Centre de Documentation Campus Montignies
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État des lieux de la tuberculose osseuse et articulaire des membres / M. Touzi in EMC : Appareil locomoteur, Vol. 38 N°4 (Octobre 2024)
[article]
Titre : État des lieux de la tuberculose osseuse et articulaire des membres Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Touzi ; N. Benchekaya ; R. Grassa ; M. Kammoun Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 14-185-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tuberculose Arthrite Ostéite Tuberculose ostéoarticulaire Résumé : La tuberculose ostéoarticulaire (TOA) constitue une manifestation de la tuberculose touchant les os et les articulations. Elle est fréquente dans les régions où la tuberculose est endémique mais peut aussi se manifester chez les personnes immigrées ou immunodéprimées dans les pays développés. Cette forme particulière de tuberculose est souvent due à la réactivation de bacilles de Koch latents. Les symptômes comprennent généralement un tableau clinique subaigu ou chronique, des signes généraux variables, un syndrome inflammatoire biologique, des résultats radiologiques évocateurs, des abcès froids, voire des fistules. Le diagnostic repose sur des prélèvements locaux, tels que des biopsies osseuses, avec des preuves bactériologiques et/ou anatomopathologiques. La détection de tuberculose viscérale ou ganglionnaire associée peut contribuer à confirmer le diagnostic. Le traitement de la TOA implique généralement une antibiothérapie antituberculeuse d'une durée étendue, souvent entre 9 et 12 mois. Bien que la chirurgie soit devenue moins fréquente, elle peut être envisagée dans certains cas, notamment pour traiter certaines complications de la maladie. Le pronostic de la TOA dépend de la rapidité du diagnostic, de l'observance du traitement et des facteurs inhérents au patient. Un traitement précoce et une prise en charge appropriée contribuent généralement à un meilleur pronostic pour les personnes touchées par cette forme particulière de tuberculose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=121743
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 38 N°4 (Octobre 2024) . - p. 14-185-A-10 [Tome 4][article] État des lieux de la tuberculose osseuse et articulaire des membres [texte imprimé] / M. Touzi ; N. Benchekaya ; R. Grassa ; M. Kammoun . - 2024 . - p. 14-185-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 38 N°4 (Octobre 2024) . - p. 14-185-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Tuberculose Arthrite Ostéite Tuberculose ostéoarticulaire Résumé : La tuberculose ostéoarticulaire (TOA) constitue une manifestation de la tuberculose touchant les os et les articulations. Elle est fréquente dans les régions où la tuberculose est endémique mais peut aussi se manifester chez les personnes immigrées ou immunodéprimées dans les pays développés. Cette forme particulière de tuberculose est souvent due à la réactivation de bacilles de Koch latents. Les symptômes comprennent généralement un tableau clinique subaigu ou chronique, des signes généraux variables, un syndrome inflammatoire biologique, des résultats radiologiques évocateurs, des abcès froids, voire des fistules. Le diagnostic repose sur des prélèvements locaux, tels que des biopsies osseuses, avec des preuves bactériologiques et/ou anatomopathologiques. La détection de tuberculose viscérale ou ganglionnaire associée peut contribuer à confirmer le diagnostic. Le traitement de la TOA implique généralement une antibiothérapie antituberculeuse d'une durée étendue, souvent entre 9 et 12 mois. Bien que la chirurgie soit devenue moins fréquente, elle peut être envisagée dans certains cas, notamment pour traiter certaines complications de la maladie. Le pronostic de la TOA dépend de la rapidité du diagnostic, de l'observance du traitement et des facteurs inhérents au patient. Un traitement précoce et une prise en charge appropriée contribuent généralement à un meilleur pronostic pour les personnes touchées par cette forme particulière de tuberculose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=121743 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Rhumatisme à dépôts de pyrophosphate de calcium et chondrocalcinose / E. Chotard in EMC : Appareil locomoteur, Vol. 38 N°4 (Octobre 2024)
[article]
