[article] 
inScience & sports > Volume 18 numéro 1 (01/02/2003) . - pp.32-33

Titre :	Estimation de la contribution énergétique d'origine aérobie et anaérobie et de sa répartition au cours d'un 800 m couru sur le mode compétition
Type de document :	texte imprimé
Année de publication :	2003
Article en page(s) :	pp.32-33
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Objectif - Déterminer la part de chaque système énergétique aux différents moments d'un 800 m couru sur le mode de compétition en mesurant en continu la consommation d'oxygène et la vitesse réelle de course. Matériels et méthodes - Cinq athlètes ont ainsi effectué sur une piste de 400 m, un test progressif de détermination de la consommation d'oxygène maximale et de la vitesse maximale aérobie ainsi qu'un exercice supramaximal de 800 m. Résultats - Ils mettent en évidence une dépense énergétique globale et un déficit d'oxygène évalué à 31,9 % quasi-identiques à ceux obtenus au cours d'un 800 m réalisé sur tapis roulant mais montrent une répartition différente du déficit d'oxygène. Ceci suggère que la cinétique des vitesses a une incidence déterminante aussi bien sur la contribution anaérobie qu'aérobie lorsque existent des variations de vitesse importantes.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=25067

[article] Estimation de la contribution énergétique d'origine aérobie et anaérobie et de sa répartition au cours d'un 800 m couru sur le mode compétition [texte imprimé] . - 2003 . - pp.32-33.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 18 numéro 1 (01/02/2003) . - pp.32-33

Résumé :

Objectif - Déterminer la part de chaque système énergétique aux différents moments d'un 800 m couru sur le mode de compétition en mesurant en continu la consommation d'oxygène et la vitesse réelle de course. Matériels et méthodes - Cinq athlètes ont ainsi effectué sur une piste de 400 m, un test progressif de détermination de la consommation d'oxygène maximale et de la vitesse maximale aérobie ainsi qu'un exercice supramaximal de 800 m. Résultats - Ils mettent en évidence une dépense énergétique globale et un déficit d'oxygène évalué à 31,9 % quasi-identiques à ceux obtenus au cours d'un 800 m réalisé sur tapis roulant mais montrent une répartition différente du déficit d'oxygène. Ceci suggère que la cinétique des vitesses a une incidence déterminante aussi bien sur la contribution anaérobie qu'aérobie lorsque existent des variations de vitesse importantes.

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