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Ajouter le résultat dans votre panierCOMMUNIQUÉ DE LA HAS : maltraitances institutionnelles et intrafamiliales : deux guides pour mieux repérer les situations à risque et accompagner les victimes adultes / Haute Autorité de Santé (HAS) in La revue de gériatrie, vol. 49, 09 (Novembre 2024)
Titre : COMMUNIQUÉ DE LA HAS : maltraitances institutionnelles et intrafamiliales : deux guides pour mieux repérer les situations à risque et accompagner les victimes adultes Type de document : document graphique à deux dimensions Auteurs : Haute Autorité de Santé (HAS) Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 565-570 Langues : Français (fre) Mots-clés : Maltraitance des personnes âgées institutions de soins Domicile Sujet âgé Maltraitance des personne âgées / prévention et contrôle Maltraitance des personne âgées / diagnostic Résumé : « La maltraitance est une réalité encore trop peu explorée qui, d’une manière ou d’une autre, nous concerne tous. Qui peut imaginer qu’il ne sera jamais confronté à la maladie, au vieillissement ou à d’autres formes de dépendance et ainsi exposé à des risques de maltraitance?? Nous pouvons tous être en situation de vulnérabilité ponctuellement ou durablement et être victimes, ou à l’inverse être à l’origine de maltraitance, y compris sans le vouloir, par des négligences ou des paroles maladroites.
Les femmes, plus rarement les hommes, sont victimes de violences conjugales. Au sein d’une famille, la maltraitance peut également concerner les personnes âgées ou encore les parents, parfois violentés par leurs enfants. Cela soulève des questions cruciales sur les dynamiques familiales et rend indispensable le repérage des situations à risque. Tous les professionnels de l’accompagnement qui interviennent à domicile ont potentiellement un rôle à jouer dans cette démarche.
La maltraitance dépasse par ailleurs le cadre familial pour atteindre sous des formes différentes nos établissements de santé, du social et du médicosocial. Comment accepter que les plus vulnérables d’entre nous puissent être victimes de maltraitance dans ces lieux du “prendre soin”?? Le plus souvent, ces situations ne sont pas intentionnelles. Elles résultent plutôt de dysfonctionnements organisationnels ou de négligences : nous parlons alors de maltraitance institutionnelle. Il ne s’agit pas d’accabler les professionnels qui exercent leur métier dans un contexte difficile, mais au contraire de les accompagner et de les sensibiliser pour prévenir ce risque. En élaborant des guides pratiques, la HAS leur donne des clés concrètes pour les aider à affronter cette réalité et contribuer à l’améliorer.
Au-delà de l’aspect pratique, l’objectif à travers la publication de ces recommandations est aussi de sensibiliser l’ensemble des acteurs sur cet enjeu central. La lutte contre la maltraitance, qu’elle soit familiale ou institutionnelle, commence en effet par une prise de conscience collective. Nous avons tous un rôle à jouer pour bâtir un environnement dans lequel la bientraitance, au-delà d’un idéal, devienne une réalité pour tous. »Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=120355
in La revue de gériatrie > vol. 49, 09 (Novembre 2024) . - p. 565-570[article] COMMUNIQUÉ DE LA HAS : maltraitances institutionnelles et intrafamiliales : deux guides pour mieux repérer les situations à risque et accompagner les victimes adultes [document graphique à deux dimensions] / Haute Autorité de Santé (HAS) . - 2024 . - p. 565-570.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > vol. 49, 09 (Novembre 2024) . - p. 565-570
Mots-clés : Maltraitance des personnes âgées institutions de soins Domicile Sujet âgé Maltraitance des personne âgées / prévention et contrôle Maltraitance des personne âgées / diagnostic Résumé : « La maltraitance est une réalité encore trop peu explorée qui, d’une manière ou d’une autre, nous concerne tous. Qui peut imaginer qu’il ne sera jamais confronté à la maladie, au vieillissement ou à d’autres formes de dépendance et ainsi exposé à des risques de maltraitance?? Nous pouvons tous être en situation de vulnérabilité ponctuellement ou durablement et être victimes, ou à l’inverse être à l’origine de maltraitance, y compris sans le vouloir, par des négligences ou des paroles maladroites.