Titre : Rhumatisme à dépôts de pyrophosphate de calcium et chondrocalcinose Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Chotard ; T. Bardin ; P. Richette ; Hang-Korng Ea Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 14-271-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Rhumatisme à dépôts de pyrophosphate de calcium Chondrocalcinose Cristaux Arthropathie métabolique Résumé : Le rhumatisme à dépôts de pyrophosphate de calcium (PPC) est une pathologie microcristalline fréquente dont la prévalence augmente avec l'âge. Elle est le plus souvent idiopathique mais peut être favorisée par certaines pathologies métaboliques ou être d'origine génétique. L'expression clinique est variable, allant des formes asymptomatiques aux arthralgies inflammatoires, aiguës ou chroniques, voire aux arthropathies destructrices. L'association à l'arthrose est fréquente et celle-ci peut être particulière. La ponction articulaire avec mise en évidence des cristaux de PPC reste le gold standard du diagnostic mais un score diagnostique est désormais disponible, où la place de l'imagerie est importante. Les dépôts cartilagineux et fibrocartilagineux de PPC sont responsables des images de chondrocalcinose, visibles sur les radiographies, mais d'autres techniques d'imagerie comme l'échographie, le scanner, voire le scanner double énergie peuvent aussi mettre en évidence des dépôts sur le squelette périphérique ou axial, en intra, péri ou extra-articulaire. Sur le plan thérapeutique, aucun traitement de fond n'a fait la preuve de son efficacité pour la dissolution des cristaux de PPC. La prise en charge reste symptomatique. Les traitements dirigés contre les interleukines 1 et 6 sont venus enrichir l'arsenal thérapeutique de l'inflammation induite par les cristaux de PPC en cas d'échec des traitements usuels. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=121744
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 38 N°4 (Octobre 2024) . - p. 14-271-A-10 [Tome 5][article] Rhumatisme à dépôts de pyrophosphate de calcium et chondrocalcinose [texte imprimé] / E. Chotard ; T. Bardin ; P. Richette ; Hang-Korng Ea . - 2024 . - p. 14-271-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 38 N°4 (Octobre 2024) . - p. 14-271-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Rhumatisme à dépôts de pyrophosphate de calcium Chondrocalcinose Cristaux Arthropathie métabolique Résumé : Le rhumatisme à dépôts de pyrophosphate de calcium (PPC) est une pathologie microcristalline fréquente dont la prévalence augmente avec l'âge. Elle est le plus souvent idiopathique mais peut être favorisée par certaines pathologies métaboliques ou être d'origine génétique. L'expression clinique est variable, allant des formes asymptomatiques aux arthralgies inflammatoires, aiguës ou chroniques, voire aux arthropathies destructrices. L'association à l'arthrose est fréquente et celle-ci peut être particulière. La ponction articulaire avec mise en évidence des cristaux de PPC reste le gold standard du diagnostic mais un score diagnostique est désormais disponible, où la place de l'imagerie est importante. Les dépôts cartilagineux et fibrocartilagineux de PPC sont responsables des images de chondrocalcinose, visibles sur les radiographies, mais d'autres techniques d'imagerie comme l'échographie, le scanner, voire le scanner double énergie peuvent aussi mettre en évidence des dépôts sur le squelette périphérique ou axial, en intra, péri ou extra-articulaire. Sur le plan thérapeutique, aucun traitement de fond n'a fait la preuve de son efficacité pour la dissolution des cristaux de PPC. La prise en charge reste symptomatique. Les traitements dirigés contre les interleukines 1 et 6 sont venus enrichir l'arsenal thérapeutique de l'inflammation induite par les cristaux de PPC en cas d'échec des traitements usuels. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=121744 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Algodystrophie : syndrome douloureux régional complexe de type I / T. Loupret in EMC : Appareil locomoteur, Vol. 38 N°4 (Octobre 2024)
[article]
Titre : Algodystrophie : syndrome douloureux régional complexe de type I Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Loupret ; P. Vergne-Salle ; P. Bertin Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 14-286-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome douloureux régional complexe Algodystrophie Syndrome épaule-main Inflammation neurogène Sensibilisation centrale Douleur chronique Rééducation Résumé : e syndrome douloureux régional complexe de type I, anciennement appelé algodystrophie, est une maladie relativement peu fréquente, survenant la plupart du temps dans un contexte post-traumatique et mêlant des facteurs physiopathologiques variés, dont les mécanismes sont actuellement mal compris. Les quatre membres peuvent être affectés ; les membres supérieurs semblent être le plus souvent touchés. La grande majorité des patients atteints évolue favorablement dans les 2 premières années d'évolution, mais l'intensité de la douleur décrite, les limitations fonctionnelles induites et l'impact psychologique éventuellement néfaste sont autant d'arguments qui doivent alerter sur l'intérêt de ne pas négliger nos connaissances sur cette maladie et sa prise en charge complexe. Le diagnostic est clinique, avec plusieurs formes décrites, démontrant ainsi un certain flou nosologique, les examens complémentaires n'étant le plus souvent nécessaires que pour exclure d'autres hypothèses. Il n'existe aucun gold standard à ce jour, rendant la certitude diagnostique parfois difficile. Depuis quelques années maintenant, de nouveaux critères de classification dits « de Budapest », reconnus internationalement et utiles pour la pratique quotidienne, bien que peu spécifiques, ont permis de renforcer la détection de la pathologie. En l'absence de traitement validé, la prise en charge est multimodale et pluridisciplinaire, et utilise des moyens médicamenteux et non médicamenteux essayant d'exploiter les pistes physiopathologiques actuellement décrites. Elle se doit d'être la plus précoce possible. Des recommandations sont maintenant régulièrement publiées, bien que reposant sur des données de faible évidence. La rééducation est cependant fondamentale et reste systématiquement indiquée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=121745
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 38 N°4 (Octobre 2024) . - p. 14-286-A-10 [Tome 5][article] Algodystrophie : syndrome douloureux régional complexe de type I [texte imprimé] / T. Loupret ; P. Vergne-Salle ; P. Bertin . - 2024 . - p. 14-286-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 38 N°4 (Octobre 2024) . - p. 14-286-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Syndrome douloureux régional complexe Algodystrophie Syndrome épaule-main Inflammation neurogène Sensibilisation centrale Douleur chronique Rééducation Résumé : e syndrome douloureux régional complexe de type I, anciennement appelé algodystrophie, est une maladie relativement peu fréquente, survenant la plupart du temps dans un contexte post-traumatique et mêlant des facteurs physiopathologiques variés, dont les mécanismes sont actuellement mal compris. Les quatre membres peuvent être affectés ; les membres supérieurs semblent être le plus souvent touchés. La grande majorité des patients atteints évolue favorablement dans les 2 premières années d'évolution, mais l'intensité de la douleur décrite, les limitations fonctionnelles induites et l'impact psychologique éventuellement néfaste sont autant d'arguments qui doivent alerter sur l'intérêt de ne pas négliger nos connaissances sur cette maladie et sa prise en charge complexe. Le diagnostic est clinique, avec plusieurs formes décrites, démontrant ainsi un certain flou nosologique, les examens complémentaires n'étant le plus souvent nécessaires que pour exclure d'autres hypothèses. Il n'existe aucun gold standard à ce jour, rendant la certitude diagnostique parfois difficile. Depuis quelques années maintenant, de nouveaux critères de classification dits « de Budapest », reconnus internationalement et utiles pour la pratique quotidienne, bien que peu spécifiques, ont permis de renforcer la détection de la pathologie. En l'absence de traitement validé, la prise en charge est multimodale et pluridisciplinaire, et utilise des moyens médicamenteux et non médicamenteux essayant d'exploiter les pistes physiopathologiques actuellement décrites. Elle se doit d'être la plus précoce possible. Des recommandations sont maintenant régulièrement publiées, bien que reposant sur des données de faible évidence. La rééducation est cependant fondamentale et reste systématiquement indiquée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=121745 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Névralgie amyotrophiante de Parsonage et Turner / P. Seror in EMC : Appareil locomoteur, Vol. 38 N°4 (Octobre 2024)
[article]
