d'aspect homogène ou moucheté, et d'anticorps antiacide désoxyribonucléique (ADN) natif sont en effet des arguments immunologiques importants pour le diagnostic. D'autres autoanticorps sont utiles, bien que plus inconstants : anti-Sm, anti-SSA, anti-RNP (antiribonucléoprotéines). Les anticorps antiphospholipides, responsables de complications thrombotiques ou obstétricales, sont associés une fois sur deux à un lupus systémique. La maladie évolue spontanément par poussées successives plus ou moins régressives. Le pronostic dépend de la gravité des séquelles viscérales après traitement adapté. Le traitement repose sur l'hydroxychloroquine, mais aussi sur d'autres immunomodulateurs conventionnels tels que le méthotrexate, les immunosuppresseurs (mycophénolate mofétil, azathioprine, cyclophosphamide) et des biothérapies. Les corticoïdes sont aussi utilisés en traitement d'appoint, notamment pour juguler certaines poussées, mais l'obtention de la dose la plus faible possible, voire leur arrêt, est désormais un objectif majeur. Le traitement des comorbidités reste indispensable (vaccinations, aspirine, anticoagulants, antihypertenseurs, hypolipémiants). L'optimisation des traitements, le développement de nouvelles cibles thérapeutiques et l'évolution des stratégies sont au cœur des nouvelles problématiques de prise en charge des patients. Note de contenu : Introduction
Définition et critères de classification
Épidémiologie
Aspects cliniques
Signes généraux
Manifestations dermatologiques
Manifestations rhumatologiques
Manifestations rénales
Manifestations cardiaques et vasculaires
Manifestations pleuropulmonaires
Manifestations neurologiques et psychiatriques
Manifestations hématologiques
Manifestations immunologiques
Surveillance biologique et pratique du lupus
Formes cliniques
Traitement
Critères d'activité
Mesures préventives
Traitements locaux dermatologiques
Traitements spécifiques ()
PronosticPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117309 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire