Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Mathieu Ehlinger |
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Fracture de l'extrémité inférieure du fémur de l'adulte / Mathieu Ehlinger in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 3 (Juillet 2016)
[article]
Titre : Fracture de l'extrémité inférieure du fémur de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu Ehlinger ; P. Adam ; D. Brinkert Année de publication : 2016 Article en page(s) : 14-080-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fémur distal Fracture sus- et intercondylienne Épidémiologie des fractures du fémur distal Classification des fractures du fémur distal Résumé : Les fractures du fémur distal sont des fractures rares et graves avec un pronostic sombre chez la personne âgée. Leur fréquence est estimée à 0,4 % de l'ensemble des fractures. La classique répartition bimodale persiste, avec un pic de fréquence chez l'homme jeune et un pic chez la femme âgée. Le contexte reste habituel avec un traumatisme à haute énergie chez le patient jeune et un accident domestique chez la personne âgée. Le sex-ratio s'est modifié avec une prédominance actuelle féminine et un vieillissement de la population. Il existe une corrélation entre « type de fracture » et « patient » : les fractures complexes articulaires sont généralement l'apanage des patients jeunes et sont souvent ouvertes, les fractures extra-articulaires simples sont rencontrées chez la personne âgée et sont classiquement non compliquées. Il apparaît une entité particulière de plus en plus fréquente, les fractures sur implants (ostéosynthèse et prothétique) dont le traitement peut s'avérer délicat avec un taux d'échec parfois important. Le mécanisme causal est le plus souvent un traumatisme indirect sur un genou en flexion. Plus rarement il s'agit d'un traumatisme direct par écrasement. Le déplacement est classique et secondaire à la traction musculaire : raccourcissement et flexion du fragment distal. L'anatomie du fémur distal explique les trois grands types de fracture observés : fracture supracondylienne, fracture unicondylienne, fracture sus- et intercondylienne. Seul un traitement chirurgical peut permettre une stabilisation suffisante pour s'opposer aux forces locales statiques et dynamiques. À ce jour aucun type d'implant n'a montré une supériorité sur un autre. Les résultats restent modestes, inférieurs à ceux des prothèses de genou de première intention. Le traitement orthopédique doit rester exceptionnel et l'indication posée devant des patients grabataires et/ou des fractures non ou peu déplacées chez des patients à l'état d'autonomie extrêmement réduit. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44384
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 3 (Juillet 2016) . - 14-080-A-10 [Tome 3][article] Fracture de l'extrémité inférieure du fémur de l'adulte [texte imprimé] / Mathieu Ehlinger ; P. Adam ; D. Brinkert . - 2016 . - 14-080-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 3 (Juillet 2016) . - 14-080-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Fémur distal Fracture sus- et intercondylienne Épidémiologie des fractures du fémur distal Classification des fractures du fémur distal Résumé : Les fractures du fémur distal sont des fractures rares et graves avec un pronostic sombre chez la personne âgée. Leur fréquence est estimée à 0,4 % de l'ensemble des fractures. La classique répartition bimodale persiste, avec un pic de fréquence chez l'homme jeune et un pic chez la femme âgée. Le contexte reste habituel avec un traumatisme à haute énergie chez le patient jeune et un accident domestique chez la personne âgée. Le sex-ratio s'est modifié avec une prédominance actuelle féminine et un vieillissement de la population. Il existe une corrélation entre « type de fracture » et « patient » : les fractures complexes articulaires sont généralement l'apanage des patients jeunes et sont souvent ouvertes, les fractures extra-articulaires simples sont rencontrées chez la personne âgée et sont classiquement non compliquées. Il apparaît une entité particulière de plus en plus fréquente, les fractures sur implants (ostéosynthèse et prothétique) dont le traitement peut s'avérer délicat avec un taux d'échec parfois important. Le mécanisme causal est le plus souvent un traumatisme indirect sur un genou en flexion. Plus rarement il s'agit d'un traumatisme direct par écrasement. Le déplacement est classique et secondaire à la traction musculaire : raccourcissement et flexion du fragment distal. L'anatomie du fémur distal explique les trois grands types de fracture observés : fracture supracondylienne, fracture unicondylienne, fracture sus- et intercondylienne. Seul un traitement chirurgical peut permettre une stabilisation suffisante pour s'opposer aux forces locales statiques et dynamiques. À ce jour aucun type d'implant n'a montré une supériorité sur un autre. Les résultats restent modestes, inférieurs à ceux des prothèses de genou de première intention. Le traitement orthopédique doit rester exceptionnel et l'indication posée devant des patients grabataires et/ou des fractures non ou peu déplacées chez des patients à l'état d'autonomie extrêmement réduit. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44384 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fracture de l'extrémité supérieure du fémur de l'adulte / Mathieu Ehlinger in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 2 (Avril 2014)
[article]
Titre : Fracture de l'extrémité supérieure du fémur de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu Ehlinger ; P. Adam ; F. Bonnomet Année de publication : 2014 Article en page(s) : 14-075-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fémur proximal Fracture du col Fracture du massif trochantérien Prothèse Ostéosynthèse Épidémiologie Résumé : Les fractures du fémur proximal représentent l'une des fractures les plus fréquemment rencontrées en traumatologie courante. Elles occupent le troisième rang, avec un pourcentage de 11,5 % et une prédominance féminine. Il s'agit classiquement d'une fracture de la personne âgée puisque la moyenne d'âge est de 80 ans et que 97 % et 75 % ont respectivement plus de 50 et 79 ans. Elles sont considérées comme un marqueur de l'ostéoporose maladie. Les fractures de l'extrémité supérieure du fémur engagent le pronostic vital de la personne âgée et les fractures cervicales engagent le pronostic fonctionnel de la personne jeune avec le risque de survenue d'une ostéonécrose aseptique céphalique. Anatomiquement, le fémur proximal comprend la tête et le col fémoral ainsi que le massif trochantérien descendant par définition jusqu'à 2,5 cm sous le petit trochanter. Cet article est centré sur les fractures traumatiques récentes des trois zones anatomiques, en excluant les fractures pathologiques et les fractures sur implant. Les fractures du petit trochanter et du grand trochanter seront évoquées ainsi que les fractures de stress. La suspicion d'une fracture du fémur proximal est clinique avec une symptomatologie classique : douleur, déformation et impotence fonctionnelle. Le diagnostic doit être confirmé par un bilan radiologique. Le bassin de face est systématique chez le patient inconscient et la fracture de la diaphyse fémorale. Le traitement est adapté à l'âge et au type de fracture. Il va du traitement fonctionnel à la prothèse totale de hanche. Après une analyse épidémiologique de ces fractures, nous rappellerons la démarche diagnostique. Les différentes classifications de ces fractures seront exposées et discutées. Enfin, la prise en charge thérapeutique sera détaillée et discutée en fonction du site anatomique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42922
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 2 (Avril 2014) . - 14-075-A-10[article] Fracture de l'extrémité supérieure du fémur de l'adulte [texte imprimé] / Mathieu Ehlinger ; P. Adam ; F. Bonnomet . - 2014 . - 14-075-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 2 (Avril 2014) . - 14-075-A-10
Mots-clés : Fémur proximal Fracture du col Fracture du massif trochantérien Prothèse Ostéosynthèse Épidémiologie Résumé : Les fractures du fémur proximal représentent l'une des fractures les plus fréquemment rencontrées en traumatologie courante. Elles occupent le troisième rang, avec un pourcentage de 11,5 % et une prédominance féminine. Il s'agit classiquement d'une fracture de la personne âgée puisque la moyenne d'âge est de 80 ans et que 97 % et 75 % ont respectivement plus de 50 et 79 ans. Elles sont considérées comme un marqueur de l'ostéoporose maladie. Les fractures de l'extrémité supérieure du fémur engagent le pronostic vital de la personne âgée et les fractures cervicales engagent le pronostic fonctionnel de la personne jeune avec le risque de survenue d'une ostéonécrose aseptique céphalique. Anatomiquement, le fémur proximal comprend la tête et le col fémoral ainsi que le massif trochantérien descendant par définition jusqu'à 2,5 cm sous le petit trochanter. Cet article est centré sur les fractures traumatiques récentes des trois zones anatomiques, en excluant les fractures pathologiques et les fractures sur implant. Les fractures du petit trochanter et du grand trochanter seront évoquées ainsi que les fractures de stress. La suspicion d'une fracture du fémur proximal est clinique avec une symptomatologie classique : douleur, déformation et impotence fonctionnelle. Le diagnostic doit être confirmé par un bilan radiologique. Le bassin de face est systématique chez le patient inconscient et la fracture de la diaphyse fémorale. Le traitement est adapté à l'âge et au type de fracture. Il va du traitement fonctionnel à la prothèse totale de hanche. Après une analyse épidémiologique de ces fractures, nous rappellerons la démarche diagnostique. Les différentes classifications de ces fractures seront exposées et discutées. Enfin, la prise en charge thérapeutique sera détaillée et discutée en fonction du site anatomique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42922 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Les fractures du fémur distal au-delà de 80 ans: à propos d’une étude multicentrique d’une série rétrospective et d’une série prospective / CHANTELOT C. in La revue de gériatrie, Tome 40 - N°6 (Juin 2015)
[article]
Titre : Les fractures du fémur distal au-delà de 80 ans: à propos d’une étude multicentrique d’une série rétrospective et d’une série prospective Titre original : Distal femoral fractures after 80 years old: a multicentric study about prospective and retrospective series Type de document : texte imprimé Auteurs : CHANTELOT C., Auteur ; Germain DUMONT, Auteur ; Mathieu Ehlinger, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.327-333 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fémur distal fractures ostéosynthèse prothèse totale genou Résumé : Introduction: De par leur fréquence chez le sujet âgé,les fractures de l’extrémité supérieure du fémur ont fait l’objet de nombreuses études et publications, qui ont conduit à une certaine optimisation de leur prise en charge. Les fractures de l’extrémité distale représentent également une lésion grave et difficile à prendre en charge et nécessitent également une réflexion quant aux modalités de prise en charge.