Titre : Névralgie amyotrophiante de Parsonage et Turner Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Seror Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 14-347-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Névralgie amyotrophiante Syndrome de Parsonage et Turner Mononeuropathie Plexus brachial Décollement de l'omoplate Nerf long thoracique Nerf suprascapulaire Nerf interosseux antérieur Nerf spinal accessoire Nerf cutané latéral de l'avant-bras Résumé : Plus d'un siècle après sa première description, la physiopathologie de la névralgie amyotrophiante de Parsonage et Turner (NAPT) reste inconnue, même si une réaction inflammatoire inappropriée d'origine auto-immune est supposée responsable de sa survenue. Cette réaction semble déclenchée par un événement mécanique ou infectieux, sur un terrain prédisposé. Sur les plans clinique et neurophysiologique, il s'agit typiquement de mononeuropathies uniques ou multiples, de survenue aiguë et très douloureuse, responsables de la paralysie d'un ou plusieurs muscles avec amyotrophie, et de troubles sensitifs, dont la distribution est aléatoire et asymétrique. Cette atteinte évolue en une seule poussée et n'évolue jamais vers une neuropathie généralisée. Elle touche préférentiellement le plexus brachial supérieur, mais peut également affecter le plexus brachial moyen et inférieur, tout comme le plexus cervical, le plexus lombosacré, voire les nerfs crâniens. L'atteinte peut toucher une racine, un tronc primaire ou secondaire, une branche du plexus, un tronc nerveux ou seulement certains fascicules d'un nerf, ou réaliser une combinaison de plusieurs lésions dont la sévérité est très variable d'un nerf à l'autre. La mononeuropathie est la lésion élémentaire la plus caractéristique et la plus fréquente de la NAPT, elle se caractérise par une perte axonale très importante, sans anomalie des vitesses de conduction nerveuse, ou des latences. La récupération intervient dans 80 % des cas en 6 à 36 mois. Un déficit persiste dans 20 % des cas idiopathiques et beaucoup plus souvent dans les cas héréditaires (NAPTH). Les NAPTH sont le plus souvent liées à une mutation du gène de la protéine septine 9. Quand le patient est vu précocement, les corticoïdes sont le traitement de choix, car ils semblent réduire la durée des douleurs et du temps de récupération. Au-delà de cette période, des traitements pharmacologiques et non pharmacologiques sont utilisés, en fonction des plaintes du patient. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=121746
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 38 N°4 (Octobre 2024) . - p. 14-347-A-10 [Tome 5][article] Névralgie amyotrophiante de Parsonage et Turner [texte imprimé] / P. Seror . - 2024 . - p. 14-347-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 38 N°4 (Octobre 2024) . - p. 14-347-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Névralgie amyotrophiante Syndrome de Parsonage et Turner Mononeuropathie Plexus brachial Décollement de l'omoplate Nerf long thoracique Nerf suprascapulaire Nerf interosseux antérieur Nerf spinal accessoire Nerf cutané latéral de l'avant-bras Résumé : Plus d'un siècle après sa première description, la physiopathologie de la névralgie amyotrophiante de Parsonage et Turner (NAPT) reste inconnue, même si une réaction inflammatoire inappropriée d'origine auto-immune est supposée responsable de sa survenue. Cette réaction semble déclenchée par un événement mécanique ou infectieux, sur un terrain prédisposé. Sur les plans clinique et neurophysiologique, il s'agit typiquement de mononeuropathies uniques ou multiples, de survenue aiguë et très douloureuse, responsables de la paralysie d'un ou plusieurs muscles avec amyotrophie, et de troubles sensitifs, dont la distribution est aléatoire et asymétrique. Cette atteinte évolue en une seule poussée et n'évolue jamais vers une neuropathie généralisée. Elle touche préférentiellement le plexus brachial supérieur, mais peut également affecter le plexus brachial moyen et inférieur, tout comme le plexus cervical, le plexus lombosacré, voire les nerfs crâniens. L'atteinte peut toucher une racine, un tronc primaire ou secondaire, une branche du plexus, un tronc nerveux ou seulement certains fascicules d'un nerf, ou réaliser une combinaison de plusieurs lésions dont la sévérité est très variable d'un nerf à l'autre. La mononeuropathie est la lésion élémentaire la plus caractéristique et la plus fréquente de la NAPT, elle se caractérise par une perte axonale très importante, sans anomalie des vitesses de conduction nerveuse, ou des latences. La récupération intervient dans 80 % des cas en 6 à 36 mois. Un déficit persiste dans 20 % des cas idiopathiques et beaucoup plus souvent dans les cas héréditaires (NAPTH). Les NAPTH sont le plus souvent liées à une mutation du gène de la protéine septine 9. Quand le patient est vu précocement, les corticoïdes sont le traitement de choix, car ils semblent réduire la durée des douleurs et du temps de récupération. Au-delà de cette période, des traitements pharmacologiques et non pharmacologiques sont utilisés, en fonction des plaintes du patient. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=121746 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
[article]
Titre : Arthrose du coude Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Chammas ; P.-E. Chammas ; B. Coulet ; C. Lazerges Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 14-361-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Coude Arthrose Prothèses Arthroscopie Résumé : L'arthrose du coude est peu fréquente, caractérisée par une fréquente dissociation radioclinique avec, de façon variable dans les cas symptomatiques, douleur et raideur. L'arthrose primitive du coude débute par l'ostéophytose au niveau huméro-ulnaire à l'origine de conflits entre olécrane et processus coronoïde d'une part et fossettes correspondantes de l'humérus d'autre part, et entraînant des limitations de mobilités. L'arthrose post-traumatique est davantage observée après fracture articulaire de l'humérus distal ou après fracture-luxation du coude qu'après fracture de tête radiale ou de l'olécrane. Le traitement médical peut suffire dans les formes précoces. En cas de résistance au traitement médical, la décision de traitement chirurgical est prise au cas par cas en fonction de l'âge, du niveau d'activité, de la gêne, de la demande du patient sur la base de la localisation et de la sévérité de l'arthrose, analysées par arthroscanner. L'évaluation d'une instabilité ou d'une subluxation complète ce bilan. L'objectif du traitement est de procurer un coude peu douloureux avec un secteur de mobilité fonctionnelle n'excluant pas d'autres traitements et retardant au maximum la décision de prothèse articulaire. L'arthrose primitive du coude peut faire l'objet d'options limitées. En cas d'arthrose huméro-ulnaire débutante, une arthrolyse avec résection des conflits ostéophytiques olécranien et coronoïdien arthroscopique ou transhumérale peut être indiquée. L'arthrose post-traumatique du coude chez le sujet jeune pose de difficiles problèmes thérapeutiques. La présence d'une subluxation réduit les options chirurgicales conservatrices. Une reconstruction est encore licite tant que le cartilage n'est pas trop lésé. En cas d'arthrose sévère, une prothèse totale de coude est à réserver au patient âgé à demande fonctionnelle limitée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=121747
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 38 N°4 (Octobre 2024) . - p. 14-361-A-10 [Tome 5][article] Arthrose du coude [texte imprimé] / M. Chammas ; P.-E. Chammas ; B. Coulet ; C. Lazerges . - 2024 . - p. 14-361-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 38 N°4 (Octobre 2024) . - p. 14-361-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Coude Arthrose Prothèses Arthroscopie Résumé : L'arthrose du coude est peu fréquente, caractérisée par une fréquente dissociation radioclinique avec, de façon variable dans les cas symptomatiques, douleur et raideur. L'arthrose primitive du coude débute par l'ostéophytose au niveau huméro-ulnaire à l'origine de conflits entre olécrane et processus coronoïde d'une part et fossettes correspondantes de l'humérus d'autre part, et entraînant des limitations de mobilités. L'arthrose post-traumatique est davantage observée après fracture articulaire de l'humérus distal ou après fracture-luxation du coude qu'après fracture de tête radiale ou de l'olécrane. Le traitement médical peut suffire dans les formes précoces. En cas de résistance au traitement médical, la décision de traitement chirurgical est prise au cas par cas en fonction de l'âge, du niveau d'activité, de la gêne, de la demande du patient sur la base de la localisation et de la sévérité de l'arthrose, analysées par arthroscanner. L'évaluation d'une instabilité ou d'une subluxation complète ce bilan. L'objectif du traitement est de procurer un coude peu douloureux avec un secteur de mobilité fonctionnelle n'excluant pas d'autres traitements et