Les femmes, plus rarement les hommes, sont victimes de violences conjugales. Au sein d’une famille, la maltraitance peut également concerner les personnes âgées ou encore les parents, parfois violentés par leurs enfants. Cela soulève des questions cruciales sur les dynamiques familiales et rend indispensable le repérage des situations à risque. Tous les professionnels de l’accompagnement qui interviennent à domicile ont potentiellement un rôle à jouer dans cette démarche.
La maltraitance dépasse par ailleurs le cadre familial pour atteindre sous des formes différentes nos établissements de santé, du social et du médicosocial. Comment accepter que les plus vulnérables d’entre nous puissent être victimes de maltraitance dans ces lieux du “prendre soin”?? Le plus souvent, ces situations ne sont pas intentionnelles. Elles résultent plutôt de dysfonctionnements organisationnels ou de négligences : nous parlons alors de maltraitance institutionnelle. Il ne s’agit pas d’accabler les professionnels qui exercent leur métier dans un contexte difficile, mais au contraire de les accompagner et de les sensibiliser pour prévenir ce risque. En élaborant des guides pratiques, la HAS leur donne des clés concrètes pour les aider à affronter cette réalité et contribuer à l’améliorer.
Au-delà de l’aspect pratique, l’objectif à travers la publication de ces recommandations est aussi de sensibiliser l’ensemble des acteurs sur cet enjeu central. La lutte contre la maltraitance, qu’elle soit familiale ou institutionnelle, commence en effet par une prise de conscience collective. Nous avons tous un rôle à jouer pour bâtir un environnement dans lequel la bientraitance, au-delà d’un idéal, devienne une réalité pour tous. »Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=120355 Exemplaires (1)
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Titre : Essai du solanezumab dans la maladie d’Alzheimer préclinique Type de document : document graphique à deux dimensions Auteurs : R. Sperling ; et al. Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 559-560 Langues : Français (fre) Mots-clés : Maladie d'Alzheimer Cognition maladie d’Alzheimer préclinique solanezumab Résumé : Il est à présent confirmé que sur le plan biologique, la maladie d’Alzheimer comprend une longue phase qui précède les symptômes, bien avant l’apparition du trouble neurocognitif mineur. Cette phase, qui comprend l’accumulation de la pathologie amyloïde et de la pathologie tau peut durer plus de dix ans, et pourrait constituer une fenêtre d’opportunité thérapeutique, en ciblant les lésions cérébrales avant même les premiers symptômes. La phase dans laquelle les personnes sont « cognitivement saines », mais avec des lésions cérébrales de type Alzheimer (mesurée in vivo par les biomarqueurs) est appelée, selon les groupes de travail, phase « préclinique » de la maladie d’Alzheimer (groupe NIA-AA) ou phase « asymptomatique à risque » (groupe IWG). Nous présentons ici les résultats de l’étude A4 (Anti-Amyloid Treatment in Asymptomatic Alzheimer’s Disease) testant l’efficacité sur l’évolution des performances cognitives à 4,5 ans du solanezumab (anticorps antiamyloïde) dans une population de personnes au stade préclinique de la maladie d’Alzheimer. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=120360
in La revue de gériatrie > vol. 49, 09 (Novembre 2024) . - p. 559-560[article] Essai du solanezumab dans la maladie d’Alzheimer préclinique [document graphique à deux dimensions] / R. Sperling ; et al. . - 2024 . - p. 559-560.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > vol. 49, 09 (Novembre 2024) . - p. 559-560
Mots-clés : Maladie d'Alzheimer Cognition maladie d’Alzheimer préclinique solanezumab Résumé : Il est à présent confirmé que sur le plan biologique, la maladie d’Alzheimer comprend une longue phase qui précède les symptômes, bien avant l’apparition du trouble neurocognitif mineur. Cette phase, qui comprend l’accumulation de la pathologie amyloïde et de la pathologie tau peut durer plus de dix ans, et pourrait constituer une fenêtre d’opportunité thérapeutique, en ciblant les lésions cérébrales avant même les premiers symptômes. La phase dans laquelle les personnes sont « cognitivement saines », mais avec des lésions cérébrales de type Alzheimer (mesurée in vivo par les biomarqueurs) est appelée, selon les groupes de travail, phase « préclinique » de la maladie d’Alzheimer (groupe NIA-AA) ou phase « asymptomatique à risque » (groupe IWG). Nous présentons ici les résultats de l’étude A4 (Anti-Amyloid Treatment in Asymptomatic Alzheimer’s Disease) testant l’efficacité sur l’évolution des performances cognitives à 4,5 ans du solanezumab (anticorps antiamyloïde) dans une population de personnes au stade préclinique de la maladie d’Alzheimer. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=120360 Exemplaires (1)
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Titre : Étude des recommandations établies par l’équipe mobile du centre hospitalier d’Abbeville pendant l’année 2022 : Audit de 525 dossiers Type de document : document graphique à deux dimensions Auteurs : Marie Flamant ; Maya Roucout Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 523-535 Langues : Français (fre) Mots-clés : équipe mobile de gériatrie Gériatrie évaluation gériatrique standardisée Sujet âgé Expertise gériatrique Résumé : L’équipe mobile de gériatrie (EMG) a pour principale mission d’aider les différents services dans la prise en charge des personnes âgées, qui sont des patients complexes car fragiles, polypathologiques et polymédiqués. Elle apporte une expertise gériatrique en réalisant des évaluations conduisant à l’émission de recommandations.
Cependant, l’équipe soignante demandeuse est libre de suivre ou pas ces recommandations. Dès lors, une question se pose : dans quelle mesure ces recommandations sont-elles respectées lors du séjour hospitalier??
Une étude rétrospective, quantitative, monocentrique, observationnelle, descriptive et analytique a été menée sur les interventions de l’année 2022 par audit des dossiers informatisés des patients. Le taux de suivi des recommandations a été étudié.
L’objectif principal de ce travail était d’évaluer le suivi des recommandations émises par l’EMG intrahospitalière du centre hospitalier (CH) d’Abbeville pendant l’année 2022 lors du séjour hospitalier des patients. Les objectifs secondaires étaient d’identifier les recommandations qui rencontrent des difficultés pour être mises en place et de relever certains facteurs pouvant influencer leur suivi.
Sur les 684 interventions réalisées au cours de l’année 2022, 525 répondent aux critères d’inclusion. Le taux de suivi global des recommandations est de 76,8 %. Les mieux suivies sont les recommandations sociales. Les moins suivies concernent la prise en charge nutritionnelle.
L’EMG est sollicitée pour ses compétences sociales plus que pour son expertise gériatrique médicale. L’EMG doit renforcer la reconnaissance de son expertise médicale et former les services non spécialisés en matière de dénutrition et de dépendance iatrogène.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=120361
in La revue de gériatrie > vol. 49, 09 (Novembre 2024) . - p. 523-535[article] Étude des recommandations établies par l’équipe mobile du centre hospitalier d’Abbeville pendant l’année 2022 : Audit de 525 dossiers [document graphique à deux dimensions] / Marie Flamant ; Maya Roucout . - 2024 . - p. 523-535.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > vol. 49, 09 (Novembre 2024) . - p. 523-535
Mots-clés : équipe mobile de gériatrie Gériatrie évaluation gériatrique standardisée Sujet âgé Expertise gériatrique Résumé : L’équipe mobile de gériatrie (EMG) a pour principale mission d’aider les différents services dans la prise en charge des personnes âgées, qui sont des patients complexes car fragiles, polypathologiques et polymédiqués. Elle apporte une expertise gériatrique en réalisant des évaluations conduisant à l’émission de recommandations.
Cependant, l’équipe soignante demandeuse est libre de suivre ou pas ces recommandations. Dès lors, une question se pose : dans quelle mesure ces recommandations sont-elles respectées lors du séjour hospitalier??
Une étude rétrospective, quantitative, monocentrique, observationnelle, descriptive et analytique a été menée sur les interventions de l’année 2022 par audit des dossiers informatisés des patients. Le taux de suivi des recommandations a été étudié.
L’objectif principal de ce travail était d’évaluer le suivi des recommandations émises par l’EMG intrahospitalière du centre hospitalier (CH) d’Abbeville pendant l’année 2022 lors du séjour hospitalier des patients. Les objectifs secondaires étaient d’identifier les recommandations qui rencontrent des difficultés pour être mises en place et de relever certains facteurs pouvant influencer leur suivi.
Sur les 684 interventions réalisées au cours de l’année 2022, 525 répondent aux critères d’inclusion. Le taux de suivi global des recommandations est de 76,8 %. Les mieux suivies sont les recommandations sociales. Les moins suivies concernent la prise en charge nutritionnelle.
L’EMG est sollicitée pour ses compétences sociales plus que pour son expertise gériatrique médicale. L’EMG doit renforcer la reconnaissance de son expertise médicale et former les services non spécialisés en matière de dénutrition et de dépendance iatrogène.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=120361 Exemplaires (1)
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Titre : L’endocardite infectieuse du sujet âgé : ses spécificités et sa prise en charge Type de document : document graphique à deux dimensions Auteurs : Valentine Lidou Renault ; Edouard Baudouin ; Emmanuelle Duron ; Rocco Collarino Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 537-551 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antibactériens Gériatrie Sujet âgé Endocardite Résumé : L’endocardite infectieuse est une pathologie ayant un pronostic sévère, dont l’incidence augmente en avançant en âge. C’est pourquoi les personnes âgées sont particulièrement concernées. La symptomatologie clinique présente certaines atypies au sein de cette population. Le diagnostic repose sur les critères de Duke modifiés (critères ESC 2023) permettant de poser un diagnostic « certain », un diagnostic « probable » ou de rejeter le diagnostic. Les critères majeurs reposent désormais aussi sur des examens d’imagerie autres que l’échographie cardiaque, comme le PET scanner, le scanner et l’IRM cardiaque, particulièrement utile chez la personne âgée. Une fois le diagnostic posé, ou suspecté, il faudra identifier la porte d’entrée afin de la traiter pour contrôler l’infection. Le traitement actuellement recommandé repose sur un traitement antibiotique prolongé (de 2 à 6 semaines), à doses élevées, initialement par voie intraveineuse avec possible relais par voie orale, dans certains cas. Ce traitement n’est pas dénué de risque chez nos sujets. C’est pourquoi il devrait exister des recommandations gériatriques à suivre afin d’en limiter les effets secondaires. La place des lipoglycopeptides (antibiotique administré par voie intraveineuse et de longue durée d’action) reste à évaluer chez les sujets âgés, et apparaît prometteuse. La prise en charge de l’endocardite doit être discutée avec les « endocarditis teams » et l’évaluation globale gériatrique a toute sa place dans cette pathologie notamment afin de guider le choix thérapeutique lors de ces discussions collégiales. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=120370