Patients et méthodes: Une étude multicentrique a étudié les données d’une série rétrospective de janvier 2001 à décembre 2010 et d’une série prospective du 1er juin 2011 au 31 mai 2012 regroupant les fractures du fémur distal chez les patients âgés de plus de 80 ans.
Résultats: Ces fractures atteignaient une population majoritairement féminine, à l’autonomie dégradée. Elles étaient le plus souvent extra-articulaires et faisaient suite à un traumatisme de faible énergie. Le traitement était le plus souvent chirurgical par ostéosynthèse. Celui-ci donnait des résultats supérieurs au traitement orthopédique en termes de survie et de fonction. On notait une perte d’autonomie importante à 1 an, le score de Parker moyen n’atteignant que 2,6, près de la moitié des patients vivant au domicile avaient dû déménager vers une institution et le taux de patients grabataires était multiplié par 2.
Discussion: Au même titre que les fractures de l’extrémité proximale du fémur, les fractures de l’extrémité distale représentent une lésion grave chez le sujet âgé, tant sur le plan de la survie que de la fonction. Les résultats des techniques actuelles donnent des résultats inférieurs au traitement par arthroplastie des fractures de l’extrémité proximale.En ligne : http://www.revuedegeriatrie.fr/index.php Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=39122
in La revue de gériatrie > Tome 40 - N°6 (Juin 2015) . - p.327-333[article] Les fractures du fémur distal au-delà de 80 ans: à propos d’une étude multicentrique d’une série rétrospective et d’une série prospective = Distal femoral fractures after 80 years old: a multicentric study about prospective and retrospective series [texte imprimé] / CHANTELOT C., Auteur ; Germain DUMONT, Auteur ; Mathieu Ehlinger, Auteur . - 2015 . - p.327-333.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 40 - N°6 (Juin 2015) . - p.327-333
Mots-clés : Fémur distal fractures ostéosynthèse prothèse totale genou Résumé : Introduction: De par leur fréquence chez le sujet âgé,les fractures de l’extrémité supérieure du fémur ont fait l’objet de nombreuses études et publications, qui ont conduit à une certaine optimisation de leur prise en charge. Les fractures de l’extrémité distale représentent également une lésion grave et difficile à prendre en charge et nécessitent également une réflexion quant aux modalités de prise en charge.
Patients et méthodes: Une étude multicentrique a étudié les données d’une série rétrospective de janvier 2001 à décembre 2010 et d’une série prospective du 1er juin 2011 au 31 mai 2012 regroupant les fractures du fémur distal chez les patients âgés de plus de 80 ans.
Résultats: Ces fractures atteignaient une population majoritairement féminine, à l’autonomie dégradée. Elles étaient le plus souvent extra-articulaires et faisaient suite à un traumatisme de faible énergie. Le traitement était le plus souvent chirurgical par ostéosynthèse. Celui-ci donnait des résultats supérieurs au traitement orthopédique en termes de survie et de fonction. On notait une perte d’autonomie importante à 1 an, le score de Parker moyen n’atteignant que 2,6, près de la moitié des patients vivant au domicile avaient dû déménager vers une institution et le taux de patients grabataires était multiplié par 2.
Discussion: Au même titre que les fractures de l’extrémité proximale du fémur, les fractures de l’extrémité distale représentent une lésion grave chez le sujet âgé, tant sur le plan de la survie que de la fonction. Les résultats des techniques actuelles donnent des résultats inférieurs au traitement par arthroplastie des fractures de l’extrémité proximale.En ligne : http://www.revuedegeriatrie.fr/index.php Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=39122 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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