retardant au maximum la décision de prothèse articulaire. L'arthrose primitive du coude peut faire l'objet d'options limitées. En cas d'arthrose huméro-ulnaire débutante, une arthrolyse avec résection des conflits ostéophytiques olécranien et coronoïdien arthroscopique ou transhumérale peut être indiquée. L'arthrose post-traumatique du coude chez le sujet jeune pose de difficiles problèmes thérapeutiques. La présence d'une subluxation réduit les options chirurgicales conservatrices. Une reconstruction est encore licite tant que le cartilage n'est pas trop lésé. En cas d'arthrose sévère, une prothèse totale de coude est à réserver au patient âgé à demande fonctionnelle limitée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=121747 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Moyens d'évaluation de la douleur en rhumatologie / P. Bertin in EMC : Appareil locomoteur, Vol. 38 N°4 (Octobre 2024)
[article]
Titre : Moyens d'évaluation de la douleur en rhumatologie Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Bertin ; T. Loupret ; P. Vergne-Salle Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 15-918-A-12 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleur aiguë Douleur chronique Évaluation quantitative de la douleur Évaluation qualitative de la douleur Autoévaluation de la douleur Résumé : L'évaluation de la douleur est une démarche clinique préalable et indispensable à la prise en charge optimale d'un patient qui souffre. Les outils d'évaluation sont multiples, de type unidimensionnel pour l'évaluation quantitative de la douleur aiguë, de type multidimensionnel pour l'évaluation qualitative et quantitative de la douleur chronique. L'évaluation de la douleur est toujours une autoévaluation, excepté lorsque le patient est non communicant, cette situation rare en rhumatologie n'étant pas abordée ici. L'évaluation de la douleur par le patient a de multiples intérêts : elle permet de symboliser au patient l'intérêt que les soignants portent à la prise en compte de sa douleur ; elle place le patient comme acteur de sa prise en charge (surtout en situation de douleur chronique) ; elle aide à la décision thérapeutique ; elle permet surtout d'objectiver, par sa répétition dans le temps, l'efficacité (ou non) du traitement choisi, et ainsi d'optimiser la prise en charge thérapeutique. Cet article a pour objectif de présenter les outils d'évaluation, d'expliciter leur mode d'utilisation, leurs avantages et inconvénients respectifs, afin d'en faciliter le choix et l'usage pour le rhumatologue clinicien. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=121748
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 38 N°4 (Octobre 2024) . - p. 15-918-A-12 [Tome 7][article] Moyens d'évaluation de la douleur en rhumatologie [texte imprimé] / P. Bertin ; T. Loupret ; P. Vergne-Salle . - 2024 . - p. 15-918-A-12 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 38 N°4 (Octobre 2024) . - p. 15-918-A-12 [Tome 7]
Mots-clés : Douleur aiguë Douleur chronique Évaluation quantitative de la douleur Évaluation qualitative de la douleur Autoévaluation de la douleur Résumé : L'évaluation de la douleur est une démarche clinique préalable et indispensable à la prise en charge optimale d'un patient qui souffre. Les outils d'évaluation sont multiples, de type unidimensionnel pour l'évaluation quantitative de la douleur aiguë, de type multidimensionnel pour l'évaluation qualitative et quantitative de la douleur chronique. L'évaluation de la douleur est toujours une autoévaluation, excepté lorsque le patient est non communicant, cette situation rare en rhumatologie n'étant pas abordée ici. L'évaluation de la douleur par le patient a de multiples intérêts : elle permet de symboliser au patient l'intérêt que les soignants portent à la prise en compte de sa douleur ; elle place le patient comme acteur de sa prise en charge (surtout en situation de douleur chronique) ; elle aide à la décision thérapeutique ; elle permet surtout d'objectiver, par sa répétition dans le temps, l'efficacité (ou non) du traitement choisi, et ainsi d'optimiser la prise en charge thérapeutique. Cet article a pour objectif de présenter les outils d'évaluation, d'expliciter leur mode d'utilisation, leurs avantages et inconvénients respectifs, afin d'en faciliter le choix et l'usage pour le rhumatologue clinicien. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=121748 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire