Centre de Documentation Campus Montignies
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[article]
Titre : |
Fécondité féminine et activité physique intense et répétée |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2002 |
Article en page(s) : |
pp.269-277 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Objectifs - Apprécier les effects d'une activité physique intense et répétée sur la fécondité de la femme.
Actualités - Le premier marathon olympique féminin a eu lieu en 1984 à Los Angeles (États-Unis) et atteste d'une participation régulière des femmes à des activités sportives intensives depuis une vingtaine d'années. Les premières études cliniques relatives aux troubles du cycle menstruel observés chez des sportives coïncident elles aussi, avec l'accroissement notoire de la pratique de sport d'endurance par des femmes préménopausées, aussi bien dans le grand public que parmi les sportives professionnelles. Ces investigations concernaient les troubles les plus évidents, à savoir un blocage complet de la fonction ovarienne se manifestant par une aménorrhée secondaire de longue durée. Des études étiologiques ont alors mis en évidence une série de perturbations de la fonction ovarienne entraînant une infécondité ou, au moins, une hypofécondité chez celles qui souhaitaient devenir enceintes.
Perspectives et projets - Des mécanismes physiologiques sont maintenant proposés pour expliquer ces perturbations. Des sessions d'entraînement, pratiquées à une intensité supérieure à 60 % pendant au moins 40 min, augmentent la sécrétion de neuromédiateurs capables de perturber la pulsatilité de GnRH au niveau hypothalamique. La répétitivité de séances d'entraînement intensif, associée à des modifications du régime alimentaire et à certaines caractéristiques de la composition corporelle des athlètes féminines d'endurance peuvent interagir. Des apports en énergie insuffisants, combinés à une alimentation de type végétarien semblent aggraver ou faciliter les effets perturbateurs de l'exercice physique intensif. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=25077 |
in Science & sports > Volume 17 numéro 6 (01/11/2002) . - pp.269-277
[article] Fécondité féminine et activité physique intense et répétée [texte imprimé] . - 2002 . - pp.269-277. Langues : Français ( fre) in Science & sports > Volume 17 numéro 6 (01/11/2002) . - pp.269-277
Résumé : |
Objectifs - Apprécier les effects d'une activité physique intense et répétée sur la fécondité de la femme.
Actualités - Le premier marathon olympique féminin a eu lieu en 1984 à Los Angeles (États-Unis) et atteste d'une participation régulière des femmes à des activités sportives intensives depuis une vingtaine d'années. Les premières études cliniques relatives aux troubles du cycle menstruel observés chez des sportives coïncident elles aussi, avec l'accroissement notoire de la pratique de sport d'endurance par des femmes préménopausées, aussi bien dans le grand public que parmi les sportives professionnelles. Ces investigations concernaient les troubles les plus évidents, à savoir un blocage complet de la fonction ovarienne se manifestant par une aménorrhée secondaire de longue durée. Des études étiologiques ont alors mis en évidence une série de perturbations de la fonction ovarienne entraînant une infécondité ou, au moins, une hypofécondité chez celles qui souhaitaient devenir enceintes.
Perspectives et projets - Des mécanismes physiologiques sont maintenant proposés pour expliquer ces perturbations. Des sessions d'entraînement, pratiquées à une intensité supérieure à 60 % pendant au moins 40 min, augmentent la sécrétion de neuromédiateurs capables de perturber la pulsatilité de GnRH au niveau hypothalamique. La répétitivité de séances d'entraînement intensif, associée à des modifications du régime alimentaire et à certaines caractéristiques de la composition corporelle des athlètes féminines d'endurance peuvent interagir. Des apports en énergie insuffisants, combinés à une alimentation de type végétarien semblent aggraver ou faciliter les effets perturbateurs de l'exercice physique intensif. |
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