[article] 
inScience & sports > Volume 17 numéro 2 (01/03/2002)

Titre :	La plastie au troisième fibulaire dans le traitement des laxités chroniques latérales de cheville
Type de document :	texte imprimé
Année de publication :	2002
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Introduction – Les auteurs rapportent une série de 30 ligamentoplasties de cheville, chez 21 sportifs, pour des instabilités chroniques latéral. Synthèse des faits – Pour les 30 chevilles, le bilan clinique pré-opératoire a retrouvé une instabilité dans la vie courante, associée à des douleurs dans le compartiment antéro-latéral dans 50 % des cas. L'intervention était une plastie utilisant le tendon du muscle troisième fibulaire. Le recul minimum était de sept mois (moyenne de deux ans et huit mois). 83 % des patients ont retrouvé une cheville parfaitement stable sans aucune appréhension, résultats comparables aux autres techniques de ligamentoplastie. 70 % des chevilles sont totalement indolores, 78 % des opérés ont pu reprendre leur activité sportive. Conclusion – Cette technique permet d'obtenir une plastie anatomique et de conserver le tendon du muscle court fibulaire. En cas d'instabilité associée de l'articulation sub-talienne, on effectue une plastie à l'aide du ligament frondiforme, qui représente un nouveau procédé de stabilisation des instabilités chroniques latérales de cheville.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=25114

[article] La plastie au troisième fibulaire dans le traitement des laxités chroniques latérales de cheville [texte imprimé] . - 2002.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 17 numéro 2 (01/03/2002)

Résumé :

Introduction – Les auteurs rapportent une série de 30 ligamentoplasties de cheville, chez 21 sportifs, pour des instabilités chroniques latéral. Synthèse des faits – Pour les 30 chevilles, le bilan clinique pré-opératoire a retrouvé une instabilité dans la vie courante, associée à des douleurs dans le compartiment antéro-latéral dans 50 % des cas. L'intervention était une plastie utilisant le tendon du muscle troisième fibulaire. Le recul minimum était de sept mois (moyenne de deux ans et huit mois). 83 % des patients ont retrouvé une cheville parfaitement stable sans aucune appréhension, résultats comparables aux autres techniques de ligamentoplastie. 70 % des chevilles sont totalement indolores, 78 % des opérés ont pu reprendre leur activité sportive. Conclusion – Cette technique permet d'obtenir une plastie anatomique et de conserver le tendon du muscle court fibulaire. En cas d'instabilité associée de l'articulation sub-talienne, on effectue une plastie à l'aide du ligament frondiforme, qui représente un nouveau procédé de stabilisation des instabilités chroniques latérales de cheville.

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