in La revue de gériatrie > vol. 49, 09 (Novembre 2024) . - p. 537-551[article] L’endocardite infectieuse du sujet âgé : ses spécificités et sa prise en charge [document graphique à deux dimensions] / Valentine Lidou Renault ; Edouard Baudouin ; Emmanuelle Duron ; Rocco Collarino . - 2024 . - p. 537-551.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > vol. 49, 09 (Novembre 2024) . - p. 537-551
Mots-clés : Antibactériens Gériatrie Sujet âgé Endocardite Résumé : L’endocardite infectieuse est une pathologie ayant un pronostic sévère, dont l’incidence augmente en avançant en âge. C’est pourquoi les personnes âgées sont particulièrement concernées. La symptomatologie clinique présente certaines atypies au sein de cette population. Le diagnostic repose sur les critères de Duke modifiés (critères ESC 2023) permettant de poser un diagnostic « certain », un diagnostic « probable » ou de rejeter le diagnostic. Les critères majeurs reposent désormais aussi sur des examens d’imagerie autres que l’échographie cardiaque, comme le PET scanner, le scanner et l’IRM cardiaque, particulièrement utile chez la personne âgée. Une fois le diagnostic posé, ou suspecté, il faudra identifier la porte d’entrée afin de la traiter pour contrôler l’infection. Le traitement actuellement recommandé repose sur un traitement antibiotique prolongé (de 2 à 6 semaines), à doses élevées, initialement par voie intraveineuse avec possible relais par voie orale, dans certains cas. Ce traitement n’est pas dénué de risque chez nos sujets. C’est pourquoi il devrait exister des recommandations gériatriques à suivre afin d’en limiter les effets secondaires. La place des lipoglycopeptides (antibiotique administré par voie intraveineuse et de longue durée d’action) reste à évaluer chez les sujets âgés, et apparaît prometteuse. La prise en charge de l’endocardite doit être discutée avec les « endocarditis teams » et l’évaluation globale gériatrique a toute sa place dans cette pathologie notamment afin de guider le choix thérapeutique lors de ces discussions collégiales. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=120370 Exemplaires (1)
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Titre : Le zona chez le sujet âgé Type de document : document graphique à deux dimensions Auteurs : Zoha Maakaroun-Vermesse ; Vanessa Pouteau ; Jean Rouleau Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 561-563 Langues : Français (fre) Mots-clés : Varicelle / complications Zona Immunosuppression thérapeutique Vaccination Sujet âgé Résumé : Le zona est une infection virale causée par la réactivation du virus varicelle (VVZ). Chez les personnes âgées, cette affection peut entraîner des complications sévères en raison de l’affaiblissement du système immunitaire.
Facteurs de risque :âge ? 65 ans?;sexe féminin?; personnes immunodéprimées
Prévention : vaccin Shingrix® à raison de deux doses, à deux mois d’intervalle.
Administration : en intramusculaire, avec une coadministration possible avec d’autres vaccins.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=120373
in La revue de gériatrie > vol. 49, 09 (Novembre 2024) . - p. 561-563[article] Le zona chez le sujet âgé [document graphique à deux dimensions] / Zoha Maakaroun-Vermesse ; Vanessa Pouteau ; Jean Rouleau . - 2024 . - p. 561-563.
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Mots-clés : Varicelle / complications Zona Immunosuppression thérapeutique Vaccination Sujet âgé Résumé : Le zona est une infection virale causée par la réactivation du virus varicelle (VVZ). Chez les personnes âgées, cette affection peut entraîner des complications sévères en raison de l’affaiblissement du système immunitaire.
Facteurs de risque :âge ? 65 ans?;sexe féminin?; personnes immunodéprimées
Prévention : vaccin Shingrix® à raison de deux doses, à deux mois d’intervalle.
Administration : en intramusculaire, avec une coadministration possible avec d’autres vaccins.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=120373 Exemplaires (1)
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Titre : Un gériatre posté aux Urgences permet d’éviter les réadmissions des patients âgés de plus de 75 ans Type de document : document graphique à deux dimensions Auteurs : Élodie Reynier ; Boniface Ciampa ; Catherine MOLINES ; Juliette BOURCIER ; Gwladys N'Boungou ; Zied Romdhane ; Sylvie Bonin-guillaume Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 513-522 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hospitalisation Gériatres Médecine d'urgence Réadmission du patient Syndrome gériatrique Résumé : Contexte : Les personnes âgées représentent environ 15 % des passages annuels aux Urgences, dans la région Sud. Ces patients font partie des plus fragiles et leur prise en charge nécessite de prendre en compte les aspects somatiques, psychologiques et sociaux. En 2019, le pacte de refondation des Urgences est lancé par le gouvernement. L’Équipe de coordination gériatrique d’urgence (ECGU), au centre hospitalier de Martigues (CHM), est née de ce projet.
Objectif : Mettre en évidence la plus-value de la présence d’un médecin gériatre, posté aux Urgences, dans le parcours de soins du patient âgé de plus de 75 ans, admis dans un service d’accueil des urgences (SAU).
Méthodes : Étude observationnelle, rétrospective, comparative, monocentrique conduite au CHM. Deux séries de 200 patients, âgés de 75 ans et plus, admis au SAU, inclus sur deux périodes distinctes (2019 avant la constitution de l’ECGU et 2022 après sa mise en place), tirés au sort, âgés de 75 ans et plus, admis en journée.
Résultats : Après une analyse comparative et multivariée, on observe une diminution de 37,2 % du taux d’hospitalisation (Odds ratio 0,113 [0,0594 ; 0,215], p-value < 0,001), une diminution significative des réadmissions aux Urgences à 1 mois de 65,5 % (Odds ratio 0,124 [0,0516?; 0,297], p-value 0,001) et une diminution des inadéquations d’orientation dans le parcours patient de 52,5 % (Odds ratio 0,365 [0,179?; 0,745], p-value 0,005?59).
Conclusion : La présence d’un gériatre aux Urgences permet d’apporter une plus-value dans le parcours de soins du patient âgé de plus de 75 ans grâce à une prise en charge spécifique permettant de mieux identifier les facteurs de fragilité et le syndrome gériatrique relevant d’une hospitalisation bénéfique pour le patient, et de réduire ainsi les réadmissions aux Urgences.
Note de contenu : Hospitalisation, Médecin gériatre, Médecine d’urgence, Réadmissions, Syndrome gériatrique Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=120390
in La revue de gériatrie > vol. 49, 09 (Novembre 2024) . - p. 513-522[article] Un gériatre posté aux Urgences permet d’éviter les réadmissions des patients âgés de plus de 75 ans [document graphique à deux dimensions] / Élodie Reynier ; Boniface Ciampa ; Catherine MOLINES ; Juliette BOURCIER ; Gwladys N'Boungou ; Zied Romdhane ; Sylvie Bonin-guillaume . - 2024 . - p. 513-522.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > vol. 49, 09 (Novembre 2024) . - p. 513-522
Mots-clés : Hospitalisation Gériatres Médecine d'urgence Réadmission du patient Syndrome gériatrique Résumé : Contexte : Les personnes âgées représentent environ 15 % des passages annuels aux Urgences, dans la région Sud. Ces patients font partie des plus fragiles et leur prise en charge nécessite de prendre en compte les aspects somatiques, psychologiques et sociaux. En 2019, le pacte de refondation des Urgences est lancé par le gouvernement. L’Équipe de coordination gériatrique d’urgence (ECGU), au centre hospitalier de Martigues (CHM), est née de ce projet.
Objectif : Mettre en évidence la plus-value de la présence d’un médecin gériatre, posté aux Urgences, dans le parcours de soins du patient âgé de plus de 75 ans, admis dans un service d’accueil des urgences (SAU).
Méthodes : Étude observationnelle, rétrospective, comparative, monocentrique conduite au CHM. Deux séries de 200 patients, âgés de 75 ans et plus, admis au SAU, inclus sur deux périodes distinctes (2019 avant la constitution de l’ECGU et 2022 après sa mise en place), tirés au sort, âgés de 75 ans et plus, admis en journée.
Résultats : Après une analyse comparative et multivariée, on observe une diminution de 37,2 % du taux d’hospitalisation (Odds ratio 0,113 [0,0594 ; 0,215], p-value < 0,001), une diminution significative des réadmissions aux Urgences à 1 mois de 65,5 % (Odds ratio 0,124 [0,0516?; 0,297], p-value 0,001) et une diminution des inadéquations d’orientation dans le parcours patient de 52,5 % (Odds ratio 0,365 [0,179?; 0,745], p-value 0,005?59).
Conclusion : La présence d’un gériatre aux Urgences permet d’apporter une plus-value dans le parcours de soins du patient âgé de plus de 75 ans grâce à une prise en charge spécifique permettant de mieux identifier les facteurs de fragilité et le syndrome gériatrique relevant d’une hospitalisation bénéfique pour le patient, et de réduire ainsi les réadmissions aux Urgences.
Note de contenu : Hospitalisation, Médecin gériatre, Médecine d’urgence, Réadmissions, Syndrome gériatrique Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=120390 Exemplaires (1)
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Titre : Une lésion cutanée rare et méconnue : la calciphylaxie ! Type de document : document graphique à deux dimensions Auteurs : Manon Dulize ; Brigitte Chandenier ; Laurent Machet ; Véronique Dardaine-Giraud ; Héliette Ripault-Cesbron ; Marc Lamande ; Julie Biogeau Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 553-558 Langues : Français (fre) Mots-clés : Calciphylaxie Dermatologie Gériatrie Insuffisance rénale chronique Résumé : La calciphylaxie cutanée (ou artériopathie urémique calcifiante) est une microangiopathie occlusive des tissus adipeux sous-cutanés responsable d’infarctus sous-cutanés et adipeux induisant des zones de nécroses hyperalgiques.
Cette pathologie rare et peu connue concerne les patients insuffisants rénaux chroniques au stade terminal (prévalence variant de 0,5 % à 4 % selon les études). Le pronostic est sombre (50 % de mortalité à un an). La physiopathologie n’est pas clairement identifiée et il n’existe pas, à l’heure actuelle, de protocole uniformisé de prise en charge thérapeutique.
Nous rapportons le cas de deux patientes, hospitalisées au sein de notre service, atteintes de calciphylaxie et dont les évolutions cliniques sont différentes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=120391
in La revue de gériatrie > vol. 49, 09 (Novembre 2024) . - p. 553-558[article] Une lésion cutanée rare et méconnue : la calciphylaxie ! [document graphique à deux dimensions] / Manon Dulize ; Brigitte Chandenier ; Laurent Machet ; Véronique Dardaine-Giraud ; Héliette Ripault-Cesbron ; Marc Lamande ; Julie Biogeau . - 2024 . - p. 553-558.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > vol. 49, 09 (Novembre 2024) . - p. 553-558
Mots-clés : Calciphylaxie Dermatologie Gériatrie Insuffisance rénale chronique Résumé : La calciphylaxie cutanée (ou artériopathie urémique calcifiante) est une microangiopathie occlusive des tissus adipeux sous-cutanés responsable d’infarctus sous-cutanés et adipeux induisant des zones de nécroses hyperalgiques.
Cette pathologie rare et peu connue concerne les patients insuffisants rénaux chroniques au stade terminal (prévalence variant de 0,5 % à 4 % selon les études). Le pronostic est sombre (50 % de mortalité à un an). La physiopathologie n’est pas clairement identifiée et il n’existe pas, à l’heure actuelle, de protocole uniformisé de prise en charge thérapeutique.
Nous rapportons le cas de deux patientes, hospitalisées au sein de notre service, atteintes de calciphylaxie et dont les évolutions cliniques sont différentes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=120391 Exemplaires (1)
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